[Background] Personnalités Légendaires du clan du Crabe

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Pénombre
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[Background] Personnalités Légendaires du clan du Crabe

Message par Pénombre » 06 févr. 2007, 15:01

Et c'est parti pour un premier jet à propos des gars de la frontière sud :

Hida
Le plus fort des Kami était souvent considéré comme frustre mais il n’en était pas moins loyal et loin d’être stupide. Il choisit délibérément de s’installer avec ses premiers vassaux dans une région inhospitalière, afin d’endurcir le clan qu’il venait de fonder. Lorsque les armées de Fu Leng se révélèrent sur les frontières de ses domaines, Hida devint alors le premier défenseur de l’Empire et ses descendants ont toujours respecté les mots simples qu’il prononça devant Hantei et qui engagèrent la destinée de son clan pour les siècles à venir.
"Je ne faillirai pas".
Hida eut deux fils de deux femmes différentes. Son épouse a vu son nom effacé des registres car le chagrin lorsqu’elle mourut poussa Hida à demander qu’on n’évoque plus jamais son souvenir. On sait qu’elle était une femme douce et aimante, très différente de l’épouse idéale qu’on aurait imaginé pour le grand kami barbu et brutal. Leur union donna le jour à Hida Atarashi, qui devint le Tonnerre du Crabe.
L’épouse de Hida périt lorsque le château où elle demeurait fut pris par l’Outremonde mais elle mit le feu aux batiments avant de se trancher la gorge et les serviteurs de Fu Leng (les rares qui survécurent à son geste) n’eurent que des cendres pour prix de leur victoire. Atarashi quant à lui disparut avec les autres Tonnerres.
Hida demeura trois ans dans le chagrin, dans un isolement silencieux et hostile qui intimidait même ses suivants. Puis, une nuit ou la foudre frappait les tours de sa forteresse, une femme vétue seulement de nuages apparut à sa fenètre parmi les éclairs. Elle lui déclara être l’incarnation humaine du Dragon du Tonnerre et l’aimer passionnément.
De leur union naquit le puissant Osano-Wo, qui devait bien plus tard être divinisé en tant que Fortune de la Foudre et du Feu. Dans le même temps, le kami Hida entama de longs préparatifs pour une expédition décisive dans l’Outremonde. Depuis le Jour des Tonnerres, des rêves récurrents l’avaient persuadé que son fils Atarashi avait survécu à son affrontement contre Fu Leng et vivait encore. Selon Hida, Atarashi avait non seulement le destin d'un Tonnerre mais aussi le sang du plus endurant des Kami comme héritage. En l'an 63, Hida renonça à sa position de chef du Clan du Crabe et mit Osano-Wo sur son trône pour pouvoir se consacrer pleinement à son obsession et multiplier les expéditions de reconnaissance dans l'Outremonde.
Finalement, il déclara en 210 qu'il était prèt et fit ses adieux à ses descendants pour partir dans les territoires de leurs ennemis jurés. On ne revit pas plus Hida que son fils et avec lui disparut le dernier des Enfants de la Lune et du Soleil restés dans l'Empire.

Hiruma
Après la défaite de Fu Leng, le kami Hida promit à son frère Hantei qu'il défendrait toujours l'Empire contre l'Outremonde. Il retourna sur ses terres qui avaient été les premières attaquées par les suivants du Sombre Seigneur, rassembla ses guerriers survivants et leur demanda quels seraient ceux qui lui serviraient de seconds dans cette tâche. Trois hommes s'avancèrent alors et lorsque Hida leur demanda ce qu'ils avaient fait pour s'estimer dignes de cette responsabilité, Hiruma qui était à leur tête répondit simplement
"Rien. Rien par rapport à ce qui nous attend". Et ses deux compagnons Kaiu et Kuni acquiescèrent.
Alors, Hida leur demanda de prouver leur valeur en trouvant et traquant Oni no Hatsu Suru, un des lieutenants de Fu Leng. Les trois hommes mirent leurs talents en commun et revinrent victorieux, obtenant le droit de fonder trois lignées qui survivent encore à ce jour. Durant leur mission, c'est Hiruma qui leur permit de suivre l'oni à la trace et surtout de trouver les indices qui leur permirent de vaincre la créature.
Le premier Hiruma a toujours été considéré comme un homme d'un grand courage, voire d'une témérité insensée. Traqueur hors pair et éclaireur audacieux, il sut fournir des renseignements précieux aux armées de l'Empire durant toute la guerre et après le Jour des Tonnerres. On sait également qu'à l'encontre de nombre de guerriers de son époque, Hiruma bien qu'il ait adopté le style de combat traditionnel au sabre tenait sa lame de la main gauche.
Bien qu'il soit de nature foncièrement aventureuse, Hiruma prit très au sérieux son allégeance à Hida et après avoir pris femme, il put léguer à son propre fils la responsabilité de leur famille. On ne sait pas exactement quand ni comment le premier Hiruma est mort mais ses descendants possèdent un certain nombre de légendes (souvent contradictoires) qui donnent à penser qu'il a très probablement péri durant une mission dans l'Outremonde. Ses enseignements lui survécurent pendant des siècles mais la plupart furent perdus lors de la funeste guerre qui vit les Hiruma privés de leurs terres huit siècles plus tard.

Kaiu
Forgeron réputé, le calme et pensif Kaiu était également un guerrier accompli qui suivit son ami Hiruma dans la traque de Oni no Hatsu Suru. Les indices que trouva Hiruma permirent à Kaiu de concevoir une arme d'acier et de jade qui permettrait de blesser le démon et après cette mission, le forgeron et ses disciples déjà fort appréciés furent vite reconnus comme des artisans de génie. Non content d'être un forgeron dont le talent est encore célébré dans tout l'Empire, Kaiu était aussi architecte et avait des idées intéressantes dans de nombreux domaines techniques. Sous son inspiration, le clan du Crabe put ainsi disposer malgré ses ressources limitées des meilleures armes, fortifications et outils possibles et cela eut une importance cruciale en de nombreuses occasions durant les siècles qui suivirent.
Parmi les nombreuses œuvres de Kaiu, ce sont cependant ses épées qui restent les plus connues et l'on peut notamment citer Chikara (portée par Hida et ceux qui prirent la tête du clan à sa suite), Kishu (l'épée à la lame presque droite qu'utilisait Hiruma) et Kakko-fudo qui fut forgée conjointement par Kaiu et Kuni son porteur. Les techniques de forge et d'architecture militaire de Kaiu constituent encore les bases de ces domaines dans toutes les écoles de l'Empire où on les enseigne.

Kuni
Bien qu'il ait été un des shugenja les plus réputés de son époque, rien ne permet d'affirmer que le fondateur de la famille Kuni ait suivi l'enseignement d'Isawa. Cependant, ses talents ésotériques étaient indéniables et il eut de nombreuses occasions de le prouver au service du kami Hida lorsque celui-ci vit ses territoires assaillis par les serviteurs de Fu Leng.
Kuni est généralement décrit comme un homme plutôt discret et même quelque peu antipathique et renfermé. Les travaux et recherches de Kuni lui coutèrent beaucoup et éteignirent bien des choses en son cœur avant de le mener à sa perte.
Kuni se porta volontaire avec Hiruma et Kaiu pour traquer l'Oni no Hatsu Suru sur les ordres de Hida et outre ses pouvoirs de shugenja qui jouèrent un rôle essentiel dans cette quête, ses nombreuses recherches sur la nature des ennemis de l'Empire lui donnèrent de précieuses indications pour vaincre le monstre avec ses compagnons.
Après cet exploit, Kuni se servit de la famille qu'il avait obtenu le droit de fonder pour donner au clan du Crabe plus de moyens de combattre l'ennemi par la magie. Il fit tout son possible pour recruter des shugenja avérés ou semblant avoir assez de potentiel et il fit en sorte que ses suivants eux aussi fassent des recherches sur les serviteurs de l'ennemi, leur nature, leurs faiblesses. La guerre contre Fu Leng était terminée mais les territoires de l'Empire et ceux de la famille Kuni en particulier ne manquaient pas de créatures tirées du Puits Suppurant par le Sombre Seigneur.
C'est à Kuni que l'on doit les premières recherches méthodiques sur la nature des oni, des gobelins, de l'empreinte du Jigoku et de bien d'autres choses, même si ses efforts parvinrent tout juste à jeter les bases d'un domaine qui continue de s'avérer ardu et périlleux. Kuni fut d'ailleurs parmi les premières victimes de ses recherches car elles le menèrent d'abord à l'isolement puis à la folie et parmi ceux qui suivirent sa voie et portent son nom, nombreux sont ceux qui ont également subi un sort funeste dans l'espoir de donner quelques armes utiles à leur clan contre les forces du mal.

Hida Atarashi
Atarashi naquit alors que les terres de son père, le kami Hida, étaient assaillies par les forces de l'Outremonde et il grandit dans la guerre, pour rejoindre dés qu'il le put les combattants de l'Empire. Digne fils de Hida, il fit preuve d'un grand stoicisme et d'un courage indéniable, au point que son géniteur souvent avare de paroles ne dissimula jamais l'affection et l'estime en lesquelles il tenait son fils. On doit également à celui-ci certaines des fondations martiales qu'utilisent encore de nos jours les guerriers de la famille Hida. Malheureusement, la guerre était si intense que ni Hida ni son fils ne purent se soustraire à leur devoir et sauver l'épouse du kami lorsque le château ou elle demuerait fut assiégé par l'Outremonde. Hida et son héritier se trouvaient loin de là, au service de l'Empereur, lorsque la mère d'Atarashi emporta avec elle les assiégeants dans la mort en mettant le feu à ses appartements.
Doté un caractère indomptable et d'une force extraordinaire, nul ne fut vraiment surpris qu'Atarashi soit choisi par Shinsei pour être le Tonnerre du Clan du Crabe. Son père espérait qu'il revienne victorieux de l'affrontement titanesque qui l'attendait mais lorsque Shosuro agonisante ramena les Parchemins Noirs, elle n'eut que le temps d'expliquer comment Shiba avait trouvé la mort en lui portant secours et ne révéla rien de l'affrontement avec Fu Leng.
Durant plusieurs décennies, Hida persista à affirmer qu'il sentait que son fils était encore en vie. Sa conviction était telle qu'après bien des expéditions dans l'Outremonde, il laissa derrière lui l'Empire une fois pour toutes, plus de cent cinquante ans après la disparition du fils qu'il voulait retrouver.
Depuis ce jour, nul n'a jamais eu la moindre nouvelle d'Atarashi ou de son père.

Kuni Nakanu
A la fin du premier siècle, ce shugenja talentueux entreprit de reprendre les travaux de Kuni pour mener de longues et méthodiques recherches sur la corruption de l'Outremonde, comment elle se manifestait, comment elle se développait et quels étaient ses effets exacts. C'est à Nakanu que l'on doit d'ailleurs l'appelation de "Souillure" quand on parle de la marque du Jigoku et c'est également lui qui découvrit comment les kansen, les esprits corrompus de l'Outremonde, possédaient les cadavres souillés. Nakanu souhaitait donner à ses frères de clan toutes les armes disponibles pour lutter contre l'Outremonde et il décida que si les kansen pouvaient ranimer les morts et les forcer à combattre les défenseurs de l'Empire, il était possible de trouver le moyen de faire de même mais de garder les morts-vivants sous contrôle. Le shugenja pensait certainement qu'il serait préférable que les morts soient ranimés pour lutter contre la Horde plutôt que leurs corps pourrissent sur le champ de bataille ou servent d'hôtes à des esprits maléfiques. Il développa alors de sombres sortilèges qui lui permirent de se faire obéir d'un cadavre. Malheureusement pour lui, ses recherches embryonnaires n'étaient pas dépourvues de risques et il finit dépecé vivant par un groupe de zombies qui échappèrent à son contrôle et se répandirent ensuite dans les terres alentours où ils causèrent d'autres morts avant d'être éradiqués.
Le clan du Crabe cessa dés lors toute recherche dans le domaine de la nécromancie mais il apparaît que les travaux de Kuni Nakanu ne furent cependant pas perdus pour tout le monde. On dit ainsi que les efforts du shugenja servirent malheureusement à d'autres individus aux intentions moins honorables pour jeter les bases de la maho, la magie noire. Les experts disent que les pratiquants de la maho existaient déjà avant Nakanu et rappellent que les armées de Fu Leng en comptaient d'ailleurs un bon nombre en leur sein. Cependant, à défaut d'être un des véritables fondateurs de la maho, le malheureux Kuni Nakanu fut certainement très utile à ces adeptes de pratiques interdites. Ce sont probablement des gens de cette espèce qui parvinrent à s'accaparer ses notes pour développer leurs propres travaux. Il est par contre certain que les travaux de Kuni Nakanu finirent après bien des siècles par tomber dans les mains du sorcier impie qui se faisait appeler Iuchiban. Certains disent que les écrits de Nakanu provoquèrent la damnation de Iuchiban, d'autres qu'il y trouva simplement de quoi étayer ses propres recherches. Quoi qu'il en soit, les méthodes qu'utilisèrent Iuchiban et Yajinden pour animer les défunts qui devaient former leurs armées n'auraient sans doute pas pu être développées sans les notes de Kuni Nakanu.
Pour toutes ces raisons, Nakanu demeure un ancêtre méprisé par le clan du Crabe, bien qu'on prenne soin de relater ses "exploits" et leurs conséquences à tous les shugenja de la famille Kuni durant leur formation.

Kuni Mokuna
Daimyo de la famille Kuni durant les dernières décennies du 9ème siècle, Mokuna abandonna sa charge à un jeune cousin et entreprit de mener un grand nombre d'expéditions dans l'Outremonde et de recherches qui horrifièrent souvent ses propres apprentis. Il tenta de rassembler les connaissances ésotériques éparses de sa famille et les informations obtenues par les éclaireurs Hiruma. Ainsi, il essaya de compiler sous une forme résumée les informations les plus utiles sur l'Outremonde, sa géographie, ses résidents et leurs habitudes. Dans le même temps, il captura ou fit capturer des créatures corrompues qu'il entreprit de soumettre à diverses expériences magiques ou profanes avant de disséquer leurs cadavres. La simple idée de torturer des monstres souillés avant d'examiner leurs entrailles répugnait même aux eta les plus vils mais Mokuna ne se laissa jamais arréter par ce genre de considérations dans son souci d'aider le clan du Crabe.

Son accomplissement le plus remarquable est cependant d'avoir joué un rôle déterminant dans la création du Thé aux Pétales de Jade, l'elixir couteux qui représente à ce jour le meilleur moyen de freiner efficacement les progrès de la corruption sur une personne souillée. Il entretint également une vaste et très riche correspondance avec les alchimistes du Dragon, les inquisiteurs du Phénix et bien d'autres personnes. Les rares connaissances que les clans les plus éloignés de l'Outremonde ont à son sujet relèvent d'ailleurs souvent des informations qui leur furent fournies par Kuni Mokuna.

Les circonstances exactes de sa mort il y a un peu plus de quatre vingt ans sont difficiles à mettre en évidence. La seule apprentie qui était restée à ses côtés tout ce temps sans devenir folle ou périr était Daidoji Nazoko, une guerrière de la Grue qu'il avait sauvée d'une fin prématurée des décennies auparavant et qui ne l'avait jamais quitté depuis ce jour. Nazoko ne sut ou ne souhaita pas expliquer comment son maître était mort mais elle ne fit rien non plus pour empécher les autres Kuni d'inspecter le laboratoire de Mokuna.
Ce qu'ils y trouvèrent a été passé sous silence mais certains détails ont apparemment filtré au-delà de la famille Kuni. Ses détracteurs prétendent que les shugenja qui vivent dans les Désolations Kuni ont repris à leur compte les expériences impies de Mokuna et se livrent parfois à des rites qui ne diffèrent guère de la maho. Les intéressés ne répondent rien à ce genre d'allégations et peu de gens iraient de toute manière frapper à la porte d'une de leurs tours sinistres pour vérifier par eux-mêmes de quoi il retourne.

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Message par Ashidaka Kenji » 07 févr. 2007, 14:25

pénombre-san, je croyais que le fils de Hida s'appelait Hida Atarasi, pas Atarashi (cf porteurs de jade p 120 ancêtre, dans la marge).
c'est bien le même non ?
Kenji :grue:
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Message par Shosuro Akae » 07 févr. 2007, 14:26

C'est bien Atarasi en effet, je pense que c'est une simple fautede frappe.
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Message par Pénombre » 07 févr. 2007, 14:34

sauf que par la suite ils l'ont rebaptisé Atarashi, vu que "si" n'existe pas en japonais probablement. ;)

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Message par Shosuro Akae » 07 févr. 2007, 14:37

Bah j'vois pas vraiment qu'elle besoin il y avait :chepa:

Mais bon c'est noté :biere:
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Message par KamiSeiTo » 07 févr. 2007, 14:43

Effectivement, en jap c'est "shi" et non "si". n_n
Je me disais, Pénombre-sama, qu'il serait peut-être pas mal que tu mettes à côté des noms des personnages leurs dates de vie et mort... qu'en penses-tu?
Si Dieu existe, sur que c'est un jaunophile!! n_n

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Message par Ashidaka Kenji » 07 févr. 2007, 14:55

pour le "shi" à la place du "si", c'est noté ! merci !
Atarashi ! Atarashi !! va falloir que je m'habitue au son. :fou:
Kenji :grue:
qui a dit qu'un kakita n'était jamais un guerrier

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Message par Irazetsu » 07 févr. 2007, 15:51

Usagi a écrit :Je me disais, Pénombre-sama, qu'il serait peut-être pas mal que tu mettes à côté des noms des personnages leurs dates de vie et mort... qu'en penses-tu?
C'est vrai que c'est un truc qui manque à ta compilation...
Mais je ne doute pas que la version définitive les contiendra ;)
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Message par Pénombre » 07 févr. 2007, 17:47

hé bien non :)

d'abord, parce que lorsque ces dates sont connues, elles sont déjà mentionnées dans le corps du texte si vous lisez bien. Ensuite parce que dés qu'on quitte les ancêtres des vieux Way Of, on tombe soit sur des gars dont on sait juste dans quelle période ils ont vécu (genre début du cinquième siècle), soit sur des types ou on sait juste en quelle année ils sont morts (genre à la bataille de la crète de la vague). De plus, même certains personnages célèbres ont parfois des dates de décès qui ne sont pas garanties, y compris dans les Way Of.

et je vous parle pas des gens dont on ne sait même pas quand ils ont vécu (genre Togashi Nyoko ou Doji Nashiko par exemple)

j'ai préféré opter pour un style narratif qui précise ce qui a lieu de l'être quand l'info existe et laisse dans le flou ce qui n'est pas fourni par AEG ou déductible en croisant les infos. Les inserts de dates entre parenthèses me semblent contreproductives vu qu'elles ne vont pas concerner plus du tiers des personnes citées et que dans l'absolu, c'est pas forcément les dates mais la période et l'exemple du pnj qui risquent d'inspirer les joueurs s'ils les veulent comme ancêtre par exemple.

par contre, il y aura en fin de bouquin un index reprenant pour chaque siècle toutes les personnalités qui y ont laissé une trace et une rubrique spéciale pour les personnages qui sont légendaires mais dont on n'est pas certain de l'époque (genre Doji Nashiko tiens) ou même dont l'existence pourrait préter à question

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Message par Pénombre » 12 mars 2007, 16:19

Quelques personnalités de plus :

Hida Osano-Wo
Bien que ses origines soient des plus particulières et sa destinée assez unique, le second fils du kami Hida est une personnalité sur laquelle on a très peu de doutes et dont la vie est bien connue. Il naquit en l'an 45, trois ans après la défaite de Fu Leng et la disparition de son demi-frère, Hida Atarashi. Sa mère était un avatar humain du Dragon du Tonnerre, entité mystérieuse par excellence. La légende raconte qu'elle rendit visite à Hida qui se morfondait d'avoir perdu son épouse et son premier fils par un soir d'orage et que de leur union naquit Osano-Wo. Il avait à peine dix sept ans lorsque son père abdiqua et entama les longs préparatifs en vue de l'expédition qu'il comptait menait pour retrouver Atarashi. Une des premières décisions d'Osano-Wo fut de décréter l'anéantissement des Trolls, une race hostile et non-humaine dont les territoires se trouvaient près du château de la famille Hiruma. Les derniers des monstres s'enfuirent dans les profondeurs de l'Outremonde ou les forces d'Osano-Wo les poursuivirent mais les guerriers du Crabe se heurtèrent à des créatures de plus en plus féroces et nombreuses. Finalement, Osano-Wo dut adopter une stratégie plus défensive alors que ses incursions avaient apparemment provoqué une grande mobilisation des serviteurs de Fu Leng. Il comprit qu'il ne pourrait gagner une guerre d'usure qu'avec des ressources très conséquentes et décida de prendre épouse dans un autre clan. Il choisit une femme de la famille Matsu et envoya un messager réclamer que les Matsu lui offrent une de leurs nobles filles en mariage. L'homme revint avec quasiment tous les os du corps brisés. Un second messager ne revint pas du tout et Osano-Wo alla réclamer son épouse lui-même. Il fut accueilli par une dame impressionnante, une des premières daimyo des Matsu qui accepta de l'épouser en lui montrant clairement qu'elle ne serait jamais soumise à sa volonté.
Leur union fut comme on pouvait s'y attendre assez malheureuse car l'épouse Matsu d'Osano-Wo était aussi volontaire qu'intransigeante et bien plus versée dans l'art de la guerre que son mari. Lorsqu'elle lui annonça qu'elle était enfin enceinte, il alla célébrer ça en faisant la tournée des villages voisins et en buvant tout le saké qu'il put trouver.
Le lendemain, il se réveilla dans la hutte d'une jeune paysanne souriante, avec un mal de crâne absolument terrible.
Neuf mois plus tard, l'épouse Matsu d'Osano-Wo et la jeune paysanne accouchèrent toutes les deux le même jour de bébés dont le père ne faisait visiblement aucun doute. Osano-Wo reconnut d'ailleurs les deux garçons, malgré la colère de son épouse et ils furent élevés ensemble. Durant leur enfance, Osano-Wo les poussa à s'affronter dans des compétitions de plus en plus sérieuses et lorsqu'ils passèrent leur gempukku, c'est à son fils paysan, Kenzan, qu'il offrit l'épée Chikara, faisant de lui le prochain Champion du Crabe alors que la coutume aurait voulu que Kaimetsu-uo, son fils légitime, soit normalement l'héritier.
La mère de Kaimetsu-uo était bouleversée : non seulement Osano-Wo avait préféré son bâtard à son fils légitime mais celui-ci avait presque toujours surpassé son demi-frère dans leurs compétitions. Lorsqu'elle demanda pourquoi il avait pris une telle décision, Osano-wo répondit "ton fils sera un grand guerrier, un grand Lion, habitué à vaincre. Mais contrairement à son frère, il ne sait pas comment être vaincu et persister malgré tout à combattre".
Alors, l'épouse du champion du Crabe et son fils partirent de Kyuden Hida. Ils prirent la mer, pour aller s'installer sur les îles où Kaimetsu-uo fonderait bientôt sa propre dynastie, le clan de la Mante.
Une vingtaine d'années après ces évènements, en l'an 97, un assassin parvint à tuer Osano-Wo dans des circonstances assez troubles avant de s'enfuir. On aurait pu croire que son histoire s'arrétait là mais le destin n'avait pas encore révélé tous ses secrets. Kenzan, qui menait encore le clan dans sa guerre contre l'Outremonde, ne pouvait se lancer à la poursuite du meurtrier de son père et il demanda son aide à Kaimetu-uo qui traqua l'homme jusqu'aux portes de Kyuden Isawa avec ses fidèles. Les shugenja du Phénix ne savaient rien du meurtre et l'arrivée de la bande d'allure douteuse menée par Kaimetsu-uo leur causa assez d'inquiétude pour qu'ils ferment les portes de leur palais au nez du fils d'Osano-Wo. Celui-ci hurla alors au ciel qu'il souhaitait obtenir la force de son père pour le venger car sans aide, il ne pourrait faire plus. Soudain, un éclair terrifiant creuva le ciel vierge de tout nuage pour frapper les portes de Kyuden Isawa en réponse à ce cri. Les Isawa remirent alors le meurtrier à Kaimetsu-uo et après avoir consulté les augures, ils annoncèrent que cet éclair était bien l'œuvre d'Osano-Wo lui-même. Le fils de Hida et du Dragon du Tonnerre était devenu à sa mort la Fortune de la Foudre et par la suite, son culte se répandit dans tout l'Empire.

Yasuki
A l'aube de l'Empire, la vieille Yasuki n'était ni un héros aux prouesses martiales reconnues, ni un puissant shugenja aux pouvoirs incroyables mais une simple heimin qui dispensait sa considérable sagesse à ses voisins et faisait profiter son entourage de ses dons de prédiction. Elle était également très douée de ses mains et ses doigts agiles étaient des plus utiles à son entourage. C'est dans le village côtier ou elle vivait avec ses enfants qu'elle fit la connaissance du jeune Kakita, qui parcourait alors l'Empire afin d'accomplir les trois épreuves que lui avait imposé Dame Doji parce qu'il souhaitait l'épouser. En échange de ses précieux conseils, la vieille femme obtint de Kakita qu'il vienne s'installer près de son village avec son épouse si jamais il parvenait à ses fins. Elle espérait que son fils pourrait ainsi rencontrer quelque jeune dame de la caste samurai et l'épouser, ce qui lui permettrait de devenir également samurai. C'est effectivement ce qui se produisit et même davantage puisque le fils de Yasuki épousa Kyamori, la sœur jumelle de Kakita lui-même. Le couple fonda une des grandes maisons de la Grue et prit le nom de Yasuki en hommage à la sagesse de la vieille femme. On admet généralement que c'est Yasuki qui montra au valeureux Kakita la beauté intrinsèque et la valeur spirituelle des arts manuels, qu'il s'agisse de créer un éventail de cour ou une paire de sandales. Son jeune ami écouta attentivement ses paroles et ceux qui prirent le nom de Kakita y virent rapidement un moyen d'atteindre l'excellence sans se focaliser uniquement sur les arts guerriers. Ainsi, la vieille Yasuki a joué un rôle essentiel dans la fondation des prestigieux artisans Kakita dont les créations artistiques continuent à éblouir l'Empire tout autant que la qualité de leurs épées et celle de leurs duellistes.
Yasuki continua à vivre tranquillement tandis que l'on batissait Kyuden Doji qui serait le foyer tout proche du clan de la Grue et que son modeste et prospère village grandissait lentement. Elle continua à enseigner les arts manuels et à dispenser sa sagesse. Mais assez rapidement, l'essor des artisans Kakita et l'abondance de richesses dans la bourgade qui deviendrait par la suite un immense port détournèrent la plupart des samurai Yasuki de celle dont ils portaient le nom. Lorsqu'elle mourut alors qu'elle avait déjà vécu plus d'un siècle, Yasuki laissa derrière elle une puissante famille qui n'écoutait plus ses conseils depuis longtemps. Ses parents ne voyaient plus dans les arts manuels que des moyens de s'enrichir et leur intérêt pour le commerce et les biens matériels allait être à la source d'une guerre civile et de leur défection vers le Clan du Crabe quelques siècles plus tard.

Yasuki Kano
A l'encontre de la plupart des représentants de sa famille, Kano qui vécut à la fin du premier siècle continua avec quelques amis à écouter respectueusement la vieille Yasuki durant ses dernières années. Alors que leurs parents préféraient ne voir dans la création d'objets utilitaires ou d'œuvres d'arts que des moyens d'accroitre leur richesse, Kano avait une âme d'artiste et sur son lit de mort, Yasuki fit de lui son héritier spirituel et lui ordonna de fonder une des premières familles vassales de l'Empire.
Les élèves et les descendants de Kano ont continué durant les siècles à produire des œuvres d'art absolument magnifiques qui ne feraient pas honte aux artistes des familles Kakita ou Shiba. Ils ont accompagné les autres Yasuki lorsque ceux-ci entrèrent dans le Clan du Crabe mais ils n'ont jamais renié les valeurs de leur fondateur et de Yasuki. La petite famille Kano est réputée hors du Crabe pour la beauté de ses œuvres et le talent de ses négociateurs paisibles mais malgré son amour des arts, elle n'a jamais non plus fait défaut à son clan dans sa guerre contre l'Outremonde. D'une manière à la fois paradoxale et inattendue, Yasuki Kano est à la source d'une faible lueur de paix et de beauté au sein d'un clan qui en manque grandement.

Yasuki Fumoki
Personnage haut en couleur, Fumoki est dépeint comme un vulgaire pirate par les contes populaires, qui aurait coulé plus d'une centaines de navires affiliés principalement au clan de la Grue mais aussi à ceux de la Mante et du Phénix. Plusieurs de ses contemporains l'accusèrent d'être en fait un corsaire au service des intérets de son clan et non un renégat comme on le prétendait la famille Yasuki mais la question ne fut jamais réglée définitivement. Malgré plusieurs tentatives, Fumoki ne périt pas par la faute de ses victimes mais en 671 durant une tempête qui se serait soudainement levée en mer. Les survivants de son équipage rejoignirent la côte et répandirent par la suite une étrange histoire. Ils prétendirent qu'un gigantesque serpent de mer aurait attaqué leur navire et serait même le responsable de la temête. Selon ces hommes, la dernière fois qu'ils virent leur intrépide capitaine, il enfonçait son katana dans la gueule du monstre au milieu des éclairs et des trombes d'eau. D'aucuns pensent que si la tempête en question eut sans doute bien lieu, il est plus probable que Fumoki fut emporté par les vagues ou même que les séides du pirate le tuèrent afin de se partager son butin.

Hida Tadaka
Tadaka menait son clan dans sa lutte éternelle contre les serviteurs du Dieu Sombre lorsque durant l'année 412, il reçut la visite du champion du Lion Matsu Itagi. Itagi venait directement de la capitale et à la suite de certaines déclarations faites devant l'Empereur, il avait pris l'engagement de s'aventurer seul dans l'Outremonde pour tuer Fu Leng et éviter ainsi que des générations entières de guerriers se sacrifient pour combattre ses suivants. Bien qu'Itagi soit un guerrier redouté, Tadaka tenta de lui faire comprendre qu'il ne parviendrait même pas jusqu'à son ennemi et que l'Outremonde ou ses résidents le tueraient bien avant qu'il ait vraiment pénétré dans les profondeurs des terres corrompues. Matsu Itagi n'écouta pas le champion du Crabe et franchit laissa les fortifications et les avant-postes du Crabe derrière lui.
Trois semaines plus tard, on n'avait aucune nouvelle du champion du Lion et sa sœur, Matsu Oki, faisait route vers les terres du Crabe à la tête d'une immense armée.
Oki ordonna à Tadaka de lui amener son frère et lui reprocha d'avoir tenté de le dissuader et de le discréditer alors que le champion du Crabe avait en fait tenté d'empécher son homologue d'aller à une mort aussi certaine qu'inutile. La sœur d'Itagi promit à Tadaka qu'elle prendrai son château et sa vie si jamais son frère était mort. Le champion du Crabe ne parvint pas à se faire entendre de la guerrière et en fin de compte, il dut se résoudre à la seule décision qu'elle accepterait : il lui jura d'aller chercher lui-même Matsu Itagi et lui assura que s'il revenait seul, elle pourrait lui trancher la tête. Matsu Oki accepta et Tadaka s'équipa à son tour pour partir dans l'Outremonde. Il ne voulait sacrifier aucun de ses hommes pour une mission qu'il pensait sans doute vaine mais après de considérables efforts, il trouva Itagi, l'arme à main. Le champion du Lion était blessé et n'avait plus de jade mais il vivait toujours et il refusait d'abandonner le petit col ou il s'était retranché. Tadaka tenta bien de le persuader que faire retraite était encore la seule chose possible mais devant l'entètement d'Itagi, il hausse les épaules et lui dit qu'il resterait à ses côtés et qu'ils mourraient ensemble.
Trois jours plus tard, un éclaireur de la famille Hiruma croisa le chemin de Tadaka, gravement blessé et qui portait Itagi à l'agonie sur ses épaules. Une escouade ramena rapidement les deux mourants à Kyuden Hiruma ou l'on escorta également Matsu Oki. Celle-ci entendit les derniers mots de son frère qui lui sourit et dit simplement "nous n'avons pas été vaincus". Les deux champions furent enterrés ensemble à la capitale et bien qu'Itagi n'ait pu accomplir son serment de tuer le Sombre Seigneur, son courage et le sacrifice de Hida Tadaka ont grandement contribué au respect prudent qu'éprouvent l'un pour l'autre les clans du Lion et du Crabe.

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Message par Okuma » 13 mars 2007, 08:09

Actuellement, Hida Masiko, la mère d'Atarasi, mourrut au tout début de la guerre et Osano-wo et Atarasi se sont connus. Osano-wo était visiblement proche de son gempukkuu lorsque son frère est partit. Atarasi à d'ailleurs laissé 2 jumeaux à son frère.
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Message par Pénombre » 13 mars 2007, 08:11

donc, Atarashi n'était qu'un enfant à la naissance de Osano-wo ? il ne serait plus né en 45 donc mais avant 42

j'aime pas cette version, mais bon, j'aime pas la plupart des ret-con ;)

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Message par Pénombre » 13 mars 2007, 10:06

tiens, j'ai vérifié un truc :
- dans way of the crab, ils disent que c'est après la disparition d'Atarashi qu'Hida fait le voeu de ne plus avoir d'enfant. Ce voeu dure 3 ans, jusqu'à sa rencontre avec le dragon du tonnerre qui donne naissance à leur fils après leur rencontre. Osano-wo nait donc en 45.

- dans L5a 3ème édition, bouquin de base, ils disent qu'il nait en 48. Sais pas pourquoi.

- maintenant, AEG dit qu'Osano-wo serait né avant la mort de son frère...

Hida Masiko n'apparait dans la gamme publiée que dans Porteurs de Jade. Au moment de sa mort, il est dit dans le texte qui en parle que son époux et son fils (Atarashi) sont au loin à combattre la horde de Fu Leng qui déferle sur l'empire. Masiko évoque même le fait que son fils soit parti avec Shinsei... ce qui daterait sa mort des tous derniers mois du conflit, alors que les tonnerres sont en route vers leur destin. Hida perd donc sa femme et son fils quasiment en même temps. En 42, donc.

tout ça a donc été balayé par AEG. Une fois de plus.

ben tant pis pour eux :)

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Message par Okuma » 13 mars 2007, 15:28

Je pense là que c'est moi qui me suis trompé.
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Message par Pénombre » 13 mars 2007, 15:36

bah, ça nous arrive à tous :)

nous, on est pas payés pour après tout ;)

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