Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
J'ai bien aimé le tract de l'unef (fournis aux frais de l'état avec tout dossier d'inscription dans toute université - ah bah non, ça marche que pour l'ump ça) :Les droits d'inscription, fixés par arrêté ministériel, s'élèvent pour la rentrée 2009 à 171 euros pour une inscription en licence, 231 euros pour un master et 350 euros pour un doctorat. Toutefois, un certain nombre d'universités décident d'y adjoindre des frais complémentaires, au titre des frais de dossier ou de sélection.
En tête du classement de ces "universités illégales" établi par l'Unef, figurent les universités de Grenoble 2 (jusqu'à 4.558 euros de frais d'inscription), de Chambéry (4.000 euros) et d'Aix-Marseille 3 (3.700 euros).
Depuis 2005 environ (où l'université grenoble-2 a été condamnée par le TA de grenoble, sur accusation de l'Unef, à rembourser les frais en question).vous avez entendu parler de ça : L'Unef dénonce des "frais d'inscription illégaux"
Quand c'est à bon escient, c'est pas de la frimeDe temps en temps, ça fait du bien de frimer un peu ^^
En 2005 ça ne montait qu'à 2000.2 (jusqu'à 4.558 euros de frais d'inscription),
Ce n'est pas ça la définition d'un fonds propre... revoit tes notions de comptabilité et d'économie "Les fonds propres représentent l'argent apporté par les actionnaires à la constitution de la société ou ultérieurement, ou laissés à la disposition de la société en tant que bénéfices non distribués sous forme de dividendes. Ils courent le risque total de l'entreprise : si celle-ci va mal, ils ne seront pas rémunérés (aucun dividende ne sera versé) ; si elle dépose son bilan, les porteurs de capitaux propres ne seront remboursés qu'après que les créanciers l'aient été intégralement, ce qui est très rarement le cas. Si elle va très bien au contraire, tous les profits leur reviennent. "Kakita Inigin a écrit : - kles fonds propres (en gros, à moins d'avoir des rentes, ça veut dire trouver des sponsors et/ou faire de la recherche pour le privé). facs de sciences humaines, vous repasserez.
Hida Kekkai a écrit : par ailleurs, je ne suis pas surpris du taux de syndicalisation des étudiants, avec la façon dont les étudiants non syndiqués sont traités par les étudiants en charge d'un syndicat et les surnoms qu'ils reçoivent, ça donne pas envie de signer....
1%? les syndicats devraient peut-être se remettre en question... c'est 10 fois moins que dans le salariat...
Il va falloir que tu précises de quoi tu parles, parce que tu commences sérieusement à m'échauffer en fait.par ailleurs, je ne suis pas surpris du taux de syndicalisation des étudiants, avec la façon dont les étudiants non syndiqués sont traités par les étudiants en charge d'un syndicat et les surnoms qu'ils reçoivent, ça donne pas envie de signer....
1%? les syndicats devraient peut-être se remettre en question... c'est 10 fois moins que dans le salariat...
Ou ressource propre.Ce n'est pas ça la définition d'un fonds propre
C'est totalement erroné. Et je doute que ce qui motive ceci ait le moindre rapport avec une analyse quelconque du syndicalisme, étudiant ou non.par ailleurs, je ne suis pas surpris du taux de syndicalisation des étudiants, avec la façon dont les étudiants non syndiqués sont traités par les étudiants en charge d'un syndicat et les surnoms qu'ils reçoivent, ça donne pas envie de signer....
1%? les syndicats devraient peut-être se remettre en question... c'est 10 fois moins que dans le salariat...
C'est sans doute pour cela que l'université Grenoble-2, qui a deux des meilleures UFR de Droit et d'Economie de France, n'a pas éprouvé le besoin de faire payer des frais illégaux à ses étudiants.Enfin les recherches en sciences humaines coutent moins cher à financer et il est parfois meilleur marché de subventionner une université que faire appel à un cabinet de consultants, tu serais surpris de savoir que certains chercheurs en sciences humaines se font plus facilement subventionner que d'autres en sciences biologiques.
Et mon dieu, pour avoir été responsable de CAS dans une université (Grenoble 4) composée de 10 écoles d'ingénieurs ... "des élèves ingénieurs boursiers ? mais ça n'existe pas ?!" ben tiens.- les corporations étudiantes, parce que ça existe, défendent une filière spécifique, et ont fait leur la logique du "y en aura pas pour tout le monde" qui prévaut dans la bureaucratie universitaire. Ils tentent de placer un maximum d'élus pour infléchir sur les choix politiques des conseils représentatifs, tout comme certains profs font leur cuisine dans leurs organisations pour que leur filière soit "correctement" représentée dans ces mêmes instances. Tous ces gens là se fichent pas mal des histoires de réforme, de grève, de manifs, de frais d'inscription, de tickets U, de bourses... leurs campagnes auprès des autres étudiants de leur filière tourne autour de soirées et autres trucs "entres nous". Forcément, quand tu arrives là avec le mot "syndicat", même si tu organises aussi des soirées (je me rappelle d'avoir été caution pour des tas de conférences, concerts, soirées dansantes et projections de films à Nice...), ben tu fais martien. Et t'es pas forcément le gars qu'ils voient tous les jours dans leur amphi, parce que des syndiqués, y en a pas partout...