un petit détail
La tendance
générale montrerait un enthousiasme certain pour
cet « Empire d’Emeraude », auquel votre serviteur a
très modestement participé. Est-ce pour cela que je
ressens une affection particulière pour ce
supplément, et pour les bonnes critiques qui
l’accompagnent ?
Je vous invite à revoir le fil de la discussion pour
vous faire une idée plus avancée des qualités et des
défauts de l’ouvrage. Un petit conseil toutefois,
l’Empire d’Emeraude, c’est bon ! Mangez-en !
cette formulation semble indiquer que Kakita Yoshino, en tant que personne présentant le webzine, a contribué à Empire d'Emeraude. Est ce le cas ? est ce bien de lui que l'on parle ? parce que si j'ai tout faux, ben y a un certain nombre de lecteurs encore moins informés que moi qui auront tout faux aussi
penser à indiquer qui poste des choses ou il y a du "moi" et du "je" pourrait éviter d'éventuelles confusions je pense.
par ailleurs, j'ai bien aimé l'ensemble du zine mais j'aurais quelques remarques à faire :
- dans la nouvelle de Soshi Yabu : je doute fortement qu'on puisse mener un siège, surtout dans un univers ou les guerriers aiment brailler et lancer des défis à voix haute, dans un chateau sans que tout le monde soit rapidement au courant, à commencer par la fille du seigneur (parce qu'on attend d'elle qu'elle se tranche la gorge au cas où l'ennemi serait vainqueur...). S'il s'agit d'une action commando, on peut aussi se demander ce que Danjö peut bien foutre à conter fleurette au lieu de commander ses hommes ou de les aider de l'intérieur. La chute est sympa mais l'intrigue demande à être remaniée parce qu'elle ne tient pas la route sous sa forme actuelle.
- le scénario "le coup de Kenji" est très amusant en tant que scénario décalé, qui prend à contrepied les stéréotypes du Lion. Mais probablement totalement inutilisable avec des joueurs débutants ou dans une campagne et plus à réserver à une "soirée détente" entre vieux briscards, histoire de sortir un peu des paradigmes et attendus habituels.
rien de spécial à dire pour le reste, j'ai bien aimé
(y'a juste une faute : "une terre hostile d'où peu de gens reviennent vivants" 
