Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
J'aimerais bien en savoir plus sur ces règles (maisons ?), s'il te plait. En fait, j'aimerais bie nque tu développe au passage, par ce que, dans ma campagne, j'imagine mal (mais vraiment mal) mon perso préféré (Mirumoto Ryûjin, rikugunshokan du clan du Dragon et daimyo de famille mineure (Echizen), rang de maîtrise 8, Gloire 7,9 mais uniquement par ce qu'il peut pas aller plus loin) faire profil bas devant un Doji, qu'il soit daimyo, courtisan, duelliste ou Magistrat d'émeraude.A ce propos, mes règles de statut font sacrément diverger les rangs ... ce qui permet de gérer la question de l'honneur de façon simple (... un Mirumoto, toutes choses égales par ailleurs, est cuit face à un Doji).
Tout à fait, tu le saurais si tu avais consulté tes mails persos ce soirAshidaka Kenji a écrit :ah !
je vois ! on cherche l'inspiration !![]()
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Kenji
pour l accord des daimyo, je dirais: justice accordé.L'essentiel de la pratique de l’iaidō consiste en l'apprentissage et l’exécution de kata, séquences de mouvements précis, s'exécutant la plupart du temps seul et correspondant à un scénario. Certaines écoles proposent des séries de kata à deux. Ces formes constituent autant de supports à l'enseignement et permettent la transmission de l'ensemble des techniques d'une école.
Les katas se composent à la base des quatre mêmes étapes :
dégainé et première coupe (nukitsuke ou nukiuchi)
coupe principale (kiri oroshi)
nettoyage de la lame (chiburi)
rangement de la lame dans le fourreau (notō)
On distingue aussi une partie importante propre à de nombreux kata : Furikabuto, l’action de « brandir le sabre ».
De nombreuses variantes, coupes, frappes d’estoc, frappes avec la poignée du sabre, sont ajoutés dans certains kata. Les kata démarrent soit debout (tachi iai), soit à genoux au sol (seiza), soit dans une position avec un seul genou au sol (tate hiza).
Ces kata doivent être « habités » par le pratiquant, et induisent des notions fondamentales propres à tous les budō :
Zanshin : la vigilance active. Le ressenti, la perception de l'environnement.
Seme : la menace, construction de l'attitude exprimant la capacité de réaction instantanée.
Metsuke : le regard global, non focalisé, perception visuelle large.
Zanshin signifie "Vigilance". C'est la capacité à percevoir son environnement (et le cosmos en fait) à travers son intuition... pour vulgariser la chose.- Zanshin
Ah oui, quel Kengo était-ce déjà ? Il me semble que c'était le magnifique Tsuji Gettan, si je ne m'abuse ?j'adore ce film et pour être franc je me suis inspiré de ce personnage (maître Iai sympathique et plein de compassion) pour la création de Karizuki-sensei![]()