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par Pénombre » 11 juin 2008, 08:56
Je pense que la solution de l'étiquette est encore la moins encombrante :
- ça évite une réédition
- selon la maquette, ça peut permettre de recouvrir directement le texte problématique
- une feuille rajoutée peut être perdue ou jetée
ça fait assez moche, encore que, mais bon, est ce que la Voix peut se permettre de retourner voir l'imprimeur financièrement ?
d'autant que ça générerait encore des délais de distribution et qu'après l'effet d'annonce de la publication, la réimpression en masse du recueil et le report de distribution que ça implique vont faire un peu à la ramasse
ç'est une opinion encore très personnelle mais il me semble qu'après tous les efforts que ce recueil a demandé à l'équipe qui en a assuré l'élaboration, ça serait idiot de déclarer forfait dans la dernière ligne droite.
après, personnellement, à partir du moment ou le nom des auteurs est correct, qu'il s'agisse d'une étiquette ne me dérange pas le moins du monde. Elle n'a pas besoin d'être très grande en plus, selon le texte à corriger. et ca fera quand même plus propre que du blanc correcteur...
éventuellement, si vous pouvez vous le permettre au niveau logistique/financier, on vend dans le commerce des étiquettes d'un tas de tailles différentes et il doit être possible de mettre un petit texte d'explication dans la couverture intérieure, qui sera donc visible dés qu'on ouvrira le recueil
Enfin, si jamais la solution du retour à l'imprimeur vous semble la seule raisonnable, à titre perso je suis quand même disposé à recevoir les exemplaires que j'ai commandé tels qu'ils sont imprimés à l'heure actuelle. Je rectifierai l'erreur à la main dés que je les aurais reçu.
Si nous sommes plusieurs à procéder ainsi (la plupart d'entres nous ne commandant pas des dizaines de recueils chacun...) ça pourra permettre de limiter les réimpressions aux seuls exemplaires destinés à la distribution en boutique/vente ebay. Je sais pas si ça peut avoir un impact financier (selon le type de facturation proposé par l'imprimeur) mais bon, au cas où, ça peut permettre de réimprimer certains recueils et en même temps de limiter les frais.