Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Surtout s'il s'agit d'en faire un produit D20 car on ne peut pas dire que Qin vise beaucoup le public D20. Je me rappelle être tombé sur une review américaine de Qin dans laquelle le reviewer écrivait que le système de Qin était l'enfer pour les rulelawyers...Pénombre a écrit :Maintenant, si quelqu'un veut s'inspirer de Qin pour faire un jeu parlant de la chine ancienne, avec tous les poncifs du genre et les inspirations classiques, mais qu'il ne reprend pas des paragraphes de Qin, ni ses règles, ni ses situations (encore qu'il n'y ait pas de droits d'auteur pour des situations purement historiques, le cas échéant), ben y a a priori pas de souci.
on le fécilitera pas forcément pour son originalité mais ça ne sera pas non plus du plagiat, dans le sens ou il n'aura pris qu'une thématique de base. S'il est malin, il ne manquera pas de citer Qin en tant que source d'inspiration en prime.
Nan, j'ai pas de lien. J'ai googlisé le truc sans succès.Kakita Inigin a écrit :Lien ?
Pourquoi l'enfer ?
... rude !Shosuro Uso a écrit :L'enfer parce que les RulesNazis le valent bien.
C'est pas la question en fait, après tout regarde L5A...pour savoir si un jeu est commercial ou pas ( il me semble que les éditeurs qui produisent des jdr font ça pour gagner leur vie )
un maître de jeu mauvais peut te dégoûter de n'importe quel jeuMirumoto Ohmi a écrit :C'est pas la question en fait, après tout regarde L5A...pour savoir si un jeu est commercial ou pas ( il me semble que les éditeurs qui produisent des jdr font ça pour gagner leur vie )
Ceci dit, la publication de JdR n'obéi pas uniquement à des considérations commerciales de la part de chaque intervenant heureusement.
En ce qui me concerne j'avais été dégoûté d'ADD deuxième édition en raison de la manière de diriger du maître de jeu, ce qui n'aide pas à avoir une approche constructive par la suite. Ca ne veut absolument pas dire que le jeu/les règles/l'univers étaient en soi mauvais, simplement que je ne pouvais pas les apprécier pleinement compte tenu de la façon dont on jouait (bon, c'était au collège...).