
Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
on va detourner ton detorunement pour le rendre utile :Hida Matsuura a écrit :HEY !! a Motopoule-sama a des adresses pas chères pour faire imprimer des tee-shirts de la Voix et il le disait même pas !!Moto Shikizu a écrit :Alors oui il est impensable de faire des Tshirt a 1 € en France
Matsuura, bushi qu'heureusement qu'il est là...
S'il te plaît Matsuura, ici, c'est le topic politique et aucune déviation, même humoristique, n'est autorisée ... Essaie s'il te plaît à l'avenir d'apporter des arguments sains au propos des autres participants.Hida Matsuura a écrit :HEY !! a Motopoule-sama a des adresses pas chères pour faire imprimer des tee-shirts de la Voix et il le disait même pas !!Moto Shikizu a écrit :Alors oui il est impensable de faire des Tshirt a 1 € en France
Matsuura, bushi qu'heureusement qu'il est là...
Je n'ai toujours pas vu de cochons avec des ailes volants dans le ciel et annonçant la paix sur Terre, donc peu probable...Shoju a écrit :Si avec ça, je ne deviens pas modo de ce topic
Sources a écrit :Le ministre italien de l'Intérieur Giuliano Amato a affirmé mardi que son pays n'organisait pas d'expulsions collectives de sans-papiers, réagissant aux propos de Nicolas Sarkozy affirmant que Rome et Madrid avaient demandé de telles expulsions. "Ne faisons pas de confusion : les vols collectifs sont organisés depuis un moment par l'Union européenne pour reconduire dans leur patrie les immigrés clandestins expulsés de divers pays", a déclaré le ministre italien, selon un communiqué. "Mais l'Italie ne procède à aucune expulsion collective; chez nous, les expulsions sont réglementées par la loi Bossi-Fini qui prévoit des mesures spécifiques d'expulsions, chacune motivée, concernant des individus en particulier et validée par l'autorité judiciaire. Nous prévoyons donc tout sauf la possibilité d'expulsions de masse ou de groupes", a conclu le ministre.
http://www.liberation.fr/actualite/poli ... 599.FR.phpDeux heures de théâtre sous les lambris de l’Elysée. Pas un spectacle inoubliable mais une bonne tranche de comédie du pouvoir avec, pour ce one-man show, un homme qui se vit comme un super héros de la politique… Mesdames et messieurs, voici Nicolas Sarkozy pour une petite heure de monologue et une grosse heure de questions-réponses !
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La grande salle des fêtes du palais présidentiel est comble avec un public de 600 journalistes et des ministres installés aux premiers rangs après une cocasse convocation la veille, tard le soir, par les collaborateurs du chef de l’Etat.
Huit mois après son élection et alors que les effets de sa politique se font toujours attendre sur le pouvoir d’achat, Nicolas Sarkozy veut (se) rassurer. Tonique comme à son habitude mais laborieux pour philosopher sur sa «politique de civilisation», il démarre avec un grand numéro d’autojustification, ponctué de nombreuses annonces (lire pages suivantes) : instauration d’une politique de quotas d’immigration, mort annoncée des 35 heures, «révolution» avec la fin de la pub pour la télé publique, modification du préambule de la Constitution pour y inscrire «la diversité» ou l’égalité homme-femme, projet ambitieux pour le «Grand Paris»… Sans oublier un mariage avec sa nouvelle compagne, l’ex-mannequin Carla Bruni. «Président, ce n’est pas un boulot pour inquiet», lance-t-il en moquant les éditorialistes qui «ne rendent pas de comptes».
Vieux trucs. Acteur, producteur, réalisateur de ses shows, Nicolas Sarkozy se voit toujours aussi grand, tout en haut de l’affiche et, forcément, meilleur, que tous les autres. Ses recettes sont les vieux trucs qui tiennent le spectateur en haleine : de l’amour («Avec Carla, c’est du sérieux»), de l’argent (la hausse de son salaire et ses voyages payés par l’industriel Vincent Bolloré), de la bagarre (avec la gauche, les «donneurs de leçons»…) Faux modeste, il ne cesse d’expliquer que, «malgré tous leurs talents», ses prédécesseurs n’ont «rien fait pendant vingt ans». Habitués à ses colères où il les traite (au mieux) «d’imbéciles» ses collaborateurs et amis politiques en sont coutumiers : en dehors de lui, que des nuls ! Irréprochable donc, Sarkozy qui affirme sans rire hier, «moi, je ne mens pas», se justifie sur tout. Son salaire ? «Le même que celui du Premier ministre et autant que celui de mon prédécesseur.» Sa virée en Egypte avec sa suite sur le jet Bolloré ? «Ça ne coûte rien au contribuable.» L’étalage de sa vie privée ? «Avec Carla, nous ne voulons rien instrumentaliser mais nous ne voulions pas nous cacher.» Et ainsi de suite.
Odeur de poudre. Derrière les certitudes qu’ils martèlent, pointent aussi quelques interrogations qu’il veut dissiper. La bête de scène politique a-t-elle perdu la main ? Ses formules sonnent-elles encore douces aux oreilles des médias et des Français ? Son énergie à vendre du volontarisme est-elle intacte ? Se met-il toujours les ricaneurs dans la poche en mouchant ses contradicteurs ? Dans les fondamentaux du sarkozysme, il y a aussi une odeur de poudre. Et donc le besoin de se trouver un adversaire. D’où cette attaque en règle hier contre Bertrand Delanoë, maire de Paris, à propos du «Grand Paris» (lire page 6). «Paris doit retrouver sa vitalité, son rayonnement, son attractivité, sa créativité», a lancé le Président à quelques semaines des municipales. Pourtant ce n’est pas cette échéance qui l’intéresse avec Delanoë. Mais plutôt celle de 2012. Persuadé que la gauche va conserver Paris et que Delanoë deviendra l’homme fort du PS, il a commencé hier à le cogner. Préventivement.
Et, histoire de prouver que tout le monde ne réagit pas comme Bush :sources a écrit :Un guide pour une émigration "réfléchie et digne" vers l'Espagne a été officiellement lancé mardi à Ouagadougou par une association d'immigrés burkinabè établie dans ce pays européen. Le document, intitulé "Visa pour l'Espagne", a été dans un premier temps distribué à une centaine de jeunes Burkinabè aspirant à se rendre régulièrement en Europe, a expliqué à l'AFP le président de l'association "Burkina Faso També" (Burkina Faso aussi, en catalan), Moumouni Manacounou. Au total, 5.000 guides doivent être distribués gratuitement à travers le pays durant une campagne de sensibilisation dont la durée n'a pas été précisée, selon M. Manacounou, Burkinabè basé en Catalogne, qui a conçu ce guide avec le soutien d'un collectif d'avocats barcelonais de défense des immigrés illégaux en Espagne. "Pour le moment, dit-il, le Burkina Faso n'est pas gravement touché par le phénomène de l'émigration clandestine, mais nous voulons prévenir ces dérapages en mettant à la disposition de nos frères toutes les informations basiques dont ils auront besoin pour une émigration réfléchie et digne en Espagne". "Visa pour l'Espagne" comporte notamment des informations sur les conditions d'obtention d'un visa pour ce pays, les conditions de séjour, de recherche d'un emploi, ainsi que l'accès à la santé, l'éducation et au logement. Il évoque aussi les risques encourus en séjournant sans papier en Europe, ainsi que les droits des immigrés clandestins. L'émigration en provenance du Burkina Faso, pays sahélien enclavé classé parmi les plus pauvres du monde, est essentiellement dirigée vers les pays de la région, notamment la Côte d'Ivoire et, à un degré moindre, le Ghana.
sources a écrit :Le président sénégalais Abdoulaye Wade a annoncé mardi à Dakar qu'il se rendrait prochainement en Espagne pour prendre part à une rencontre consacrée au "dialogue des civilisations". "Il y a un sommet sur le dialogue des civilisations qui aura lieu dans quelques jours en Espagne, et j'y participerai sur l'insistance de Zapatero", a affirmé le président Wade, à son retour d'une visite de travail en Arabie saoudite, à l'antenne de la télévision publique sénégalaise (RTS). Il n'a pas précisé de dates. En décembre, une source gouvernementale espagnole avait annoncé la tenue à Madrid, les 15 et 16 janvier, d'un premier "Forum de l'Alliance des Civilisations", expliquant qu'il s'agissait d'une initiative promue par l'Espagne et la Turquie dans le cadre de l'ONU pour rapprocher l'islam de l'Occident. Le secrétaire général de l'ONU et les chefs de gouvernement espagnol et turc doivent y prendre part, de même que 300 participants de 27 pays, avait-elle ajouté. Le concept d'"alliance des civilisations", destiné à encourager le dialogue entre les cultures occidentales et arabo-musulmanes et bénéficiant de l'appui de la Turquie, a été lancé en septembre 2004 à l'ONU par Zapatero quelque six mois après des attentats à Madrid.
http://www.liberation.fr/actualite/poli ... 572.FR.phpA mesure que s’approche l’examen, par les parlementaires, de l’épineux dossier du traité de Lisbonne (projet de loi de révision constitutionnelle le 15 janvier à l’Assemblée et le 29 au Sénat, puis vote du Congrès le 4 février), le Parti socialiste, à nouveau, s’empêtre dans ses contradictions européennes. Hier, Jean-Marc Ayrault, patron des députés PS, a assuré que ceux-ci n’iraient pas au Congrès de Versailles pour la révision préalable à la ratification : «Il me paraît impossible que nous participions à la révision préalable de la Constitution dès lors que nous défendons la voie référendaire plutôt que la voie parlementaire.» Position qu’a aussitôt confirmée le premier secrétaire du parti, François Hollande. Seulement voilà : nombre de députés PS, dans le camp du oui comme dans celui du non au traité, s’étonnent de l’annonce de leur président du groupe. «Je suis très surpris, explique le fabiusien Claude Bartolone. Il y a eu un début de discussion mardi en réunion de groupe, mais nous n’avons pris aucune décision, à part celle de voter la proposition de loi du PCF et des Verts [visant à instaurer un référendum, ndlr]. Ayrault confond sa position avec celle du groupe.» Un effet de surprise que partage Patrick Bloche, député de Paris et partisan, lui, d’une ratification : «Je suis un peu estomaqué. J’espérais tout de même qu’on soit prévenu. On aurait pu prendre un peu de temps pour décider de notre position.»
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Ratification. D’autant plus que la question de la participation au Congrès n’a toujours pas été fixée par les instances dirigeantes du parti. Même si le bureau national s’est prononcé, en novembre, pour le oui au traité. «Cette question n’a été ni discutée, ni tranchée par le bureau national», rappelle Benoît Hamon, l’ex-secrétaire national (démissionnaire) aux questions européennes. Elle n’a d’ailleurs été que brièvement effleurée, hier, au cours d’un bureau national essentiellement consacré à la prestation de Nicolas Sarkozy. Ce qui n’avait pas empêché François Hollande, un peu plus tôt, d’appuyer Jean-Marc Ayrault : «Pour marquer notre refus d’une procédure qui n’est pas conforme à notre conception de la démocratie, nous n’irons pas au Congrès à Versailles pour la révision de la Constitution préalable à la ratification. Mais, après, au moment de la ratification [du traité au Parlement, ndlr] nous prendrons la responsabilité d’Européens que nous sommes.» C’est-à-dire de voter la ratification. Même si, a précisé Jean-Marc Ayrault, la «liberté de vote» sera de rigueur…
Symbolique. Subtile position, donc, quoique pas forcément des plus claires. Position essentiellement symbolique, surtout, puisque le boycott des socialistes ne menacera pas le moins du monde une révision constitutionnelle qui requiert une majorité des 3/5, et pour laquelle seuls les votes exprimés sont comptabilisés. Ce qui a fait bondir certains, tel Marc Dolez, membre de l’aile gauche du PS, qui refuse de «cautionner cette indigne complicité» et annonce qu’il se rendra à Versailles «pour voter non». «Alors qu’en votant non […] les parlementaires de gauche peuvent imposer au président le référendum dont il ne veut pas, le boycott revient à renier les engagements pris», estime le député du Nord.
Une ligne partagée par le PCF : «La cohérence, c’est d’aller à Versailles pour gagner ce droit au référendum. La majorité des 3/5 des parlementaires n’est pas impossible si aucune voix de gauche ne manque», selon Olivier Dartigolles, son porte-parole.
A l’arrivée, le traité de Lisbonne semble devoir empoisonner, pour quelque temps encore, les relations entre camarades. Un député résume : «On essaye de manière factice de rassembler. L’idée, c’est de ne pas étaler nos divisions en n’allant pas à Versailles.» Les socialistes pourront-ils s’empêcher de les étaler avant ?
C'est le PS, Inigin...Kakita Inigin a écrit :si ne pas voter (non ou abstention) c'est comme voter oui ... et s'ils sont prêts à voter le traité tout en refusant l voie parlementaire ... ils seraient pas un tout petit peu en train de faire n'importe quoi ?
Trois de mes joueurs y sont employés, l'un n'a pas été repris en fin de contrat (pasqu'il aurait fallu l'embaucher en CDI, lui offrir un salaire correct, des congés, etc. : mieux valait prendre un autre CDD) et les deux autres en chient avec des horaires à la con et une hiérarchie de merde. Les téléopérateurs sont les ouvriers de la société moderne, et ça a pas trop changé depuis Zola en fait.dont sur Reims, pour la plus grande joie de Ding On j'en suis sur
Dans le même temps, s'ils s'étaient un peu plus foulés pendant leurs études plutôt que de faire partis des perturbateurs de cours, ils auraient eu accès à de vrais boulots.Ding On a écrit :Trois de mes joueurs y sont employés, l'un n'a pas été repris en fin de contrat (pasqu'il aurait fallu l'embaucher en CDI, lui offrir un salaire correct, des congés, etc. : mieux valait prendre un autre CDD) et les deux autres en chient avec des horaires à la con et une hiérarchie de merde. Les téléopérateurs sont les ouvriers de la société moderne, et ça a pas trop changé depuis Zola en fait.