banshee, est-ce que l'armée a le droit de vote ?

Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Nan nan, c'est de la pédagogie pour expliquer que les mesures du gouvernement (pas de l'ump c'est pas pareil) sont bonnes pour toi mais qu'il faut que tu sois un peu patient pour en voir les effets.Isawa Yoshimitsu a écrit :hier soir, en zappant, je suis tombé sur une pub pour l'ump... de la véritable propagande pour Sarkozy...
Je savais pas que c'était autorisé ca en France ?
Nous voila aux USA ?
Yoshi, franchement bien dégouté de voir de telles anneries proférées à la télévision... surtout si la propagande n'est maintenant plus qu'une question d'argent...
Tiens c'est vrai que c'est bizarre çaIsawa Yoshimitsu a écrit :mais alors pourquoi le spot il finit par un gros "UMP" sur l'écran si c'est juste de la com du gouvernement ?
Sauf si t'as des gosses ou si t'es handicapé.genre + x% de boursiers, des bourses encore plus élevées,
oui, l'armée a le droit de vote.Kakita Inigin a écrit :Toute cette page est prodigieuse.
banshee, est-ce que l'armée a le droit de vote ?
Donc, on a le gouvernement irakien, installé par les Etats-Uniens et théoriquement souverain, qui demande aux US de dire quand ils vont virer leurs troupes et leurs potes Ricains qui refusent. C'est beau, cette création d'un Etat souverain, démocratique et sûr, cadeau de l'Amérique...Le gouvernement irakien a exigé mardi des Etats-Unis un calendrier pour le retrait total des troupes de la coalition, condition sine qua non à la conclusion d'un accord à long terme entre les deux pays, mais Washington y a opposé un refus.
"Nous n'accepterons aucun mémorandum d'accord s'il ne précise pas de date spécifique pour un retrait complet des troupes étrangères d'Irak", a déclaré Mouaffak al-Roubaïe, conseiller pour la sécurité nationale du gouvernement irakien.
"Nous parlons bien d'un retrait total des troupes étrangères. Il est très difficile de définir une date précise pour le départ de ces forces", a ajouté M. Roubaïe, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse à Najaf (centre) après y avoir rencontré la plus haute autorité religieuse chiite du pays, l'Aytollah Ali al-Sistani.
Mais les Etats-Unis ont de nouveau fait savoir mardi qu'un retrait n'était envisageable qu'en fonction des "conditions sur le terrain".
"Le gouvernement américain et le gouvernement irakien sont d'accord sur le fait que nous, les Etats-Unis, voulons nous retirer et nous retirerons. Mais cette décision sera prise en fonction des conditions sur le terrain", a déclaré un porte-parole du département d'Etat, Gonzalo Gallegos.
Le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki avait demandé lundi pour la première fois aux Etats-Unis de fournir un calendrier de retrait de leurs troupes. Il avait notamment reçu le soutien du puissant mouvement d'opposition chiite de Moqtada Sadr, bête noire de Washington.
La Maison Blanche avait ensuite assuré ne pas négocier de date fixe, auquel le président Bush s'est constamment opposé. M. Bush a toujours dit vouloir adapter la tactique aux circonstances et refusé de lier les mains de ses généraux.
Le débat sur le retrait des troupes ressurgit alors que Washington et Bagdad négocient un accord stratégique devant notamment régler l'épineuse question de la présence américaine dans le pays après 2008, en offrant un cadre légal pour le maintien des forces américaines à l'expiration, le 31 décembre 2008, du mandat donné par le Conseil de sécurité de l'ONU.
Les discussions semblaient bloquées dernièrement face à une forte opposition des leaders politiques irakiens. Le mouvement de Moqtada Sadr avait notamment estimé qu'un tel accord constituerait un instrument d'"esclavage éternel" de l'Irak.
L'accord doit porter sur la présence éventuelle de troupes américaines, le nombre de bases que les Etats-Unis pourraient conserver dans le pays, le droit de l'armée américaine à détenir des civils irakiens, et l'immunité dont bénéficient pour l'instant les militaires américains.
Un point litigieux semble avoir été réglé la semaine dernière après que le chef de la diplomatie irakienne, Hoshyar Zebari, a affirmé que les Etats-Unis avaient renoncé à l'immunité pour les compagnies privées de sécurité, dont des dizaines de milliers d'agents opèrent en Irak.
La question du retrait d'Irak est un des enjeux majeurs de la présidentielle américaine de novembre.
Le candidat républicain, John McCain, a apporté son soutien à la Maison Blanche en estimant mardi que le retrait des soldats américains devait être dicté par les conditions de sécurité sur place.
"J'ai toujours dit que nous reviendrions à la maison armés de l'honneur et de la victoire, et non pas en fonction d'un calendrier", a déclaré le sénateur de l'Arizona (sud-ouest).
De son côté, le candidat démocrate Barack Obama, partisan d'un retrait des troupes de combat en 16 mois, a estimé qu'il était "encourageant que le Premier ministre (irakien) lui-même reconnaisse qu'en coopération avec l'Irak, il est temps pour les forces armées américaines de commencer à évoquer un calendrier de retrait".
Ok merci, je m'étais fait incendier par un militaire m'expliquant que l'armée se devait d'être neutre alors que j'étais persuadé que Mitterand leur avait étendiu le droit de vote.Banshee a écrit :oui, l'armée a le droit de vote.Kakita Inigin a écrit :Toute cette page est prodigieuse.
banshee, est-ce que l'armée a le droit de vote ?
depuis moins longtemps que les autres par contre. enfin quand on voie comment ça nous sers a l'heure actuel
ben en fait il a pas completement tord.Kakita Inigin a écrit :Ok merci, je m'étais fait incendier par un militaire m'expliquant que l'armée se devait d'être neutre alors que j'étais persuadé que Mitterand leur avait étendiu le droit de vote.Banshee a écrit :oui, l'armée a le droit de vote.Kakita Inigin a écrit :Toute cette page est prodigieuse.
banshee, est-ce que l'armée a le droit de vote ?
depuis moins longtemps que les autres par contre. enfin quand on voie comment ça nous sers a l'heure actuel
Ben : c'est la preuve que les Irakiens ont intérêt à demander le retrait : le fait queles américaisn soient en position de force et puissent refuser montre assez la fragilité du gouvernement, et donc le fragilise encore plus ...
"Devoir de réserve", plutôt.Banshee a écrit :c'est ce qu'on apelle le droit de reserve
OSCE urged Romania's president on Tuesday to veto draft legislation that would require radio and television stations to air more "happy" news. Under a bill which still needs the approval of President Traian Basescu, broadcasters will have to give equal time to "positive" and "negative" issues in their newscasts. The bill's sponsors say too much gloomy news is making people ill. "Prescribing, or even defining good versus bad news, is a severe political intrusion into editorial freedom," Miklos Haraszti, media freedoms monitor for the Organisation. "(This) is fully out of touch with the rights of the audiences as well," he said in a statement issued from OSCE headquarters in Vienna. "I do not see how ordering editors to carry 50 percent good news could 'help improve the general climate and give people a balanced view of everyday life', as argued by the sponsors of the amendment," he added. The bill, initiated by a deputy from the ruling Liberal Party and a member of the opposition far-right Greater Romania Party, was approved unanimously by the Romanian Senate. Romania's state broadcast regulator CNA has also urged Basescu to veto the bill. The former Communist state, which joined the European Union last year, is plagued by widespread poverty and corruption.