Je suis du même avis que soshi naomi et moto okuro, cette technique offre un bonus de mouvement conséquent. De plus lorsque l'on observe la technique de rang 3 on se rend compte que les Usagi préfère les armes courtes. Donc avec un anneau de l'eau à 2 on a :Hida Geo a écrit :Bonjour,
En regardant l'école Usagi le rang 2 me pose un problème : je ne vois pas ce que ça apporte.
Texte :
Si vous adoptez la posture d'assaut, vous pouvez faire un bond en avant et attaquer un adversaire situé dans un rayon de 4.5 m sans entreprendre d'action de mouvement. Toutes vos attaques du tour doivent viser cet adversaire.
Si qqun peut m'expliquer l'interet car là à pas compris
- Un bushi charge à 4,5 mètres.
- Un bushi Usagi charge à 10,5 mètres ou à 4,5 mètres en dégainant une arme courte. Il gagne donc de la porté ou le fait de dégainer son arme tout en conservant une défense correct (bonus d'athlétisme et de réflexe de l'école).
Cela est très utile pour prendre par surprise, de vitesse ou tout simplement répondre à un attaque surprise avec efficacité.
Enfin contre un tireur, si les deux se déplace comme des dératés, le bushi parcoure 22,5 mètres dans le round alors que le Bushi Usagi parcours 37 mètres.
La porté du Yumi étant de 75 mètres ....
Le bushi normal met 3 rounds de déplacement et un de charge.
Le bushi usagi met 2 rounds de déplacement et un de charge.
Avec la technique de rang 3 il porte une attaque (non multiple) à 21 mètres grâce à cette techniques. Je pense donc que cette technique est certes différentes des bonus de combat, de ND ou de dégâts mais elle n'en est pas moins intéressante.
Enfin, en ce qui concerne le bonus de surélévation, le texte laisse penser que la personne se tient a cette hauteur tout au long de l'action (donc pas un saut, et puis un saut d'1m20 et de 4,5 mètre de long c'est tirer par les cheveux et tirer de mauvais animé (je ne dit pas qu'ils sont tous mauvais). Je pense plutôt qu'il s'agit d'une impulsion tel qu'on peut en voir en Iaido). Le bonus au dégât pour cette technique aurai été précisé s'il y avait lieu d'être.