La saga Cruchot n'est pas finie, en partie à cause du manque de temps, mais aussi par ce que j'ai d'autres récits à faire qui m'intéresse davantage pour l'instant.

Adepte Philipus Cruchot
« Je suis Philipus Cruchot, lieutenant dans l’adeptus arbites d’Ha Long, au service de la CIA et de l’Empereur et un jour, je serai prévot-maréchal de l'adeptus arbites, j'ai les cheveux brun coupé court et mon sexe mesure *bip* ». Voila ce que se disait l’arbites Cruchot, quand la femme avec laquelle il avait dormi dans ce lit pendant toute la nuit, le sortit de sa torpeur par quelques caresses sensuelles, sur ses larges épaules de brutes de l’arbites (entre autres).
En effet, Cruchot était, comme tous les arbites, grand, baraqué, inflexible, cheveux courts, doué pour résonner de manière à rendre les gens perplexe, et tous les matins, il répètent sempiternellement sa litanie pour se rappeler qui il est et quels sont ses objectifs et devoirs dans le vie. Voila ce qu’est, en somme, un membre de l’adeptus arbites. Cruchot en était l’archétype, il dégageait cette impression de joie juvénile, ce petit sourire narquois et ses manies de brute épaisse sur d’elle au sujet du fait que personne ne répliquera à ses coups de matraques de force.
Si bien que Cruchot ne s’en privait pas, et distribuait des coups de matraques à tout le monde : les hérétiques, les présumés hérétiques, les suspects, les passants, les vieillards, les femmes qui l’envoie balader, les prêtres, les marines qui font pas attention, les orks (quand il en voit), les cadets des gardes impériaux (pour lui, tout le monde est cadet dans la garde), les autres arbites (moins fort que lui de préférence) et même ses supérieurs ! Vous l’aurez compris, Cruchot n’est pas le plus subtile des arbites (Déja qu'un arbites sur 100 connaît ce mot...) !
Quand il se réveillait, d’ordinaire, il donnait un grand coup de matraque, au pifomètre, si bien que ses supérieurs lui demandèrent de calmer cette obsession matraqueuse, au moins de trouver une solution provisoire pour que des gens ne soient pas retrouvés estropiés du nez ou des bras, des jambes, ect, de bon matin.
Alors, Cruchot dut crier trois fois : « Gare à la matraque de force ! »
Puis, comme c’était trop long, il raccourcit en disant : « Gare à la jitte ! » (Matraque en bois et en fer utilisé sur Ha Long)
Puis, il ne le dit plus que deux fois, puis une seule fois, puis, il donnait trois coups au lieu d’un ! Comme l’arbites à la matraque sanglante ne pouvait être arrêté, ses supérieurs le rétrogradèrent et l’envoyèrent à Lord Codina, un Maître-Inquisiteur de l’Ordo Héréticus possédant un manoir sur Ha Long, qui lui servait de quartier général.
Celui-ci le prit sous ses ordres avec toute son escouade de l’arbites local, et partirent en quête de méchants hérétiques, apostats et mutants à matraquer.
C’est ainsi que Cruchot devint membre du département action de la CIA.
La Central Inquisition Agency, vaste cellule de l'inquisition, composée de membres inconnus, mais puissants...
Justement, ils étaient en ce moment même sur Ha Long, dans le magnifique manoir résidentiel de lord Codina. Comme celui-ci était généreux avec ses officiers, ils avaient des appartements personnels près de ceux de leurs hommes, histoire de surveiller les éventuels bataille de polochon, vente de drogue, trafique barète de lho illégale et autres choses du même genre...
Aussi, Cruchot invitait tous les soirs une fille, au hasard, parfois une simple prostituée, tantôt une ravissante geishas, ou même de complètes inconnues !
Une fois, Codina dût en même envisagé d'empêché Cruchot de ramener toutes ces inconnues au pifomètres, car il réussit à introduire une membre du clan ninja Hattori ! Pire, il avait réussi l'exploit de séduire la fille de Hattori Ransetsu, seigneur du clan Hattori et ami de Codina.
Ce qui manqua de provoquer un scandale politique sur Ha Long, monde-capital du chapitre des Blade’s Followers !
Heureusement, Codina et Ransetsu s'entendait bien, et les deux compères réglèrent cette histoire en une journée de festivité dans la demeure de Hattori Ransetsu (Codina insista pour aller au manoir Hattori car ce n'est guère prudent d'invité tout un clan ninja chez soit). Aussi, les deux amoureux furent prestement obligé de rompre, du moins officiellement. En effet, Codina, qui bien qu’inquisiteur avait parfois un comportement enfantin, avait tellement déteint sur Cruchot, qu'au bout du compte on aurait dit des frères jumeaux, tellement ils s'entendaient bien !
Alors Codina ne pût lui refuser la permission d'aimer, sachant que lui même ne s'en privait guère.
Quant à Hattori Ransetsu, il ne pouvait résister aux yeux doux mythiques de sa fille, le genre de regards qui fait céder le coeur des pères, et craqué celui des jeunes hommes passionnés. Cette fille s'appelait, Hattori Yui, et elle était belle comme la palle beauté de la lune, mais sa beauté n'avait égale que sa maîtrise du ninjutsu.
Utilisant ce prétexte, certains arbites de Cruchot surveillait docilement leurs nuits d'amours, vérifiant qu'elle ne prépare pas de coup tordu...
Etrangement, ils repartaient dormir sans laisser personne pour surveillé, une fois leurs passions apaisées...
Cruchot se retourna et enlaça Yui, tout en l'embrassant par-ci, par-là.
Alors qu’ils s’apprètaient à passer pour la X ème fois à l’acte, un arbites hirsute entra dans leur nid d’amour.
« Lieutenant Cruchot ! Lieutenant Cruchot ! Hurlait Tertius Quintus son (pas) fidèle second, Le Maître-Inquisiteur vous d… mais il n’eut pas le temps de terminer, ni une, ni deux, Cruchot se lève tout nu avec sa matraque et lui met un grand coup dans les côtes flottantes, puis il l’envois au sol avec un uppercut bien placé. La femme applaudit la force physique de son amant et bondit dans ses bras puissant.
Après cet exploit, Cruchot (toujours tout nu) exigea de son subalterne qu'il s'explique.
Mais avant, il le fît crier, comme à son habitude, comme un damné : "BONJOUR MON MARECHAL !! VOUS AVEZ BIEN DORMI MON MARECHAL ??!! QUEST CE QUE JE PEUX BIEN FAIRE POUR VOUS, MOI QUI NE SUIS QU'UNE MISERABLE VERMINE, MON MARECHAL ?!"
Bien sûr, cela plaisait beaucoup à Yui qui éclatait de rire tous les matins avec ce manège.
C’est ainsi que les arbites de l’escouade Cruchot se mirent à jouer à « Pierre, feuille, ciseaux ! » pour savoir qui allait réveiller le lieutenant, qui ne se réveillait jamais à l’heure, tant que Yui était avec lui !
"-Bien, reprit Cruchot après que celui ci eut fini d'hurler, que me veux tu, Quintus Tertius, mon fidèle second ?
-Hé bien, mon nom c'est Tertius Quintus, mon lieutenant et...
-Pardon ? Coupa Cruchot en se grattant le crâne avec sa matraque de force.
-Euh Je voulais dire que vous avez une excellente mémoire des noms mon maréchal ! Tonnât Tertius Quintus en se grattant le front et riant aux éclats avec un air gêné.
-Hé non ! Par méchanceté ! Tonnât de nouveau Cruchot en lui renvoyant sa matraque au travers de la figure, et éclatant de nouveau de rire avant d'embrasser à pleine bouche sa maîtresse (pour le comique de la scène, la narration souhaite vous rappelez que les deux amants sont encore nus, ayant oubliés de sa rhabillez).
-Hé bien puisque c'est comme ça, je risque d'oublier subitement qu'il faut que je vous dise que l'interrogateur Defay a dit à l'expliciteur Pedro qui a dit à Patatovitch le scribe qui à dit à Léna la soeur hospitalière qui a demandé à Milanova la guerrière qui a dit au sergent Barns qui a dit au capo Remington qui a dit à...
-Viens en au fait, espèce de débile ! Tonnât Cruchot.
-... Qui m'a demandé de venir vous dire que lord Codina vous attendait à 9 heures précise dans son bureau qui est à l'autre bout du manoir, c'est à dire à 10 minute de marche pour une affaire très très extrêmement urgente ! Fit il avec une moue de mauvaise augure.
-Ha bon... et il est quelle heure ? Demanda Cruchot en se frottant la tempe.
-8 h 59 min et 59 secondes très précisément, mon lieutenant dit Tertius en souriant.
-... Eeeeuuuuuh sa fait combien ça... je suis nul en maths mwa... à oui, il me reste 1 seconde pour arriver à l'heure... QUOI !! UNE SECONDE !!" Se mit-il à crier partout en courant affoler dans toute la pièce, en effet, lord Codina n'aimait guère les retards, la punition risquait d'être exemplaire.
Peut-être allait-il lui interdire de voir Yui ? Peut-être allait-il le rétrograder et mettre Tertius à sa place ? Peut-être qu'il allait... non. Philipus arrêta de penser, de toute manière, c'était pas son fort de penser, quand il pensait sa se passait mal à chaque fois.
Comme quand un ogryn l'avait battu au jeu des énigmes, la honte de sa vie (enfin la seul dont-il se souvenait à l'instant).
"-Yui ! AIDE MOI A M'HABILLEZ VITE, DONNE MOI MES VETEMENTS JE PEUX PAS ARRIVER DANS CETTE TENUE !!"
Aussitôt Yui lui jeta des habits que Cruchot enfila sans se préoccupé de si c'était bien les siens, tandis que Yui riait aux éclats.
Sans s'en soucier d'avantage, Cruchot détala dans le couloir, matraque et badge de l'arbites en main.
Etrangement, les gens s'esclaffaient en le voyant détaler dans le couloir...
Dix minutes plus tard, Philipus Cruchot bondit dans les appartements de Codina, l'anti-chambre, les guerriers de la suite de Codina montais la garde devant la porte.
Soudain ils entendirent quelqu'un courir vers eux en mugissant, Crazy Tong (surnom choisi par Codina, all rights reserved by Codina and cie), le catachan garde du corps de Codina se met aussitôt à mitrailler la salle de son fusil laser, suivit par la cadien crazy frags (surnom choisi par Codina, all rights reserved by Codina and cie) et son lance grenade, ainsi que par les tirs de pistolet plasma de Defay (euh... la narration hésite) et les tirs de pistolet bolter de Minas Mortecouille (vrai nom).
Tandis que le ragnarok arrivait en avance dans l'anti-chambre, Cruchot forca le barrage dans le sang en exécutant un placage sur Defay et en donnant de sa matraque sur les dents de Crazy tongs, qui faillit être tuer par Crazy frags et un autre de ses tir mal exécutés (car il ne savait guère viser, ni utiliser son lance-grenade flambant neuf).
Enfin, Cruchot déboula dans le corridor pour... pour voir un boulet de fer et une cie tronçonneuse manquer d'emporter sa tête par la force des bras d'un sorcier repentie à moitié fou.
Cruchot qui en avait une sainte terreur l'esquiva sans y toucher, Cruchot avait peur des psykers, il ne touchait que rarement à ces proies là.
Ayant dépassé le psyker fou, il se retrouva nez à nez avec l'expliciteur crazy flame (surnom choisi par Codina, al rights reserved by Codina and cie). Celui-ci déversa les flammes de son lance-flammes béni sur Cruchot, comme si l'enfer était le nom de ces lieux, surpris, Cruchot ne vit pas à temps une épée énergétique s'abattre dans sa direction, et par chance, lui couper un petit bout de sa tignasse qui repoussait lentement, aussi il contre-attaqua avec sa matraque de force et écrasa le visage du croisé sur le mur sans s'arrêter, mais le second garde du corps de Codina, un énorme sumotori modifié cybernétiquement qui montait la garde devant la porte du bureau lui envoya son gigantesque tetsubo sur la poire, de nouveau, Cruchot esquiva et donna de sa matraque.
Mais celle ci rebondi sur la graisse sans causer le moindre dégâts (c'est ça une save à 2+ ?)
Le sumotori lui fit un sourire mauvais et lui offrit aimablement un coup de poing (Force de 10 PA 2) qui lui fit traverser la porte du bureau, qui se rompie (un peu de frommage du 41eme millénaire ?) sous le choc.
Enfin, le grand roi des enfers, Enma (Codina) !
"-Mais que faites vous dans cette tenue, Cruchot ? Demanda Codina en souriant, gêné.
-QUOI ! C'EST CRUCHOT CE FOU ? S'exclamèrent les hommes de main qui étaient finalement arrivés sur ses traces.
-Quoi ?! Vous ne m'aviez pas reconnue ? Demanda Cruchot, alors que la sueur perlait à son front, sentant qu'il avait fait une nouvelle bavure.
-Ben non, t'as pas vue comment t'es fringué, on dirait un cultiste d'une secte de ouf ! c'est pire que le peuple des carthachinois qu'on a soumis l'an dernier sur Chartashintook prime ! Et pourtant, eux ils en avaient de bonnes, des manières de se fringuer !" Répondit en coeur l'assistance en secouant leurs têtes de haut en bas, alors que Codina sortait un de ces étranges vêtements de sa penderie. La robe en question était d’un ridicule indescriptible…
Cruchot se releva, et pour la première fois de sa vie (et sans doute la dernière) il eut honte des vêtements qu'il portait. C'était un mélange de ses propres vêtements ordinaires d'arbites, de son armure de combat, et des habits de Yui, il avait même sa petite culotte ! Mais personne ne semblait le savoir hormis "le grand roi des enfers" (Codina) à qui on ne pouvait rien cacher...
"-Excuser moi, boss. Bafouilla Cruchot, je pensais que j'étais en retard et que je n'avais pas le temps de me mettre une tenue présentable...
-Ha non ! Cette fois vous n'avez aucune excuse, je vous avais fait demandez pour 9 heure ! Et il est 8 h10 min !" S'exclamat Codina en tapant du poing rageusement sur son bureau.
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30 Millions d’Ennemis !
Codina se calla dans son fauteuil.
« Bon, on verra après pour ça. J’ai un truc important à faire, on va sur Edenia pour chercher un magos biologis qui a disparu à bas. Comme c’est un vieil ami, je tiens à me déplacer personnellement. Alors, comme je ne peux pas avoir confiance en Cruchot pour rester tranquille un mois ou deux, il m’accompagnera. Defay, tu viens avec moi. L’interrogateur Stracato s’occupera de garder le manoir en mon absence. Choisis une poignée d’hommes de mains pour nous accompagner, mais pas trop nombreuse.
Des questions ?
Bien, pour l’Inquisition !
-Pour l’Inquisition ! »
Defay et les autres quittèrent le bureau et Cruchot s’enfuit avec une robe de bure que lui lança Codina, pour couvrir ses horribles atours.
Le monde d’Endenia était à la lisière du Secteur Draconis et du sous-secteur Ha Long dans lequel se trouvait le monde civilisé d’Ha Long. C’était une planète sauvage, dans laquelle vivait avec férocement une colonie d’impériaux. Le monde était magnifique, mais ses dangers étaient terribles, pires selon certains que Catachan, et ses habitants étaient tous des colons venus de ce monde. C’était là que le magos Phyntias Jekyll avait disparu, sans laisser de trace, depuis un mois. C’était un vieil allié de lord Codina, et celui-ci voulut immédiatement bondir sur l’occasion pour le revoir. Bien sur, un mois, dans l’imperium c’était peu. Mais sur le monde extrêmement hostile d’Edenia, c’était signe d’une mort subite.
Defay prépara rapidement le voyage, en 1 heure et demie tout était prêt, et ils prirent le thunderhawk inquisitorial personnel de Codina pour le voyage jusqu’au vaisseau inquisitorial en orbite « Emperor’s Legacy ».
Le monde sauvage d’Edenia comptait 30 millions d’espèces animales et végétales recensées, presque toutes par Jekyll et ses hommes, qui étaient presque toutes potentiellement dangereuses pour l’homme.
... (nouvelle non terminée à ce jour)
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La matraque de la Vangeance !
« Je déteste marcher, pourquoi on a pas pris un rhino… »
Lord Codina me mit une tape sur l’arrière du crâne avec un regard sévère, l’air de dire « Ta geule, Cruchot, on fait ce que je dis sans poser de questions. » Je laissais mon regard errer sur le paysage nocturne alentour. Les rues étaient désertes. Nous nous trouvions sur le monde de Hurfakius. Quel nom bizarre tout de même, on aurait dis que les colons qui avaient colonisés ce monde en premier avaient choisis un nom au pifomètre en tapant une suite de lettres au pifomètres. Sans s. Ah ! Codina lit encore dans mes pensées, l’enfoiré !
…
« Pardon, mon Seigneur… »
Codina m’ignora pour reporter son esprit d’enf… de psyker sur les rues de la capitale, Lokruste. Hurfakius était un monde civilisé, aux bordures du sous-système Draconis, secteur Huhulis. Le monde avait été prospère autrefois, son industrie plus ou moins… euh prospère (je vais pas utiliser des mots compliqués, j’suis pas un Inquisiteur non-plus…) lui avais permis de monter en grade dans le système en éliminant hein à hein ses rivaux interplanétaires, par des pratiques commerciales douteuses. Le fer de lance de cette progression était la famille de nobles marchands Farfadias. Ou un truc comme ça. Ils ont des noms marrants, en voila des gars sur lesquels je voudrais bien cogner. Bref, un jour l’Inquisitrice Séléné de Balantine, une ancienne interrogatrice de Codina évidement, découvrit que le clan Farfadias était corrompu jusqu’au fin fond du cul. D’ailleurs, il me semble qu’ils vénéraient Slaanesh. Je parle des marchands, pas de Codina et sa copine, hein. Bref, l’Inquisition a rappliqué aussi sec et on leur a imposé Rex et Pax Imperialis. Ce pète-sec d’Inquisiteur Doge était là avec Codina et Balantine et ils les on tous exterminés et l’économie impériale de la planète a pris un coup dur quand tout a été confisqué et que les aventuriers du coin ont commencés à se disputer les miettes.
L’industrie et l’économie ont sombrés. Normal quoi.
Enfin, ils auraient dut, c’était il y a un siècle, et apparemment le culte était pas finis. En effet, il semblerait qu’une autre loge corrompue par le dieu honni ait infiltré l’élite d’Hurfakius. C’est pour ça qu’on est là.
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Un seul jitte les tua tous