Alors voilà comment ça se passe :
Coté cité impériale, c'est la cour d'hiver, tractation en tout genre, traités et répercussions suite à la mort de l'Empereur et du Champion d'Emeraude, et à la démission du champion de Jade qui part vivre en reclu (pour sauvegarder la lignée de Shinsei, mais ça ce n'est pas du domaine public)... La Licorne semble disposer de vaste ressources de nouriture, et s'en sert comme levier auprès des autres clans pour sceller des partenariats, dont un échange riz contre poisson séché avec la Mante qui continu. Toturi Kurako, en position fragilisée (entre le Shogun et le Chancelier) fait une démonstration de force, et nomme Bayushi Norachai protecteur de la cité impériale. Ce dernier fait une requête pour des troupes pour défendre la capitale à tout les clans, mais peu répondent présents.
Coté Empire, Chagatai prépare ses troupes, et attaque les avant-postes Lions le long de la frontière entre les deux territoires. Il ne cherche pas a sécuriser ses conquêtes, mais par contre prends toutes les ressources qu'il peut. Le Lion se replie constament, avec difficulté car c'est une guerre hivernale, dans la neige et le froid. Grâce aux quelques scouts survivants aux agressions Licornes, Yoshino se rend compte que Chagatai se déplace vers Kyuden Ikoma. Mais surtout, que ce dernier se sert des Baraunghar (une des trois armées Licornes) et particulièrement de ses shugenja pour controler le temps, et ainsi ne pas être géné dans sa progression. Yoshino décide de sacrifier Kyuden Ikoma, mais d'évacuer le maximum de reserves de vivres. Otemi monte une escarmouche pour faire payer l'avancée vers Kyuden Ikoma à Chagatai, mais il est blessé et doit être évacuer, Yoshino utilise tout ce qu'il peut (pièges, éboulements) et se replie. S'en suit un jeu du chat et de la souris, ou la Licorne pousse d'avant poste en avant poste dans le territoire Lion. Yoshino se voit contraint de songer au repli des troupes Akodo, occupées dans la guerre contre le Dragon au coté de la Grue. Et surtout envoie un message à la Cour de l'avancée de Chagatai et de sa guerre hivernale. Un shugenja Kitsu cherche à percer les mystère de la manipulation de la météo.
A la cour d'hiver, l'annonce de l'avancée de Chagatai trouble le jeu diplomatique. Malgré tout ça, l'impératrice ordonne aux troupes du Shogun de quitter la ville, maintenant sous la protection de Norachai.
Certains commencent à comprendre que le but de Chagatai est de progresser vers Toshi Ranbo et de prendre le pouvoir par la force. Kaneka connait l'ambition de Chagatai, et décide de rester pour l'affronter.
Sur les terres Lion, Yoshino commence à voir au veut en venir Chagatai et sa guerre éclair sur les avants postes, retirer tout autour de la capitale les endroits d'ou pourrait se monter une résistance, en s'assurant qu'aucune place forte ne disposera de nourriture pour soutenir une armée. Ensuite, grace à la puissance et la mobilité de sa cavalerie, il pourra maintenir une zone tampon autour de la capitale, et permettre d'assurer sa prise du pouvoir entre jeu d'alliances et stabilisation militaire. Yoshino retire alors discretement les troupes Akodo dirigées par Shigetoshi de la frontière nord (avec le Dragon) au risque de souffrir d'une contre-attaque (qu'il ne subira pas, les Dragons restant sur leur positions) et d'affaiblir la position des troupes Grue (ses alliés). Il ordonne aussi à ses troupes de harcelements de viser les Baraughar en premier, afin de limiter l'influence de leur magie sur la bataille et le mouvement de troupes.
Chagatai poursuit son oeuvre de création de zone tampon, les troupes Akodo en marche forcée arrivent vers la capitale. Et là, alors que tous les rapports indiquent que Chagatai est assez loin de la capitale, ce dernier, grâce à un rituel pratiqué par les Iuchi de l'armée Baraunghar (enfin ce qu'il en reste), fait téléporter son armée aux portes de la capitale. Et il retrouve, avec surprise et une certaines joie, l'armée de Shigetoshi devant les murs, prête à lui faire face.
La suite plus tard.
(des erreurs ont pu se glisser dans la chrono des évènements, je le fait de mémoire)
