cf. Eolas et Rollin.Si la police le soupçonne, donc, qu'elle le considère (indépendamment de la loi qui repose sur la présomption d'innocence) comme possiblement coupable, alors en quoi le fait qu'on dise "présumé trafiquant" est un glissement sémantique ?
en fait, si les journalistes n'utilisent pas les termes qui te conviennent mais des termes similaires qui vont dans le même sens car ils induisent, de fait, une présomption de culpabilité, je ne vois vraiment pas où est le problème
Depuis trois posts, Pénombre, c'est toi qui gesticules. Là, bravo, tu viens de revenir à la page précédente.
Un type qui me reproche de chercher des substituts à un terme alors que je veux les appliquer au terme exactement inverse, franchement, c'est un fumiste. terminé pour moi.