Seppun Okama a écrit :Mais la question que je me pose est comment gérez vous cet aspect des choses dans vos parties ?
Chez moi, l’apprentissage d’une compétence (ou d’une technique d’école) n’est pas nécessairement lié au suivi d’un cours donné.
Ce n’est pas parce que le personnage passe de 2 à 3 en Calligraphie qu’il vient de s’avaler 3 mois de cours de Calligraphie à raison de 8 heures par jour mettant de coté toute vie sociale ou tout autre activité, tout du moins le gérer ainsi n’est qu’un artifice de jeu pour se faciliter la vie.
Ma vision est plutôt que de par son milieu le personnage a accès à certaines compétences à un certain niveau, l’accès étant de plus en plus difficile avec le niveau.
Ce milieu est fortement dominé par les écoles de clan même si il existe des écoles « privées » et des professeurs dispensant des cours privés à domicile voire des possibilités d’apprentissage seul selon la nature et le type de compétences.
D’une manière générale, un personnage suit les enseignements de compétence de son école d’origine mais l’éloignement géographique peut l’en priver ou la volonté de connaître des domaines de compétences qui n’y sont pas enseigné.
Ainsi, si l’école de bushi Hida enseigne la quasi totalité des compétences de bugei, elle enseigne assez peu de compétences valorisantes. Un personnage voulant s’instruire dans ce domaine devra chercher ailleurs et ceci réduira d’autant sa présence au sein de l’école Hida.
De facto, quelqu’un qui fréquente de moins en moins son école perd ses relations privilégiés, il peut même devenir quelqu’un d’étranger, voire d’hostile si il met en avant ce savoir « étranger » à son milieu.
En cherchant la voie, vous trouverez le vide. Dans le vide est la force sans le mal.