Bonjour, eu égard aux partis pris techniques de la présentation des familles vassales en deuxième édition, j'ai décidé de refondre le dojo rouge... Vous trouverez ci-joint et aux fur et a mesure de mes progrés celles-ci. Quand l'objet sera finit, les personnes intéressé pourront obtenir l'aide de jeu dans sa totalité en m'envoyant un petit mail.
Harfang
Refonte: le dojo Rouge
Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Le Clan du crabe
Clan du Crabe
Les familles vassales sont relativement peu nombreuses au sein du clan du crabe. En effet la séparation très fonctionnelle du rôle de chaque famille dans le clan, et de chaque homme dans la famille, ainsi que du souci de cohésion importante ont amené les daïmio a être très prudent avec cette pratique.
Famille Aiburo * (Vassaux Hida )
Cette famille est née des exploits et du courage du général Hida Aiburo. Les capacités personnelles d'Aiburo en tant que combattant et stratège, eurent un intérêt critique lors de l'expansion crabe vers le nord, après la chute de Kyuden Hiruma. Contrairement à de nombreux crabes, il dédaignait l'usage du tetsubo, pour se concentrer uniquement sur le Sabre et fournissent souvent des tacticiens reconnue
Mon: Une croisée entre une poignée de sabre et une pince de crabe, sur fond rouge pâle, cerclé de gris.
Bénéfice: Constitution +1
Les membres de la famille Aiburo rejoignant l’école de Bushi Hida, doivent remplacer la compétence subojutsu par le Iaijutsu ou un deuxième rang dans la compétence art de la guerre.
Famille Koebi ( vassaux Yasuki )
Cette famille fut fondé il y a de nombreux siècles par le rônin koebi en remerciement pour ses haut fait d’armes en tant que Yoriki puis magistrat. Leurs terres se trouvent le long de la baie des poissons mort. Récemment leur fief a été balayé par un typhon d’un rare violence qui a causé la perte de la quasi totalité de la famille déjà peu nombreuses. L’un des deux jittes ancestraux y a d’ailleurs été perdu
Mon : Un demi cercle traversant tout le mon et scindé par une ligne du même noir, le tout brochant sur un gris bleuté.
Bénéfice : Intuition +1
Les membres de cette famille peuvent remplacé l’une de leurs compétence de bugei par la compétence Jittejutsu.
Famille Masuda *( Vassaux Kaïu )
La famille Masuda a reçut ses titres de noblesse peu après la bataille de la vague, en 718. En ces jours funestes pour le clan du crabe, Kaïu Masuda était le patriarche déjà âgé d'une petite famille et possédait quelques terres en bordure des domaine Hida.
Survint l’invasion des terres Hiruma . Piètre architecte, mais disposant de bonnes terres arables, il vendit les rares richesses ancestrales afin d'engager quelques ronins, il leva également des troupes parmis les paysans de ses terres. Il prit alors le commandement d'une unité hétéroclite de ronins, d'Ashigaru et des quelques membres de sa propre famille. Il fut de ceux qui jaillirent des souterrains du Kaiu Kabe sous le commandement de Hida Banuken.
L'unité de Masuda fit bonne figure, elle montra un courage au moins égal a tout les samouraïs crabes qui se battirent ici. Durant les semaines suivantes, ils participèrent aux nombreuses patrouilles chargé de sécuriser les abords du Kaiu Kabe.
L'hiver arriva, et Masuda s'apprêtait a rentrer sur ses terres quand il fut invité a la cour Kaïu. Malheureusement, la vieillesse et l'épuisement reprirent leur droit, et le vieux Kaïu Masuda rejoint ses aïeux sur le chemin .
C'est son seul enfant a avoir survécu, Kaïu Ogai, qui recut l'honneur de fonder une famille, ainsi que d'y accepter tous les membres survivant de l'unité .
La famille, de petite taille et resté très proche de sa famille lige, ne possède pas d'école particulière, la plupart de ses membres suivent l'école de Bushi Hida ou celle d'ingénieur Kaïu. La famille dispose d'ailleurs de ses propres senseï pour l'école Kaïu. Ils insistent beaucoup sur les disciplines militaire: art de la guerre et siège.
Mon: Une vague rougie sur fond bleu ardoise
Bénéfice: Perception + 1
Famille Meishozo ( Vassaux Kuni )
La famille Meishozo est l’un des rares vassaux des Kuni a avoir survécu à l’assaut de mangeur. Elle fut fondée au VII par un Shugenja Ronin. Celui-ci il rejoint les rangs du clan du crabe, a titre de mercenaire après une année particulièrement difficile pour le clan du Crabe. Son courage et sa puissance y furent si remarqués, qu’il fut bientôt prié de s’entretenir avec la famille Kuni. Il fit preuve durant celui-ci d’une grand savoir en matière de connaissance théorique de la maho. Peu désireux de transmettre gratuitement son savoir, il reçu finalement l’autorisation de créer sa propre famille vassale au sein de la famille Kuni afin d’y transmettre son savoir . Encore aujourd’hui de nombreux pans de l’enseignement des Tsukaï-sagesu sont inspiré des connaissances de Meishozo
Mon : Un crabe noir vu de haut aux pinces disproportionnées, flanqués de deux point noir sur fond vert de gris
Bénéfice : Volonté +1
Les membres de cette famille rejoignant l’école de shugenja Kuni peuvent accéder a la compétence Connaissance : maho
Famille Shito (vassaux Hida)
Cette famille mineure est fort peu unis, ses membres n’ayant d'autres liens entre eux que d'avoir accompli un « hiver des 20 gobelins ». Lorsque le daimyo du Crabe lance un tel événement, c'est pour renflouer les pertes subies dans l'année : toute personne ramenant vingt têtes de gobelins durant l'hiver peut rejoindre la famille Shito en tant que Crabe, sans qu'aucune question ne lui soit posé. Les membres de la famille Shito sont donc tous très différents, mais déterminés. La daimyo actuel est Hida Shito Kuri, un guerrier solitaire et porteur de la souillure (qui se manifeste tout particulièrement aux niveaux de ses yeux). Les daimyos de cette famille sont choisis après un tournoi de chasse aux monstres. Quelques shugenjas réussissent « l'épreuve de l'hiver ». La plupart des membres de cette famille deviennent des berserkers féroces et colériques.
Mon : une tête de gobelin tranchée.
Bénéfice: + 1 volonté.
Famille Wadori* (Vassaux Yasuki)
Les Yazuki ont toujours eu besoin de muscles pour leurs échoppes et leurs caravanes. Les Wadori, qui étaient de simples paysans, remplirent cette fonction depuis toujours. Ils ont prouvés leur discrétion et leur loyauté, et sont devenus des serviteurs appréciés. Aucun Wadori n'a jamais hésité, servant les Yazuki à la fois dans leurs activités légales et illégales… et développant les capacités nécessaires.
Mon: Sans
Bénéfice: +1 Force
Pénalité: Doit acheter l'avantage noble naissance, ou faire partie de la classe des marchands.
Les membres de cette famille ne peuvent accéder a aucune autre école a moins qu’il n’est l’avantage noble naissance.
Ecole Wadori de Furyo shonen
Cette école est au départ une "école" de truand. Les Wadori employés par les Yazuki le sont de manière plus honorable aux titres de garde du corps et équipage de caravanes.
Rang de Techniques : 1
Condition d’admission : aucune , c’est une voie pour débuter.
Bonus : Perception +1
Honneur : 1.0
Compétences : Commerce, Intimidation, Jiu-Jitsu, Nofojutsu, Kuenai, Hisomu, Prendre une compétence de bugei ou dévalorisante.
Voie de progression : Contremaître Yasuki, Marchand yasuki
Techniques
Rang 1: Des amis dans les bas-fonds
Le Furyo Shonen, même s’il est samouraï a ses entrées dans tous les endroits que ne fréquente pas la classe des samouraïs. Une fois par semaine il peut obtenir des informations importantes grâce a ses contacts dans la pègre ou une petite faveur ( matériels, personnels). Attention ces faveurs ont toujours leurs contrecoup, et toutes objets seront empreint de leur origine (un katana au tsuba ébréché, un objet utile mais qui porte le poinçon d'artisan du dragon….). personnage peut utiliser cette faveur une fois par aventure, et il peut être amené à rendre un petit service contre ce don.
Equipements:
Aiburo Kenshi:
Comme les Bushi Hida.
Wadori Furyo Shonen:
( Un objet de qualité médiocre, un objet de qualité luxueuse, le reste moyen). Wakizachi (s'il est samouraï), tatouages distinctifs, Kimono, Une arme au choix, 3 Koku.
Ancêtres:
Hida aiburo
(528-569) 5 points
Hida Aiburo est entré dans les annales du clan du crabe pour trois raisons. La première fut qu'il fut un général d'un grand sens tactique et d'une exemplarité telle, qu'il en inspirait ses hommes. La deuxième c'est qu'il fut l'un des meilleures Kenshi de son époque, et l'un de trois crabes à avoir remporté le tournoi de Topaze pour son Gempuku. Enfin la dernière est son exceptionnelle dévotion au code du Bushido qui lui valut d'être loué par les bardes Ikoma.
Ceux qui ont Aiburo pour ancêtre gagnent 5 points d'honneur. Une fois par jour ils peuvent décider de faire un jet d'art de la guerre, de Kenjutsu, ou de Iaijutsu en utilisant leur honneur, et non le trait correspondant. Mais le fait d'avoir Aiburo comme ancêtre implique également de suivre son exemple, et de ne se focaliser que sur la voie du sabre. Le Kenjutsu, le Iaijutsu sont les seuls compétences d'armes à pouvoir être apprise . Les compétences de défense et d'art de la guerre n'entre pas dans cette interdiction. Contrevenir à cela engendrerais le rejet du samouraï par sa famille, le déshonneur , la perte de tous les avantages liés à cette ancêtre, et le gain des désavantages "déshonoré" ,"brebis galeuse." et "abandonné".
Kaïu Masuda ( 660 - 717 ) 1 Points
Les descendants de Kaïu Masuda bénéficie du sens pragmatique de leur ancêtre, ainsi que de son dévouement.
Ainsi il peuvent lancer et garder un dé supplémentaire dans les compétences d’estimation et de commerce, si ceux –là n’as pas pour but l’enrichissement personnel.
Waidori Shigenobu (???-???) 3 Points
Il est des hommes dont la légende est chanté par les bardes et couverts d'éloges, des hommes dont le nom est un espoir est un réconfort pour les samouraïs…Ce n'est pas le cas de Shigenobu dont la renommée n'est connu qu'au sein de sa famille et des Yasuki. Ses "faits d'armes" sont nombreux, on y compte un bon nombre d'assassinats, de chantages et d'opération douteuse. Il trouva la mort après avoir sauvagement égorgé un éminent courtisan du scorpion et sa jeune fiancée originaire du clan de la grue qui semblait préparer un complot nuisant gravement a la famille Yasuki . Capturé dans les terres même du crabe par des agents scorpions, il avala sa langue afin de ne pas parler, même sous la torture. Impressionné par cet homme et les siens qui semblait prêt à tout pour préserver les intérêts des Yasuki, le clan du scorpion abandonna toute volonté de représailles.
Avoir Shigenobu pour ancêtre permet de refaire un jet de torture, intimidation ou discrétion en dépensant un point de vide. Toutefois, l'aura de méchanceté de leur ancêtre semble transparaître, comme s'il souffrait d'une "mauvaise réputation: brute"
Les familles vassales sont relativement peu nombreuses au sein du clan du crabe. En effet la séparation très fonctionnelle du rôle de chaque famille dans le clan, et de chaque homme dans la famille, ainsi que du souci de cohésion importante ont amené les daïmio a être très prudent avec cette pratique.
Famille Aiburo * (Vassaux Hida )
Cette famille est née des exploits et du courage du général Hida Aiburo. Les capacités personnelles d'Aiburo en tant que combattant et stratège, eurent un intérêt critique lors de l'expansion crabe vers le nord, après la chute de Kyuden Hiruma. Contrairement à de nombreux crabes, il dédaignait l'usage du tetsubo, pour se concentrer uniquement sur le Sabre et fournissent souvent des tacticiens reconnue
Mon: Une croisée entre une poignée de sabre et une pince de crabe, sur fond rouge pâle, cerclé de gris.
Bénéfice: Constitution +1
Les membres de la famille Aiburo rejoignant l’école de Bushi Hida, doivent remplacer la compétence subojutsu par le Iaijutsu ou un deuxième rang dans la compétence art de la guerre.
Famille Koebi ( vassaux Yasuki )
Cette famille fut fondé il y a de nombreux siècles par le rônin koebi en remerciement pour ses haut fait d’armes en tant que Yoriki puis magistrat. Leurs terres se trouvent le long de la baie des poissons mort. Récemment leur fief a été balayé par un typhon d’un rare violence qui a causé la perte de la quasi totalité de la famille déjà peu nombreuses. L’un des deux jittes ancestraux y a d’ailleurs été perdu
Mon : Un demi cercle traversant tout le mon et scindé par une ligne du même noir, le tout brochant sur un gris bleuté.
Bénéfice : Intuition +1
Les membres de cette famille peuvent remplacé l’une de leurs compétence de bugei par la compétence Jittejutsu.
Famille Masuda *( Vassaux Kaïu )
La famille Masuda a reçut ses titres de noblesse peu après la bataille de la vague, en 718. En ces jours funestes pour le clan du crabe, Kaïu Masuda était le patriarche déjà âgé d'une petite famille et possédait quelques terres en bordure des domaine Hida.
Survint l’invasion des terres Hiruma . Piètre architecte, mais disposant de bonnes terres arables, il vendit les rares richesses ancestrales afin d'engager quelques ronins, il leva également des troupes parmis les paysans de ses terres. Il prit alors le commandement d'une unité hétéroclite de ronins, d'Ashigaru et des quelques membres de sa propre famille. Il fut de ceux qui jaillirent des souterrains du Kaiu Kabe sous le commandement de Hida Banuken.
L'unité de Masuda fit bonne figure, elle montra un courage au moins égal a tout les samouraïs crabes qui se battirent ici. Durant les semaines suivantes, ils participèrent aux nombreuses patrouilles chargé de sécuriser les abords du Kaiu Kabe.
L'hiver arriva, et Masuda s'apprêtait a rentrer sur ses terres quand il fut invité a la cour Kaïu. Malheureusement, la vieillesse et l'épuisement reprirent leur droit, et le vieux Kaïu Masuda rejoint ses aïeux sur le chemin .
C'est son seul enfant a avoir survécu, Kaïu Ogai, qui recut l'honneur de fonder une famille, ainsi que d'y accepter tous les membres survivant de l'unité .
La famille, de petite taille et resté très proche de sa famille lige, ne possède pas d'école particulière, la plupart de ses membres suivent l'école de Bushi Hida ou celle d'ingénieur Kaïu. La famille dispose d'ailleurs de ses propres senseï pour l'école Kaïu. Ils insistent beaucoup sur les disciplines militaire: art de la guerre et siège.
Mon: Une vague rougie sur fond bleu ardoise
Bénéfice: Perception + 1
Famille Meishozo ( Vassaux Kuni )
La famille Meishozo est l’un des rares vassaux des Kuni a avoir survécu à l’assaut de mangeur. Elle fut fondée au VII par un Shugenja Ronin. Celui-ci il rejoint les rangs du clan du crabe, a titre de mercenaire après une année particulièrement difficile pour le clan du Crabe. Son courage et sa puissance y furent si remarqués, qu’il fut bientôt prié de s’entretenir avec la famille Kuni. Il fit preuve durant celui-ci d’une grand savoir en matière de connaissance théorique de la maho. Peu désireux de transmettre gratuitement son savoir, il reçu finalement l’autorisation de créer sa propre famille vassale au sein de la famille Kuni afin d’y transmettre son savoir . Encore aujourd’hui de nombreux pans de l’enseignement des Tsukaï-sagesu sont inspiré des connaissances de Meishozo
Mon : Un crabe noir vu de haut aux pinces disproportionnées, flanqués de deux point noir sur fond vert de gris
Bénéfice : Volonté +1
Les membres de cette famille rejoignant l’école de shugenja Kuni peuvent accéder a la compétence Connaissance : maho
Famille Shito (vassaux Hida)
Cette famille mineure est fort peu unis, ses membres n’ayant d'autres liens entre eux que d'avoir accompli un « hiver des 20 gobelins ». Lorsque le daimyo du Crabe lance un tel événement, c'est pour renflouer les pertes subies dans l'année : toute personne ramenant vingt têtes de gobelins durant l'hiver peut rejoindre la famille Shito en tant que Crabe, sans qu'aucune question ne lui soit posé. Les membres de la famille Shito sont donc tous très différents, mais déterminés. La daimyo actuel est Hida Shito Kuri, un guerrier solitaire et porteur de la souillure (qui se manifeste tout particulièrement aux niveaux de ses yeux). Les daimyos de cette famille sont choisis après un tournoi de chasse aux monstres. Quelques shugenjas réussissent « l'épreuve de l'hiver ». La plupart des membres de cette famille deviennent des berserkers féroces et colériques.
Mon : une tête de gobelin tranchée.
Bénéfice: + 1 volonté.
Famille Wadori* (Vassaux Yasuki)
Les Yazuki ont toujours eu besoin de muscles pour leurs échoppes et leurs caravanes. Les Wadori, qui étaient de simples paysans, remplirent cette fonction depuis toujours. Ils ont prouvés leur discrétion et leur loyauté, et sont devenus des serviteurs appréciés. Aucun Wadori n'a jamais hésité, servant les Yazuki à la fois dans leurs activités légales et illégales… et développant les capacités nécessaires.
Mon: Sans
Bénéfice: +1 Force
Pénalité: Doit acheter l'avantage noble naissance, ou faire partie de la classe des marchands.
Les membres de cette famille ne peuvent accéder a aucune autre école a moins qu’il n’est l’avantage noble naissance.
Ecole Wadori de Furyo shonen
Cette école est au départ une "école" de truand. Les Wadori employés par les Yazuki le sont de manière plus honorable aux titres de garde du corps et équipage de caravanes.
Rang de Techniques : 1
Condition d’admission : aucune , c’est une voie pour débuter.
Bonus : Perception +1
Honneur : 1.0
Compétences : Commerce, Intimidation, Jiu-Jitsu, Nofojutsu, Kuenai, Hisomu, Prendre une compétence de bugei ou dévalorisante.
Voie de progression : Contremaître Yasuki, Marchand yasuki
Techniques
Rang 1: Des amis dans les bas-fonds
Le Furyo Shonen, même s’il est samouraï a ses entrées dans tous les endroits que ne fréquente pas la classe des samouraïs. Une fois par semaine il peut obtenir des informations importantes grâce a ses contacts dans la pègre ou une petite faveur ( matériels, personnels). Attention ces faveurs ont toujours leurs contrecoup, et toutes objets seront empreint de leur origine (un katana au tsuba ébréché, un objet utile mais qui porte le poinçon d'artisan du dragon….). personnage peut utiliser cette faveur une fois par aventure, et il peut être amené à rendre un petit service contre ce don.
Equipements:
Aiburo Kenshi:
Comme les Bushi Hida.
Wadori Furyo Shonen:
( Un objet de qualité médiocre, un objet de qualité luxueuse, le reste moyen). Wakizachi (s'il est samouraï), tatouages distinctifs, Kimono, Une arme au choix, 3 Koku.
Ancêtres:
Hida aiburo
(528-569) 5 points
Hida Aiburo est entré dans les annales du clan du crabe pour trois raisons. La première fut qu'il fut un général d'un grand sens tactique et d'une exemplarité telle, qu'il en inspirait ses hommes. La deuxième c'est qu'il fut l'un des meilleures Kenshi de son époque, et l'un de trois crabes à avoir remporté le tournoi de Topaze pour son Gempuku. Enfin la dernière est son exceptionnelle dévotion au code du Bushido qui lui valut d'être loué par les bardes Ikoma.
Ceux qui ont Aiburo pour ancêtre gagnent 5 points d'honneur. Une fois par jour ils peuvent décider de faire un jet d'art de la guerre, de Kenjutsu, ou de Iaijutsu en utilisant leur honneur, et non le trait correspondant. Mais le fait d'avoir Aiburo comme ancêtre implique également de suivre son exemple, et de ne se focaliser que sur la voie du sabre. Le Kenjutsu, le Iaijutsu sont les seuls compétences d'armes à pouvoir être apprise . Les compétences de défense et d'art de la guerre n'entre pas dans cette interdiction. Contrevenir à cela engendrerais le rejet du samouraï par sa famille, le déshonneur , la perte de tous les avantages liés à cette ancêtre, et le gain des désavantages "déshonoré" ,"brebis galeuse." et "abandonné".
Kaïu Masuda ( 660 - 717 ) 1 Points
Les descendants de Kaïu Masuda bénéficie du sens pragmatique de leur ancêtre, ainsi que de son dévouement.
Ainsi il peuvent lancer et garder un dé supplémentaire dans les compétences d’estimation et de commerce, si ceux –là n’as pas pour but l’enrichissement personnel.
Waidori Shigenobu (???-???) 3 Points
Il est des hommes dont la légende est chanté par les bardes et couverts d'éloges, des hommes dont le nom est un espoir est un réconfort pour les samouraïs…Ce n'est pas le cas de Shigenobu dont la renommée n'est connu qu'au sein de sa famille et des Yasuki. Ses "faits d'armes" sont nombreux, on y compte un bon nombre d'assassinats, de chantages et d'opération douteuse. Il trouva la mort après avoir sauvagement égorgé un éminent courtisan du scorpion et sa jeune fiancée originaire du clan de la grue qui semblait préparer un complot nuisant gravement a la famille Yasuki . Capturé dans les terres même du crabe par des agents scorpions, il avala sa langue afin de ne pas parler, même sous la torture. Impressionné par cet homme et les siens qui semblait prêt à tout pour préserver les intérêts des Yasuki, le clan du scorpion abandonna toute volonté de représailles.
Avoir Shigenobu pour ancêtre permet de refaire un jet de torture, intimidation ou discrétion en dépensant un point de vide. Toutefois, l'aura de méchanceté de leur ancêtre semble transparaître, comme s'il souffrait d'une "mauvaise réputation: brute"
Dernière modification par Harfang le 12 mai 2003, 21:11, modifié 1 fois.
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Hantei Romain
Le clan du Dragon
Clan du Dragon
Le clan du dragon n’a pas de politique particulières vis a vis des familles vassales. De fait, elles restent peu nombreuses et essentiellement l’apanage de la famille Mirumoto.
Famille Hayato *(Vassaux Agasha )
Un jour, la magie d'un Shugenja Agasha sauva la vie de l'unique enfant de Hayato, un rônin. Celui-ci prononça alors cette phrase "Tant qu'un Hayato vivra en ce monde, il restera un samouraï pour veiller derrière un Agasha.". Depuis lors, tous les descendants d'Hayato ont servit le clan du dragon sans faillir.
Mon: Des bandes de soie s'entrelaçant
Bénéfice: +1 Perception
Famille Sakishin *(Vassaux Togashi)
La famille Sakishin est la plus récente à s'être vu reconnaître par le clan du dragon. Il y a un siècle seulement qu'elle existe officiellement. Mais si là commence son histoire officielle, elle prend son origine bien plus loin. Les légendes racontaient en son sein, expliquent qu'il y a plusieurs siècles, Sakishin, un célèbre senseï de la famille Mirumoto (ou Togashi selon les versions) réfuta la technique Mirumoto. En effet, il trouvait que l'enseignement était trop tourné vers la technicité, vers la lutte et la victoire ; et que par la même elle était faillible. Ses propos furent extrêmement mal perçut par le Daymio, et il lui fut demandé de se faire Seppuku. Le jour de la cérémonie arriva, mais quand ce jour vint le Daymio de l'époque de la famille Togashi intervint. Il interdit à Sakishin de se faire Seppuku, et il l'exila des terres du dragon jusqu'à ce qu'il puisse prouver ses dires, ou mourir dans l'oubli.
L'histoire officielle s'arrête ici, et rare sont les membres de la famille Sakishin qui connaissent la suite…quant au Togashi, s'ils savent, il n'en on jamais rien dit.
Sakishin fut accueilli dans un monastère d'Ise Zumi. Là il médita sur sa vie, le sens qu'il lui avait donné…Il chercha le Do. Il fonda une famille mêlant son sang à celui d'une Ise Zumi. Au fil des générations et au fil des siècles, sa famille prospéra, un village se forma, puis un autre, aidés en cela par certaines rumeurs qui parlaient d'un seigneur qui protégeait les lieux. Les Togashi savaient, mais il ne dirent rien, et laissèrent faire. Les successeurs de Sakishin cherchèrent tous à rencontrer le Daymio de la famille Togashi, et toujours cela leur fut refuser.
Puis, il y a une centaine d'années, des Ise Zumi vinrent apporter au chef de famille, un ordre du Daymio du dragon. Le descendant direct de Sakishin, Jigoro, devait choisir dix hommes et venir se présenter au palais de la famille Mirumoto. Il s'exécuta.
Là-Bas, le Daïmio du dragon ordonna un combat ente les dix meilleures bushi de l'école Mirumoto et les "Rônins " qui se présentait là, à l'exception de Jigoro.
Pour le Daïmio Mirumoto la chose était difficile. Il ne pouvait refuser, mais le soir même, l'un de ses champions devait affronter Kakita Juno, qui représentait un magistrat de la grue, qui avait été insultant envers lui.
Le combat fut terrible. De part et d'autre, il y eut des morts et des blessés. Et aucun ne prit l'avantage sur l'autre. Ce a quoi le Daymio Togashi conclut que la défaite était double.
Le soir arriva et il ne restait plus aucun samouraï Mirumoto capable de défendre avec succès l'honneur de son seigneur, face à Kakita Juno. C'était grave, d'autant plus que l'honneur de la famille avait déjà été atteint par les événements de l'après-midi. C'est alors que Jigoro se proposa. Trente samouraïs le provoquèrent pour cet affront. Jigoro était impénétrable, comme imprégné de la sérénité des montagnes, d'ailleurs il ne semblait même pas là, les samouraïs ne semblaient même pas trouver d'adversaire en face d'eux. "Comment peut-on vaincre ce qui n'est pas ?" Demanda l'un d'eux au Daymio Mirumoto. "En ne l'affrontant pas." Répondit-il..
Le soir même Kakita Juno tombé sous la frappe de Jigoro, sans même que son sabre soit sorti de son Saya.
Le lendemain, Jigoro était élevé par Togashi au rang de Daymio vassale. Il choisit le nom de Sakishin, ce qui ne fut pas du goût de la famille Mirumoto.
Fort des centaines de descendants de Sakishin, poussé par une spiritualité forte, et par leur "non-technique" de combat, la famille prit immédiatement un formidable essor. D'ailleurs, nombres de Sakishin ont été accueilli dans les écoles Agasha, et même pour certains dans l'école Isawa, pour laquelle ils semblent posséder une grande prédisposition.
Au plan politique, la rivalité avec les Mirumoto ne cesse pourtant de grandir, tant leurs idéologies martiales semblent différentes. De plus, bien qu'ils soient vassaux des Togashi, et qu'il existe toujours un monastère habité par quelques Ise Zumi, leur lien avec le Daymio est presque inexistant. Cette indépendance très forte, et tout à fait toléré par les Togashi, renforce encore la jalousie et les oppositions entre les Mirumoto et les Sakishin.
Par ailleurs, l'enseignement des Sakishin, comprend "un embrasement du monde" que certains élèves décident d'accomplir en voyageant quelques années dans Rokugan (période durant laquelle ils sont déchargés de leurs devoirs, mais n'ont pas le droit de revenir sur leurs terres, ni d'aides à demander) et qui crée, de ce fait, quelques tensions avec le clan de la libellule. Certains dans ce clan, craignant qu'à long terme cela ronge une partie de leurs prérogatives.
Enfin, leurs réussites dans de nombreux tournois ont créé la surprise. Une surprise d'autant plus désagréable pour certains membres de la famille Kakita : ils n'étaient plus la seule école de duelliste de Rokugan
Mon: Un dragon s'enroulant sur lui-même
Bénéfice: + 1 Réflexes
Famille Usami * (Vassaux Mirumoto )
Les Usami sont des Guerriers -philosophes qui ont gagnés leurs lettres de noblesses en aidant les Mirumoto à élaborer les lignes et plans de défense du Clan. Leurs terres se trouvent prés de celles des Togashi, et nombre d'entre eux tentent d'ailleurs d'en trouver le chemin. Pour le reste, leur philosophie est inspiré par les nombreux Ise-Zumi qui font halte chez eux. Toutefois, leur vision est plus pragmatique et s'éloigne de l'approche, par trop contemplative à leurs yeux, des Togashi et des Sakishin. Leur philosophie est plus orientée vers l'action, que vers la contemplation. Ils prônent a l'instar de leur fondateur, Mirumoto Usami la "Vérité dynamique de l'action".
Leur mission officiel est de défendre les montagnes au sud ouest de Kyuden Togashi…même si aucune armée ne s'y est jamais présenté.
La famille Usami a également fournit de nombreux officiers de grande compétence au clan.
Mon: Tourbillon de neige sur fond vert émeraude.
Bénéfice: +1 Intuition
Les membres de cette famille rejoignent quasi exclusivement l’école de Buhsi Mirumoto. Ils peuvent remplacer une de leur compétence initiale par Nazodo ou art de la guerre
Ecole de Yojimbo Hayato
Ceux qui partagent le serment éternel des Hayato apprennent la voie du Yojimbo, celui qui est prêt a sacrifier sa vie pour préserver le sang Agasha. Cette école enseigne l'art du combat a l'épée et au saya .
Bénéfice: +1 Réflexes
Honneur: 2.5
Compétences: Défense 2, Etiquette, Iaijutsu, Kenjutsu, Connaissance: Shugenja , N'importe qu'elle compétence de bugei.
Voie de progression : Bushi Mirumoto. Cette école se distingue toutefois par le fait que le Ni-ten n’y ait pas pratiqué avec le Wakizashi mais avec le saya métallique ( VD 0g2 ), plus rarement celle de Yojimbo Shiba
Techniques
Rang 1: Briser la vague
A ce rang le yojimbo a apprit à combattre en utilisant la technique de l'épée et du Saya caractéristique du style Hayato. Si le Bushi a son Saya dans la main gauche, il peut garder deux dès quand il utilise une défense total. En dépensant un point de vide le bushi peut également rediriger vers toutes les attaques armées visant une personne situé dans les trois mètres
Ecole de Duelliste Sakishin
Cette école est appelée "école de l'éveil" par ses pratiquants. Ses pratiquants ne la considère d'ailleurs pas comme une école de Bushi, même si elle est considéré comme tel à l'extérieur.
Le maître mot en est le Satori 'l'éveil à soi-même et à la réalité" . Plutôt qu'une description de l'état d'esprit de l'école, mieux vaut citer quelques sentences qu'ont laissés les maîtres au fil du temps: "Un Bushi courageux n'est pas un Bushi qui est déjà-mort, mais un Bushi qui ne fait qu'un avec l'essence de la vie. Le Chi" "La voie n'est pas d'apprendre mais de ressentir" " Vaincre n'est rien, comme opposer une force à une force n'est rien" " La technique n'est qu'un chemin qui a été parcourue par un autre. Suivre un chemin qui n'est pas nôtre, c'est se perdre. "
En résumé, cette école s'appuis sur trois principes:
- La non-résistance
- La non-technique: la frappe sans pensée
- L'éveil
Elle enseigne avant tout un art de vivre et une maîtrise intérieur, dont le Iaijutsu est l'expression et le moyen le plus sensible. La plupart des entraînements se pratique sans adversaire.
NB: Rares sont les élèves extérieurs a la famille qui rejoigne cette école. Bien souvent ils sont écœurés par les longues heures de méditation assise, ou les incessantes énigmes de Nazodo , et renonce à l'intégrer.
Bénéfices de l'école: + 1 Vide
Honneur : 2.5
Compétences: Kenjutsu, Iaijustsu , Nazodo, Méditation, Défense, une compétence artistique ou artisanale au choix.
Techniques
Bien que portant des noms différents les techniques de l’école de Duelliste sakishin sont semblable a celle de l’école de Kensai mirumoto avec laquelle ils entretiennent d’ailleurs de très bon rapport :
Rang 1: L'éveil [au vide]
Au tout début est l'éveil, celui de savoir se laisser porter par l'énergie et l'instinct du moment. Ne plus agir, mais ressentir, et se libérer entièrement dans l'instant présent.
Techniquement semblable au rang 1 de l’école de Kensaï mirumoto
Rang 2: Voir au-dedans de soi
Le bushi a atteint la vision intérieur. Il ne fait qu'un avec l'action. L'esprit se libère lui aussi de ses entraves.
Techniquement semblable au rang 2 de l’école de Kensaï mirumoto
Rang 3: La réalisation [du vide]
Le Bushi se fond dans le vide. Il ne pense plus , il agit. Le corps se libère des entraves terrestres. Il ne pense même plus a agir, il est l'action.
Techniquement semblable au rang 3 de l’école de Kensaï mirumoto
Rang 4 : L’abandon [ au vide ]
Au seuil de la montagne, il faut savoir désapprendre. Le duelliste sakishin apprend a rejeter le chemin qu’il a déjà parcouru.
Techniquement semblable au rang 4 de l’école de Kensaï Mirumoto.
Rang 5 :La renaissance [Au vide]
Techniquement semblable au rang 5 de l’école de Kensaï Mirumoto.
Technique secrète et avancé de l’école de duelliste sakishin.
Cette technique n'existe pas réellement. Elle n'est pas enseignée, mais parfois, il arrive que certains Bushi Sakishin l'atteignent si leur rang de vide est 5, que leur réputation est suffisante, et qu'ils n'ont pas intégrés une autre école. C'est la fameuse non-technique de Sakishin. Ceux qui l'on atteint ne révéleront pas son existence, puisque ce n'est même pas une technique apprise mais un état..
Pré-requis :
Traits : Vide 5.
Compétences : Kenjustu 4, Iaijutsu 4, Nazodo 4, Méditation 4, Shintao 4,
Avantages : Calme
Autres : seul un Duelliste Sakishin ou un Kensaï mirumoto peut rejoindre cette école.
Rang 6: Le Satori [unir et transcender le vide]
NB: A ce stade, le bushi atteint le Satori, la fin de sa quête et sa redécouverte du monde. L'éveil, la réalisation, la vision intérieur sont des synonymes: c'est simplement la conscience enfin libre d'exister, non pour soi, non pour qui ou quoi que ce soit. "Exister" et non plus "Désirer exister". Il a pénétré la cause de la vie et de la mort. Il est libre de toute pensée égoïste, ne nourrit aucune émotion négative, ne calcul , ni ne délibère. Le Chi n'est plus entraver par quoique ce soit, même plus par le désir de l'atteindre, il se déverse en permanence dans le corps du Bushi.
Les points de vide dépensé sur une action ne sont perdu que si l'action échoue. Si elle réussit, le flot intarissable du Chi du maître n'est pas altéré, et il regagne instantanément son Vide initial.
Equipements :
Yojimbo Hayato
Comme un Bushi Mirumoto. (les saya sont métallique)
Duelliste Sakishin
Comme un kensaï Mirumoto.
Ancêtres:
Hayato (3??-??) 4 Points
Les descendants spirituels d'Hayato ont puissamment gravé en eux le serment et la dévotion de leur ancêtre. Ils réussissent automatiquement tout leur jet d'honneur et de volonté quand il s'agit de protéger un membre de la famille Agasha. Ils ne peuvent par ailleurs intenter aucune action visant à nuire à un Agasha.
Mirumoto Usami (5??-???) 4 Points
Brillant élève de l'école Mirumoto, Usami était également connu dans sa jeunesse pour son matérialisme , et ses penchants pour le beau sexe, qu'il ravissait de ses compositions poétiques.
Il fut blessé lors d'un duel face au vieux père d'une demoiselle qu'il avait offensé. L'homme âgé l'avait vaincu , alors qu'il était maître de calligraphie et n'avait qu'une connaissance grossière du Kenjutsu par rapport a lui.
Comprenant mal les raisons de sa défaite, Usami fit alors retraite dans un monastère, il y resta une année d'ou il ressortit transformé. Le jeune garçon impétueux et coureur de jupons s'était métamorphosé en un samouraï réfléchi et serein, qui n'avait rien perdu de son sens de la poésie.
Durant tout le reste de sa vie, il se consacra a l'étude du Niten-jutsu, et rédigea également plusieurs recueils de poésie. Son enseignement, quoi qu'étant critiquer par quelque conservateur de l'école Mirumoto, fut plutôt bien accueilli, et lui donna plusieurs dizaines d'adeptes.
Déjà âgé , il commanda le contingent Mirumoto qui combattait a coté des Togashi lors de la bataille de la Neige rouge, quand Akodo Meikuko mena une armée de vingt milles hommes jusqu'a Kyuden Togashi .
Outre ses conseils avisés durant la bataille, il assista a l'entretien entre Togashi et Meikuko. Il honora sa mort et celles de ses guerriers d'un fort beau Haikyu, qu'il transmis a la famille Ikoma.
Peu de temps plus tard, Togashi donna les terres montagneuses situé au Sud-ouest de Kyuden Togashi, celles même au travers desquelles les armées du Lion avaient progressées et souffert mille morts. Ce serait a lui et ses descendants de faire en sorte que plus aucun envahisseur ne les réempruntent.
Ceux qui ont pour ancêtre Mirumoto Usami ont hérités de son esprit calme et acéré. Ils bénéficient d'une augmentation gratuite en Poésie, Shintao et art de la guerre.
Sakishin (???-???) 7 Points
Sakishin fut un célèbre senseï de la famille Mirumoto. Il y a de cela des siècles, il réfuta la technique Mirumoto trouvant celle ci trop focalisée sur la victoire et l'efficacité brute. Il fut sauvé du Seppuku par le Daymio de la famille Togashi qui l'exila jusqu'à ce qu'il est prouvé ses dires.
L'histoire officielle s'arrête ici et rare sont les membres de la famille Sakishin qui connaisse la suite…quant aux Togashi, s'ils savent, il n'en on jamais rien dit.
Sakishin fut accueilli dans un monastère d'Ise Zumi, là, il médita sur sa vie, le sens qu'il lui avait donné…Il chercha le Do. Il fonda une famille mêlant son sang à celui d'une Ise Zumi, Beiko. Puis rejoignit un village proche avec son épouse, s'y installa et ne cessa jusqu'à la fin de sa vie de se plonger dans la voie qu'il cherchait et finit par la trouver. A un tel point que toute preuve était inutile puisque le Daymio Togashi, pour lui avoir laisser sa chance, savait déjà, et que s'opposer aux Mirumoto serait aller à l'encontre de la voie.
Ceux qui ont pour ancêtre Sakishin sont initiés à certains mystère que peu d'autres connaissent (cf.: la voie du dragon), ils connaissent aussi l'existence du Satori, l'ultime non-technique de Sakishin qu'ils peuvent atteindre dès qu'ils ont une réputation suffisantes pour les faire accéder au rang de réputation 4, et peuvent posséder un tatouage Ise Zumi du fait que quelques gouttes du sang de son épouse coule en eux (auquel cas ils perdent trois point d'honneur, les moines tatoués du dragon ayant tout de même une réputation douteuse auprès de la majorité des samouraïs).
Toutefois, les secrets qu'ils détiennent se retourneraient contre eux s'ils les révélaient, non seulement personne ne les croirait, mais cela leur nuiraient au point de les déshonorer , et de les faire passer pour fou.
Sakishin Jigoro (956-1061) 3 Points
Jigoro fut le fondateur officiel de la famille Sakishin, et celui qui défit Kakita Juno, un grand duelliste du clan du Héron. Son histoire relativement récente est bien connue. Beaucoup se souviennent de lui comme de quelqu'un d'une sérénité étonnante, non dénuée d'humour. Comme lui-même répondait à beaucoup de question, il connaissait "la place juste". Cela a put prêter à beaucoup d'interprétation, mais une chose est sure ses exploits restent là. Il était capable de vaincre une classe d'élèves de son dojo à mains nues, pouvait discuter pendant des heures avec un Ise Zumi et le comprendre, rester en position Za Zen durant plus de trois jours… C'est lui qui acheva l'enseignement de Sakishin en le formalisant, au moyen de la pratique du Nazodo, de la méditation assise , de la cérémonie du thé etc... Si c'est à Sakishin que l'on doit l'idéologie de l'école, c'est a Jigoro que revient la pédagogie et l'institution de celle-ci. Certains lui reprochèrent cette formalisation…Ce à quoi il se contenta de sourire, en soulignant que l'intérêt d'un chemin tracé était de s'en éloigné. Il mourut à un âge canonique, sans jamais mettre fin à ses entraînements.
Ses descendants bénéficient de son excellente maîtrise formelle, et d'un bonus en réputation de dix points sur l'école Sakishin, en ce qui concerne les passages de rang. Ils peuvent acquérir l'avantage clairvoyant, pour un point de moins.
Le clan du dragon n’a pas de politique particulières vis a vis des familles vassales. De fait, elles restent peu nombreuses et essentiellement l’apanage de la famille Mirumoto.
Famille Hayato *(Vassaux Agasha )
Un jour, la magie d'un Shugenja Agasha sauva la vie de l'unique enfant de Hayato, un rônin. Celui-ci prononça alors cette phrase "Tant qu'un Hayato vivra en ce monde, il restera un samouraï pour veiller derrière un Agasha.". Depuis lors, tous les descendants d'Hayato ont servit le clan du dragon sans faillir.
Mon: Des bandes de soie s'entrelaçant
Bénéfice: +1 Perception
Famille Sakishin *(Vassaux Togashi)
La famille Sakishin est la plus récente à s'être vu reconnaître par le clan du dragon. Il y a un siècle seulement qu'elle existe officiellement. Mais si là commence son histoire officielle, elle prend son origine bien plus loin. Les légendes racontaient en son sein, expliquent qu'il y a plusieurs siècles, Sakishin, un célèbre senseï de la famille Mirumoto (ou Togashi selon les versions) réfuta la technique Mirumoto. En effet, il trouvait que l'enseignement était trop tourné vers la technicité, vers la lutte et la victoire ; et que par la même elle était faillible. Ses propos furent extrêmement mal perçut par le Daymio, et il lui fut demandé de se faire Seppuku. Le jour de la cérémonie arriva, mais quand ce jour vint le Daymio de l'époque de la famille Togashi intervint. Il interdit à Sakishin de se faire Seppuku, et il l'exila des terres du dragon jusqu'à ce qu'il puisse prouver ses dires, ou mourir dans l'oubli.
L'histoire officielle s'arrête ici, et rare sont les membres de la famille Sakishin qui connaissent la suite…quant au Togashi, s'ils savent, il n'en on jamais rien dit.
Sakishin fut accueilli dans un monastère d'Ise Zumi. Là il médita sur sa vie, le sens qu'il lui avait donné…Il chercha le Do. Il fonda une famille mêlant son sang à celui d'une Ise Zumi. Au fil des générations et au fil des siècles, sa famille prospéra, un village se forma, puis un autre, aidés en cela par certaines rumeurs qui parlaient d'un seigneur qui protégeait les lieux. Les Togashi savaient, mais il ne dirent rien, et laissèrent faire. Les successeurs de Sakishin cherchèrent tous à rencontrer le Daymio de la famille Togashi, et toujours cela leur fut refuser.
Puis, il y a une centaine d'années, des Ise Zumi vinrent apporter au chef de famille, un ordre du Daymio du dragon. Le descendant direct de Sakishin, Jigoro, devait choisir dix hommes et venir se présenter au palais de la famille Mirumoto. Il s'exécuta.
Là-Bas, le Daïmio du dragon ordonna un combat ente les dix meilleures bushi de l'école Mirumoto et les "Rônins " qui se présentait là, à l'exception de Jigoro.
Pour le Daïmio Mirumoto la chose était difficile. Il ne pouvait refuser, mais le soir même, l'un de ses champions devait affronter Kakita Juno, qui représentait un magistrat de la grue, qui avait été insultant envers lui.
Le combat fut terrible. De part et d'autre, il y eut des morts et des blessés. Et aucun ne prit l'avantage sur l'autre. Ce a quoi le Daymio Togashi conclut que la défaite était double.
Le soir arriva et il ne restait plus aucun samouraï Mirumoto capable de défendre avec succès l'honneur de son seigneur, face à Kakita Juno. C'était grave, d'autant plus que l'honneur de la famille avait déjà été atteint par les événements de l'après-midi. C'est alors que Jigoro se proposa. Trente samouraïs le provoquèrent pour cet affront. Jigoro était impénétrable, comme imprégné de la sérénité des montagnes, d'ailleurs il ne semblait même pas là, les samouraïs ne semblaient même pas trouver d'adversaire en face d'eux. "Comment peut-on vaincre ce qui n'est pas ?" Demanda l'un d'eux au Daymio Mirumoto. "En ne l'affrontant pas." Répondit-il..
Le soir même Kakita Juno tombé sous la frappe de Jigoro, sans même que son sabre soit sorti de son Saya.
Le lendemain, Jigoro était élevé par Togashi au rang de Daymio vassale. Il choisit le nom de Sakishin, ce qui ne fut pas du goût de la famille Mirumoto.
Fort des centaines de descendants de Sakishin, poussé par une spiritualité forte, et par leur "non-technique" de combat, la famille prit immédiatement un formidable essor. D'ailleurs, nombres de Sakishin ont été accueilli dans les écoles Agasha, et même pour certains dans l'école Isawa, pour laquelle ils semblent posséder une grande prédisposition.
Au plan politique, la rivalité avec les Mirumoto ne cesse pourtant de grandir, tant leurs idéologies martiales semblent différentes. De plus, bien qu'ils soient vassaux des Togashi, et qu'il existe toujours un monastère habité par quelques Ise Zumi, leur lien avec le Daymio est presque inexistant. Cette indépendance très forte, et tout à fait toléré par les Togashi, renforce encore la jalousie et les oppositions entre les Mirumoto et les Sakishin.
Par ailleurs, l'enseignement des Sakishin, comprend "un embrasement du monde" que certains élèves décident d'accomplir en voyageant quelques années dans Rokugan (période durant laquelle ils sont déchargés de leurs devoirs, mais n'ont pas le droit de revenir sur leurs terres, ni d'aides à demander) et qui crée, de ce fait, quelques tensions avec le clan de la libellule. Certains dans ce clan, craignant qu'à long terme cela ronge une partie de leurs prérogatives.
Enfin, leurs réussites dans de nombreux tournois ont créé la surprise. Une surprise d'autant plus désagréable pour certains membres de la famille Kakita : ils n'étaient plus la seule école de duelliste de Rokugan
Mon: Un dragon s'enroulant sur lui-même
Bénéfice: + 1 Réflexes
Famille Usami * (Vassaux Mirumoto )
Les Usami sont des Guerriers -philosophes qui ont gagnés leurs lettres de noblesses en aidant les Mirumoto à élaborer les lignes et plans de défense du Clan. Leurs terres se trouvent prés de celles des Togashi, et nombre d'entre eux tentent d'ailleurs d'en trouver le chemin. Pour le reste, leur philosophie est inspiré par les nombreux Ise-Zumi qui font halte chez eux. Toutefois, leur vision est plus pragmatique et s'éloigne de l'approche, par trop contemplative à leurs yeux, des Togashi et des Sakishin. Leur philosophie est plus orientée vers l'action, que vers la contemplation. Ils prônent a l'instar de leur fondateur, Mirumoto Usami la "Vérité dynamique de l'action".
Leur mission officiel est de défendre les montagnes au sud ouest de Kyuden Togashi…même si aucune armée ne s'y est jamais présenté.
La famille Usami a également fournit de nombreux officiers de grande compétence au clan.
Mon: Tourbillon de neige sur fond vert émeraude.
Bénéfice: +1 Intuition
Les membres de cette famille rejoignent quasi exclusivement l’école de Buhsi Mirumoto. Ils peuvent remplacer une de leur compétence initiale par Nazodo ou art de la guerre
Ecole de Yojimbo Hayato
Ceux qui partagent le serment éternel des Hayato apprennent la voie du Yojimbo, celui qui est prêt a sacrifier sa vie pour préserver le sang Agasha. Cette école enseigne l'art du combat a l'épée et au saya .
Bénéfice: +1 Réflexes
Honneur: 2.5
Compétences: Défense 2, Etiquette, Iaijutsu, Kenjutsu, Connaissance: Shugenja , N'importe qu'elle compétence de bugei.
Voie de progression : Bushi Mirumoto. Cette école se distingue toutefois par le fait que le Ni-ten n’y ait pas pratiqué avec le Wakizashi mais avec le saya métallique ( VD 0g2 ), plus rarement celle de Yojimbo Shiba
Techniques
Rang 1: Briser la vague
A ce rang le yojimbo a apprit à combattre en utilisant la technique de l'épée et du Saya caractéristique du style Hayato. Si le Bushi a son Saya dans la main gauche, il peut garder deux dès quand il utilise une défense total. En dépensant un point de vide le bushi peut également rediriger vers toutes les attaques armées visant une personne situé dans les trois mètres
Ecole de Duelliste Sakishin
Cette école est appelée "école de l'éveil" par ses pratiquants. Ses pratiquants ne la considère d'ailleurs pas comme une école de Bushi, même si elle est considéré comme tel à l'extérieur.
Le maître mot en est le Satori 'l'éveil à soi-même et à la réalité" . Plutôt qu'une description de l'état d'esprit de l'école, mieux vaut citer quelques sentences qu'ont laissés les maîtres au fil du temps: "Un Bushi courageux n'est pas un Bushi qui est déjà-mort, mais un Bushi qui ne fait qu'un avec l'essence de la vie. Le Chi" "La voie n'est pas d'apprendre mais de ressentir" " Vaincre n'est rien, comme opposer une force à une force n'est rien" " La technique n'est qu'un chemin qui a été parcourue par un autre. Suivre un chemin qui n'est pas nôtre, c'est se perdre. "
En résumé, cette école s'appuis sur trois principes:
- La non-résistance
- La non-technique: la frappe sans pensée
- L'éveil
Elle enseigne avant tout un art de vivre et une maîtrise intérieur, dont le Iaijutsu est l'expression et le moyen le plus sensible. La plupart des entraînements se pratique sans adversaire.
NB: Rares sont les élèves extérieurs a la famille qui rejoigne cette école. Bien souvent ils sont écœurés par les longues heures de méditation assise, ou les incessantes énigmes de Nazodo , et renonce à l'intégrer.
Bénéfices de l'école: + 1 Vide
Honneur : 2.5
Compétences: Kenjutsu, Iaijustsu , Nazodo, Méditation, Défense, une compétence artistique ou artisanale au choix.
Techniques
Bien que portant des noms différents les techniques de l’école de Duelliste sakishin sont semblable a celle de l’école de Kensai mirumoto avec laquelle ils entretiennent d’ailleurs de très bon rapport :
Rang 1: L'éveil [au vide]
Au tout début est l'éveil, celui de savoir se laisser porter par l'énergie et l'instinct du moment. Ne plus agir, mais ressentir, et se libérer entièrement dans l'instant présent.
Techniquement semblable au rang 1 de l’école de Kensaï mirumoto
Rang 2: Voir au-dedans de soi
Le bushi a atteint la vision intérieur. Il ne fait qu'un avec l'action. L'esprit se libère lui aussi de ses entraves.
Techniquement semblable au rang 2 de l’école de Kensaï mirumoto
Rang 3: La réalisation [du vide]
Le Bushi se fond dans le vide. Il ne pense plus , il agit. Le corps se libère des entraves terrestres. Il ne pense même plus a agir, il est l'action.
Techniquement semblable au rang 3 de l’école de Kensaï mirumoto
Rang 4 : L’abandon [ au vide ]
Au seuil de la montagne, il faut savoir désapprendre. Le duelliste sakishin apprend a rejeter le chemin qu’il a déjà parcouru.
Techniquement semblable au rang 4 de l’école de Kensaï Mirumoto.
Rang 5 :La renaissance [Au vide]
Techniquement semblable au rang 5 de l’école de Kensaï Mirumoto.
Technique secrète et avancé de l’école de duelliste sakishin.
Cette technique n'existe pas réellement. Elle n'est pas enseignée, mais parfois, il arrive que certains Bushi Sakishin l'atteignent si leur rang de vide est 5, que leur réputation est suffisante, et qu'ils n'ont pas intégrés une autre école. C'est la fameuse non-technique de Sakishin. Ceux qui l'on atteint ne révéleront pas son existence, puisque ce n'est même pas une technique apprise mais un état..
Pré-requis :
Traits : Vide 5.
Compétences : Kenjustu 4, Iaijutsu 4, Nazodo 4, Méditation 4, Shintao 4,
Avantages : Calme
Autres : seul un Duelliste Sakishin ou un Kensaï mirumoto peut rejoindre cette école.
Rang 6: Le Satori [unir et transcender le vide]
NB: A ce stade, le bushi atteint le Satori, la fin de sa quête et sa redécouverte du monde. L'éveil, la réalisation, la vision intérieur sont des synonymes: c'est simplement la conscience enfin libre d'exister, non pour soi, non pour qui ou quoi que ce soit. "Exister" et non plus "Désirer exister". Il a pénétré la cause de la vie et de la mort. Il est libre de toute pensée égoïste, ne nourrit aucune émotion négative, ne calcul , ni ne délibère. Le Chi n'est plus entraver par quoique ce soit, même plus par le désir de l'atteindre, il se déverse en permanence dans le corps du Bushi.
Les points de vide dépensé sur une action ne sont perdu que si l'action échoue. Si elle réussit, le flot intarissable du Chi du maître n'est pas altéré, et il regagne instantanément son Vide initial.
Equipements :
Yojimbo Hayato
Comme un Bushi Mirumoto. (les saya sont métallique)
Duelliste Sakishin
Comme un kensaï Mirumoto.
Ancêtres:
Hayato (3??-??) 4 Points
Les descendants spirituels d'Hayato ont puissamment gravé en eux le serment et la dévotion de leur ancêtre. Ils réussissent automatiquement tout leur jet d'honneur et de volonté quand il s'agit de protéger un membre de la famille Agasha. Ils ne peuvent par ailleurs intenter aucune action visant à nuire à un Agasha.
Mirumoto Usami (5??-???) 4 Points
Brillant élève de l'école Mirumoto, Usami était également connu dans sa jeunesse pour son matérialisme , et ses penchants pour le beau sexe, qu'il ravissait de ses compositions poétiques.
Il fut blessé lors d'un duel face au vieux père d'une demoiselle qu'il avait offensé. L'homme âgé l'avait vaincu , alors qu'il était maître de calligraphie et n'avait qu'une connaissance grossière du Kenjutsu par rapport a lui.
Comprenant mal les raisons de sa défaite, Usami fit alors retraite dans un monastère, il y resta une année d'ou il ressortit transformé. Le jeune garçon impétueux et coureur de jupons s'était métamorphosé en un samouraï réfléchi et serein, qui n'avait rien perdu de son sens de la poésie.
Durant tout le reste de sa vie, il se consacra a l'étude du Niten-jutsu, et rédigea également plusieurs recueils de poésie. Son enseignement, quoi qu'étant critiquer par quelque conservateur de l'école Mirumoto, fut plutôt bien accueilli, et lui donna plusieurs dizaines d'adeptes.
Déjà âgé , il commanda le contingent Mirumoto qui combattait a coté des Togashi lors de la bataille de la Neige rouge, quand Akodo Meikuko mena une armée de vingt milles hommes jusqu'a Kyuden Togashi .
Outre ses conseils avisés durant la bataille, il assista a l'entretien entre Togashi et Meikuko. Il honora sa mort et celles de ses guerriers d'un fort beau Haikyu, qu'il transmis a la famille Ikoma.
Peu de temps plus tard, Togashi donna les terres montagneuses situé au Sud-ouest de Kyuden Togashi, celles même au travers desquelles les armées du Lion avaient progressées et souffert mille morts. Ce serait a lui et ses descendants de faire en sorte que plus aucun envahisseur ne les réempruntent.
Ceux qui ont pour ancêtre Mirumoto Usami ont hérités de son esprit calme et acéré. Ils bénéficient d'une augmentation gratuite en Poésie, Shintao et art de la guerre.
Sakishin (???-???) 7 Points
Sakishin fut un célèbre senseï de la famille Mirumoto. Il y a de cela des siècles, il réfuta la technique Mirumoto trouvant celle ci trop focalisée sur la victoire et l'efficacité brute. Il fut sauvé du Seppuku par le Daymio de la famille Togashi qui l'exila jusqu'à ce qu'il est prouvé ses dires.
L'histoire officielle s'arrête ici et rare sont les membres de la famille Sakishin qui connaisse la suite…quant aux Togashi, s'ils savent, il n'en on jamais rien dit.
Sakishin fut accueilli dans un monastère d'Ise Zumi, là, il médita sur sa vie, le sens qu'il lui avait donné…Il chercha le Do. Il fonda une famille mêlant son sang à celui d'une Ise Zumi, Beiko. Puis rejoignit un village proche avec son épouse, s'y installa et ne cessa jusqu'à la fin de sa vie de se plonger dans la voie qu'il cherchait et finit par la trouver. A un tel point que toute preuve était inutile puisque le Daymio Togashi, pour lui avoir laisser sa chance, savait déjà, et que s'opposer aux Mirumoto serait aller à l'encontre de la voie.
Ceux qui ont pour ancêtre Sakishin sont initiés à certains mystère que peu d'autres connaissent (cf.: la voie du dragon), ils connaissent aussi l'existence du Satori, l'ultime non-technique de Sakishin qu'ils peuvent atteindre dès qu'ils ont une réputation suffisantes pour les faire accéder au rang de réputation 4, et peuvent posséder un tatouage Ise Zumi du fait que quelques gouttes du sang de son épouse coule en eux (auquel cas ils perdent trois point d'honneur, les moines tatoués du dragon ayant tout de même une réputation douteuse auprès de la majorité des samouraïs).
Toutefois, les secrets qu'ils détiennent se retourneraient contre eux s'ils les révélaient, non seulement personne ne les croirait, mais cela leur nuiraient au point de les déshonorer , et de les faire passer pour fou.
Sakishin Jigoro (956-1061) 3 Points
Jigoro fut le fondateur officiel de la famille Sakishin, et celui qui défit Kakita Juno, un grand duelliste du clan du Héron. Son histoire relativement récente est bien connue. Beaucoup se souviennent de lui comme de quelqu'un d'une sérénité étonnante, non dénuée d'humour. Comme lui-même répondait à beaucoup de question, il connaissait "la place juste". Cela a put prêter à beaucoup d'interprétation, mais une chose est sure ses exploits restent là. Il était capable de vaincre une classe d'élèves de son dojo à mains nues, pouvait discuter pendant des heures avec un Ise Zumi et le comprendre, rester en position Za Zen durant plus de trois jours… C'est lui qui acheva l'enseignement de Sakishin en le formalisant, au moyen de la pratique du Nazodo, de la méditation assise , de la cérémonie du thé etc... Si c'est à Sakishin que l'on doit l'idéologie de l'école, c'est a Jigoro que revient la pédagogie et l'institution de celle-ci. Certains lui reprochèrent cette formalisation…Ce à quoi il se contenta de sourire, en soulignant que l'intérêt d'un chemin tracé était de s'en éloigné. Il mourut à un âge canonique, sans jamais mettre fin à ses entraînements.
Ses descendants bénéficient de son excellente maîtrise formelle, et d'un bonus en réputation de dix points sur l'école Sakishin, en ce qui concerne les passages de rang. Ils peuvent acquérir l'avantage clairvoyant, pour un point de moins.
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Moto Akuro
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c'est vrai qu'ils se massacrent les mains en serrant trop fort le katana ?