[2.8-MR-HK] Des plumes et des pinces : un dragon ?

[Hida Koan]

- J'aimerais juste que Bayuri-sama se remémore bien ce qu'il a entendu ce jour là... Je pense que c'est vraiment ma dernière question de toutes façons, Retsu-san. Nous pourrons nous entretenir avec Yoshiko-hime ce soir, elle était un peu... excitée hier soir, le choc sûrement.

Elle sourit d'un sourire étrange, un peu malsain. Vous ne le saurez sans doute jamais mais vous auriez pu avoir envie de me remercier un jour... Peut-être que je finirais par vous le dire...

[Vlad]

Restu hocha la tête.

"Hai. Je pense moi aussi que Yoshiko-hime pourra nous raconter plus sereinement ce qui a pu se passer..."

"Elle a dû avoir une peur bleue... Peur d'être tuée, peur d'être enlevée, peur d'être violée..."

"Cela aurait pu détruire son futur mariage..."

[Kakita Inigin]

- En effet, cette situation aurait pu être terrible. Au lieu de cela nous avons réagi promptement et ces chiens sont morts. Je dois d'ailleurs vous féliciter encore une fois, Kei-san, pour nous avoir retrouvés seule. Nous aurions pu être en bien plus mauvaise situation et votre aide aurait alors été inestimable.

Comme Yoshiko-chan vous la certainement dit nous vous devons notre bonheur. C'est la un lien particulier qui nous unit et que nous n'oublierons pas. Comment nous avez-vous retrouvés, au fait ?

[Hida Koan]

- Le simple ordre dans lequel nous avons réfléchi : le Palais d'abord, puisque vous y aviez rendez-vous, chez vous ensuite, dans certains parcs et temples, si jamais vous vouliez faire visiter un peu plus avant la ville à votre future femme. En arrivant ne voyant aucun homme patrouiller aux portes, au balcon, ou ailleurs, j'ai décidé de rentrer. J'ai trouvé votre garde assommé, alors j'ai su qu'il se passait quelque chose. Je suis entrée, j'ai vu tous les corps dans l'entrée, un homme m'a attaqué, je l'ai tué et je vous ai retrouvés tous les deux, encore rouge et tremblants de peur... Pour Yoshiko-hime c'est évident. C'est exactement ce dont vous vous souvenez je présume.

Son ton n'était franchement pas aimable.

* on dirait un "Bref"

[Kakita Inigin]

- Vous devriez profiter de l'aura qui vous entoure pour aller interroger les êta qui sont charges de brûler les corps de ces misérables. Vous apprendriez certainement de grandes choses.

[Hida Koan]

- Oui, ils seront certainement plus coopératifs... aujourd'hui, finit-elle un temps trop tard. Nous nous recroiserons sûrement pour les suites de l'enquête, Bayuri-sama. Souhaitez-vous que nous transmettions un message à Yoshiko-hime?

[Kakita Inigin]

- Je ne crois pas pouvoir vous charger du type de message que je voudrais lui transmettre, mais je vous remercie de la proposition, Kei- san. Bonne chance dans votre enquête.

[Vlad]

Retsu adressa un regard à Bayuri et ses sbires avant de sortir de la pièce à la suite de Kei-chan...

[Hida Koan]

Arrivés dans la rue, le jour tombait.

"Bon... Ça aurait pu être pire..."

[Kakita Inigin]

Une ombre fila en dessus d'elle, modifiant l'éclairement de la rue un bref instant. Puis le phénomène se reproduisit vingt mètre plus loin, dans le même sens.

[Hida Koan]

Elle chercha de regard ce qui faisait ça, sans rien dire.. De peur de passer pour une folle. Retsu marchait a sa hauteur, peu bavard pour le moment...

[Kakita Inigin]

Le phénomène ne se reproduisit pas. Tout semblait normal...

[Hida Koan]

- Ça m'ennuie un peu de passer la soirée dans le quartier des êta mais... Peut-être qu'on devrait... Non? J'aurais préféré autre chose mais bon...

[Vlad]

"Comme tu veux, Kei-chan..."

"Je ne suis pas sûr que les eta puissent nous dire grand chose... Au mieux, ils pourront nous confirmer qu'il s'agissait bien de hinin..."

Je suis parti du principe que seule Kei avait vu l'ombre car le message n'était pas très explicite. Si Retsu a vu l'ombre : quelle taille fait-elle ?? Comme un oiseau qui passerait au dessus de nos têtes ?? Ou plus gros que ça ??

[Hida Koan]

- on ne passe qu'au crématorium de toutes façons... Ça ira vite. Peut être les corps avaient-ils un digne distinctifs...

Elle avait vraiment l'air de vraiment trainer les pieds.