Message
par olivier » 02 mars 2006, 17:54
Quelques précisions imagimaires tirées des coutumes sexuelles du Japon mâtinées d'autres traditions Asiatiques.
Certes, la sexualité est une source de souillure 'traditionelle' et la femme un être subordonné à l'homme dans l'ordre céleste.
Il n'empèche que les Rokuganis aiment autant le sexe (sans parler de l'amour...) que vous et moi.
Leur traitement de la 'chose' suit donc des spécificités culturelles;
La culpabilité au sens Judeo Chretien (culte de la virginité) n'existe pas. Certes, il est nécessaire qu'une demoiselle de haut rang arrive vierge au mariage, pour garantir la pureté de la lignée de son époux, mais pour les gens du peuple, les choses se passent différemment.
L'infanticide n'est absolument pas tabou, ni la contraception.
A côté de chaque ville, il existe des endroits ou l'on peut 'exposer' les enfants. Les chiens connaissent bien ce coin.
Un bon comportement (et une dot correcte) comptent sans doute d'avantage pour un époux que la jeunesse tumultueuse de la jeune épousée.
Une fois marié, les choses sont différentes. Une épouse se doit d'être fidèle à son mari, qui peut demander sa mise à mort (ou pire...).
Cependant, tant pour les femmes de guerriers (dont les époux sont souvent en campagne) que pour la femme de paysan (dont le mari par se louer pendant les mois d'été), la femme a de fait la pouvoir sur sa maisonnée, la gestion, voir ses finances pendant la majorité de l'année.
Il n'est donc pas rare que les dames prennent un amant (tant qu'elles y mettent de la discrétion) voir se prostituent (la famine n'est jamais loin), le vrai crime étant de n'avoir pas pris soin de la maisonnée lors du retour de l'époux...
L'essentiel dans toute société asiatique, est de préserver l'ordre social et de sauver la face. Il existe une solide tradition de vaudeville qui ne nous ai jamais parvenu, ou amant et mari deviennet meillerus amis du monde, ou encore où l'Empereur croit être le père d'un enfant alors qu'il n'en est que le grand père (authentique)...
L'éloignement des hommes de la sphère féminine a favorisé l'essort du substitut sexuel. Il existe une étonnate variétés de godémichets et autre gadgets vendus par des colporteurs spécialisés, ou achetés à l'occasion de certaines fêtes religieuses (!)
Dans certaines communes isolées (montagnes) la frustration sexuelle finit par causer de véritables problèmes mettant en cause la survie du groupe.
des solutions locales, mais logiques aux yeux des habitants sont alors trouvés.
- La polyandrie (une femme est mariée à l'ensemble des frères d'une famille)
- La mise en commun des veuves (les femmes ménauposées ont alors le droit ,devrais-je dire le devoir de satisfaire les ardeurs des jeunes hommes pour qu'ils laissent tranquile jeunes filles et femems mariées)
- Le rite sexuel (cérémonie religieuse penandat lesquels les jeunes gens sont 'initiés' aux secrets de la vie (Cf manga 'Initiation')
On peut bien sûr gloser sur le sort misérable des 'femmes insectes', punies par leur mari en raison de leurs fautes (parfois imaginaires...) mis au pilori par des époux irrascibles pour que chacunb puisse assouvir ses envies sur sa tête.
Cette charmante coutume, nommé Bukkake, ne laisse à la malheureuse que le choix entre le suicide, ou de devenir une Burakumin prostituée, sujet d'opprobre, échangeant ses faveurs contre quelques navets...
Si l'on échappe au scandale, l'une des rares façons de disoudre une mariage sans autorisation est de rentrer dans les ordres.et de se raser la tête.
Cette 'facilité' relative est sans doute à l'origine des rumeurs sur la débauche reignant parfois dans les communautés de moniales...
L'homosexualité féminine orientale n'est guère plus répendue que celle de l'occident. Pratiquement invisible aux yeux de la société, elle était souvent considéré comme un pis allé de peu d'importance en attendant le retour des hommes.
L'homosexualité masculine est quand à elle très répendue. Dans une société 'de casernement' comme celle de Rokugan, une véritable homophilie règne dans les rangs.
La pression du groupe, la tension, le danger..rendent les liens de camaraderie très forts entre personnes.
Le mariage étant vu comme une nécessité plutôt que comme un but, de nombreux soldats se réconfortent mutuellement, dans la parfaite tolérance de leur hiérarchie tant que leur devoir ne souffre pas...
De ce point de vue, un véritable écart sépare les militaire des civils qui voient cette pratique comme une dangereuse lubie.
Pour une homme du commun, il n'y a aucun mal a prendre uen femme 'sous l'emprise de la boisson'. Leurs épouses ne peuvent se plaindre qu'en cas de liaison durable, et encore...
Plutôt que de faire scandale, voisins et famille comprendraient très bien qu'elles prennent un amant discret, et que tout le monde fasse bonne figure...
Hélas, ce choix n'est guère possible dans l'aristocratie...
Plus difficile a comprendre est la prétendue fascination de l'esprit Nippon pour la Pédophilie.
Il y a souvent à ce propos un malentendu. Si elle n'adopte pas un comportement sur-viril pour s'imposer, la femme Nippone joue de sa soumission en faiant l'enfant naïve (ce qui exite considérablement son partenaire tout en lui laissant une large part de manoeuvre) et ce même si elle a plus de 30 années...
la pédophilie reigne surtout là ou il y a concentration d'hommes jeunes et absence de femmes, à savoir certains casernements, mais surtout monastères !
Certains seigneurs vont d'ailleurs s'y 'approvisionner', en échanges de subsides.
C'est beau, la religion...
Enfin, les femmes d'un certain âge préfèrent sans doute que leurs amies dépucèlent leurs grands garçons plutôt qu'ils ne tombent sous la coupe d'une intrigante, se crée des ennuis avec une femme promise au mariage, ou fréquente des prostituées de castes inférieures...
Les femmes mures et solidaires mènent donc une vie sexuelle bien active, et façonnent ainsi les fantasmes de genérations de jeunes homems...
to Be continued
Dernière modification par
olivier le 03 mars 2006, 13:59, modifié 4 fois.
"Un bras, c'est déja deux mains"