Preparez vous car demain il nous faudra tous travailler comme un chinois !

Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Un grand nombre d'entreprises us font la même chose aux usa : employer des prisonniers. C'est très pratique des employés quasi exclus de toute législation du travail, travaillant beaucoup plus pour beaucoup moins. Facilement "préssurisable", facilement renouvelable (surtout aux us...), docile et prêt à accepter presque tout. Bien sûr les rares boîtes qui ne s'en cache pas expliquent que c'est le seul moyen de concurrencer les entreprises chinoises, donc d'éviter la délocalisation et de maintenir de l'emploi aux usa (l'exemple du reportage que j'avais vu c'était Shelby de mémoire mais la liste des entreprises us, y compris des nombreuses dont nous consommons couramment les produits, était très longue).Ariman a écrit :Ne vous focalisez pas sur l'esclavage en Chine, vous savez que certaines boites de BTP chinoises travaillant en afrique utilisent massivement des prisionniers ? Ils ne sont pas payés (bien sur), logés dans des containers (classique) et auront la joie d'une réduction de peine / libération à leur retour.
Snif, c'est bô. Ils ont bien compris l'économie de marché
Il y a effectivement une différence importante avec la Chine. Néanmoins cela reste quand même très choquant.Ariman a écrit :ils sont tous volontaires et payés non ? et les prisionniers chinois (politiques ou non) c'est un poil opaque ....
Le "cadeau fiscal" aux emprunteurs en partie censuré
Reuters
- (Reuters) -
Le Conseil constitutionnel a censuré un des "cadeaux" fiscaux votés en juillet dernier par le Parlement, les crédits d'impôts accordés aux souscripteurs d'emprunts immobiliers contractés avant l'adoption de la loi.
Conformément au souhait de Nicolas Sarkozy, le Parlement avait décidé que l'Etat rembourserait aux emprunteurs une partie des intérêts versés durant les cinq premières années de remboursement, non seulement pour les emprunts à venir, mais aussi pour ceux déjà contractés.
Le Conseil constitutionnel a jugé que si cet avantage répondait pour les prêts futurs à "un objectif d'intérêt général favoriser l'accession à la propriété", il constituait pour les autres un soutien au pouvoir d'achat et générait une très lourde charge pour l'Etat, dit un communiqué.
"Le Conseil constitutionnel a censuré cette disposition pour rupture de l'égalité entre contribuables", dit l'institution.
Le "cadeau" n'aurait pas un objectif d'intérêt général pour les emprunts en cours, dit le Conseil, "car, par définition, pour ceux-ci, le contribuable est déjà propriétaire de son habitation principale", ajoute-t-il cependant.
"Il s'agit alors d'un soutien au pouvoir d'achat au bénéfice des seuls contribuables propriétaires de leur habitation principale", estime-t-il.
"Son coût (7,7 milliards d'euros) fait supporter à l'Etat des charges manifestement hors de proportion avec l'effet incitatif attendu", souligne-t-il.
Le gouvernement estimait de son côté le coût de cette mesure à 3,7 milliards d'euros.
Dans un communiqué, le Premier ministre François Fillon dit "prendre acte" de la décision mais a promis de prendre de nouvelles décisions pour les "perdants" de cet arrêt.
"Le gouvernement proposera dans les prochains jours un nouveau dispositif permettant aux Français ayant déjà souscrit un emprunt de pouvoir bénéficier, eux aussi, de mesures gouvernementales en faveur de l'accès à la propriété", dit un communiqué de Matignon.
Ce dossier avait suscité des divergences entre le président Sarkozy et le ministre du Budget et des Comptes publics, Eric Woerth.
Le premier avait publiquement désavoué en mai le second qui souhaitait limiter la mesure aux emprunts souscrits après le 6 mai. Nicolas Sarkozy avait alors souligné qu'il avait promis durant sa compagne victorieuse de viser tous les emprunteurs.
"Toutes les promesses que j'ai faites, je les ai faites en toute connaissance de cause (...) Je ne laisserai personne dénaturer le projet que j'ai porté tout au long de la campagne présidentielle. Je ne laisserai personne renier mes engagements", avait-t-il dit.
La mesure est critiquée de manière générale par de nombreux économistes qui estiment qu'elle ne relancera que peu l'activité et profitera par définition aux plus favorisés, qui ont pu emprunter ou pourront le faire.
Le PS militait plutôt pour une extension des prêts à taux zéro pour l'achat des résidences principales, qui permettait de mieux "cibler" les catégories les plus modestes.
Ce débat se situe dans un contexte difficile pour le secteur de la construction, qui pourrait encore s'aggraver avec la crise financière partie des emprunts américains à risque.
Pour d'autres dispositions du paquet fiscal, le Conseil constitutionnel a rejeté les recours de l'opposition.
Elles concernent les exonérations fiscales pour les heures supplémentaires, l'abaissement du "bouclier fiscal" (la part maximum des revenus d'un foyer qui peut être prélevée par l'Etat en impôts) de 60% à 50% et l'allègement de l'impôt sur la fortune pour les personnes investissant dans les PME.
PARIS (AFP) - Brice Hortefeux, le ministre de l'Immigration, a admis mardi être "légèrement en-dessous", en tendance, de l'objectif de 25.000 reconduites à la frontière d'étrangers en situation irrégulière fixé pour 2007, appelant à "redoubler d'efforts pour les interpellations".
"A un peu plus de la moitié de l'année on est, en tendance, légèrement en-dessous de l'objectif" de 25.000 étrangers en situation irrégulière reconduits à la frontière, a déclaré à la presse le ministre, qui était reçu mardi matin à la préfecture de police de Paris par le nouveau préfet, Michel Gaudin.
Il a ajouté qu'il fallait "redoubler d'efforts pour les interpellations", notamment en matière de travail illégal.
Le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement a précisé que le nombre précis de personnes reconduites à la frontière serait publié à la fin de l'année.
Pour fixer un objectif et donc le déployer en sous objectifs suivant les préfectures / commissariats etc...Kyorou a écrit :Je me rappelle avoir remarqué le truc à l'époque. Je dois avouer que je ne comprends toujours pas pour quelle raison (autre que médiatique) on pourrait vouloir fixer un nombre d'irréguliers à expulser dans l'année. Si quelqu'un a une idée, je suis preneur.
PARIS (AFP) - Brice Hortefeux, le ministre de l'Immigration, a admis mardi être "légèrement en-dessous", en tendance, de l'objectif de 25.000 reconduites à la frontière d'étrangers en situation irrégulière fixé pour 2007, appelant à "redoubler d'efforts pour les interpellations".
"A un peu plus de la moitié de l'année on est, en tendance, légèrement en-dessous de l'objectif" de 25.000 étrangers en situation irrégulière reconduits à la frontière, a déclaré à la presse le ministre, qui était reçu mardi matin à la préfecture de police de Paris par le nouveau préfet, Michel Gaudin.
Il a ajouté qu'il fallait "redoubler d'efforts pour les interpellations", notamment en matière de travail illégal.
Le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement a précisé que le nombre précis de personnes reconduites à la frontière serait publié à la fin de l'année.