Non, quelque soit ce que l'on repproche à une personne, la diffamation n'est JAMAIS méritée.Kakita Inigin a écrit :Une femme qui valide l'usage de répulsifs contre les clandestins mérite bien d'être diffamée ...

Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Non, quelque soit ce que l'on repproche à une personne, la diffamation n'est JAMAIS méritée.Kakita Inigin a écrit :Une femme qui valide l'usage de répulsifs contre les clandestins mérite bien d'être diffamée ...
La politique c'est à cotéGoju Kaze a écrit :Non, quelque soit ce que l'on repproche à une personne, la diffamation n'est JAMAIS méritée.Kakita Inigin a écrit :Une femme qui valide l'usage de répulsifs contre les clandestins mérite bien d'être diffamée ...
Certes, mais je n'exclus pas qu'il puisse se trouver quelque part des gens susceptibles de qualifier de "diffamation" le fait que l'on rappelle au public les (puantes) déclarations que ces gens ont faites par ailleurs.Kõjiro a écrit :Et diffamer implique de mentir alors que la vérité se suffit ici à elle même.
Bayrou sors de ce corps !Moto Shikizu a écrit :Kaze a raison sur le fait qu'il ne faut jamais diffamer.
Kojiro a raison en disant qu'il faut dire la verite, et que souvent elle est suffisamment cruelle.
et Kyorou a raison sur le fait que certains ne reculent devant rien pour cacher la verite !
tu vas bientôt être prêt pour reseter ton compte et rejoindre l'ordreMoto Shikizu a écrit :Kaze a raison sur le fait qu'il ne faut jamais diffamer.
Kojiro a raison en disant qu'il faut dire la verite, et que souvent elle est suffisamment cruelle.
et Kyorou a raison sur le fait que certains ne reculent devant rien pour cacher la verite !
héhé c'est sympaMoto Shikizu a écrit :C’est le Président Nico qui visite une école primaire.
Le professeur, très honoré, a demandé au Président s'il voulait bien mener la discussion autour du mot « tragédie ».
Alors l'illustre meneur demanda à la classe un exemple de « tragédie ».
Un petit garçon se leva et proposa :
« Si mon meilleur ami, qui vit dans une ferme, était en train de jouer dans le champ et qu'un tracteur lui roule dessus et le tue, ce serait une tragédie ».
« Non, dit Sarko, ce serait un accident ».
Une petite fille leva la main :
« Si un incendie détruisait les millions de livres de la Bibliothèque nationale, ça serait une tragédie ».
« Je crains que non, expliqua le Président. C'est ce qu'on appellerait une grande perte ! »
Le silence se fit dans la salle. Aucun autre enfant ne se porta volontaire. Nico chercha dans la salle. « N'y a-t-il personne ici qui puisse me donner un exemple de tragédie ? »
Finalement, au fond de la salle, un petit garçon leva la main...
D'une voix calme il dit :
« Si l'avion présidentiel vous transportant était frappé par un ‘tir de missile ami’ et était complètement désintégré, ça serait une tragédie ».
« Formidable ! s'exclama Nicolas. C'est exact. Et peux-tu nous dire pourquoi ce serait une tragédie ? »
« Eh bien, dit le garçon, il faut bien que ce soit une tragédie, car ce ne serait certainement pas une grande perte, et probablement pas un accident non plus ! »