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par Eiji-kun » 03 août 2005, 09:41
[Arashi Fuyimiki]
Arashi Fuyimiki,ou Krilin comme on avait l'habitude de l'appeler marchait tranquilement,il était arrivé à l'heure prévue,le shiro se dresser devant lui,en contrebas il pouvait voir l'agitation digne des grandes cour d'hiver,le flux de voyageur sur la route principale était quasi ininterompu,les charrete se succedaient et les samourais s'aglutinaient aux portes afin de rentrer prestement se refugier du froid mordant,qui il est vrai était particulierement...froid.
Cette sensation fut rapidement chassé de l'esprit du moine,qui comtemplait la route qu'il avait emprunter jusque la et vit avec depit qu'elle ne rejoigner pas la route principale comme prevue,mais qu'un champ la separer de cette dernière,un petit autel était planter au milieu du champ,et se ferait une exelente facon de passer inapercu,quoi de plus normal qu'un moine coupant a travers champs en revenant d'un autel?
Certes le champ en question était recouvert de blanc...mais en s'aprochant,Krilin constata son erreur,il s'agissait d'un jardin qui avait été mis au repos le temps de l'hiver et on voyait distinctement le petit sentier menant à l'autel.
Apres une courte priere à la fortune de l'autel Krilin se dirigea finalement vers la grande route,arrivé au croisement,il remarqua un petit oiseau peletoner sur lui meme a quelque metres de la...
"Je ne doit pas laisse souffrir ce petit animal du froid",Krilin se dirigea donc sans hesiter vers le petit animal,qui trop affaibli ne fit rien pour éviter les mains bienveillantes du moine.
Le petit oiseau était un rouge gorge qui visiblement s'était laisser surprendre par le froid,se tournant vers la route,il se rendit soudain compte de son erreur...Il etait dans le fossé et commencer a s'enfoncer...le fosser ne semblait pas profond,mais le moine n'était pas bien grand non plus,et la neige lui arriver deja a mis cuisse,il n'était qua quelque centimetre de la route,mais le fossé avait été creuser à la verticale,il aurait pu en sortir aisement,mais ce aurait inevitablement attire l'attention sur lui,il se tourna vers l'oiseau et commenca à lui parler:
"N'aurait tu pas pu tomber ailleur petit oiseau?"
La seul reponse qu'il eu fut un piafement "amusé" de l'oiseau...
Les marchands passaient sans vraiment le voir,il allait attendre encore un peu,jusqu'a ce que quelqu'un le voyent,ainsi il aprendrait de son erreur...mais il n'allait pas attendre indefiniment non plus,car il s'enfoncait de plus en plus...
Hida Benkei - Posté le 28-10-2002 à 14:08:35