Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
C'est pour ça que j'ai remplacé ça par une manoeuvre d'observation. D'ailleurs, dans ma "Dôgen édition" la manoeuvre d'observation peut aussi être tentée par les observateurs.En bataille rangée j'ai toujours considéré que le duel était un duel de mélée basique, je ne sais pas pour vous. on a pas le temps de faire les enchères, c'est du un contre un de base à celui qui survit.
Historiquement, les duels sont faits avec l'arme enseignée dans le Ryû-ha ou le dôjô de chacun des duellistes. Même à l'époque Edo, il pouvait y avoir des duels officiels entre un épéiste (kenjutsu et / ou iaijutsu) et un lancier (sôjutsu ou naginatajutsu, donc), un cas vu par exemple dans le film "Après la Pluie" de Kurosawa (yari sans lame vs bokken). Par ce que tu imagine si le Shogun demande à voir le meilleur de chacun des combattants et qu'on fourgue un bokken dans les mains d'un gars qui fait du iaijutsu... ça va pas le faire, alors il utilise un iaitô émoussé. Voilà quoi.Le duel traditionnel est au katana, car le katana représente le prolongement de l'ame du samourai. Un duel officiel sera dans tous les cas au sabre.
Le plus souvent la deuxième attaque s'obtient au rang 3, du moins pour les écoles de clan majeur. Rarement avant (de mémoire seul la Mirumoto le fait au rang 2).Shin Bayushi a écrit :Testuo pour la technique de rang 4 tu enlèves les deux attaques par tour ?
Courtisan Doji, 1ère édition. Source : Travaux d'Okuma.Rang 3 : l’épreuve de l’honneur.
Utilisable rang de maîtrise fois par jour, le courtisan peut éprouver l’honneur de quelqu’un effectuant l’action avec quelques ricanements et sourires. Un jet d’honneur en opposition est alors effectué, Nd égal à l’honneur fois 5 de la victime (les personnes ayant 0 d’honneur ne sont pas affectées) et les personnages n’appartenant pas au clan de la Grue doivent écarter les dés inférieurs au rang d’honneur du courtisan. Si les deux réussissent, le meilleur résultat l’emporte. Si aucun n’à réussit, l’opposition recommence au tour suivant. Si le courtisan gagne, la cible rate automatiquement, sans jet de dés, l’action contestée. Si la cible gagne, l’action se déroule normalement.