Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Quelle horreur... Un virus informatique qui a muté pour contaminer les humains ?et bien voilà, le virus d'Aiko-san m'a été transmis et je me suis donc attelé à la lourde et narcissique tâche d'écrire la vie et les aventures de Kenji.
-Une charmante introduction. Ca me fait penser à Fable (un jeu vidéo Xbox).A travers les shoji, la lumière de l'astre naissant inondait d'une lumière diffuse la petite chambre du jeune bushi, mettant en exergue la poussière en suspension dans l'air.
Le jeune garçon avait dormi d'un sommeil agité, résultat de l'entrevue qu'il avait eu avec son sensei, Kakita Karizuki-sama.
Il s'était réveillé plusieurs fois, s'était agité, retourné sur sa couche en coton cardé et avait rêvé de grandeur et de gloire.
Bon choix d'intégré le iaito dans l'entraînement. Je m'entraîne avec un bokken un peu plus lourd que la normale, c'est même avec lui que j'ai commencé, bien que j'aurais du le faire avec un shinai. Et je peux te dire que l'on sent la différence avec un sabre en acier... Comme le faisait justement remarquer Okada Izo à chaque fois que je lui mettais une raclée au bokken, dans Sword of the samuraï ! ^.^"Les longues heures de travail au bokken et les milliers de dégainé-frappé pratiqués avec une lame émoussée.
J'ai l'impression que les Kakita aiment beaucoup de choses... ça me fait penser à un truc un peu gênant... Pas pour moi, mais pour les lecteurs ! :PSon amour et son talent pour les exercices d'escrime rituels.
Tu parle du iaito, du sabre émoussé ?Et toujours la vision de ce sabre étincelant et magique qui représentait toutes les aspirations du jeune garçon.
Quelle naïveté raffraichissante... Et dire que par la suite, il va devenir un courreur de jupons assidus.Au son de cette voix, le cœur de l'enfant défaillit, il ressentit comme une onde de douceur et de fraîcheur sur tout le corps, comme pendant ses kata sous la cascade voisine. De faibles trémulations parcoururent tout son corps.
Il était amoureux.
Je ne sais pas pour ta vision de Rokugan, mais au Japon, avoir les cheveux ainsi déliés c'était être en tenue négligée, pour un homme. Ca fait contraste avec ses vêtements... Surtout que ce sont plutôt les femmes qui portent plusieurs couches de kimono.Au centre, sur une estrade était agenouillé un jeune homme à peine plus vieux que l'enfant.
Sa mise était splendide. Il portait cinq couches de kimono tous plus luxueux les uns que les autres dans des tons bleu-roi, avait les cheveux déliés, teints en blanc, et il peignait avec la délicatesse empreinte de préciosité de ceux dont l'éducation n'est prodiguée que par les plus grands sensei. A son côté, sur sa droite, pointait le saya d'une lame magnifique - de facture Kakita, l'enfant en était certain.
Ouais, mais lui il a passé son Gempuku. Le bon sens et les rokugani, ça fait deux. Ou trois. Les math faisaient pas parties du bagage intellectuel des samouraï, habituellement.Dans une bouche aussi jeune, le "mon enfant" sonnait incongru.
C'est sans doute la différence d'âge entre le Kenji d'ici et celui de "Duel", mais je m'attendais plus à des pensées du genre : "Yosh ! Faut que je m'infiltre dans son lit avant la fin de la semaine !" Ouais, je sais, une semaine c'est court comme délai, mais les Kakita visent la perfection... :PEt je trouverai un moyen de faire venir à moi ma dulcinée Keiko, je vous le promets sensei.
Une description intéressante. Bon choix pour la déco du kimono.Cette dernière, portait un kimono émeraude rehaussé de motifs de branches de pin, simple et bien coupé. Son obi, lui, avait fait l'objet de plus d'attentions.
D'une soie particulièrement fine, il était entièrement piqué à l'or fin, avec de minuscules perles illuminant le moindre mouvement de la jeune fille, mais ce qui rendit Kenji fou de joie, fut le petit origami en forme de chrysanthème, négligemment placé, à la vue de tous dans les derniers plis de la ceinture.
Le visage, à peine fardé, mais d'un teint de porcelaine, de Keiko s'éclaira à l'entrée du jeune Grue.
Après avoir regardé quelques épisodes de Souten no Ken, je suis devenu encore plus paranoïaque ("Ah ! Yan-wang ! " ), aussi, j'ai l'impression que le scorpion mise sur le long terme. Une telle cicatrice ne peut être pris que de deux façons par quelqu'un comme lui : une marque d'humiliation ou une preuve de son héroïsme au combat. Je penche davantage pour la première hypothèse.- Je suis persuadé de me faire l'écho de mes doshin, Karizuki-sama, quand je vous dis que nous n'aurions pu avoir meilleur sensei que vous, même dans nos clans respectifs. Et je crois que nous garderons tous le meilleur souvenir de vous et de votre enseignement. Même si le dernier mois qui vient de s'écouler fut pour moi plus douloureux que prévu je souhaite dire ici, que je ne garde aucune rancune, à aucun d'entre vous, pour le regrettable accident causé par les affres de l'adolescence.
Je suis, hélas, le premier à partir, mon escorte m'accompagnant dès demain vers Shiro Bayushi, mais je tiens à faire la paix avec Kenji-kun et le féliciter pour avoir gagné le cœur de Keiko-chan et pour posséder ce superbe sabre, symbole du grand destin qui l'attend.
Et pour m'excuser, je souhaite, vous offrir en toute amitié, à vous mes deux doshin, une cérémonie du thé, que vous pratiquerez, je l'espère, en mon nom et à ma mémoire, demain au crépuscule, moment qui sied si bien à la méditation.
Ceci est inexact. Tout comme le saké, qui ne peut vraiment être apprécié que si on le mélange à la haine ou à la mélancolie, et qui, par conséquent, nécéssite une flasque bien pleine, cette nouvelle commençant à peine a un rythme de publication trop lent à mon goût : en un mois tu n'as posté que deux fois ? XDD Maintenant ça me laisse sur ma fin, comme si je ne pouvais boire qu'une seule coupe alors que j'ai deux litres de vin juste sous le nez !et apparemment ça t'a plu
Evidemment. Cependant, les novices utilisent d'abord un bokken, pour se familiariser avec les mouvements. Même si, forcément, les gestes de iai sont forcément compromis au passage. ^^'- merci. il me paraît logique de travailler avec un vrai sabre...
C'est le sabre sur lequel le vieux travail pendant des lustres ? En fait, je n'avais pas compris l'allusion... XD- Kenji parle de "Lumière" mais tu as raison je ne l'ai pas précisé partant du principe que la scène était dans Duel, mais tout le monde n'a pas lu Duel, donc je vais voir ce que je peux faire.
Et en plus il est bushi ? L'enfoiré, soit il a confiance en lui, soit il a plein de gardes du corps.- Le PNJ existe et se présente toujours les cheveux déliés, il n'a pas toujours une réputation irréprochable. Pour ce qui est de Kimono luxueux, dans le secret of the crane sur la couverture le Bushi a bien 5 couches, donc ...
J'en prends note. Moi Longzi, j'établirai ma suprématie sur les autres lecteurs de Kenji-sama ! ><Pour ce qui est des chapitres et du titre : c'est un texte de travail les chapitres arriveront après. Quant au titre : je n'ai pas encore trouvé l'inspiration, mais on peut toujours faire un concours : "trouver le titre et repartez avec une dédicace exclusive"
Oui, mais lui, ce n'est pas un homme de marketing...et pour Duel (ou pour Le pari d'ailleurs), on ne s'est pas encombré de ce genre de choses au stade initial. Les titres, c'est de la déco, et ça peut très bien se faire à posteriori...Togashi Dôgen a écrit : -Pas de chapitres ni de parties ? Il semblerait que les posts soient les seuls marquages de ce genre. Pas très régulier, ça... :/
Sur ce point, tu devrais prendre exemple sur Aiko-san
Mort de rire, quel voyou cet auteur... Il faut que je retienne l'expression, le jour ou je voudrais passer à l'avance rapide !La journée suivante s'était déroulée de façon elliptique.
Tout à fait plausible, ça ne dépend que d'une seule chose : Kenji se relit-il ou pas ?Tout s'était déroulé comme si Kenji avait été spectateur de ses propres actions.
Kenji, après avoir aidé Keiko à s'installer, commença à préparer les thés : un thé au jasmin, doux et sucré pour elle et un thé vert et fort pour
lui-même.
QUOIIII ???!!! Kenji ! Espèce de charlatan, je m'INSURGE ! Un simple empoisonnement ? Mais c'est pas là qu'il fallait la tuer, c'était au moment ou il y aurait eut le comble de la souffrance pour Kenji ! C'est vraiment indigne d'un Scorpion digne de ce nom, franchement, quel manque de panache ! En plus, ça se voit que c'est du poison !Soudain, le corps de Keiko se cabra, tendu comme une corde d'arc, comme une marionnette dont les fils se seraient emmêlés. De ses yeux on ne pouvait plus voir que le blanc et une mousse sanglante était apparue aux
commissures de ses lèvres.
Kenji qui avait trempé ses lèvres dans le thé, s'arrêta net, quand dans un effort surhumain, Keiko projeta au loin la tasse du jeune Grue.
Il sentit tous ses muscles se tétaniser, tandis qu'avant de sombrer dans
l'inconscience, dans une vision d'horreur pure, il vit Keiko se débattre sur le sol, désarticulée, en pleine crise convulsive.