Là, on a tapé très fort.

Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Le créateur du manga à la production
Akira Toriyama, le créateur du manga culte Dragon Ball est particulièrement impatient de voir le film Dragonball Evolution, dont il est le producteur exécutif. Il déclare : "La meilleure façon pour moi et tous les fans de l'apprécier est de voir ça comme un nouveau "Dragonball" d'une autre dimension."
Le seul point pas crédible c'est que Merkel attaque Sarko sur sa politique fiscale, pour le reste ça passe très bien... *sifflote*Il semblerait, à en croire la chaine de télé Allemande ZDF, que Sarkozy ait encore forcé sur les boissons à volonté offerte par nos hôtes anglais qui hébergent le sommet du G20 à Londres.
La rumeur court qu'il se serait disputé violemment avec la délégation allemande menée par la chancelière Angela Merkel.
Le Bild Deutsche Zeitung rapporte que celle-ci lui aurait reproché d'accorder de coûteux cadeaux fiscaux à ses électeurs au lieu de garder les yeux fixés sur l'ensemble de la population "Mais qu'est-ce qui vous prend de me parler sur ce ton ?" aurait riposté un Sarkozy outré. S'en serait suivi une esclandre du président français et un départ de la salle de réunion sous la menace de quitter le sommet à cause de ce qu'il aurait qualifié de "manque de respect écœurant".
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel devaient tenir une conférence de presse commune à 15h30 GMT, mais le président français s'y est présenté seul, un quart d'heure en avance et il apparait qu'il a eu toutes les peines à retrouver ses esprits pour la conférence de presse qui a suivi et qui a été plus que chaotique.
Le chef de l’Etat, apparemment saoul, lui qui avait juré qu'il n'avait jamais bu une goutte d'alcool de sa vie après un incident identique au G8 en 2007 est apparu très excité, pas du tout dans la maîtrise de ses dossiers, commettant erreurs de communication grossières et de nombreux lapsus.
Il ne semblait pas non plus très bien préparé par ses conseillers suite à la nouvelle de son esclandre qui avait déjà filtré et qui les a pris de court.
Il a déclaré : "Je sauverai le capitalisme mondial parce qu'ils m'a appelé au secours et on le laissera pas tomber aux mains des forces du conservatisme." (...) " La crise économique et financière actuelle est trop grave pour que l'on se permette un sommet pour rien, c'est votre argent qu'ils ont volé ! (...) Il faut que j'obtienne des résultats, il n'y a pas de choix, il faut que je réforme le système afin de limiter les abus." (...) "Par exemple, il serait inacceptable que des décisions concrètes ne soient pas mises en œuvre concernant les paradis fiscaux comme Andorre ou Monaco dans les jours qui viennent. Nous voulons un capitalisme d'entrepreneurs et pas un capitalisme de spéculateurs. 62% des hedge funds sont logés dans les paradis fiscaux."
Il s'est attardé sur sa vision nouvelle de la justice sociale :
"Une entreprise qui fait des millions de bénéfice, la question dupartage entre salariés et actionnaires doit se poser. Il y aura à l'été une loi gouvernementale pour que les salariés qui ont participé à la création aux bénéfices en touchent la plus grande partie. Il est normal que les salariés qui portent une partie du fardeau de la crise partagent aussi les bénéfices."
Il a réaffirmé sa fermeté sur ses positions : "Je ne m'associerai pas à un sommet mondial qui déciderait de ne rien décider suites aux manœuvres de certains et certaines pour maintenir le status-quo qui arrange leurs financiers et amis, la position anglo-saxonne a toujours été une politique traditionnellement de relative indulgence et celà suffit ! Si ça n'avance pas et qu'on continue de me manquer du plus élémentaire respect, ce sera la chaise vide ! Je me lèverai et je partirai."
Il a conclu sur le fait que malgré les pressions allemandes et anglaises, la France refuse de soutenir sous quelque forme que ce soit l'indépendance du Tibet et que même si le dalaï lama n'a jamais revendiqué cette indépendance, le moment est trop grave pour que les intérêt particuliers d'une minuscule communauté au passé trouble vienne bloquer la réforme du monde qu'il vient de lancer.
Le porte-parole de l'Elysée s'évertue à calmer le jeu et à nier toute anicroche : "Il n'y a pas de crise entre Paris et Berlin. Chacun défend ses intérêts, les conflits sont plus transparents qu'auparavant, c'est tout."
Peu après les vives critiques de Nicolas Sarkozy, le président américain et Gordon Brown ont appelé à se concentrer sur les points communs entre les différents pays, et non leurs divergences épisodiques.
Gordon Brown a dit s'attendre à des "négociations dures" mais s'est dit persuadé que Nicolas Sarkozy ne claquerait pas la porte. "Je suis persuadé que le président Sarkozy assistera au début du dîner et qu'il restera jusqu'à la fin", a assuré Gordon Brown.
Sources : L'Express, AFP, Libération, le Figaro, le Bild Deutsche Zeitung.
Mon analyse :
Encore une fois, Nicolas Sarkozy se présente à une conférence de presse à un sommet mondial clairement éméché et chancelant et tient un discours halluciné à l'opposé de son action dans le pays depuis deux ans (ses choix en matière économique et sociale qui ne remettent pas en cause la jungle libre-échangiste au mépris de sa campagne électorale qui fustigeait les délocalisations et l’euro cher), totalement dénué de toute diplomatie et tenant plus des promesses d'un grand soir que des réalité.
En outre, l’interview de ce matin montre bien que le seul sujet de préoccupation du président est bien lui-même, sa gloire dans une mise en scène permanente du "je".
Les télévisons et la presse écrite françaises ne font aucun état de cette information jusqu’à ce que le journal de la ZDF en Allemagne mentionne dans son journal de mi-journée le dérapage dans un ton badin.
Disposant bien entendu des mêmes images, il convient de s’interroger sur le mutisme des médias français.
Libération a immédiatement réagit sur son site web par un communiqué justifiant son choix de ne pas évoquer cette vidéo qui commence à circuler sur le net : "un visionnage attentif de la séquence nous semblait montrer un Sarkozy boursouflé, rouge, certes, pas dans son assiette, en effet, mais pas manifestement ivre, de plus aucune image ne le montre vraiment un verre à la main." Pourtant on y voit le chef de l'Etat, hilare, arriver devant les journalistes en leur demandant "de bien vouloir faire court et de poser des questions professionnelles et non orientées" accompagné d'un sourire mécanique, d'un regard perdu dans le vide et de tics d'expression.
Quoi qu’il en soit les médias français étaient tenus d’en parler.
Ces faits ne se sont pas produits dans une fête de famille quelconque mais dans le cadre d’un sommet réunissant le comité directeur du capitalisme mondial. Sous le contrôle de grands groupes capitalistes, la fonction principale des médias n’est plus de faire œuvre de critique mais de dégager un consensus autour du pouvoir.
Sa mission est revisitée par ses bailleurs de fonds. Rotschild dans le cas de Libération.
le manque de respect écoeurant est du coté du président de la républqiue pour le peuple français ...Le Bild Deutsche Zeitung rapporte que celle-ci lui aurait reproché d'accorder de coûteux cadeaux fiscaux à ses électeurs au lieu de garder les yeux fixés sur l'ensemble de la population "Mais qu'est-ce qui vous prend de me parler sur ce ton ?" aurait riposté un Sarkozy outré. S'en serait suivi une esclandre du président français et un départ de la salle de réunion sous la menace de quitter le sommet à cause de ce qu'il aurait qualifié de "manque de respect écœurant".
ils sont vachards quand même ...Il a conclu sur le fait que malgré les pressions allemandes et anglaises, la France refuse de soutenir sous quelque forme que ce soit l'indépendance du Tibet et que même si le dalaï lama n'a jamais revendiqué cette indépendance, le moment est trop grave pour que les intérêt particuliers d'une minuscule communauté au passé trouble vienne bloquer la réforme du monde qu'il vient de lancer.