Oui vous avez deviné, il s'agit du
CONCOURS DE SCENARIO acte III de la Voix de Rokugan.
Approximativement, il se déroulera sur avril - mai - juin, avec correction pendant l'été.
Les critères seront revus pour plus d'objectivité.
Le thème ... ... ... pour plus d'égalité entre les participants, il ne sera dévoilé que le jour du lancement du concours. Mais, afin qu'il plaise à tous, je vous invite à un brainstorming à son sujet : nous voulons faire une liste d'une dizaine depropositions, à charge au jury de choisr le thème final.
A toutes fins utiles, vous pouvez trouver ci-dessous les amorces de thème utilisé l'an dernier. le débat est ouvert !
Le cardinal de Richelieu voxien a écrit :• Le groupe :
Il s’agit d’imposer un groupe de joueurs ou une configuration précise. Sans obliger l’utilisation de certains pré-tirés, il s’agirait plutôt « d’enfermer » le groupe de joueur dans une organisation. Par exemple, tous font partis d’une caravane, ou de la Kaitô (cf. le scénario d’Iraz’ et de Matsuura), le groupe est composé d’un magistrat d’Émeraude et de ses yorikis, ce sont des émissaires de paix, etc…
Avantage : si le groupe amène une grande liberté (comme l’idée de la caravane Miya d’Akae), alors les scénarios, sans être similaires, peuvent aisément être joués par le même groupe de personnages.
Désavantage : si le groupe est fermé (comme la Kaitô), il cloisonne le type même de scénario possible (scénario du type mission, généralement) voire des raisons de son intervention.
• Le lieu :
Tous les scénarios se dérouleront dans le même lieu, ou dans un cadre de jeu ayant les mêmes configurations. En insérant un cadre de jeu fixe, la différence sera plus fine et permet aisément de passer d’un scénario à un autre.
Avantage : Si le lieu n’est pas trop défini (du genre en trois mots), il peut tout de même donner lieu à des divergences et d’interprétations. Les scénarios peuvent être variés. Il peut s’agir du « château Togashi », d’ « un village en bord de mer », « la montagne », etc.
Désavantage : Si le lieu est trop précis, cela handicape ceux ne possédant pas les ouvrages où le lieu est détaillé.
• L’évènement :
Le scénario est libre si ce n’est qu’en toile de fond se passe un évènement. Ce dernier doit être inséré dans le scénario mais n’est pas nécessairement en premier plan. Il peut s’agir d’une caravane licornes passant dans la province. Le scénario peut se focaliser sur le problème posé par cette caravane ; l’utiliser en tant que fausse piste ; simplement l’évoquer ; proposer une alternative pour la conclusion du scénario ; servir de prétexte au déclenchement ou à un bouleversement… Cela pourrait aussi être « une guerre entre deux clans pour X raisons », « une cour d’hiver à Kyuden Matsu, alors que tel conflit politique (ou non) à lieu », « une sécheresse », « des rapports angoissants du clan du Crabe qui demande des supports, démesuré aux yeux d’autres clans », etc. Ils peuvent être plus ou moins détaillés.
Avantage : Si le concept est étiré au maximum avec ce qui est possible, les scénarios peuvent être réellement différents et pourtant posséder une même toile de fond.
Désavantage : Un manque d’originalité dans les scénarios proposés (en se focalisant trop sur l’évènement) soit une utilisation purement facultative en y recourant par un détour (« ah oui, au fait, y’a ça aussi, mais on s’en fout »).
• Le thème :
Le plus courant. Il s’agit de donner un thème, une ambiance, un élément à prendre en compte, qui serait sous-jacent et présent dans le scénario. Cela peut être vaste et pris au sens premier ou allégorique comme le serait une saison (l’automne, l’hiver, le printemps…) ; cela peut être intéressant pour forcer à créer des scénarios sur des points trop souvent occultés (le fofklore rokugani, bien qu’omniprésent dans la vie rokugani peu sont ceux qui l’utilise réellement et font des shugenja autre chose que des simples lanceurs de sorts).
Avantage : Si le thème est vaste, il permet de faire des scénarios très différents et amener à se pencher sur des ambiances ou des points de jeu particuliers.
Désavantage : Si le thème est trop précis ou trop central (la trahison, la guerre, etc.), cela fait un recueil où les scénarios vont probablement bien trop se ressembler.
• Libre
Solution « de dépit ». Il s’agirait de refaire un concours où le scénario serait totalement libre. Le principal problème sera que les scénarios seront pour la plupart des vieux ressortis de derrière les fagots. Bien que s’ils sont réellement bons, ils méritent d’être publiés, toutefois l’intérêt est moindre car l’auteur se repose sur ce qui est déjà fait et cela ne participe pas à l’animation de la vie du jeu. Nous risquons de tourner en rond autrement.