je cherche un bon parcours zen avec des épreuves élémentaire surtout vide , voir carrément théologique des idées?
découpé par exemple en
- épreuve élément au choix (voir une de chaque)
- épreuve vide
-épreuve fortunes
-épreuve tao
épreuve zen
Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
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Irazetsu
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Je suppose que c'est pour tes PJs ?
Je t'invite à te procurer le second recueil de scénarios de la Voix de Rokugan : Matsuri (tu peux le commander dans la colonne de droite).
Il contient 9 excellents scénarios + le mien que je te laisserai le soin de juger par toi même
"Festival de nouilles" propose aux PJ d'accompagner un apprenti dans un parcours initiatique à la recherche d'un vieux maître cuisinier, pour sauver la réputation du daimyo des PJ.
Si tu deviens membre de l'asso, tu pourras aussi télécharger le premier recueil et tu fera surtout un bon geste, en permettant à l'association de continuer sur sa lancée car le 3ème recueil est en cours !
Je t'invite à te procurer le second recueil de scénarios de la Voix de Rokugan : Matsuri (tu peux le commander dans la colonne de droite).
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Buy less, play more !
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Pénombre
- Magistrat d émeraude
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- Localisation : Dans ma tête, mais des fois j'ai un doute...
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Me semble qu'il y a un exemple d'épreuves physiques et mystiques par élément dans un des Living Rokugan
Tu as aussi le principe des Keepers of the Five Rings que le descendant de Shinsei institue dans 4 vents
Après, tu as aussi le bon vieux coup de "allez à Kyuden Togashi si vous en êtes capables" et la métaphore de Togashi "l'illumination s'atteint en trois pas : le premier tue tes parents, le second tue ton maître et le troisième te tue toi". Elle est expliquée dans Voie du Dragon. Il te faut juste leur mettre un ise-zumi dans les pattes, qui leur serve d'interlocuteur et de passeur d'épreuve.
Par exemples :
- le premier pas consiste à renoncer à accorder de l'importance à ton nom, ton clan, ton statut de samurai : toute épreuve obligeant le personnage à faire ce qu'un samurai ne fait pas (comme de couper lui-même le bois pour le feu, ou laisser sa place à un vieux paysan, pas la peine de faire dans l'outré, ça n'est que le premier pas...). Par extension, laisser tomber les rivalités et fiertés claniques aussi, par exemple, si tu es un Matsu et que tu vas apporter ton aide à un Kakita...
- le second consiste à ne pas faire ce que ton entrainement et ta formation te poussent à faire : ne pas user de violence alors que tu en as le droit, laisser un ennemi de ton école te critiquer, agir comme un être humain et non un samurai, ne pas attacher plus d'importance à ton sabre qu'à la vie d'un autre homme. Ce sont des épreuves plus difficiles car basés sur des préjugés bien plus personnels.
- le troisième pas revient fondamentalement à dire "renonces à ce que tu es pour devenir vraiment toi-même". C'est à dire que dans une perspective de jeu, il n'est pas obligatoire que les personnages le franchissent. Qu'ils échouent là ne signifie pas qu'ils aient totalement échoué, juste qu'ils n'ont pas totalement réussi. Totalement réussir, dans l'absolu c'est se pointer devant la porte de Kyuden Togashi, poser ses sabres, renoncer à son nom, se raser le crâne et dire "je suis prêt".
Ben oui, c'est ça d'arriver au bout du chemin : après, tu n'es plus le même
Après, en plus soft, tu as le bon vieux coup des métaphores Vorlon/Shadows de Babylon 5 qui crispe beaucoup les joueurs aussi. Ca repose sur deux questions connes qui sont :
- Qui êtes vous ?
- Que voulez vous ?
* Qui êtes vous ?
Dans le contexte, ça signifie "quelle est ta place, qui sers tu, pourquoi, penses tu vraiment que ça fasse une différence ?
* Que voulez vous ?
Quels sont tes désirs, qu'est ce qui permet d'avoir barre sur toi, jusqu'au es tu prêt à aller pour les assouvir ?
les réponses qui vont dans le sens de "je sers sans me soucier de ma gloire" ou "si je tombe, un autre prendra ma place", ou encore "ce que je veux n'a pas d'importance, seul ce que je fais compte" et autres "l'important n'est pas de mourir pour son clan mais de bien mourir pour son clan" vont dans la bonne direction.
elles sont simples, mais si tu connais assez bien tes joueurs et leurs persos, rappelle leur que ça n'est pas de dire une réponse qui compte, c'est qu'elle correspondent aux actes passés et aux intentions de son auteur. Le but, c'est l'illumination, pas l'apparence de l'illumination Donc, le courtisan mégalo qui te dit "ce que je veux n'a pas d'importance" a droit à une ou deux questions subsidiaires, juste pour le tester. S'il franchit cette épreuve, alors sois ferme et attends de lui qu'il change de comportement
le souci n'est pas tant de trouver/inventer une épreuve à mon sens. C'est de savoir si tu veux leur imposer un charabia mystique, ou donner vraiment à un joueur la possibilité - s'il décide de la prendre - de changer plus ou moins radicalement les attentes et les objectifs de son personnage. Un choix qui peut être lourd de conséquences d'ailleurs. Le bushi poutré d'honneur qui arrive devant la porte de Kyuden Togashi et dit "je suis prêt", c'est énorme en termes de roleplay si c'est bien amené. Mais après, quid de son statut, de son allégeance, de son clan, de son seigneur, de son épouse, de ses amis, de ses vassaux, des problèmes en cours ou à venir
Bref, à mon sens, peu importe l'épreuve, le tout est de savoir ce que ça doit vraiment changer pour eux s'ils réussissent et comment tu intégreras le fait qu'ils ne sont plus vraiment les mêmes personnes qu'avant dans ce cas.
sachant que si le reste du monde respectera pour la forme les décisions les plus radicales de tes joueurs si elles sont publiquement admises comme allant dans le sens de la quête de l'illumination, c'est pas dit que - selon leur importance dans le clan ou les attentes envers eux - on le leur fasse pas payer d'une façon ou d'une autre.
Ne mets pas la barre trop haut, parce que, échec ou réussite, si l'enjeu est important, le résultat est toujours lourd de conséquences pour chaque personnage impliqué.
Tu as aussi le principe des Keepers of the Five Rings que le descendant de Shinsei institue dans 4 vents
Après, tu as aussi le bon vieux coup de "allez à Kyuden Togashi si vous en êtes capables" et la métaphore de Togashi "l'illumination s'atteint en trois pas : le premier tue tes parents, le second tue ton maître et le troisième te tue toi". Elle est expliquée dans Voie du Dragon. Il te faut juste leur mettre un ise-zumi dans les pattes, qui leur serve d'interlocuteur et de passeur d'épreuve.
Par exemples :
- le premier pas consiste à renoncer à accorder de l'importance à ton nom, ton clan, ton statut de samurai : toute épreuve obligeant le personnage à faire ce qu'un samurai ne fait pas (comme de couper lui-même le bois pour le feu, ou laisser sa place à un vieux paysan, pas la peine de faire dans l'outré, ça n'est que le premier pas...). Par extension, laisser tomber les rivalités et fiertés claniques aussi, par exemple, si tu es un Matsu et que tu vas apporter ton aide à un Kakita...
- le second consiste à ne pas faire ce que ton entrainement et ta formation te poussent à faire : ne pas user de violence alors que tu en as le droit, laisser un ennemi de ton école te critiquer, agir comme un être humain et non un samurai, ne pas attacher plus d'importance à ton sabre qu'à la vie d'un autre homme. Ce sont des épreuves plus difficiles car basés sur des préjugés bien plus personnels.
- le troisième pas revient fondamentalement à dire "renonces à ce que tu es pour devenir vraiment toi-même". C'est à dire que dans une perspective de jeu, il n'est pas obligatoire que les personnages le franchissent. Qu'ils échouent là ne signifie pas qu'ils aient totalement échoué, juste qu'ils n'ont pas totalement réussi. Totalement réussir, dans l'absolu c'est se pointer devant la porte de Kyuden Togashi, poser ses sabres, renoncer à son nom, se raser le crâne et dire "je suis prêt".
Ben oui, c'est ça d'arriver au bout du chemin : après, tu n'es plus le même
Après, en plus soft, tu as le bon vieux coup des métaphores Vorlon/Shadows de Babylon 5 qui crispe beaucoup les joueurs aussi. Ca repose sur deux questions connes qui sont :
- Qui êtes vous ?
- Que voulez vous ?
* Qui êtes vous ?
Dans le contexte, ça signifie "quelle est ta place, qui sers tu, pourquoi, penses tu vraiment que ça fasse une différence ?
* Que voulez vous ?
Quels sont tes désirs, qu'est ce qui permet d'avoir barre sur toi, jusqu'au es tu prêt à aller pour les assouvir ?
les réponses qui vont dans le sens de "je sers sans me soucier de ma gloire" ou "si je tombe, un autre prendra ma place", ou encore "ce que je veux n'a pas d'importance, seul ce que je fais compte" et autres "l'important n'est pas de mourir pour son clan mais de bien mourir pour son clan" vont dans la bonne direction.
elles sont simples, mais si tu connais assez bien tes joueurs et leurs persos, rappelle leur que ça n'est pas de dire une réponse qui compte, c'est qu'elle correspondent aux actes passés et aux intentions de son auteur. Le but, c'est l'illumination, pas l'apparence de l'illumination
Donc, le courtisan mégalo qui te dit "ce que je veux n'a pas d'importance" a droit à une ou deux questions subsidiaires, juste pour le tester. S'il franchit cette épreuve, alors sois ferme et attends de lui qu'il change de comportement le souci n'est pas tant de trouver/inventer une épreuve à mon sens. C'est de savoir si tu veux leur imposer un charabia mystique, ou donner vraiment à un joueur la possibilité - s'il décide de la prendre - de changer plus ou moins radicalement les attentes et les objectifs de son personnage. Un choix qui peut être lourd de conséquences d'ailleurs. Le bushi poutré d'honneur qui arrive devant la porte de Kyuden Togashi et dit "je suis prêt", c'est énorme en termes de roleplay si c'est bien amené. Mais après, quid de son statut, de son allégeance, de son clan, de son seigneur, de son épouse, de ses amis, de ses vassaux, des problèmes en cours ou à venir
Bref, à mon sens, peu importe l'épreuve, le tout est de savoir ce que ça doit vraiment changer pour eux s'ils réussissent et comment tu intégreras le fait qu'ils ne sont plus vraiment les mêmes personnes qu'avant dans ce cas.
sachant que si le reste du monde respectera pour la forme les décisions les plus radicales de tes joueurs si elles sont publiquement admises comme allant dans le sens de la quête de l'illumination, c'est pas dit que - selon leur importance dans le clan ou les attentes envers eux - on le leur fasse pas payer d'une façon ou d'une autre.
Ne mets pas la barre trop haut, parce que, échec ou réussite, si l'enjeu est important, le résultat est toujours lourd de conséquences pour chaque personnage impliqué.
On dirait Ding On avec QinIrazetsu a écrit :Je suppose que c'est pour tes PJs ?
Je t'invite à te procurer le second recueil de scénarios de la Voix de Rokugan : Matsuri
Etc. Etc.
Nan, mais c'est vrai faut acheter Matsuri
Tu cherches des exemples précis d'épreuves c'est ça?
Il y en a dans le scénar de la Voie du Phénix si je ne m'abuse... Bon elles ne sont pas mirifiques hein mais bon ça dépend ce que tu cherches précisément.
Flood Thunder - Koan jin'rai
Mille ans pour régner
L'éternité pour briller
Ma vie pour servir
Mille ans pour régner
L'éternité pour briller
Ma vie pour servir
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Togashi Dôgen
Est-ce un avion ? Est-ce un oiseau ? Non, c'est un moine tatoué qui saute d'une montagne ! Ouah ! C'est super Dôôôôôôgen !!! >.<"je cherche un bon parcours zen avec des épreuves élémentaire surtout vide , voir carrément théologique des idées?
Ahem... Excusez moi pour ce spectacle lamentable, ça faisait un moment que j'attendais de la sortir...
Bref, euh... Pénombre-sama a dis beaucoup, déjà et c'est très bien.
Je rajouterais seulement que dans le zen, on distingue trois étapes (celles des Ise Zumi sont une sorte de remaniement, mais elles ont globalement le même sens, sauf qu'il faut comprendre dans le sens ou le zen est une religion pour guerrier).
-Le lettré : en tant qu'érudit, on peut savoir beaucoup de choses, mais sagesses et savoir sont deux choses différentes. Les actions du Lettré, de l'érudit, sont gênées par ses pensées, son doute, ses incertitudes...
-Le guerrier : le guerrier peut devenir très fort, et il surmonte une partie des doutes du Lettré. Mais il est fatalement destiné à trouver lus fort que lui même.
-Le Bouddha : le sens de cette étape ne peut être compris que par zazen, une intense pratique spirituelle. Ce n'est pas quelque chose qui s'explique avec les mots. Comme l'expliquait maitre Taisen Deshimaru, si quelqu'un entend littéralement les mots, il sera perdu et n'atteindra pas le satori dans cette vie.
Tu peux aussi leur dire des koan zen, comme en réalité le sens des koan varie peu, on peut se répéter sans problème. Ainsi, j'ai réussi à m'en sortir pendant toute une partie avec seulement deux koan : Shiki soku ze ku (les phénomènes ne sont pas différents du Vide) et "A univers libre, esprit libre".
La consigne traditionnelle du zen est assez simple : le maître zen répond par on bâton, le geste, le silence, le koan ou l'ordre de continuer zazen.
Enfin, je te recommanderais de lire le webzine de la Voix, numéro consacrée aux moines.
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seppun yori
- Hyakusho
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merci pénombre et les autres
pour les vorlons bah ça va être dur .
vue que je leurs est déjà fait la voie du milieu a star wars (pas d20 soyons correct) avec les formules rangers et tout se qui va avec ( la colère est en toi tu dois pas la bannir tu dois l apprivoiser le contrôler pour mieux l utiliser,... on se trouve entre l ombre et la lumière, ect..) bref de très bon credo qui donne un truc intéressant dans un jeu ou il y as que deux coté^^ca en fait des points du coté obscur
que j ai repris les épisodes de babylon 5 pour faire une campagne jdr avec les règles de mektonz . pas fini mais les vorlons on eu le temps e bien ennervé mes joueurs (ansi que les autres extra terresstre ) les violets ! les verts! est terrible a mettre dans les pates d un joueur si tu te souviens.
enfin bon! je diverge la.
je cherche plus quelque chose a faire en une journée au cour du tournoi, mais je dois avoir de quoi faire avec vos réponse j ai de nouvelles idées.
pour toutes dépense de eurokoku je me focalise pour l instant sur les livres de la 3 eme éditions qu il me manque mais après
pour les vorlons bah ça va être dur .
vue que je leurs est déjà fait la voie du milieu a star wars (pas d20 soyons correct) avec les formules rangers et tout se qui va avec ( la colère est en toi tu dois pas la bannir tu dois l apprivoiser le contrôler pour mieux l utiliser,... on se trouve entre l ombre et la lumière, ect..) bref de très bon credo qui donne un truc intéressant dans un jeu ou il y as que deux coté^^ca en fait des points du coté obscur
que j ai repris les épisodes de babylon 5 pour faire une campagne jdr avec les règles de mektonz . pas fini mais les vorlons on eu le temps e bien ennervé mes joueurs (ansi que les autres extra terresstre ) les violets ! les verts! est terrible a mettre dans les pates d un joueur si tu te souviens.
enfin bon! je diverge la.
je cherche plus quelque chose a faire en une journée au cour du tournoi, mais je dois avoir de quoi faire avec vos réponse j ai de nouvelles idées.
pour toutes dépense de eurokoku je me focalise pour l instant sur les livres de la 3 eme éditions qu il me manque mais après
katana
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Pénombre
- Magistrat d émeraude
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- Inscription : 28 juil. 2003, 10:07
- Localisation : Dans ma tête, mais des fois j'ai un doute...
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me souviens très bienseppun yori a écrit : les violets ! les verts! est terrible a mettre dans les pates d un joueur si tu te souviens.
Drazi vert : "mais sur terre, vous aviez pas des gens qui se battaient pour des histoires de drapeau ? C'est la même chose !"
Ivanova : "NON, c'est pas la même chose !!"
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Togashi Dôgen
Si tu cherche quelque chose de zen, ce n'est pas ça du tout... ^^la colère est en toi tu dois pas la bannir tu dois l apprivoiser le contrôler pour mieux l utiliser,...
Il ne faut pas contrôlé la colère, ni y céder. Par zazen, il faut se réfugier dans "la demeure du moine-ermite, au lieu où l'on entend le bruit des vaches, paisible et heureux sous le grand pin." Autrement dit, on doit être comme une montagne qui laisse passer au-dessus d'elle les nuages de ses pensées et de ses émotions, sans avoir a intervenir. Ne pas y penser, et les laisser partir... toutes seules.
C'est ce que l'on apprend à faire par le zazen (et qu'on ne peut apprendre autrement, d'ailleurs, nombre de penseurs occidentaux ont essayés de "stopper le cours de leurs pensées" et s'y sont cassés les dents, par ce qu'il ne pratiquaient pas la méditation, et ont déclarés séance tenante que c'était donc impossible).
Autre chose, le webzine de la Voix de Rokugan est gratuit, lui.
... Enfin non, si tu es extrêmement capitaliste et que pour toi, le temps c'est de l'argent, tu risque d'y perdre pas mal, grâce à son riche contenu. ^^
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seppun yori
- Hyakusho
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Ioum
- Criminel
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- Inscription : 10 févr. 2009, 09:42
- Localisation : Fort heureusement, ça dépend.
Ca n'est sans doute pas très "zen", mais les épreuves élémentaires peuvent donner lieu à un scénario très original...
En postulat de départ, tu as un certain mysticisme ; on ne sait pas pourquoi, mais le moine qui fait passer les épreuves a une certaine idée du futur proche. L'épreuve est en fait une série de situations dans laquelle tu plonges ton/tes PJ(s). Chaque situation se résouds par une application de la philosophie d'un des quatre anneaux. Suivant l'expérience de tes joueurs, tu peux faire les épreuves dans un sens aléatoire, ou leur indiquer dans quel ordre quel anneau leur permettra de s'en sortir.
Je ne sais pas si je suis très clair, donc un exemple ;
La première épreuve concerne la Terre. La force de la terre se compare à celle de la montagne, quel que soit ce qui t'arrives, tu dois l'endurer pour qu'à la fin tu sois le seul à rester. Si tes PJs aiment bien se battre, tu peux créer un combat dans lequel seule cette philosophie leur permets de survivre. Sinon, on peut imaginer que tes PJs doivent se rendre dans un temple très haut dans la montagne, et sur le chemin ils devront résister aux mauvaises conditions climatiques/ aux insultes d'un samuraï présomptueux qui pourrait les retarder/ à des tentations diverses et variées.
En relisant le passage dans le bouquin de base qui décrit chaque anneau ( juste avant la description des traits ), il est facile de cerner le "but" de chaque anneau.
Pour le Vide, les autres ont répondu mieux que moi.
En postulat de départ, tu as un certain mysticisme ; on ne sait pas pourquoi, mais le moine qui fait passer les épreuves a une certaine idée du futur proche. L'épreuve est en fait une série de situations dans laquelle tu plonges ton/tes PJ(s). Chaque situation se résouds par une application de la philosophie d'un des quatre anneaux. Suivant l'expérience de tes joueurs, tu peux faire les épreuves dans un sens aléatoire, ou leur indiquer dans quel ordre quel anneau leur permettra de s'en sortir.
Je ne sais pas si je suis très clair, donc un exemple ;
La première épreuve concerne la Terre. La force de la terre se compare à celle de la montagne, quel que soit ce qui t'arrives, tu dois l'endurer pour qu'à la fin tu sois le seul à rester. Si tes PJs aiment bien se battre, tu peux créer un combat dans lequel seule cette philosophie leur permets de survivre. Sinon, on peut imaginer que tes PJs doivent se rendre dans un temple très haut dans la montagne, et sur le chemin ils devront résister aux mauvaises conditions climatiques/ aux insultes d'un samuraï présomptueux qui pourrait les retarder/ à des tentations diverses et variées.
En relisant le passage dans le bouquin de base qui décrit chaque anneau ( juste avant la description des traits ), il est facile de cerner le "but" de chaque anneau.
Pour le Vide, les autres ont répondu mieux que moi.
Pourquoi j'ai un "katana" en signature ?
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Togashi Dôgen
Et j'y pense, tu trouveras le Tao de Shinsei dans la Bibliothèque Céleste. Je l'avais oublié... C'est moi qui l'ais posté en plus...
PS : Je suis d'accord avec Ioum... Et comme je disais dans un autre topic au titre oublié dans un recoin de ma mémoire : comme je le disais, plus on avance dans un anneau, plus on comprend sa philosophie.
PS : Je suis d'accord avec Ioum... Et comme je disais dans un autre topic au titre oublié dans un recoin de ma mémoire : comme je le disais, plus on avance dans un anneau, plus on comprend sa philosophie.