Excuse-moi chère Aïko, mais j'ai un peu de mal avec ce passage: s'agit-il au final de quelqu'un qui connais le bushido mais n'a pas fait sienne ces commandements, ou de quelqu'un qui cherche à comprendre ce que c'est car n'ayant pas "baigné dedans"?Elle, en revanche, ne m’a pas compris. Si elle avait eu autant de respect pour moi que j’en avais pour elle, elle ne se serait pas rebellée, elle m’aurait aidé.
Après tout, sa tâche était facile.
Il lui suffisait de suivre la voie montrée par ses pères, ce code qu’ils ont été jusqu’à graver – par crainte de l’oublier ? – sur le fourreau des sabres que j’ai lancés dans les flammes. Trois caractères presque effacés qui ont terminé dans le brasier leur brève existence: Devoir, Honneur, Commandement.
En d'autre terme: il souhaite découvrir ce que c'est ou alors le connait-il déjà et veut-il être convaincu que c'est une bonne chose pour lui?
Un autre point gênant (à mon sens, note bien), c'est la façon dont il parle des samouraï ennemis... Cf "le" crabe ou "le" grue... Je vais sans doute me faire taper dessus en disant cela, mais ce genre de terme fait "rôliste" et je crois qu'ils n'ont pas leur place dans la narration d'une histoire.
En revanche le sujet est très intéressant.
Ohmi, bushi casse-pieds qui-sait-tout-mieux-que-tout-le-monde-et qui-ferait-mieux-que-tout-le-monde-si-il-faisait-mais-qui-ne-fera-pas-quand-même.
Désolé Aïko, tu rédiges de toute façon de très bons récits (et tu n'as peut-être pas un caractère de lionne, mais vu l'état dans lequel était ton mari la dernière fois que je l'ai vu, je me pose de légitimes questions sur ce qui lui est arrivé
