[Question] Tables d'héritages

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Kocho
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Message par Kocho » 01 févr. 2008, 11:45

Kakita Inigin a écrit :Je remercie Kuni-sama.

:jap:

Au (re)vu de cet avantage, ... mes règles sont mieux. :langue: Iraz

Plus complètes, plus précises, plus simples, plus logiques ... et plus intéressantes pour le PJ (on commence avec 200 familles de heimin, soit 800 personnes, pour 3 PP ; contre 50 heimin pour 5 PP).
Pas vraiment : sil s'agit de 50 fermiers (ou cultivateurs), tu peux donc compter facile 4 ou 5 fois plus d'habitants. Un homme qui travaille la terre doit nourrir ses parents (s'ils vivent encore), ou les "anciens" de sa parenté, et ses enfants. Les enfants peuvent être assez nombreux.
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Message par Kakita Inigin » 01 févr. 2008, 12:14

Mais sa femme travaille, les plus agés de ses enfants (à partir de douze ans) peuvent travailler, ses parents travaillent jusqu'à soixante ans ...
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Message par Kocho » 01 févr. 2008, 12:45

Kakita Inigin a écrit :Mais sa femme travaille, les plus agés de ses enfants (à partir de douze ans) peuvent travailler, ses parents travaillent jusqu'à soixante ans ...
C'est vrai que les femmes aident au travail dans les rizières, mais à condition qu'elle ne soit pas en état de grossesse avancée (ce qui arrivait souvent) ou à se remettre de son dernier accouchement… (Sans parler des soins nécessaires au tout petits).

Mais les parents qui travaillent jusqu'à soixante ans, je doute. Peut-être des petits travaux (couture bricolage etc) mais quand on passe vingt cinq ans dans l'eau le dos baissé, les rumatismes et les problèmes de dos finissent par avoir raison de votre capacité de travail…

L'inkyo à 40 ans ce n'est surement pas que pour les samurai. Sans aller jusqu'à dire que les vieux paysans (au dessus de 40 ans à cette époque) ne font plus rien, mais ils sont avant tout une charge (ce qui explique l'importance du respect aux ancien dans la culture car les gens avaient peur d'être abandonnés dans leurs vieux jours).

Les enfants qui travaillent à partir de 12 ans : oui, si c'est pour garder des volailles ou des petits travaux de ce genre. Sinon avant 15-16 ans un enfant n'est pas très utile aux champs sinon comme aide pour de petits travaux (en fait il sont plus source de soucis car il faut les occuper et les surveiller). De plus, si j'en juge par le moyen-âge occidental, la mortalité infantile doit être importante avant cinq ans donc les parents peuvent avoir par moment beaucoup d'enfant en même temps mais seuls quelques uns arriveront en age de travailler…

Quoiqu'il en soit. Si on parle de "fermiers" il s'agit probablement plus des maisonnée que des bouches à nourrir… Un homme entre vingt et quarante ans fournit la plus importante force de travail. C'est donc normalement par rapport à lui qu'on va juger.

Bon quelqu'un de plus spécialisé que moi aura peut-être des choses à redire, (vu que je me base principalement sur mes souvenirs d'ouvrages historiques concernant l'Europe), mais je doute quand même que 50 fermiers, ça comprenent femmes, vieux et enfants…
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Message par Hida Ichi » 01 févr. 2008, 13:56

Kocho a écrit :L'inkyo à 40 ans ce n'est surement pas que pour les samurai. Sans aller jusqu'à dire que les vieux paysans (au dessus de 40 ans à cette époque) ne font plus rien, mais ils sont avant tout une charge (ce qui explique l'importance du respect aux ancien dans la culture car les gens avaient peur d'être abandonnés dans leurs vieux jours).

Les enfants qui travaillent à partir de 12 ans : oui, si c'est pour garder des volailles ou des petits travaux de ce genre. Sinon avant 15-16 ans un enfant n'est pas très utile aux champs sinon comme aide pour de petits travaux (en fait il sont plus source de soucis car il faut les occuper et les surveiller). De plus, si j'en juge par le moyen-âge occidental, la mortalité infantile doit être importante avant cinq ans donc les parents peuvent avoir par moment beaucoup d'enfant en même temps mais seuls quelques uns arriveront en age de travailler…
L'espérance de vie en France (moyenne homme-femme) était entre 40 et 45 ans en 1900.

Donc un niveau de vie un peu avancé, une médecine en progrès, des notions d'hygiène...

Donc dans une société médiévale agricole comme le Rokugan ???

Par contre, il faut préciser que c'est une société asiatique donc une grande connaissance des plantes et de médecines traditionelles, sans oublier l'impact des shugenja.

Donc une espérance de vie au Rokugan de 40 à 50 ans me semble réaliste.

C'est en concordance avec un inkyo à 40 ans, et avec le fait que vivre 60 ans est un signe de grande chance.
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Message par Shosuro Akae » 01 févr. 2008, 15:24

Oui mais faut pas oublier un truc:
quan on parle d'espérancede vie en Fance ou ailleurs, on parle d'espérance de vie "à la naissance", ce qui inclue la mortalité infantile (sous l"Ancien Régime 1 enfant sur quatre ne survit pas à sa première année et sur les survivants, un autre quart décède avant 15 ans), etc... Et qui n'est doc pas représentatif de l'âge de la société. Les personnes qui passaient l'âge moyen étaient très nombreux. De plusil faut rajouter à cla: les disettes, épidémie, guerre, etc... Qui écrême régulièrement l poulation. Bref c'est pas significatif de la capacité de travail d'une personne

A 40ans on est encore capable de beaucoup de chose et un homme de 40 ans est encore loin d'être un poid pour sa famille, il est encore une force de travail. La moyenne de dernier efant pour une femme c'est 40ans, y a qu'à voir nos grands parents qui étaient aux champs presque jusque dans la tombe!
Bref un homme d'Ancien Régime de 40ans n'est pas un grabataire!
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Message par Pénombre » 01 févr. 2008, 15:56

On pourrait peut-être se dispenser de certaines comparaisons non ? Surtout, on pourrait éviter des comparaisons partiales aussi.

prenons le cas de la France, en 1900

- la médecine est avancée sur le plan scientifique mais très mal répandue au niveau du suivi de la population. La majorité des français se soigne encore avec des rebouteux et des remèdes de grand-mère qui perdureront encore longtemps.
- aucune politique de santé publique réelle, c'est à dire systématique et nationale.
- les vaccins existent mais pour des maladies gravissimes et sont loin d'être répandus. Le vaccin moderne n'existe que depuis 1885 alors que les chinois tentaient déjà des trucs analogues dés le 11ème siècle et le concept est arrivé doucement en occident aux alentours du 18ème.
- l'eau courante ne commencera à être installée qu'à partir de 1904. En 1962, seuls 29% des foyers auront l'eau pour se doucher ou se baigner à domicile...

par ailleurs, il y a plusieurs facteurs qui tirent cette moyenne vers le bas :
- la guerre de 1870, une génération plus tôt, 130.000 morts
- l'industrialisation à outrance et toutes les pathologies concomittantes

plus simple et illustratif : http://www.ined.fr/en/everything_about_ ... cy_france/

De 1850 à 1900, l'espérance de vie évolue très peu pour deux raisons :
- les effets positifs du progrès médical ne se font pas encore sentir de manière générale. La médecine française en 1850 et celle en 1900 sont très différentes mais elles n'ont guère plus d'impact à l'échelle nationale
- il y a la guerre de 1870 au milieu...

ce qu'on constate ensuite, par contre, c'est que malgré les guerres (et il n'y a que 30 ans entre les deux guerres mondiales), l'espérance de vie progresse de manière accrue au fur et à mesure que la médecine moderne se répand vraiment mais également que la politique agricole nationale se développe et au passage que les conditions de travail changent (luttes sociales victorieuses, congés payés et après la deuxième guerre système de pension moderne)

tout ça pour dire quoi ?

Que n'ayant pas les données démographiques du japon ou de la chine lorsqu'ils avaient un développement scientifique et technologique comparable à celui de notre pays, je doute qu'on puisse faire des comparaisons pertinentes sur l'espérance de vie ici et là.

Pas le même climat, pas le même régime alimentaire, pas la même science médicale (et pour la petite histoire, les japonais se sont rués sur la médecine occidentale dés les débuts de l'ère meiji), pas le même impact du travail sur la population, pas la même démographie, pas la même répartition urbains/ruraux, pas les mêmes dangers sur l'eau potable, pas le même impact des conflits militaires, ni des épidémies (d'ailleurs, les formes des dits conflits militaires et la nature des épidémies différent également au passage...)

alors stop les raccourcis s'il vous plait ;)

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Message par Shosuro Akae » 01 févr. 2008, 16:23

Oui non mais moi je disais juste que l'espérance de vie n'est pas représentatif de l'âge d'une société et on ne se base pas sur l'espérance de vie pour savoir si quelqu'un est vieux, capable, ou pas, c'est tout. L'espérance de vie c'est qu'une moyenne, en rien représentative à ce niveau là. Tout au plus ça te donne des indices sur la qualité de vie, la mortalité, etc...

Les raccourcis des fois c'est aussi bien d'en faire hein! Si on doit développer une thèse à chaque fois qu'on se pose une question, ça va vite devenir chiant (et surtout très inutile). Après de savoir si c'est important ou pas de se casser la tête sur un truc pareil! ça c'est une autre histoire. :france:

Bref tout ça pour dire qu'à 40 ans on est pas si vieux que ça! (après tout est question de savoir si on va y arriver jusqu'à 40ans!)
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Message par Mirumoto Ohmi » 01 févr. 2008, 16:38

C'est vrai que les femmes aident au travail dans les rizières, mais à condition qu'elle ne soit pas en état de grossesse avancée (ce qui arrivait souvent) ou à se remettre de son dernier accouchement… (Sans parler des soins nécessaires au tout petits).
Discutable... Exemple de ma grand-mère accouchant le matin pour être au champ l'après-midi...


Les enfants qui travaillent à partir de 12 ans : oui, si c'est pour garder des volailles ou des petits travaux de ce genre. Sinon avant 15-16 ans un enfant n'est pas très utile aux champs sinon comme aide pour de petits travaux (en fait il sont plus source de soucis car il faut les occuper et les surveiller).
très discutable pour ne pas dire limite faux... La même grand mère menant le boeuf pour tirer la charrue à l'âge de quatre ans (là, je parle de lui tenir la bride devant pendant que quelqu'un d'autre beaucoup plus costaud tient la charrue...), les gamins bossant dans différents endroits tels les mines, avec comme point supplémentaire la loi interdisant le travail des enfants de moins de 8 ans en France fin XIXe, puis une autre limitant la durée du travail pour les enfants de 8 à 12 ans je crois...

Accessoirement, j'ai donné pas mal de coups de mains aux parents dès l'âge de quatre ans pour le jardins en la basse-cour, mais ce n'était pas le bagne non plus...
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Message par Hantei Ashura-Ô » 01 févr. 2008, 17:22

Merci a ceux qui ont chercher a repondre a mes questions
Kitsu Ashura-Ô: Shugenja Sodan-Senzo;
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Message par Kakita Inigin » 01 févr. 2008, 17:53

Les enfants qui travaillent à partir de 12 ans : oui, si c'est pour garder des volailles ou des petits travaux de ce genre. Sinon avant 15-16 ans un enfant n'est pas très utile aux champs sinon comme aide pour de petits travaux (en fait il sont plus source de soucis car il faut les occuper et les surveiller).
hep vous là ...
Kocho-san, vous êtes au courant qu'au XIX° siècle les enfants de 6 ans poussaient les chariots dans les mines de charbon ? isl en mourraient mais bon d'autres prenaient la place donc c'était pas grave ... jusqu'en 1898 (passage de 6 à 12 ans de l'age minimal)
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Message par Kocho » 01 févr. 2008, 18:22

Hida Ichi a écrit :
L'espérance de vie en France (moyenne homme-femme) était entre 40 et 45 ans en 1900.
Ça fait longtemps que ce genre de calcul a été remis en cause.
Parce qu'il prend en compte la mortalité infantile, ce qui casse un peu tout et que les espérances de vie dans certaines couches de population (ouvrières, guerrières) sont inférieures à celles des paysans… Les individus qui dépassaient cinq ans avaient de bonne chances de vivre jusqu'à soixante ans (je retrouverais à l'occasion plus de références mais ça semble un concensus, c'est en tout cas mentionné par Jacques Heers dans "Le Moyen-Âge une imposture").
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Message par Kocho » 01 févr. 2008, 18:24

Kakita Inigin a écrit :
Les enfants qui travaillent à partir de 12 ans : oui, si c'est pour garder des volailles ou des petits travaux de ce genre. Sinon avant 15-16 ans un enfant n'est pas très utile aux champs sinon comme aide pour de petits travaux (en fait il sont plus source de soucis car il faut les occuper et les surveiller).
hep vous là ...
Kocho-san, vous êtes au courant qu'au XIX° siècle les enfants de 6 ans poussaient les chariots dans les mines de charbon ? isl en mourraient mais bon d'autres prenaient la place donc c'était pas grave ... jusqu'en 1898 (passage de 6 à 12 ans de l'age minimal)
Oui je suis au courant, mais je n'ai pas parlé de ça (je n'ai mentionné le moyen-age occidental). L'exploitation d'enfants comme elle a été faite à l'âge industriel n'aurait pas été accepté dans le milieu rural médiéval.
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Message par Shosuro Akae » 01 févr. 2008, 18:26

Kocho a écrit :
Hida Ichi a écrit :
L'espérance de vie en France (moyenne homme-femme) était entre 40 et 45 ans en 1900.
Ça fait longtemps que ce genre de calcul a été remis en cause.
Parce qu'il prend en compte la mortalité infantile, ce qui casse un peu tout et que les espérances de vie dans certaines couches de population (ouvrières, guerrières) sont inférieures à celles des paysans… Les individus qui dépassaient cinq ans avaient de bonne chances de vivre jusqu'à soixante ans (je retrouverais à l'occasion plus de références mais ça semble un concensus, c'est en tout cas mentionné par Jacques Heers dans "Le Moyen-Âge une imposture").
c'est justement ce que je disais un peu plus haut ;)
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Message par Kocho » 01 févr. 2008, 18:32

Mirumoto Ohmi a écrit : Discutable... Exemple de ma grand-mère accouchant le matin pour être au champ l'après-midi...
C'est tout à fait possible. Mais ça ne veut pas dire qu'elle y travaillait autant qu'un homme ni dans les même condition qu'un paysan du moyen âge. La mécanisation a permis aux femmes d'abattre presque autant de travail que les homme à partir de 14-18 (lorsque les hommes étaient à la guerre). Avant cette périodes, elles ne représentaient pas la force de travail principale, loin de là…
très discutable pour ne pas dire limite faux... La même grand mère menant le boeuf pour tirer la charrue à l'âge de quatre ans (là, je parle de lui tenir la bride devant pendant que quelqu'un d'autre beaucoup plus costaud tient la charrue...), les gamins bossant dans différents endroits tels les mines, avec comme point supplémentaire la loi interdisant le travail des enfants de moins de 8 ans en France fin XIXe, puis une autre limitant la durée du travail pour les enfants de 8 à 12 ans je crois...
Oui, les enfants travaillaient parfois aux labours lorsqu'il y avait un animal de trait. Ce qui causait assez souvent accidents et mutilation (donc une bouche à nourir devenue inutile) pour que ce soit régulièrement mentionnés dans les textes anciens. EN revanche les gros travaux (moisson, fourrage) leur était exclus. Dans les rizières le travail est censé être très physique… Même si beaucoup de travail pouvait être fait par des femmes, je doute que les jeunes enfants puisse etre très utiles.

Pour l'exploitation des enfants à l'âge industriel, j'ai déjà répondu… il s'agit d'un phénomène socio écomique très différent…
Dernière modification par Kocho le 01 févr. 2008, 19:01, modifié 2 fois.
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Message par Shosuro Akae » 01 févr. 2008, 18:36

Bon voilà quelques vieux trucs que j'avais écrit pour divers scénarios, etc... C'est du vieux, du premier jet, et c'était justement pour moi, donc c'est pas du très bon, mais ça pourra peut être aider quelqu'un?

J'en mettrais d'autres plus tard (faudrait que j'écume mes disques durs, vieilles notes, et scénarios :cut: !

Voilà si ça peut te servir Ashura-O

Les terres de la famille Sakai:
Il s'agit d'une vaste province frontalière aux terres du clan du Scorpion proche du col de Beiden. Elle dirige la forteresse de Kenson Gakka (la « Leçon d'Humilité »).

Kenson Gakka (version hautement révisée à ma sauce!):

La cité est située sur un petit plateau rocheux qui surplombe la rivière. Elle est relativement importante avec près de 10 000 habitants.
Ancienne forteresse du clan du Scorpion elle est aux mains de la famille Matsu depuis plusieurs siècles.

La cité se compose de nombreuses choses significatives:

Les ouvrages militaire et administratifs:

La forteresse de la famille Sakai:
Il s'agit d'une forteresse aux allures quelques peut différentes des forteresses traditionnelles du clan du Lion. On y trouve un plus grand sens de l'esthétisme ainsi qu'une élaboration architecturale plus tortueuse. L'ensemble est vaste et permet la tenue d'une importante cour.
L'ensemble est entouré d'une enceinte fortifiée qui clos un jardin et des dépendances. Le donjon, lui, compte en plus du rez de chaussé, trois étages. Une garnison de 100 samourai garde le château en permanence. Ils sont sous la direction de Matsu Hayako, commandant de la cité et karo de la Dame Kyomi.

Les remparts:
Les remparts encerclent la cité. Elles furent bâties sur les ordres de la famille Matsu après la prise de la ville. Elles comportent cinq tours fortifiées chacune avec 5 samourai et 20 ashigaru.
La porte:
la porte est protégée par une garnison de 10 samourai et 20 ashigaru
On trouve un gunso qui garde la porte et cinq autres qui contrôle chacune des tours. Ils sont sous le commandement de Matsu Chiome.

La garnison citadine:
Il s'agit d'un vaste bâtiment fortifié, avec une cour centrale où les troupes s'entrainent. On compte des appartements pour les officiers, des quartiers pour les samourai de garde, un vaste dojo, des salles d'entraînements, une armurerie, une forge.
La garnison en ville est composée de 40 samourai et de 150 ashigaru. Ils sont chargés des opérations de police en coordination avec le magistrat local et de la surveillance de la cité (patrouille, contrôles, ...). Ils sont sous le commandement du taisa Matsu Chiome

L'office de la garde territoriale:
Il s'agit d'un bâtiment qui abrite les gardes qui s'occupent des patrouilles sur le territoire de la province. Il comporte des écuries avec une soixantaine de bêtes, une armurerie, les quartier des soldat et officiers, une cour, un dojo. On compte 40 samourai qui patrouillent sur l'ensemble du territoire. Ils sont dirigé par le taisa Matsu Ogosha.

Le bureau de magistrature; palais de justice:
C'est ici qu'officie le magistrat de la province et de la cité. Il s'agit de Sakai Yue, une femme féroce et intransigeante. Elle coordonne cinq yoriki et une trentaine de doshin.

La forge et résidence de Okaina Gumon:
Il s'agit d'un maître forgeron vassal de la famille Sakai. Il officie au sein de sa propre résidence et s'est fait une spécialité de la forge des naginata et armes d'hast d'une très bonne qualité. Il coordonne la fabrication de la majorité des armes des autres forge de la cité. Lui même dispose d'une forge personnelle, située auprès de sa demeure où il travail avec ses trois apprentis.
Gumon est un petit homme musculeux mais pas épais, rieur et à l'allure volontaire, il apparaît comme un bon vivant. C'est toutefois un maître forgeron et un expert dans le maniement des armes d'hast dont il dispense quelques cours au sein de la garnison seigneuriale.

Le quartier du fer:
Ce quartier situé aux abords de la porte d'entrée de la muraille et du petit port fluvial (ce afin de faciliter le transport du métal). C'est ici que sont concentrés les divers entrepôts où est acheminé le cuivre extrait des mines de cuivre situé dans la montagne proche.
On y trouve aussi une grosse fonderie où le métal est transformé en lingot et envoyé dans les diverses forges de la cité pour être manufacturé. Le reste est entreposé puis acheminé aux autres provinces. Les forgerons et autres artisans du métal sont ici organisé en coopérative dont le représentant est Junko, le maître des fonderies. C'est un heimin fort et courtois, bien conscience de son statut et qui est un ami véritable de Gumon. Le quartier est assez bruyant entre le martellement des forges, les soufflets de la fonderie. Une grande rue cercle le quartier et ce pour faire halte à un éventuel feu qui prendrait naissance dans le quartier et éviter sa propagation au reste de la ville.

La fonderie:
La fonderie elle est entièrement faite de pierre à par quelque charpente de bois et cela pour éviter un violent incendie. Il s'agit d'un édifice massif qui dépasse une bonne partie des habitations du quartier. Le foyer énorme de l'édifice tourne en permanence et le rendement y est important.
Junko est le maître de la fonderie. C'est lui qui coordonne l'ensemble des ouvriers.

La forge et résidence de Okaina Gumon:
Il s'agit d'un maître forgeron vassal de la famille Sakai. Il officie au sein de sa propre résidence et s'est fait une spécialité de la forge des naginata et armes d'hast d'une très bonne qualité. Il coordonne la fabrication de la majorité des armes des autres forge de la cité. Lui même dispose d'une forge personnelle, située auprès de sa demeure où il travail avec ses trois apprentis.
Gumon est un petit homme musculeux mais pas épais, rieur et à l'allure volontaire, il apparaît comme un bon vivant. C'est toutefois un maître forgeron et un expert dans le maniement des armes d'hast dont il dispense quelques cours au sein de la garnison seigneuriale.

Le quartier des temples:
Ce quartier est constitué en plus des habitations diverses, des temples de la cité. On y trouve quelques moines qui en arpentent les rue: on compte trois temple important dans la cité:

Le temple de Dame Matsu:
Il s'agit d'un petit temple dédié au tonnerre Matsu. Quelques nonnes l'entretiennent. Il est beau mais très simple, dans un style épuré. Une cour centrale sert de lieu d'entrainement pour les nonnes sohei.
L'Abbesse Tosaka est la supérieure de la congrégation.

Le temple de Bishamon:
Ce temple est assez vaste pour accueillir un certain nombre de fidèles. Il est massif, ornementé de scènes de batailles et d'ouvrages métallurgique divers (armes, candélabres...) qui sont autant d'offrande faite par les gens de la cité. Une grande statue de Bishamon écrasant un Oni trône dans la salle de prière principale. Elle fut offerte au temple par Matsu Hidarime une des précédentes daimyo de la province.
Kozu est le moine qui le dirige.

Le temple de l'esprit des trois rives:
Ce temple était là avant la prise de la ville mais le clan du Lion a jugé bon de le garder et de ne pas courroucer un éventuel kami.

La quartier du port:
Ce petit quartier jouxte la rivière aux trois rives en débordant de la muraille à l'endroit de la porte principale. Il est composé d'un marché de poisson, de quais et d'entrepôts. On y trouve aussi, une communauté paysanne assez active et une entreprise de transport fluvial. Un petit poste militaire situé sur un pont fortifié sert de contrôle et de barrage au trafic fluvial comme aux traversées de la rive. Une petite taxe est prélevé sur la cargaison des navires.

« La compagnie des barques »:
Il s'agit d'une entreprise familiale qui loue et prête au voyageurs, marchands... le moyen de se déplacer le long de « la rivière aux trois rives » à l'aide de longue barques, ou barges. Shigoku et ses trois fils gèrent l'ensemble des transactions et des transports. Leur commerce est particulièrement florissant.

Le pont:
Le pont est un ouvrage de passage défensif. Il est couvert et à son extrémité sud il est clos par un fortin. Sur la rive nord il est clos par une lourde porte. Des grilles installées sous le pont peuvent se refermer pour empêcher tout passage sur le fleuve. On peut aussi tirer une chaîne entre les deux rives. 5 samourai et 8 hashigaru gardent le pont. Un gunso est chargé du commandement de l'unité, il s'agit de Sakai Futetsu.

Le quartier haut:
Il s'agit du quartier situé autour de la forteresse essentiellement le lieu de résidence de la noblesse locale et des artisans les plus riches et plus en vue. C'est dans ce quartier que vivent entre autre les samourai qui ne vivent pas au château et que l'on trouve l'office de la magistrature locale et le palais de justice. On y trouve aussi en bordure du quartier la garnison citadine. (cf. plus haut.)

La résidence de Matsu Gosetsu:
Matsu Gosetsu est un des conseillers de Kyomi. C'est un homme d'un certain âge, qu'une blessure dès ses premières années de combat, a empêché de poursuivre sa carrière militaire. Il s'est tourné du côté de l'enseignement de la famille Ikoma et les côtés plus administratifs et logistiques. Il sert de chancelier, conseiller administratif et politique au sa vieille amie Kyomi.
Sa résidence est un véritable petit bijoux. Calme, sereine, on y trouve un petit jardin aménagé par lui-même et un petit pavillon de thé.

Le quartier de la Pure Vengeance:
Le quartier de la pure vengeance est le quartier principal. Il est le plus important en taille et en population. C'est ici que se trouve la majeure partie de la classe populaire de la cité. Il tire son nom de la place de la Pure Vengeance qui occupe son centre au pied de la grande rue qui traverse le quartier et celui du quartier haut jusqu'au palais. C'est ici que les derniers survivants de la cité furent éxécutés par les troupes de la famille Matsu. On dit la place hantée et on raconte que l'esprit vengeur d'une des personnes exécutées frappe parfois des personnes, qui disparaissent.

C'est ici que l'on trouve le reste de l'artisanat local, mais aussi deux autres place de marché, une pour les étoffes, paniers et autres objets manufacturés et une autre où se tient les étals des denrées alimentaires...

L'auberge des cinq lames ardente:
C'est ici que se retrouve une grande partie des Matsu en permission. L'ambiance y est bonne et chaleureuse... Quoique virile! Shijin tient l'auberge avec sa femme Naika.

C'est dans une partie de ce quartier que l'on trouve aussi le petit quartier réservé. On y trouve une brasserie de saké, trois tavernes, trois maisons de thé, deux bordels et d'autres échoppes de cet acabit.

Le quartier des eta:
Il est situé à l'extrémité ouest de la ville en dehors des remparts, en bordure du quartier du port.

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Les terres de la famille Hananatsu
Province de la famille Shinjo:
Province mise en place pour le scénario du guide du maitre de la 2nd édition

Les terres sont un petit havre de paix et de tranquillité situées à l'embouchure du col des souffrances. Autant dire que le passage n'est pas très fréquent, mais toute personne voulant se rendre sur les terres du clan du Blaireau se voit contraint de passer par cette province et plus particulièrement par le village du septentrion (Kibukito mura). Il s'agit de la dernière ville du clan de la Licorne.

Elle est sous la direction d'un gouverneur: Shinjo Yokoyama. Il s'agit d'un homme petit et trapu. C'est un personnage strict et assez sérieux. Il est âgé de 34 ans mais fait plus marqué. Il dirige la région et la cité depuis la forteresse du septentrion (shiro no Kibukito).

La ville n'est pas très vaste, on y trouve plusieurs demeures plutôt modestes. Certains bâtiments sortent toutefois de l'ordinaire: on compte parmi ceux-ci;

la demeure du magistrat d'émeraude:
Kakita Saitô. On est sans nouvelle de lui depuis plusieurs jours. D'après les dernière nouvelles il serait parti vers le nord. Après que Kaiu Osuki ait annoncé que le clan du blaireau avait été anéanti par un ennemi inconnu il aurait décidé de partir avec un groupe de Yoriki et aucun d'eux n'est revenu.

Le sanctuaire des bannis:
ce sanctuaire est entretenu par quelques moins et nonnes qui sont à l'origine des membres des familles des bannis. Ils entretiennent le sanctuaire pour le souvenir de leur parent. Le chef de cette petite congrégation se nomme Maya l'abesse, il s'agit d'une femme d'environs soixante, soixante-dix ans. Elle est douce et d'une gentillesse extrême. C'est son fils qui fut bannis.

Le monastère de la flamme héritière:
ce monastère et un lieu d'étude du tao de Shinsei. Il accueil une vingtaine de moine, dirigé par le sojo Gosaiko, un homme très simple. Ils sont les gardiens d'un secret bien gardé, l'existence du descendant de Shinsei.

Le représentant du clan du Blaireau: Ichiro Sukoden. Il réside au shiro no Kibukito. Lui aussi a disparu avec Kakita Saitô.

Le reste de la ville:
La boutique de Shuzo:
Ce petit homme bien portant et bedonnant vend tout un tas de matériel destiné aux voyageurs qui tenteraient le passage du col des souffrances.

La maison des Pétales de Jade:
maison de thé la plus réputée de la ville. C'est ici que travaillait O-gin.

La forge de Tonko:
Tonko est un heimin qui vit ici depuis toujours. Sa famille a toujours habité la ville. Il connaît bien les gens du coin et les rumeurs locales. Il travail ici le métal et forge des outils, des fers à cheval, clou, etc...

Au château:
Seika: ancien membre de la famille Soshi, ami du seigneur, d'une gentillesse les plus totale.
Kara: la fille de Yokoyama, elle s'est enfuit et dirige des brigands.
O-gin: la geisha qui a vendu Seika à Doji Suidoken.

Doji Suidoken: l'assassin de Seika.
Kyokushin: Il s'agit su père de Seika.

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La Province Fusai:
Province d'un de mes PJ, un Shiba (Zurugu)

Shiro Nanatsu (Il s'agit du nom de la femme pour qui fut construit la demeure il y a de cela plusieurs siècles):
La demeure est situés sur une petite crête qui surplombe un petit lac entouré d'une forêt de chêne et d'érables. La vue donne sur les côtes de Umi Amaterasu située à seulement un kilomêtre à vol d'oiseau. La vue est tout bonnement superbe. La pente vers l'océan est douce et une petite route mène jusqu'à un petit village de pêcheur abrittant une cinquantaine d'âmes. La demeure est d'une grande élégance et sobriété elle se fond à merveille avec les éléments qui l'entoure. La toiture est composée d'une alternance de tuiles or, rouge, orange et marron donnant la sensation d'un feuillage en automne. Cette même toiture scintille lorsque le soleil innonde le paysage. La demeure possède de nombreuses pièces et possède un étage. Elle possède un jardin sur le devant et sur l'arrière de la demeure aussi.

Un autre batiment du même genre mais bien plus modeste, comporte un ensemble de pièces destinées à la domesticité. De plus une partie de celle-ci est une écurie. Il reste au moment de l'arrivée de Zurugu sur ses terres, cinq domestiques attachés à la demeure. Il s'agit d'une famille qui entretient la demeure depuis plusieurs générations: Kudo, est le père, il s'occupe des tâches les plus physiques, avec son fils aîné Tachi, il répare toiture, plancher, s'occupe des cheveaux, et du transport de lourdes choses. Ils sont tous deux d'une forte constitution et se ressemble bien. Le visage rude. Shiyoko la femme de Kudo s'occupe de toutes les tâches ménagères de la demeure aidée par sa fille Yue âgée de 14 ans et sa soeur cadette, Suzue, âgée de 24 ans.

Les jardins:
Le jardin de devant est un jardin sec plus très bien entretenue mais qui garde encore un certain charme, de l'herbe a poussé entre les dalles de pierre qui mènent jusqu'à l'entrée de la demeure. Cette allée est bordée de grande lanterne de pierre. Dans un recoin de ce jardin a été construit un petit temple dédié à Nanatsu, une statue de celle-ci s'y trouve posée sur un petit autel central. Le temple n'est pas bien grand formant un carré de deux mètres cinquante de côté, surélevé de quelques centimètres et entouré d'une petite coursive ouverte. Il est particulièrement beau et une douce odeur semble toujours y planer. Les gens de la maison disent que lors de certain crépuscule l'esprit de dame Nanatsu vient s'y détendre attendant nul ne sait quoi. À chaque fois que cela se serait produit un événement dramatique serait arrivé. C'est ici qu'elle aurait apris la mort de son époux et se serait donnée la mort, mais l'on se demande alors qui aurait fait bâtir le petit temple. Ce que l'on sait c'est que la demeure n'a pas vue de résident nobles depuis bien des années. Les derniers étaient un couple de la famille Shiba que leurs obligations ont mené ailleurs, plus prèt de leur seigneur.
Les dernières fois qu'elle est apparue correspondent:
-à la mort de deux pêcheurs avant l'hivers.
-lors du coup d'Etat.
-lorsqu'une mystérieuse fièvre frappa les environs il y a un peu plus de deux ans.
-lors de la mort de divers paysans.
-lors de la mort des parents de zurugu.

Le second jardin est un ancien jardin labirynthique que les herbes ont totalement submergé. Une partie de celui-ci est couvert d'un bassin typique, une mare où nagent nombre de carpes koi de multiples couleurs. Quelque chose d'étrange se dégage de cet ensemble comme si la nature était animée d'une vie bien présente. Au centre du labirynthe se trouve un petit sanctuaire familial. Il s'agit d'une dalle de pierre brutte alongée de un mètre de long et d'une cinquantaine de centimètres de haut. De chaque côtés de cette dalle, deux hautes pierre taillées et dressées servent d'encadrure, des kanji y sont taillés. La traduction des kanji, d'un style fort ancien mais gravé depuis moins d'un demi siècle, est: « Il existe toujours un moyen de duper la nature », « La compréhension de l'homme passe par la connaissance de son passé ».

Le temple Tsamaru:
Sous cette dalle se trouve un passage qui mène jusqu'à une grotte. Celle-ci est une véritable beauté minérale, au centre un lac souterrain (continuité de celui à l'air libre), une petite rivière coule jusqu'à l'océan: Dans cette salle des statues d'homme et de femmes poissons constituent une sorte de temple très ancien. Un culte qui semble dater d'avant la chute des kami. Il s'agit d'un temple ancien dédié aux créature des eaux, les ningyo. Le cour d'eau mène jusqu'à une embouchure où se trouve une pierre érodée qui ressemble à une statue féminine, des cristaux, coraux y sont incrustés, elle fait face à la mer et chaque soir une étoile brille en son dessus: Il s'agit de Tsamaru, l'étoile la plus brillante du septentrion...

Tsamaru est la femme de Shiba faite Fortune, a sa mort elle a rejoint le Paradis Céleste.

Le Village des lucioles:
Appelé ainsi en raison du nombre de lucioles qui dès les premières chaleurs envahissent les bosquets d'arbres et les sous bois alentours. Une fête est organisée par les villageois dès que celles ci apparaissent. C'est l'occasion de promenades nocturnes en groupe et de réjouissance sous les arbres du village. Avec l'autorisation du seigneur des lieux, les paysans finissent par une procession sur le lac où ils déposent des petites offrandes aux pieds des massifs. Cette procession les mène jusqu'au lac où ils prennent des barques et se dirigent au centre de celui-ci. De là il peuvent admirer les contours de celui-ci qui sont innondés de milliers de petites lueurs. Ils y restent jusqu'au lever du jour.
Cette fête à lieu aux alentours de la fin du mois du serpent (dernier mois du printemps).

Le village compte une cinquantaine d'âmes. La famille qui est de facto la plus puissante et la plus nombreuse et la famille Kakaru. Le chef de la famille est le représentant de la communauté et il s'agit de Mako, le patriarche. Il s'agit d'un homme d'une cinquantaine d'années, assez décrépit mais encore autoritaire. Il a deux fils et trois filles: Oku, Noba, Akie, Jinko, Nana.
Oku a un fils (Tenchi), Noba a un fils et une fille (Yobo, Kageru).

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TOSHI RANBO:
Quelques bâtiments, lieux de la cité.

L'auberge de la lame silencieuse:
Cette auberge porte ce nom en raison d'une vielle histoire, la rue dans laquelle elle se trouve fut le théatre de l'assassinat d'un des derniers héritier de l'ancienne famille Goseki, on ne sait qui en fut l'auteur, mais le clan du Lion s'accorde à dire qu'il s'agissait d'un assassin payé par le clan de la Grue. Quant au clan de la Grue il estime que cette histoire n'est qu'une fable inventée par la famille Ikoma pour diffamer son clan.
Cette auberge est tenue par un heimin du nom de Koji. C'est un petit homme bien portant à l'attitude chaleureuse, il accueil ici tout un tas de clients, du ronin au samourai le plus haut, la réputation de son auberge vient des plats que concocte sa femme, Reika, qui sont exquis à s'en damner. De plus les tarifs sont peu élevé et des tarifs spéciaux ont cour pour les soldats de la cité. Cela fait que les lieux sont toujours combles et qu'à moins d'être un officier ou une personne de haut rang il faille réserver une semaine voir plus au paravant.
En fait Koji et Reika étaient avant de s'installer ici cuisinier dans l'ambassade du clan de la Grue, mais quand leur fils tomba malade ils durent se déplacer pour trouver des médecines sur les terres du Dragon, leur fils mourut malgrès tout et ils échouèrent en la cité. Rapidement les deux époux achetèrent une petite cariole et se mirent à vendre des plats dans la rue. Et ainsi ils firent rapidement fortune assez pour acheter un établissement.
Ils peuvent tenir des prix bas grâce aux exemptions d'impôt qu'ils ont de la part du clan de la Grue qui encourage les artisants et commerçants à s'installer en la ville.

La maison du petit matin radieux:
Cette demeure est une demeure de courtisane(ou bordel), qui offre aux gens de la ville qui peuvent se le permettre un éventail de choix en matière de filles et de plaisir. Cet établissement est le plus réputé de tous de par le raffinement de certaines de ses occupantes.
La dureté de la vie pour la soldatesque fait de cet endroit un lieu très fréquenté et toléré par les généraux du clan, qui le voit comme une soupape de pression pour leurs hommes. Ainsi la prostitution n'est pas autorisée en dehors des établissements mais les bordels ont le droit de séjour, mais sans être exempt de taxes. Ils sont tout de même cantonnés dans un quartier.

La forge de maître Kenza:
Cette forge est un petit établissement qui pourtant jouit d'une certaine notoriété au sein de la cité. Son gérant Kenza est un vielle homme aux bras encore puissants d'une vie à pratiquer le métier de la forge. Les katana qu'ils forgent sont appréciés de ceux qui connaissent son travail et lui même connait des techniques propre à lui qui font de ses armes un atout pour la forteresse.
Les sabres de Kenza, sont plus légers et plus résistant que les sabres habituels, ceci fait la différence lors d'engagement long où le samourai porte sa lame durant plusieurs heures et lui fait subir des chocs de manières très fréquente. Il produit ainsi des armes en quantité et certaines plus exceptionnelles suivant les personnes.
"Et les p?tales de fleurs de cerisiers tombent d?j?..."
Mon site : http://shosuroakae.wixsite.com/sanfilippo
Membre du CPPJ
Membre actif du ATAMKJ

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