Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
) qui s'est fait nicker grave sa mère la p*te (pour parler franchais) ! Sûnin a même pas été récompensé par l'Empereur, ça sent l'arnaque ! Dans ces cas là il est sensé faire une déclaration publique complimentant Sunîn. C'est ce qu'on appelle gagner des points de gloire ! Ca va de "Vous avez bien travaillé !" (un ou deux points de gloire) à "Matsu Sunîn est d'une valeur inouie !" (au moins un rang de Gloire) Ils déconnent ou quoi ? OoTakuro m’envoya une bourrade amicale sur l’épaule. Son sourire était cordial.
- C’est vrai que tu as grandi, Sunîn. Tu pourrais m’aider à la cuisine…J’ai bien besoin d’un marmiton, avec toutes ces bouches à nourrir ! Et bientôt, il va y en avoir une de plus, ajouta-t-il avec un clin d’œil vers son épouse.
Roh le flemmard ! xDJ’étais donc affalé à plat ventre sur le tatami, en train de faire sauter des pions de go d’un bout à l’autre de la pièce, quand le shoji glissa.
Le petit gredin... ça se voit qu'il ne sait pas ce que ça fait de vivre en heimin, comme un chien, soumis au bon-vouloir de maîtres cruels, aux rythmes de saisons pénibles et casse boules...Ca m’était totalement égal, qu’ils veuillent faire de moi un parfait petit samurai. C’était leur problème, pas le mien. Je partirai avec ma mère, même s’il fallait que je creuse les murailles de la Cité Interdite avec les dents.
Ah ! Maintenant il s'en fout plus des faveurs, hein ?Je me dirigeai vers eux – je n’avais pas eu l’occasion de le remercier. Et avec un peu de chance, il pourrait m’aider à convaincre Aiko-sama.
Petit détail : les samouraïs célèbres (que se soit les héros de guerre du genre Nitta Yoshisada, ou Kato Kyomasa ou encore les daimyo comme Oda Nobunaga, tout comme les bretteurs habiles : Miyamoto Musashi, bien sur, mais aussi l'illustre Itto Ittosai, dont le style inspira celui de Sasaki Kojiro !) avaient leurs fans, que se soit dans la population samouraï ou parmi les roturiers, et ils pouvaient être connus jusqu'à la cour Impérial et même des étrangers, ainsi un des disciples d'Ito Ittosai qui avait traîné ses getta en Chine).J’eus un instant d’hésitation. Qu’allait-il m’arriver ? L’homme aux robes rouges s’inclina, et me prit amicalement par l’épaule. Je hasardai un regard en arrière. L’Empereur m’adressa un sourire bienveillant.
Plancton.- Laisse tes valeureux ancêtres là où ils sont, Yuko-chan. Et tu sais quoi, bonne nouvelle : le mois prochain, on part en patrouille. Fini de faire le planton.
ou 
