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Je me souviens.
Je me souviens des longues soirées dans les grandes salles de lumière. Où la beauté des femmes était comme celle des éphémères lucioles, fragile telle l’aile de la phalène qui se brûle à mort pour accomplir sa destinée.
Et le monde entier pouvait résider dans les yeux d’une belle.
Je me souviens des journées de bruit et de foule, de cris et de labeur. Les légions d’hommes, de femmes, d’enfants emportées par les flots du temps le long des rues vers des rivages incertains.
Et le monde entier n’était à nos yeux que perpétuel chaos.
Je me souviens des chemins de terre ...