[Univers] Culture Lion
Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
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Irazetsu
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Imagine que ton adversaire est un lièvre qui saute partout grâce à sa technique... il y a bien un moment ou ses pirouettes vont l'amener derrière son adversaire ou au moins sur son flanc.
Il fallait donc des règles pour ça.
RAPPEL : Les ninja sortent tout droit des histoires pour faire peur aux enfants, ce sont des créatures monstrueuses qui mangent les petits garçons qui ne sont pas sages.
Les vrais ninja, ça n'existe pas !
Il fallait donc des règles pour ça.
RAPPEL : Les ninja sortent tout droit des histoires pour faire peur aux enfants, ce sont des créatures monstrueuses qui mangent les petits garçons qui ne sont pas sages.
Les vrais ninja, ça n'existe pas !
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matsu aiko
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Ashidaka Kenji
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tout à fait Aiko-san ces viles règles sont réservées aux bandits (comme je l'avais déjà enoncé 
)
par contre nul samouraï ne devrait être en position de les utiliser, le samouraï Usagi me semble déjà suffisamment doté en règles spéciales sans qu'on y ajoute celle-ci
quant aux chambarra pénombre-san, si tu y regarde de plus près extrêmement rares sont les fois où des bushi s'élancent en même temps contre le héros.
En général, ils s'élancent 1 par 1 (même s'il attaquent par derrière), et ils meurent très vite soit mais 1 par 1
(mon DVD de chevet est Baby cart dont j'ai revu exprès des extraits 
)
Kenji
)par contre nul samouraï ne devrait être en position de les utiliser, le samouraï Usagi me semble déjà suffisamment doté en règles spéciales sans qu'on y ajoute celle-ci
quant aux chambarra pénombre-san, si tu y regarde de plus près extrêmement rares sont les fois où des bushi s'élancent en même temps contre le héros.
En général, ils s'élancent 1 par 1 (même s'il attaquent par derrière), et ils meurent très vite soit mais 1 par 1
(mon DVD de chevet est Baby cart dont j'ai revu exprès des extraits )Kenji
qui a dit qu'un kakita n'était jamais un guerrier
La fuite n'est pas une option !
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Pénombre
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dans Baby Cart, notre héros y va à la mitrailleuse et son gamin au poignard escamotable alors bonjour l'exemple sur l'honneur
certes, mais les créatures monstrueuses qui mangent les petits enfants (et les grands aussi d'ailleurs), ça ne manque pas par contreRAPPEL : Les ninja sortent tout droit des histoires pour faire peur aux enfants, ce sont des créatures monstrueuses qui mangent les petits garçons qui ne sont pas sages.
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Ashidaka Kenji
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Doji Satori
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Dans Sanjuro par exemple, le héros fait face de multiples fois à plusieurs adversaires.
Il n'y a rien qui empèche chez moi d'attaquer à plusieurs contre un, dans le dos, de tendre des embuscades etc ... Cela fait partie de l'art de la guerre que de se mettre dans la meilleure position pour vaincre l'adversaire.
Il n'y a rien qui empèche chez moi d'attaquer à plusieurs contre un, dans le dos, de tendre des embuscades etc ... Cela fait partie de l'art de la guerre que de se mettre dans la meilleure position pour vaincre l'adversaire.
En cherchant la voie, vous trouverez le vide. Dans le vide est la force sans le mal.
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matsu aiko
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pour revenir aux Lions : légèrement hors-sujet mais cela m'a bien fait rire 
http://www.questionablecontent.net/view.php?comic=792
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Kakita Inigin
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matsu aiko
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Les maîtres-espions Ikoma
La nécessité du renseignement est clairement exprimée dans le ‘Commandement’ d’Akodo. « Envoyer votre armée à la bataille sans connaissance préalable des forces et des faiblesses de votre adversaire ne vous apportera aucune gloire ».
Ses modalités, en revanche, ne sont pas décrites, en tout cas pas dans les versions qui circulent couramment…mais on murmure que la grande Bibliothèque de Kyuden Ikoma en contient une version non expurgée.
Les maîtres-espions Ikoma sont une légende tenace mais qui, dans les esprits de la plupart des samurai du clan du Lion, reste juste cela : une légende, certainement propagée par les ennemis du Clan du Lion pour discréditer le Clan.
La meilleure preuve, c’est qu’aucune mention n’en est faite dans the Way of the Lion, et à peine quelques allusions dans les Secrets of…
On y cite ‘l’œil d’Ikoma’, la zone qui accueille voyageurs et diplomates à Kyuden Ikoma pour quelques jours avant leur rencontre avec les dirigeants du clan du Lion. Cette attente, étant, bien évidemment, mise à profit pour en apprendre le plus possible à leur sujet.
On y cite Ikoma Koriyito, ce courtisan amène qui organise des festivités raffinées au Pavillon des Chambres du Lion, à proximité de la fortresse Ikoma, où il invite certaines personnalités sur lesquelles le Clan du Lion souhaite garder l’œil. On apprend que c’est un des agents les plus débrouillards des Ikoma, qui utilise sa réputation de commère et d’hédoniste pour apprendre exactement ce qu’il a envie de savoir.
On apprend l’histoire d’Ikoma Sume, l’actuel daimyo de la famille Ikoma. Cet homme affable, habile conteur et diplomate aux manières parfaites, a largement contribué à la reconnaissance de l’utilité du renseignement. Il a développé un réseau d’espionnage à partir de ses contacts initiaux avec le petit groupe d’Ikoma suivant les enseignements secrets du premier Ikoma au dojo de l’honorable sacrifice. En contrôlant l’information, il est plus à même de protéger ceux qui sont vraiment honorables, parce que la vérité est à la fois une armure, et une arme.
Ikoma était tout sauf un idéaliste. Il a usé de ruse et de divers moyens subversifs pour lutter contre les ennemis du clan du Lion. Il a aussi encouragé ses descendants à l’imiter.
Et c’est à peu près tout ce qui est mentionné. De l’organisation des espions, de leurs méthodes, des enseignements du dojo de l’honorable sacrifice, de la façon dont une telle organisation peut subsister au sein même du clan le plus honorable de l’Empire, rien n’est dit.
Ce qui suit n’est en aucun cas une version officielle. Il s’agit juste d’une extrapolation, que je vous invite à corriger et/ou compléter le cas échéant.
Il existe bien un dojo tout à fait officiel de l’honorable sacrifice, situé à Toshi no Meiyo Gisei, la cité du même nom, mais il sert d’écran de fumée, et à l’occasion de centre de recrutement, pour celui des maîtres-espions, le seul qui importe.
“L’honorable sacrifice” a ici un sens bien particulier. Chacun des hommes et des femmes qui suivent son enseignement ont accepté, à un moment ou un autre, de sacrifier leur honneur si le clan l’exige. Ils servent le clan du Lion, d’une autre façon que la plupart des samouraï, et ce chemin est sans retour.
Ceux qui y viennent ne peuvent changer d’avis, ou échouer à suivre l’enseignement du dojo. Le secret est trop important. Se montrer faible ou incompétent est grimper de soi-même sur un bûcher funéraire.
Il y a là des hommes et des femmes de tous les âges et de toutes conditions, qui portent un autre nom pour la durée de leur séjour au dojo. Leur seul point commun est d’être intelligents, résolus et discrets. Tous, ils sont ici pour devenir des « agents vivants » au service du clan du Lion. Leur tâche ne sera jamais récompensée, ils ne se couvriront jamais de gloire. Mais c’est une tâche vitale, et difficile, parce qu’il leur faut apprendre à se cacher en pleine lumière, à faire le nécessaire sans jamais, jamais entacher la réputation du clan. Ceux d’entre eux qui deviendront diplomates sauront trouver les arguments pour en convaincre d’autres de servir le clan du Lion. Est-ce toujours par des moyens honorables ? Non, bien sûr. Mais y compris à l’intérieur du Clan du Lion, l’important est que les apparences le restent – de protéger, ainsi, ceux qui sont vraiment honorables.
Est-ce si différent de l’enseignement du Scorpion, on peut se le demander. Ceux qui suivent l’enseignement de ce dojo ne peuvent à l’évidence, être aussi honorables que la moyenne des samurai du Lion.
L’enseignement suivi a une partie classique : le sabre, l’art de la guerre, à tirer à l’arc, à combattre à cheval. Pour l’art de la guerre, sont enseignés des extraits du « Commandement » d’Akodo inconnus du reste des samurai du clan – certains faisant appel à des stratagèmes reposant sur la tromperie et la ruse, tout ce qui peut duper l’adversaire.
Tout est permis à la guerre. Et toutes les ruses de guerre peuvent servir dans d’autres cadres. Celui qui réussit à orienter la pensée de son adversaire dans la direction qu’il souhaite possède un avantage décisif. Le sommet de l’art de la guerre, c’est de vaincre sans combattre.
Le coeur de l'enseignement est l'observation et la psychologie humaine, qui permet d'anticiper les réactions des adversaires. Ces dons d'analyse sont appliqués au combat, de masse ou escarmouche, mais aussi à l'affrontement social, de façon à apprendre le maximum de choses d'un interlocuteur, voire à le provoquer pour qu'il agisse dans le sens attendu.
D’autres enseignements sont la comédie, le déguisement, la cryptographie, et cet art de l’humiliation par le verbe, si prisé à la cour : sadane.
La plupart des étudiants du dojo y restent quelques mois après les épreuves finales, se perfectionnant dans une spécialité (diplomatie, ‘service actif’, infiltration...), avant d’être affectés. Il est très rare d’être immédiatement envoyé en mission.
Ce qui leur est répété, encore et encore, c’est qu’une fois qu’ils seront partis du dojo ils seront seuls. S’ils sont mis en cause, le clan niera avoir toute connaissance de leurs actes. Sans mentir, bien sûr. Ces activités sont inconnues de la quasi-totalité des samouraïs du clan du Lion. Le Lion est un Clan expert dans l’art d’ignorer les choses embarrassantes. Bien que le renseignement soit indispensable, seules sont publiquement admises les missions de reconnaissance en temps de guerre.
Il leur faut cacher ce qu’ils sont, ce qu’ils savent, à tous, y compris à leurs proches, il leur faut vivre avec un masque plus étanche que ne l’a jamais été celui d’un Scorpion. Eux choisissent, finalement, la solution de facilité. Derrière leurs masques, ils peuvent être eux-mêmes – peut-être.
Les maitres-espions n’ont pas cette possibilité. Leur masque est celui du Lion, courageux, honorable, scrupuleux à l’extrême. Ce qui pour les autres samouraïs est une réalité quotidienne est pour eux une illusion indispensable. Faillir à la maintenir c’est insulter la réputation du clan, et, par-dessus tout, risquer d’échouer dans leur mission.
La nécessité du renseignement est clairement exprimée dans le ‘Commandement’ d’Akodo. « Envoyer votre armée à la bataille sans connaissance préalable des forces et des faiblesses de votre adversaire ne vous apportera aucune gloire ».
Ses modalités, en revanche, ne sont pas décrites, en tout cas pas dans les versions qui circulent couramment…mais on murmure que la grande Bibliothèque de Kyuden Ikoma en contient une version non expurgée.
Les maîtres-espions Ikoma sont une légende tenace mais qui, dans les esprits de la plupart des samurai du clan du Lion, reste juste cela : une légende, certainement propagée par les ennemis du Clan du Lion pour discréditer le Clan.
La meilleure preuve, c’est qu’aucune mention n’en est faite dans the Way of the Lion, et à peine quelques allusions dans les Secrets of…
On y cite ‘l’œil d’Ikoma’, la zone qui accueille voyageurs et diplomates à Kyuden Ikoma pour quelques jours avant leur rencontre avec les dirigeants du clan du Lion. Cette attente, étant, bien évidemment, mise à profit pour en apprendre le plus possible à leur sujet.
On y cite Ikoma Koriyito, ce courtisan amène qui organise des festivités raffinées au Pavillon des Chambres du Lion, à proximité de la fortresse Ikoma, où il invite certaines personnalités sur lesquelles le Clan du Lion souhaite garder l’œil. On apprend que c’est un des agents les plus débrouillards des Ikoma, qui utilise sa réputation de commère et d’hédoniste pour apprendre exactement ce qu’il a envie de savoir.
On apprend l’histoire d’Ikoma Sume, l’actuel daimyo de la famille Ikoma. Cet homme affable, habile conteur et diplomate aux manières parfaites, a largement contribué à la reconnaissance de l’utilité du renseignement. Il a développé un réseau d’espionnage à partir de ses contacts initiaux avec le petit groupe d’Ikoma suivant les enseignements secrets du premier Ikoma au dojo de l’honorable sacrifice. En contrôlant l’information, il est plus à même de protéger ceux qui sont vraiment honorables, parce que la vérité est à la fois une armure, et une arme.
Ikoma était tout sauf un idéaliste. Il a usé de ruse et de divers moyens subversifs pour lutter contre les ennemis du clan du Lion. Il a aussi encouragé ses descendants à l’imiter.
Et c’est à peu près tout ce qui est mentionné. De l’organisation des espions, de leurs méthodes, des enseignements du dojo de l’honorable sacrifice, de la façon dont une telle organisation peut subsister au sein même du clan le plus honorable de l’Empire, rien n’est dit.
Ce qui suit n’est en aucun cas une version officielle. Il s’agit juste d’une extrapolation, que je vous invite à corriger et/ou compléter le cas échéant.
Il existe bien un dojo tout à fait officiel de l’honorable sacrifice, situé à Toshi no Meiyo Gisei, la cité du même nom, mais il sert d’écran de fumée, et à l’occasion de centre de recrutement, pour celui des maîtres-espions, le seul qui importe.
“L’honorable sacrifice” a ici un sens bien particulier. Chacun des hommes et des femmes qui suivent son enseignement ont accepté, à un moment ou un autre, de sacrifier leur honneur si le clan l’exige. Ils servent le clan du Lion, d’une autre façon que la plupart des samouraï, et ce chemin est sans retour.
Ceux qui y viennent ne peuvent changer d’avis, ou échouer à suivre l’enseignement du dojo. Le secret est trop important. Se montrer faible ou incompétent est grimper de soi-même sur un bûcher funéraire.
Il y a là des hommes et des femmes de tous les âges et de toutes conditions, qui portent un autre nom pour la durée de leur séjour au dojo. Leur seul point commun est d’être intelligents, résolus et discrets. Tous, ils sont ici pour devenir des « agents vivants » au service du clan du Lion. Leur tâche ne sera jamais récompensée, ils ne se couvriront jamais de gloire. Mais c’est une tâche vitale, et difficile, parce qu’il leur faut apprendre à se cacher en pleine lumière, à faire le nécessaire sans jamais, jamais entacher la réputation du clan. Ceux d’entre eux qui deviendront diplomates sauront trouver les arguments pour en convaincre d’autres de servir le clan du Lion. Est-ce toujours par des moyens honorables ? Non, bien sûr. Mais y compris à l’intérieur du Clan du Lion, l’important est que les apparences le restent – de protéger, ainsi, ceux qui sont vraiment honorables.
Est-ce si différent de l’enseignement du Scorpion, on peut se le demander. Ceux qui suivent l’enseignement de ce dojo ne peuvent à l’évidence, être aussi honorables que la moyenne des samurai du Lion.
L’enseignement suivi a une partie classique : le sabre, l’art de la guerre, à tirer à l’arc, à combattre à cheval. Pour l’art de la guerre, sont enseignés des extraits du « Commandement » d’Akodo inconnus du reste des samurai du clan – certains faisant appel à des stratagèmes reposant sur la tromperie et la ruse, tout ce qui peut duper l’adversaire.
Tout est permis à la guerre. Et toutes les ruses de guerre peuvent servir dans d’autres cadres. Celui qui réussit à orienter la pensée de son adversaire dans la direction qu’il souhaite possède un avantage décisif. Le sommet de l’art de la guerre, c’est de vaincre sans combattre.
Le coeur de l'enseignement est l'observation et la psychologie humaine, qui permet d'anticiper les réactions des adversaires. Ces dons d'analyse sont appliqués au combat, de masse ou escarmouche, mais aussi à l'affrontement social, de façon à apprendre le maximum de choses d'un interlocuteur, voire à le provoquer pour qu'il agisse dans le sens attendu.
D’autres enseignements sont la comédie, le déguisement, la cryptographie, et cet art de l’humiliation par le verbe, si prisé à la cour : sadane.
La plupart des étudiants du dojo y restent quelques mois après les épreuves finales, se perfectionnant dans une spécialité (diplomatie, ‘service actif’, infiltration...), avant d’être affectés. Il est très rare d’être immédiatement envoyé en mission.
Ce qui leur est répété, encore et encore, c’est qu’une fois qu’ils seront partis du dojo ils seront seuls. S’ils sont mis en cause, le clan niera avoir toute connaissance de leurs actes. Sans mentir, bien sûr. Ces activités sont inconnues de la quasi-totalité des samouraïs du clan du Lion. Le Lion est un Clan expert dans l’art d’ignorer les choses embarrassantes. Bien que le renseignement soit indispensable, seules sont publiquement admises les missions de reconnaissance en temps de guerre.
Il leur faut cacher ce qu’ils sont, ce qu’ils savent, à tous, y compris à leurs proches, il leur faut vivre avec un masque plus étanche que ne l’a jamais été celui d’un Scorpion. Eux choisissent, finalement, la solution de facilité. Derrière leurs masques, ils peuvent être eux-mêmes – peut-être.
Les maitres-espions n’ont pas cette possibilité. Leur masque est celui du Lion, courageux, honorable, scrupuleux à l’extrême. Ce qui pour les autres samouraïs est une réalité quotidienne est pour eux une illusion indispensable. Faillir à la maintenir c’est insulter la réputation du clan, et, par-dessus tout, risquer d’échouer dans leur mission.
Dernière modification par matsu aiko le 27 févr. 2007, 20:09, modifié 1 fois.
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Ashidaka Kenji
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très intéressante conception des maîtres-espions, pas si différents finalement des chiens de meute Daidoji
il existe quand même certains indices sur leur enseignement et la philosophie qui soutend tout cela et ces indices on les retrouve dans l'étude de leurs techniques.
la base de leur enseignement est l'observation et la psychologie humaine (appelée manipulation à L5A) qui leur permet d'anticiper les réactions de leurs adversaires, socialement et militairement
vient ensuite une spécialisation dans une compétence : les maîtres-espions forment des "spécialistes" dans de nombreux domaines.
puis ils développent encore leurs dons d'analyse pour les utiliser en combat (de masse ou escarmouche)
après vient l'analyse des adversaires dans un affrontement social, les maîtres-espions sont presque aussi bons que les courtisans Bayushi pour apprendre des choses sur un interlocuteurs (ce qui laisse à réfléchir)
enfin, par le verbe ils apprennent à courroucer un ennemi qui agira sottement et en conformité avec ce que le maître-espion attend de lui (encore une technique proche de celle des Scorpion)
évidemment leur honneur risque de ne pas être à la hauteur de celui de leurs cousins bushi et courtisans (tiens comme les Daidoji )
Kenji
il existe quand même certains indices sur leur enseignement et la philosophie qui soutend tout cela et ces indices on les retrouve dans l'étude de leurs techniques.
la base de leur enseignement est l'observation et la psychologie humaine (appelée manipulation à L5A) qui leur permet d'anticiper les réactions de leurs adversaires, socialement et militairement
vient ensuite une spécialisation dans une compétence : les maîtres-espions forment des "spécialistes" dans de nombreux domaines.
puis ils développent encore leurs dons d'analyse pour les utiliser en combat (de masse ou escarmouche)
après vient l'analyse des adversaires dans un affrontement social, les maîtres-espions sont presque aussi bons que les courtisans Bayushi pour apprendre des choses sur un interlocuteurs (ce qui laisse à réfléchir)
enfin, par le verbe ils apprennent à courroucer un ennemi qui agira sottement et en conformité avec ce que le maître-espion attend de lui (encore une technique proche de celle des Scorpion)
évidemment leur honneur risque de ne pas être à la hauteur de celui de leurs cousins bushi et courtisans (tiens comme les Daidoji
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matsu aiko
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Ashidaka Kenji
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matsu aiko
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Bayushi Ryumi
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