Les exemples de Ogijin me plaisent bien.
Je suis Sasaki Kojirô, mieux connu sous le nom de Ganryû. C'est ainsi que je me fais appeller durant mon musha shugyo et c'est ainsi que je nommerais mon style.
(alors j'ai eu douze traductions pour Ganryû depuis l'idée de montagne (le roc) à celle de saule au bord de la rivière...

)
Cela étant, dans mon exemple et, il me semble, dans ceux d'Ogijin le nom d'emprunt vient se surajouter à celui d'origine. Kojirô parle de nom de guerre mais continue de se présenter communément sous son nom d'origine. J'interprete cela comme, dans le monde spécifique des arts martiaux (et d'ailleurs Yoshioka Seijuro l'appelle ainsi quand il veut l'arrêter lors de leur première rencontre - il y a donc bien une reconnaissance de "pratiquants") je me fais connaître sous un nom ayant une connotation spécifique.
Et dans ce cas là il n'y a aucun pb avec les ancêtres.