Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Pas vraiment :(ma culture policière est faible, mais n'est-ce pas le niveau lieutenant de police qui se balade en civil ?)
Clair.Clair ?
Que le port de pare-buffles soit prémédité, on s'en fout : ce qui compte, c'est que le gars ait les jambes en morceaux.Par contre, dans ce témoignage, le fait qu'ils soient en civil a un certain impact (au hasard, sur la réaction de l'interpelé).
Des gars en uniformes, ok, ce sont des policiers. Ils me demandent de les suivre dans une ruelle, je les suis dans la ruelle.
Des gars en civil qui me demandent de les suivre dans une ruelle, je suis désolé de le dire, je leur redemande leur carte de police.
Phénomène aggravant, en somme.
Pour reprendre ta métaphore, un gars qui renverse quelqu'un avec sa voiture en ville, c'est une chose.
Un gars qui en renverse un autre en ville au volant d'un 4x4 avec un pare-buffles, c'est sacrément autre chose. Pour mémoire, les voitures sont désignées pour avoir un avant de plus en plus vertical et répartir le choc sur toute la hauteur. Avec un pare-buffles, nada. Deux cylindres montés sur quatre roues motrices, dans les jambes, bonjour la casse ...
Pour reprendre ta métaphore, un gars qui renverse quelqu'un avec sa voiture en ville, c'est une chose.
Un gars qui en renverse un autre en ville au volant d'un 4x4 avec un pare-buffles, c'est sacrément autre chose. Pour mémoire, les voitures sont désignées pour avoir un avant de plus en plus vertical et répartir le choc sur toute la hauteur. Avec un pare-buffles, nada. Deux cylindres montés sur quatre roues motrices, dans les jambes, bonjour la casse ...
Ca c'est pour la liberté de choisir si chère à notre gouvernement qui répète le mantra "sur la base du volontariat" à longueur de temps.Motif avancé : insubordination et non respect des horaires planifiés.
Ces salariés avaient refusé de travailler le dimanche à deux reprises, invoquant des raisons familiales. Le magasin avance, lui, la convention collective, qui autorise les magasins d'alimentation à ouvrir un dimanche sur trois. Et rappelle que les salariés travaillant le dimanche sont payés 20% de plus.
Interrogée par Libération, Etelvina Fernandes, l'une des employées de caisse licenciées, parle d'une prime de 5,03 euros. " Je leur ai dit que je ne pouvais pas. Ma vie de famille pour 5 euros ?", déclare-t-elle au quotidien.
La CFDT a fait constater par huissier au mois de juin, dans 12 magasins de Lille et de son agglomération, le non-respect d'un arrêté préfectoral du 28 juin 2004 en vertu duquel les supermarchés sont autorisés à ouvrir le dimanche, moyennant leur fermeture un jour dans la semaine, a précisé Me Dominique Bianchi.
"La CFDT s'invite dans le débat sur le travail dominical", a-t-il expliqué.
Un enseignant "désobéisseur" convoqué en conseil de disciplineLa titularisation d'une trentaine de professeurs des écoles de Toulouse, qui viennent de finir une année de stage, serait compromise. La raison : ces stagiaires ont écrit un document critiquant la réforme Darcos sur la formation des maîtres.
Manifestation de soutien au "lycéen bloqueur"Alain Refalo, enseignant dans la commune de Colomiers (Haute-Garonne), a été convoqué en conseil de discipline jeudi 9 juillet, pour sa désobéissance aux réformes gouvernementales. Il est l'initiateur du mouvement de résistance pédagogique, notamment contre le dispositif d'aide personnalisée, et a déjà été sanctionné de 19 jours de retraits de salaire depuis le mois de janvier. Par ailleurs, il a reçu un refus de promotion "pour avoir mis en place un atelier théâtre sur le temps de l'aide personnalisée avec l'accord des parents d'élèves", selon son comité de soutien.
A rapprocher de cette info qui date d'il y a déjà quelques temps :Quelques centaines de personnes se sont rassemblées devant le rectorat de Paris pour dénoncer les pressions exercées par un proviseur sur un lycéen dont l'inscription en terminale est conditionnée à un engagement écrit de ne plus bloquer le lycée.
Ce document, qui relève d'un appel d'offre, émane de la délégation à la Communication du ministère de l'Education nationale et date du 15 octobre, soit il y a trois semaines :
« Article 1 : Les présents marchés portent sur la veille de l'opinion dans les domaines de l'éducation, de l'enseignement supérieur et de la recherche. (…)
Article 4 : Chaque marché est conclu du 1er janvier 2009 jusqu'au 31 décembre 2009. »
C'est un peu plus loin que la volonté des ministères concernés apparait le plus explicitement (« description des prestations ») :
« Le dispositif de veille vise, en particulier sur Internet, à :
* identifier les thèmes stratégiques (pérennes, prévisibles, émergents)
* identifier et analyser les sources stratégiques ou structurant l'opinion
* repérer les leaders d'opinion, les lanceurs d'alerte, et analyser leur potentiel d'influence et leur capacité à se constituer en réseau
* décrypter les sources des débats et leur mode de propagation
* anticiper les risques de contagion et de crise.
En clair : le ministère de l'Education nationale va débourser 100 000 euros par an, et celui de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, 120 000 euros, pour surveiller l'opinion dans la Toile.
ca impliquerait déjà de cesser de mettre en opposition le mythe du pavillon de banlieue et les blocs résidentiels faits n'importe comment au niveau surface, insonorisation, ensoleillement et isolation. En fait, ça impliquerait de faire éclater ce principe que la ville est quelque chose que l'on subit mais qu'en dehors d'une petite frange de bobos/intellos qui se la jouent New Yorkais, la majorité des gens préférent s'endetter s'ils en ont la possibilité pour aller vivre à l'extérieur.La "vraie" solution à long terme, ama, elle est plutôt dans l'aménagement du territoire avec un arrêt de la périurbanisation et une densification réduisant le "besoin de voiture" (même aux us ils y réfléchissent actuellement dans les agences d'urbanisme). Et dans un développement massif des transports collectifs ce qui coute des milliards et nécessite du temps.