Kei regarda la porte quelques secondes.
- Il y a plusieurs semaines vous ne m'avez pas dit que j'étais souillée ni mon bébé....*
C'était vrai. Elle aurait pu dès lors mettre en place des traitements pour amoindrir les effets de la corruption et personne ne lui avait rien dit... Maintenant ils étaient sains, tous, mais malgré tout les deux shugenja avaient jouer avec sa vie et celle de son enfant.
- Je vais vous laisser réfléchir à votre comportement dangereux et je vais aller empêcher mon mari de corriger une membre du Conseil restreint. Je vous interdit d'aborder les sujets de notre entretien avec qui que soit. Je vous rappelle que je suis la voix du Gouverneur, de la ville. Je suis Sunda et vous y êtes affecté, dit-elle froidement.
Elle passa la porte sans un regard de plus pour Teodenu, suivit les hoquets de stupeurs (et de peur) des travailleurs de l'hôpital et essaya de rattraper Retsu.
* Je suis pas sensée savoir si j'étais souillée ou pas, personne ne m'a rien dit (que ça vienne du scénario des vacances ou pas). En plus sa phrase était cryptique, moi j'avais pigé que j'avais été souillée puis guéri, que mon fils n'était pas souillé mais qu'il a été guéri quand même. Retsu à compris qu'on était de base tous souillé ( y compris l'enfant). Puis la dernière phrase du shug elle peut être prise soit pour le bébé, soit pour Retsu. Bref. Tout ça pas pour noter spécialement ce qu'on a dit ou pas mais pour noter qu'effectivement c'est un noeud à quiproquos