c'est quoi ?Tetsuo a écrit :C'est le Jour, Elle est là...
http://www.scifi.com/battlestar/
parce que j'ai entendu parler de webepisodes, et de ptit film à regarder avant d'attaquer la S4 ...
[Films] Cinéma, dvd, diffusion télé cuvée 2008
Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Bifff oblige, un petit article d'un journal belge sur le cinéma de genre français et sur la difficulté qu'il a à percer : http://www.lesoir.be/culture/cinema/cin ... 9095.shtml
In wartime, truth is so precious that she should always be attended by a bodyguard of lies.
Winston Churchill
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Kõjiro
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L'ordre idéal pour regarder les saisons de BSG c'est quoi alors ? (sachant que je n'ai rien vu encore mais que j'ai les saisons 1 et 2 à disposition)
"Les impôts sont le prix à payer pour une société civilisée. Trop de citoyens veulent la civilisation au rabais" - Henry Morgenthau, remettant son rapport sur l'utilisation abusive des paradis fiscaux par les contribuables au président Roosevelt en 1937.
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Kõjiro
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OkiPénombre a écrit :tu regardes les saisons dans l'ordre
sauf qu'entre la saison deux et la trois, tu te mates les webisodes
à la fin de la saison 3 et avant la 4, tu regardes Razor
tout simplement
Y'a combien de webépisodes, et ils sont disponibles gratuitement si ce sont des webépisodes ?
"Les impôts sont le prix à payer pour une société civilisée. Trop de citoyens veulent la civilisation au rabais" - Henry Morgenthau, remettant son rapport sur l'utilisation abusive des paradis fiscaux par les contribuables au président Roosevelt en 1937.
Vu Mother of Tears, le troisième (et dernier) volet des la trilogie des Mères de Dario Argento, avec Asia pour faire bonne mesure. C'est très sympa, de l'horreur old school (sans réa clipesque à la con) à l'heure où certains capitalisent sur leur renommée underground pour sortir une merde mainstream après l'autre (je ne vise personne, hein). Bon, il vaut mieux avoir l'estomac bien accroché parce que l'ami Dario ne s'est pas assagi avec l'âge et porte bien haut la bannière du gore italien, le vrai, le bien gras. Ah ouais, il y a aussi des scènes d'exploitation bien assumées (quand je dis que c'est old school) dont une d'Asia sous la douche. Bref, du bon.
Par contre, là aussi, ça va pas être évident à chopper en salle.
Par contre, là aussi, ça va pas être évident à chopper en salle.
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Tiens, c'est marrant, ça. Perso, je me suis amusé comme un petit fou et je crois que a salle a bien réagi aussi. Bon, évidemment, fallait pas s'attendre à un second Suspiria (d'où une certaine déception qui je pense est la source des critiques que l'on a fait à ce film) mais ça reste meilleur que la plupart de ce qui sort actuellement dans le genre.
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Doomsday :
C'est exactement le film que j'avais envie de voir.
D'abord, il faut bien l'avouer : Neil Marschall est un très bon réalisateur. Budget modeste parfaitement utilisé, on a droit à une photographie de tte beauté, une réalisation aux petits oignons (malgré un surdécoupage certain lors de qques scènes d'action - mais rien de grave), du décor et de l'accessoire qui déchirent, etc. Techniquement donc, le film est déjà une bonne réussite, c'est léché et on rêve en imaginant des réalisateurs français capables de rentabiliser ainsi leur budget...
Là où on pouvait avoir peur, c'est dans le scénario et son mélange des genres. Et pourtant, de ce côté là, tt fonctionne très bien (pour moi). Malgré son côté foutraque, l'intrigue évite de perdre trop en cohérence malgré les énormités (punks cannibales, chevaliers en armure : esprit Z powaaaaa !). Cela vient d'une certaine humilité du réalisateur vis à vis de ses références : si celles-ci sont bien appuyées, elles ne sont jamais moquées et l'hommage reste donc respectueux. La progression narrative est telle qu'en réalité, on a pas trop le temps de s'interroger sur ce qu'on voit : scénario linéaire donc, mais suffisamment rythmé pour tenir en haleine et permettre l'implication.
Bref une franche réussite à mon sens. Une bonne grosse série B qui revendique son héritage sans se laisser cannibaliser par lui, une bonne humeur communicative, de chouettes persos. Neil Marschall confirme tt le bien que je pensais de lui !
C'est exactement le film que j'avais envie de voir.
D'abord, il faut bien l'avouer : Neil Marschall est un très bon réalisateur. Budget modeste parfaitement utilisé, on a droit à une photographie de tte beauté, une réalisation aux petits oignons (malgré un surdécoupage certain lors de qques scènes d'action - mais rien de grave), du décor et de l'accessoire qui déchirent, etc. Techniquement donc, le film est déjà une bonne réussite, c'est léché et on rêve en imaginant des réalisateurs français capables de rentabiliser ainsi leur budget...
Là où on pouvait avoir peur, c'est dans le scénario et son mélange des genres. Et pourtant, de ce côté là, tt fonctionne très bien (pour moi). Malgré son côté foutraque, l'intrigue évite de perdre trop en cohérence malgré les énormités (punks cannibales, chevaliers en armure : esprit Z powaaaaa !). Cela vient d'une certaine humilité du réalisateur vis à vis de ses références : si celles-ci sont bien appuyées, elles ne sont jamais moquées et l'hommage reste donc respectueux. La progression narrative est telle qu'en réalité, on a pas trop le temps de s'interroger sur ce qu'on voit : scénario linéaire donc, mais suffisamment rythmé pour tenir en haleine et permettre l'implication.
Bref une franche réussite à mon sens. Une bonne grosse série B qui revendique son héritage sans se laisser cannibaliser par lui, une bonne humeur communicative, de chouettes persos. Neil Marschall confirme tt le bien que je pensais de lui !
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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J'ai revu Transformers dans une version "propre". C'était moins pénible à regarder mais décidément j'ai pas accroché à ce film. Trop de trucs débiles, d'humour potache ridicule et de passages pompiers qui tombent à plat. Dommage parce qu'il y avait de bonnes intentions et qu'il demeure des passages assez trippant comme l'arrivée des Autobots. Mais le gremlin decepticon, la bimbo mécano et les hormones du héro, l'agent secret survolté qui se fait pisser dessus par un autobot, le cache cache dans le jardin, le "tu es un soldat maintenant !", le coup du j'emmène le cube en ville histoire de maximiser les dégâts sur la population civile etc ça contribue à rendre soporifique un film d'action (j'ai encore lutté pour pas dormir...) Si on y ajoute des combats quasi illisibles parce que trop rapides, ça donne un beau gâchis.
J'ai également vu Je suis une Légende. J'ai été globalement déçu par ce film qui m'a fait l'effet d'un beau gâchis lui aussi. Le début accroche bien, Will Smith y est très bon, l'ambiance est bien rendue, on ressent notamment très bien cette impression de vide, de solitude. L'idée des mannequins est pas mal mise en scène. Les premiers contacts avec les hémocytes sont bien foutus, le piège de ses derniers et la baston qui s'en suit bien maîtrisée, la scène avec le chien dans le labo très bonne et la tentative de suicide-massacre de masse de Neville pris de rage et de frustration qu'on lui ait retiré le dernier être vivant avec lequel il communiquait excellemment amenée. Et puis là, ça dérape complètement. Tous les passages avec l'envoyée de Dieu sont ridicules, le film prend une tournure mystico-religieuse inintéressante et le sacrifice de Neville en jésus-petit-chimiste est carrément casses-couilles tellement ça flingue tout le reste. Dans cette seconde partie il reste l'attaque de la maison qui est très bien faite mais le reste est piteux. C'est vraiment un sacré gâchis. Bon Redemption Song à la fin ça le fait et avoir placé du Bob dans le film m'a fait plaisir mais l'exploitation comme caution morale était un peu mal amenée elle aussi... Vraiment dommage.
Enfin, j'ai aussi vu A la recherche du bonheur. Pour re-situer c'est l'histoire (vraie semble t il) d'un père célibataire (enfin qui devient célibataire par la force des choses), dans les années 80, qui va réussir professionnellement malgré des tas d'obstacles en arrivant aussi à élever son fils. C'est bien joué encore une fois. Will Smith est plutôt un bon acteur il faut le reconnaitre. Le parcours est bien rendu, sans pathos excessif, le passage dans la gare excepté. M'enfin dormir dans les chiottes d'une gare avec son gamin parce qu'on vient de se faire expulser forcément ça fait mal. Au final j'ai bien aimé mais je ne peux m'empêcher d'avoir un arrière goût désagréable après ce genre de film. Déjà j'ai toujours du mal avec les histoires de ce genre qui jouent sur la corde du "à force de volonté rien n'est impossible" parce que ça s'apparente trop au storytelling politique dont le pendant implicite est "si t'y arrive pas c'est que tu fais pas assez d'efforts". En plus l'action du film se passe au début des années 80 donc en pleine vague Reagannienne. Soit justement le début de l'apogée de cette pratique politique. Mais cela dit le film aurait très bien pu passer quand même sans le petit message à la fin qui te rappelle que c'est une histoire vraie et se sent obliger de rajouter que "des années plus tard en vendant une toute petite petite partie de sa boîte de courtage il gagné beaucoup beaucoup de millions de dollars". Genre le bonheur c'est des millions de dollars. Finir le film sur "il a obtenu le job et il va pouvoir donner une vie agréable à son fils loin des galères qu'ils ont traversé ensemble" c'était pas suffisant. Il fallait bien préciser que le gentil courageux à la fin il gagne des millions. Ca m'a fait le même effet que le gros chèque qui clôt le film sur l'histoire d'Erin Brokotruc. Sauf que Erin est très hypocrite (genre moi je m'intéressait qu'aux victimes et à leur triste sort, le gros chèque je m'y attendais pas du tout mais comme le monde est super bien fait si je fais le bien autour de moi après je deviens millionnaire) alors qu'au moins c'est plus assumé dans A la recherche vu qu'on a quand même la scène de la Ferrari. Du coup avec cette fin qui se clôt sur le mot "millions'dollars" on a finalement un raccourci proposé par la scénarisation elle même : "je vois une belle caisse du genre signe ostensiblement ostentatoire de maxi richesse et si je fais ce qu'il faut et que j'ai suffisamment de volonté à la fin du film moi aussi j'ai la caisse". Dommage parce que le film aurait pu s'épargner ça. M'enfin j'imagine que pour faire rêve et en suivant les vertus du storytelling faut ajouter des millions'dollars pour que ça marche.
J'ai également vu Je suis une Légende. J'ai été globalement déçu par ce film qui m'a fait l'effet d'un beau gâchis lui aussi. Le début accroche bien, Will Smith y est très bon, l'ambiance est bien rendue, on ressent notamment très bien cette impression de vide, de solitude. L'idée des mannequins est pas mal mise en scène. Les premiers contacts avec les hémocytes sont bien foutus, le piège de ses derniers et la baston qui s'en suit bien maîtrisée, la scène avec le chien dans le labo très bonne et la tentative de suicide-massacre de masse de Neville pris de rage et de frustration qu'on lui ait retiré le dernier être vivant avec lequel il communiquait excellemment amenée. Et puis là, ça dérape complètement. Tous les passages avec l'envoyée de Dieu sont ridicules, le film prend une tournure mystico-religieuse inintéressante et le sacrifice de Neville en jésus-petit-chimiste est carrément casses-couilles tellement ça flingue tout le reste. Dans cette seconde partie il reste l'attaque de la maison qui est très bien faite mais le reste est piteux. C'est vraiment un sacré gâchis. Bon Redemption Song à la fin ça le fait et avoir placé du Bob dans le film m'a fait plaisir mais l'exploitation comme caution morale était un peu mal amenée elle aussi... Vraiment dommage.
Enfin, j'ai aussi vu A la recherche du bonheur. Pour re-situer c'est l'histoire (vraie semble t il) d'un père célibataire (enfin qui devient célibataire par la force des choses), dans les années 80, qui va réussir professionnellement malgré des tas d'obstacles en arrivant aussi à élever son fils. C'est bien joué encore une fois. Will Smith est plutôt un bon acteur il faut le reconnaitre. Le parcours est bien rendu, sans pathos excessif, le passage dans la gare excepté. M'enfin dormir dans les chiottes d'une gare avec son gamin parce qu'on vient de se faire expulser forcément ça fait mal. Au final j'ai bien aimé mais je ne peux m'empêcher d'avoir un arrière goût désagréable après ce genre de film. Déjà j'ai toujours du mal avec les histoires de ce genre qui jouent sur la corde du "à force de volonté rien n'est impossible" parce que ça s'apparente trop au storytelling politique dont le pendant implicite est "si t'y arrive pas c'est que tu fais pas assez d'efforts". En plus l'action du film se passe au début des années 80 donc en pleine vague Reagannienne. Soit justement le début de l'apogée de cette pratique politique. Mais cela dit le film aurait très bien pu passer quand même sans le petit message à la fin qui te rappelle que c'est une histoire vraie et se sent obliger de rajouter que "des années plus tard en vendant une toute petite petite partie de sa boîte de courtage il gagné beaucoup beaucoup de millions de dollars". Genre le bonheur c'est des millions de dollars. Finir le film sur "il a obtenu le job et il va pouvoir donner une vie agréable à son fils loin des galères qu'ils ont traversé ensemble" c'était pas suffisant. Il fallait bien préciser que le gentil courageux à la fin il gagne des millions. Ca m'a fait le même effet que le gros chèque qui clôt le film sur l'histoire d'Erin Brokotruc. Sauf que Erin est très hypocrite (genre moi je m'intéressait qu'aux victimes et à leur triste sort, le gros chèque je m'y attendais pas du tout mais comme le monde est super bien fait si je fais le bien autour de moi après je deviens millionnaire) alors qu'au moins c'est plus assumé dans A la recherche vu qu'on a quand même la scène de la Ferrari. Du coup avec cette fin qui se clôt sur le mot "millions'dollars" on a finalement un raccourci proposé par la scénarisation elle même : "je vois une belle caisse du genre signe ostensiblement ostentatoire de maxi richesse et si je fais ce qu'il faut et que j'ai suffisamment de volonté à la fin du film moi aussi j'ai la caisse". Dommage parce que le film aurait pu s'épargner ça. M'enfin j'imagine que pour faire rêve et en suivant les vertus du storytelling faut ajouter des millions'dollars pour que ça marche.
"Les impôts sont le prix à payer pour une société civilisée. Trop de citoyens veulent la civilisation au rabais" - Henry Morgenthau, remettant son rapport sur l'utilisation abusive des paradis fiscaux par les contribuables au président Roosevelt en 1937.
Tu es un disciple prometteur.
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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Je prend ça comme un compliment 
Il me semble que sur les deux premiers j'ai du reprendre pas mal d'arguments que tu avais du donner à l'époque de leur sortie et qui me sont revenus à mesure que je regardais les films.
Il me semble que sur les deux premiers j'ai du reprendre pas mal d'arguments que tu avais du donner à l'époque de leur sortie et qui me sont revenus à mesure que je regardais les films.
"Les impôts sont le prix à payer pour une société civilisée. Trop de citoyens veulent la civilisation au rabais" - Henry Morgenthau, remettant son rapport sur l'utilisation abusive des paradis fiscaux par les contribuables au président Roosevelt en 1937.