Ouaip. Autant pour le "Président de tous les Français"...Ariman a écrit :Ce qui bien c'est qu'on est plus enclin à écouter le fils Kadhafi plutot que nos compatriotes.
Belle mentalité
Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
C'est vrai, tu as raison. Leur vendre des armes c'est bon pour la population. Et leur vendre une centrale nucléaire alors qu'ils n'en ont pas besoin aussi.Ariman a écrit : Tu as raison, ce sont des sales terroristes tous et il faut les laisser dans leur coin ! Rétablissons l'embargo !
Quel est le crétin qui disait que le terrorisme naissait au sein des populations défavorisées que l'on maintient dans cet état au lieu de les aider ?
Ariman a écrit : Que les otages aient été libérés afin de justement permettre à la Lybie d'enfin pouvoir concrétiser des accords c'est suremement un mal alors, bouuuu !
Les terroristes responsables des attentats du 11 septembre étaient tous des membres de la classe moyenne saoudienne, pour la plupart ayant fait des études supérieures, souvent à l'étranger.Ariman a écrit :Tu as raison, ce sont des sales terroristes tous et il faut les laisser dans leur coin ! Rétablissons l'embargo !
Quel est le crétin qui disait que le terrorisme naissait au sein des populations défavorisées que l'on maintient dans cet état au lieu de les aider ?
Et qu'ils admettent que c'est pour exporter l'électricité ... on peut leur filer du fric directement aussi hein.C'est vrai, tu as raison. Leur vendre des armes c'est bon pour la population. Et leur vendre une centrale nucléaire alors qu'ils n'en ont pas besoin aussi.
On appele ça faire de la démagogie intérieure avec des dossiers extérieurs. je croyais que lui-même était favorable à une commission d'enquête.Les infirmières souffraient en détention, elles ont été libérées, résume-t-il, « qu'ont fait les socialistes pour elles ? ».
Non ça s'appelle croiser les sources. D'autre part, l'intérêt des Kadhafi à défoncer Sarko est nul, alors que c'est son partenaire ...Ce qui bien c'est qu'on est plus enclin à écouter le fils Kadhafi plutot que nos compatriotes.
je ne conteste pas le fait qu'il faille résister à la concurrence internationle (encore que ...) mais faut-il se salir les mains avec un régime dictatorial et terroriste ?Nicolas Sarkozy préfère voir dans ces contrats à venir des promesses d'emplois et de revenus pour les entreprises françaises. « On va me reprocher de trouver du travail, des marchés pour les ouvriers français ? Les Libyens vont dépenser quelques centaines de millions d'euros pour faire marcher les usines en France, et je devrais m'en excuser ? » Il ne voit pas pourquoi la France n'aurait pas dû s'intéresser à ce marché (« toutes les entreprises de tous les pays y vont »).
Ce qu'oublie de dire Sarko, c'est que ce n'est ps la Lybie qui prend le chemin de la normalisation : c'est Kadhafi et consorts. Les mêmes qu'avant. Passer du terrorisme à la normalité avec le même gouvernement c'est un gag.« Quand vous voyez un pays qui prend le chemin de la normalisation, est-ce qu'il faut qu'on l'aide ou qu'on lui complique la tâche ?»
En vacances aux Etats-Unis, Nicolas Sarkozy s'en prend à deux photographes après sa rencontre "informelle" avec la presse
Par Beverley Wang AP - Lundi 6 août, 10h08CONCORD, New Hampshire - Une incompréhension est sans doute à l'origine de l'incident qui a mis aux prises dimanche Nicolas Sarkozy et deux photographes de presse américains qui, ne parlant pas français, n'avaient pas compris la demande faite par le chef de l'Etat qui souhaitait que les journalistes se tiennent à l'écart durant ses vacances aux Etats-Unis.
Le président français et son entourage étaient à bord d'un bateau sur le lac Winnipesauke quand il a vu le photographe de l'Associated Press Jim Cole et celui de Sipa Vince DeWitt à bord du bateau de Cole qui se trouvait à l'extérieur d'une barrière de bouées mise en place par la brigade marine du New Hampshire.
Avant que Nicolas Sarkozy ne le repère, Cole avait pris soin d'emmener son bateau jusqu'à celui de la police marine, a décliné son identité et a reçu l'autorisation de croiser dans le secteur.
"Il (Sarkozy) était heureux et souriant et il a fait signe aux membres de sa sécurité alors qu'il sortait", a dit Cole. "Et puis, il nous a vu prendre des photos et sa bonne humeur apparente s'est arrêtée immédiatement".
Les deux photographes ont alors vu au travers de leurs objectifs quand Sarkozy les a pointés du doigt et son bateau a commencé à voguer vers eux. Une fois côte à côte, Sarkozy, portant son seul maillot de bain, a sauté bord du bateau des deux photographes et a commencé à leur hurler dessus en français.
"Le président était très agité, s'exprimant très rapidement en français et à fort volume", a souligné Vince DeWitt.
Egalement interrogé par RTL, Vince DeWitt a déclaré que son confrère et lui étaient "du côté où on avait le droit d'être. Dès qu'on a vu le président Sarkozy, on a commencé à prendre des photos. Quand il s'est approché, j'ai vu qu'il nous montrait du doigt, j'ai réalisé qu'il était en train de hurler. Le bateau du président s'est collé au nôtre et il est monté à bord du nôtre. Naturellement j'ai été un peu surpris (...)".
A plusieurs reprises, les deux photographes ont souligné qu'ils ne parlaient pas français. "Mais ça ne l'a pas arrêté. Après quelques minutes, je me suis aperçu qu'il avait notre photo", a précisé DeWitt.
Cole a ajouté qu'il a demandé si l'un des occupants du bateau du président français parlait anglais, mais personne n'a répondu ou n'est intervenu.
Nicolas Sarkozy s'est alors emparé de l'appareil de Vince DeWitt avant de le reposer. Une femme s'est alors exprimée en anglais en relayant la demande du chef de l'Etat français qu'on le laisse tranquille lui et son entourage, a dit DeWitt.
Cette femme n'a pas décliné son identité mais DeWitt a ajouté: "je crois que c'est sa femme qui a expliqué qu'il était en colère parce qu'il croyait avoir passé un accord pour ne plus être photographié par la presse. On lui a dit qu'on n'avait pas entendu parce qu'on ne parle pas français et il a fini par se calmer. Mais on est parfaitement dans la légalité. Des hommes politiques américains se seraient rendus compte de la répercussion d'une crise de colère sur leur image. On aurait pu croire que M. Sarkozy serait conscient de ce qui va avec le fait d'être le président d'un grand pays", a encore DeWitt.
Quelques heures auparavant, Nicolas Sarkozy avait rencontré la presse de façon informelle. A cette occasion, le président français avait déclaré en français: "Je suis naturellement prêt à toutes vos questions et peut-être qu'après vous repartirez couvrir l'information et d'autres sujets et que vous me laisserez tranquille avec ma famille". Un journaliste de l'Associated Press a enregistré la déclaration de Nicolas Sarkozy et l'a faite traduire mais les deux photographes n'ont entendu la traduction qu'après leur altercation avec le président français.
Nicolas Sarkozy a retrouvé son calme après la promesse faite par Cole et DeWitt d'arrêter de prendre des photos. Le président français est remonté à bord de son bateau et a repris sa course sur le lac suivi par un bateau transportant des agents du Secret Service, le service américain chargé de la protection des personnalités.
D'après le dispositif de sécurité, le président devrait passer deux semaines dans la station de Wolfeboro. Il séjourne dans une luxueuse propriété, appartenant à Michael Appe, un ancien responsable de la firme Microsoft, au bord du lac Winnipesaukee, le plus grand de l'Etat. AP
Les Lybiens qui avaient envahit le Tchad avait été défait par une combinaison de camionnettes tout-terrain Nissan (ou Toyaota) et de missiles anti-char Milan... C'était au début des années 80...Mirumoto Ohmi a écrit :Sans être aussi agressif qu'Inigin, faut quand même bien se demander à quoi peuvent servir des anti-chars à la Lybie. Quelqu'un leur connaîtrait des enemis capable de leur tomber sur le râble avec des chars? Voyons voyons...
Tiens, il y a quelques années, Libye et Tchad se sont battus... Mais, il y avait des français côté tchadien!... Résumons. Si la Lybie (re)tombe sur le Tchad, on peut partir du principe que la France va de nouveau soutenir le Tchad en envoyant des troupes, celles-ci se retrouvant devant des armes de fabrication française?
Quel dommage qu'on ne verra jamais ces photos... :DMoto Shikizu a écrit :La il passe de bonne vacances effectivement, sans Lexomil, et sans diplomatie...
En vacances aux Etats-Unis, Nicolas Sarkozy s'en prend à deux photographes après sa rencontre "informelle" avec la presse
Par Beverley Wang AP - Lundi 6 août, 10h08CONCORD, New Hampshire - Une incompréhension est sans doute à l'origine de l'incident qui a mis aux prises dimanche Nicolas Sarkozy et deux photographes de presse américains qui, ne parlant pas français, n'avaient pas compris la demande faite par le chef de l'Etat qui souhaitait que les journalistes se tiennent à l'écart durant ses vacances aux Etats-Unis.
Le président français et son entourage étaient à bord d'un bateau sur le lac Winnipesauke quand il a vu le photographe de l'Associated Press Jim Cole et celui de Sipa Vince DeWitt à bord du bateau de Cole qui se trouvait à l'extérieur d'une barrière de bouées mise en place par la brigade marine du New Hampshire.
Avant que Nicolas Sarkozy ne le repère, Cole avait pris soin d'emmener son bateau jusqu'à celui de la police marine, a décliné son identité et a reçu l'autorisation de croiser dans le secteur.
"Il (Sarkozy) était heureux et souriant et il a fait signe aux membres de sa sécurité alors qu'il sortait", a dit Cole. "Et puis, il nous a vu prendre des photos et sa bonne humeur apparente s'est arrêtée immédiatement".
Les deux photographes ont alors vu au travers de leurs objectifs quand Sarkozy les a pointés du doigt et son bateau a commencé à voguer vers eux. Une fois côte à côte, Sarkozy, portant son seul maillot de bain, a sauté bord du bateau des deux photographes et a commencé à leur hurler dessus en français.
"Le président était très agité, s'exprimant très rapidement en français et à fort volume", a souligné Vince DeWitt.
Egalement interrogé par RTL, Vince DeWitt a déclaré que son confrère et lui étaient "du côté où on avait le droit d'être. Dès qu'on a vu le président Sarkozy, on a commencé à prendre des photos. Quand il s'est approché, j'ai vu qu'il nous montrait du doigt, j'ai réalisé qu'il était en train de hurler. Le bateau du président s'est collé au nôtre et il est monté à bord du nôtre. Naturellement j'ai été un peu surpris (...)".
A plusieurs reprises, les deux photographes ont souligné qu'ils ne parlaient pas français. "Mais ça ne l'a pas arrêté. Après quelques minutes, je me suis aperçu qu'il avait notre photo", a précisé DeWitt.
Cole a ajouté qu'il a demandé si l'un des occupants du bateau du président français parlait anglais, mais personne n'a répondu ou n'est intervenu.
Nicolas Sarkozy s'est alors emparé de l'appareil de Vince DeWitt avant de le reposer. Une femme s'est alors exprimée en anglais en relayant la demande du chef de l'Etat français qu'on le laisse tranquille lui et son entourage, a dit DeWitt.
Cette femme n'a pas décliné son identité mais DeWitt a ajouté: "je crois que c'est sa femme qui a expliqué qu'il était en colère parce qu'il croyait avoir passé un accord pour ne plus être photographié par la presse. On lui a dit qu'on n'avait pas entendu parce qu'on ne parle pas français et il a fini par se calmer. Mais on est parfaitement dans la légalité. Des hommes politiques américains se seraient rendus compte de la répercussion d'une crise de colère sur leur image. On aurait pu croire que M. Sarkozy serait conscient de ce qui va avec le fait d'être le président d'un grand pays", a encore DeWitt.
Quelques heures auparavant, Nicolas Sarkozy avait rencontré la presse de façon informelle. A cette occasion, le président français avait déclaré en français: "Je suis naturellement prêt à toutes vos questions et peut-être qu'après vous repartirez couvrir l'information et d'autres sujets et que vous me laisserez tranquille avec ma famille". Un journaliste de l'Associated Press a enregistré la déclaration de Nicolas Sarkozy et l'a faite traduire mais les deux photographes n'ont entendu la traduction qu'après leur altercation avec le président français.
Nicolas Sarkozy a retrouvé son calme après la promesse faite par Cole et DeWitt d'arrêter de prendre des photos. Le président français est remonté à bord de son bateau et a repris sa course sur le lac suivi par un bateau transportant des agents du Secret Service, le service américain chargé de la protection des personnalités.
D'après le dispositif de sécurité, le président devrait passer deux semaines dans la station de Wolfeboro. Il séjourne dans une luxueuse propriété, appartenant à Michael Appe, un ancien responsable de la firme Microsoft, au bord du lac Winnipesaukee, le plus grand de l'Etat. AP
Ca doit etre récent ça parce qu'aux Malouines la contre mesure electronique on l'a pas vu.Hida Ichi a écrit : De toute façon, lorsqu'on vend des armes technologiquement avancées à un autre pays, il y a un truc qui s'appelle les contre-mesures électroniques qui te protègent du missile que t'a vendu toi-même à ton ennemi.