[Gozoku] techniques gaijin?

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Shosuro Ikana
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[Gozoku] techniques gaijin?

Message par Shosuro Ikana » 04 avr. 2004, 18:47

Dans notre club, nous pensons donner plus d'importance aux gaijin, et les laisser avoir une influence plus grande.
S'ils s'implantent plus surement, les pjs ont plus de chances d'en rencontrer, et nous allons donc leur donner des techniques de combat propres, la plupart très supprenantes pour un rokugani.
Les règles de Septième Mer semble adaptable sur ce point (après tout, c'est aussi un jeu de John Wick).
Pour ma part... je ne suis pas le maître, donc ça sera pas de mon ressort, et je ne connais pas Septième Mer... mais bon l'idée reste quand même intéressante, certains y ont ils déjà pensé?

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Kendashi
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Message par Kendashi » 06 avr. 2004, 19:40

Ben j'ai bien écris 40 pages sur le sujet mais je crois que veux les utiliser pour un futur supplément :) (du genre, un truc centré sur la bataille du Cerf Blanc et sur l'implication des gaijin - ou plutôt Nanbanjin - dans le Rokugan du milieu du Vème siècle)

M'enfin tu peux tjrs me MP pour que je t'en montre un gros apperçus ;)


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Message par Kendashi » 06 avr. 2004, 23:54

Bon, vu que quelques personnes m'en on fait la demande (c'ets fou comme vous êtes curieux ;) ), voici un ptit apperçus de ce que j'ai écrit sur les Nanbanjin :
nouvelle d'Akodo Ikari a écrit :
A Shiba Gaijushiko, en l’an 442 de l’avènement de Hantei, douzième jour du mois du Tigre.

La religion des gaijin est une religion étrange. Frère Fabrizio avec qui j’ai eu de nombreuses conversations, m’a maintes fois rappelé que lui et les siens ne croient, contrairement à nous, qu’en un seul être d'essence divine, Dyu. Dyu, le Créateur Tout-Puissant, était, disait-il, le Père de toutes les terres, et de toutes les choses visibles et invisibles.
Il m’a dit également qu’un homme, un prophète, est venu autrefois leur apporter un message de Dyu. Ses paroles ont été milles fois répétées et retranscrites par écrit jusqu'à en devenir une doctrine. J’ai eu en ma possession cet étrange document et j’ai pu tenter d’en déchiffrer certains codes. Je fus surpris de voir que ces hommes étaient, eux aussi, astreints à suivre des lois immuables. Je n’ai pu m’empêcher de faire la comparaison avec le bushido. Enfreindre les "tabous" édictés par leur livre sacré est considéré par leurs croyants comme un péché, une forme de naufrage de la personnalité, un moment où l’individu ne parvient plus à exploiter le potentiel que Dyu lui a donné.

Cette notion de péché m’a beaucoup fasciné et je me suis permis d’enquêter sur l’influence qu’il pouvait avoir sur eux. Fabrizio m’a appris que leur Créateur leur avait donné la capacité de discerner le bien du mal. Et le "mal" est péché. Mais pour ces gens, se compromettre dans le vice ou la tentation n’est pas une finalité en soi. Ils peuvent, par la prière, obtenir de leur Dyu la rédemption. C’est pourquoi ils sont aussi dangereux. Ils n’ont pas peur de perdre la face puisqu'ils peuvent la récupérer…

Aussi longtemps que je les ai observés, je n’ai vu aucun des leurs accomplir les "miracles" dont ils parlent si souvent. Au contraire, il semblerait que nos shugenja aient plus de difficultés à contacter un kami lorsque l’un de leurs prêtres est présent. Je n’ai pu encore vérifier cette hypothèse, mais si elle s’avérait vrai, ce pourrait devenir un grand danger pour nous.

Enfin, et c’est peut être le plus grave : Les quelques voyages autorisés à ces moines afin de découvrir les bienfaits de notre religion auraient en fait couvert des entreprises de sédition auprès de villages paysans. Certains heimin et même des samurai auraient commencé à vouer des prières à leur Dyu.

En conséquence de quoi, et malgré la présence de gaijin relativement civilisés et de leurs importantes connaissances en matière d’astronomie et de mathématiques, j’estime que leur présence présente un danger majeur pour l’ordre spirituel, moral et politique de Rokugan. C'est pourquoi, votre excellence, je me permet de préconiser qu’il soit mené rapidement une purge totale des leurs et de tout les matériaux et ouvrages qui leur sont propres ou qui leur ont été consacrés.

Respectueusement,

Asako Fumawata

Nanbanjin vs Rokugani


Nanbanjin est le terme rokugani désignant les gaijin venant d’au delà de la Mer du Soleil. Il existe une multitude de différences entrs un Rokugani et un nanbanjin, aussi bien au niveau physique que dans l'approche culturelle, c’est pourquoi, bien qu’étant deux races humaines, chacune d’entre elles réagit différemment.

Le nanbanjin "moyen" est généralement plus grand que le Rokugani. Alors qu’un habitant de l’Empire d’Emeraude mesure environ un mètre soixante, la taille de ceux vivant au delà de la mer de la déesse Soleil approche le mètre soixante-dix. Mais la taille n’est pas la seule différences physique notable entres ces deux peuples. Leurs yeux, leurs cheveux et même leurs mains sont différents. Alors que les Rokugani ont les yeux bridées et une certaine légèreté au niveau des os et des muscles, les nanbanjin ont l’air beaucoup plus virils : leurs sourcils sont souvent broussailleux, leurs mains sont larges et leur corps généralement plus musculeux.

De nombreuses différences au niveau de la mode vestimentaire existent aussi. D’un côté, les habitants de Rokugan emploient de la soie pour fabriquer de magnifiques kimono, alors que les nanbanjin sont moins portés sur leur apparence physique et s’habillent généralement de vêtement très simples dans leur aspect. Seuls les courtisans de ce peuple semblent déroger à cette règle.

Mais les plus grandes différences entres ces deux peuples se situent au niveau culturel. Là où les Rokugani croient en l’Ordre Céleste, en l’honneur et aux apparences, les nanbanjin ne conçoivent leur civilisation que dans une grande opposition de force. Si un être n’est pas capable de mettre tous les atouts de son côté pour garder son statut, alors il ne le mérite plus. Dans cette civilisation, tous le monde a sa chance s’il fait ses preuves.

D’autre part, une grande différence existe au niveau des religions. Alors que les enfants d’Amaterasu et d’Onnotangu croient en l’existence des Kami aux cieux et en toute chose, les nanbanjin, eux, vouent pour la plupart un culte à Dyu, le Créateur.

Là où certaines règles empêchent les Rokugani de toucher, voire de manger, de la chair morte, les nanbanjin se délectent de la viande rouge et emploient un grand nombre d’ustensiles en cuir.

Toutes ces différences font que les Rokugani et les nanbanjin n’ont jamais réussi, véritablement, à se comprendre et à s’apprécier. Le manque d’information et de dialogue fait souvent prendre à un Rokugani un nanbanjin pour une créature de l'Outremonde (ogre ou autre). Et ce gouffre culturel s’est encore agrandi depuis les tristes évènements de la Bataille du Cerf Blanc.


Nation d’origine



Quoi qu’on en dise, tous les nanbanjin ne provenaient pas du même endroit. Bien qu’il soit extrêmement difficile de les différencier (pour les Rokugani tous les barbares possèdent des manières rustres et/ou coutumes étranges qui les horrifient), nous sommes arrivés à la conclusion qu’il a existé trois types de nanbanjin qui apparurent sur nos côtes au Vème siècle. Ceux venant des terres de l’Ouest, du Sud et du Nord-Est. Néanmoins, tous ces peuples semblaient agir sous l’ordre de la même autorité, celle d’un Empereur tout puissant, consolidée par leur foi en une même religion (celle de Dyu).

Les terres de l’Ouest

Les habitants de terres de l’Ouest étaient peut-être les plus proches des Rokugani (si tel était possible) de part leurs pensées et leur façon d'agir. C’est grâce à leurs interventions que l’on put imaginer à un moment l’espoir d’une alliance entres les deux peuples. Ces gens là furent courtois, hospitaliers et adeptes de l’art du sous-entendu, de la métaphore et des précautions oratoires. Leur intelligence et leur sens de la bonne formule en firent les traducteurs les plus appréciés des deux peuples.Il semblerait que leur peuple fisse aussi de grandes distinctions dans les castes sociales, ce qui leur permit de comprendre, assez rapidement, comment fonctionnait l’Ordre Céleste. Mais cette compréhension allait parfois se heurter au mécontentement des nôtres lorsque certains d’entre eux se livrèrent parfois à de la cruauté gratuite sur les heimin et eta de l’Empire. On pouvait remarquer aussi chez eux un malin plaisir à se mêler d’intrigues et de ce qui ne les regardait pas. Leur grande curiosité les poussa parfois à découvrir des secrets que même nous ne soupçonnions pas, ce qu’il les rendit dangereux.

Professions accessibles : Courtisans et Marins


Les terres du Sud

Les barbares des terres du Sud sont ceux sur qui nous avons retrouvé le moins d’informations. Néanmoins, certains documents de l’époque du Vème siècle les dépeignent comme des personnes rusées et secrètes. C’était un peuple de leaders, doués aussi bien avec leurs armes qu’avec leurs mots, et qui avaient la particularité d’attribuer à la femme un statut supérieur. Certains éléments portent à croire que c’est par ces dernières que le scandale arriva le premier. Bien que la religion nanbanjin nous rebutait déjà au plus haut point, certains des leurs maîtrisaient, semble t’il, une forme de sorcellerie comparable à la maho. Et, alors que l’Empereur Hantei Fujiwa demandait expressément aux barbares de s’expliquer sur ces agissements, il n’eut pour seule réponse que l’attaque soudaine d’Otosan Uchi, qui entraîna le début de la Bataille du Cerf Blanc.

Professions accessibles : Courtisans et Prêtre


Les terres du Nord-Est

Il fut rapidement évident que les barbares venant des terres du Nord-Est étaient un peuple fier doté d’une grande éducation militaire. Leurs corps semblaient plus robustes que ceux de leurs congénères, ce qui les orienta, évidemment, vers des professions de type garde du corps, combattants embarqués ou conquistadors.Leur plus grand défaut faisait aussi toute leur force. Ces barbares là étaient extrêmement têtus. C'étaient de véritables fanatiques religieux qui, de part leur volonté extrême, refusaient d’admettre être dans le tort ou d’abandonner un combat. C’est ce qui les poussa inévitablement à de multiples conflits avec le peuple rokugani, porteur de la "vraie lumière".

Professions accessibles : Marins et Conquistador


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Message par Kendashi » 07 avr. 2004, 00:03

Profession nanbanjin


CONQUISTADOR :Les Conquistadors représentent la plupart des hommes armés de la race gaijin. Ils forment de grandes unités militaires prêtes à obéir aux ordres de leurs supérieurs.
Bonus : +1 en Constitution
Rang de Morale de départ : 0, plus cinq cases (cf. La Voie des Prophètes)Compétences : Armes d’hast, Défense, Arquebusade, Athlétisme, Escrime, Corps à corps et Equitation
Ecoles disponibles : Conquistador et Prêtre

MARIN :Un marin vit et travaille sur un bateau. Il connaît les vents et leurs effets sur le gréements d’un navire. Il sait naviguer en se servant des étoiles et connaît bon nombre de courants marins. Certains d’entre eux ont appris à se défendre des attaques de pirates.
Bonus : +1 en Agilité
Rang de Morale de départ : 2, plus cinq cases (cf. Code des marins et pirates)
Compétences : Navigation, Athlétisme, Connaissance des nœuds, Cartographie, Connaissance de la mer, Perception du temps et une compétences de bugei
Ecoles disponibles : Artilleur, Spadassin

PRETRE :Les prêtres sont les garants de la religion de Dyu. Ce sont les personnes vers qui le commun des croyants se tourne lorsqu’ils ont péché.Bonus : +1 en Foi
Rang de Morale de départ : 3, plus cinq cases (cf. La Voie des prophètes)Compétences : Calligraphie, Etiquette, Art Oratoire / Rhétorique, Théologie, Prière, Chirurgie et Manipulation
Ecoles disponibles : Prêtre et Courtisan

COURTISAN :Les courtisans sont avant tout passés maîtres dans l’art subtil de la diplomatie. Ils disposent d’un certain nombre de privilège par rapport aux autres nanbanjin et possèdent généralement une meilleur éducation.
Bonus : +1 en Réflexes
Rang de Moral de départ : 2 (cf. Le Code des Gentil hommes)Compétences : Courtisan, Danse, Art Oratoire / Rhétorique, Escrime, Etiquette, Séduction et Sincérité
Ecoles disponibles : Courtisan et Spadassin


Nouvelles écoles


Les nanbanjin et les écoles rokugani


Il est presque impossible qu’un nanbanjin soit accepté dans une école de samurai rokugani. Une telle situation apporterait aussitôt le déshonneur sur le sensei qui oserait ainsi aller à l’encontre des traditions rokugani. Néanmoins, à une certaine époque de Rokugan (peu de temps avant la Bataille du Cerf Blanc), il arrivait parfois que des échanges culturels soient tentés, et l’apprentissage aux techniques d’écoles en faisait partie bien qu’elle fut tout de même assez rare. En ce qui concerne les autres époques de jeu, le MJ est bien évidemment libre d’autoriser ce qui lui semble approprié au cadre de sa campagne en n’oubliant pas que généralement les nanbanjin sont assez rare à Rokugan..Gardez aussi à l’esprit que les nanbanjin ne pourront jamais utiliser les techniques basées sur l’honneur, ou qui requièrent la dépense de points de Vide, s’ils ne possèdent pas d’anneau de Vide ou de rang d’Honneur.

L’école des Souffleurs de feu (école d’artillerie)


Dans le jargon populaire des nanbanjin, les souffleurs de feu sont les personnes qui maîtrisent l’art des armes à feu et de l’artillerie lourde. Ils ont suivi un enseignement leur permettant de tirer profit au maximum des possibilités de ce que les Rokugani appellent "le poivre gaijin".
Bonus : Perception +1

Techniques :
Rang 1 : La manipulation du Poivre gaijin peut être très dangereuse. Le Souffleur de feu connaît les risques et sait comment éviter de se mettre en danger. Il ne peut plus subir d‘échec critique avec une arme à feu ou lourde.
Rang 2 : Le Souffleur de feu sait recharger son arme à feu plus vite que les autres. On considère qu’il lui faut 1 tour de combat complet de moins que la normale pour se faire.
Rang 3 : A force d’entraînement, le Souffleur de feu a appris à mieux apprécier les distances. Il ne subit aucun malus pour des tirs de portée moyenne et ses tirs de portée longue sont considérés comme étant de portée moyenne en termes de modifications.
Rang 4 : Le Souffleur de feu devient capable d’effectuer des tirs critiques. Si son jet d’attaque est égal ou supérieur au double du ND qu’il devait obtenir normalement pour toucher sa cible (avec une arme à feu ou lourde), alors il peut ajouter et garder un nombre de dés égal à son Rang de Maîtrise.
Rang 5 : Certains Souffleurs de feu ont pris l’habitude de tirer simultanément avec deux pistolets. Bien que chaque tir devienne moins précis (ND augmenté de 10 avec l’arme tenue par la main secondaire), cette technique permet d’effectuer 2 tirs par tour. Malheureusement, il n’est pas aisé de recharger des armes avec les deux mains prises (le temps pris pour recharger chaque arme est doublé).
Équipement de départ (tous sont de qualité moyenne) : Pistolet, une arme blanche au choix, armure légère et un nécessaire de voyage


L’école du Moi et sur Sur-Moi (école de courtisan)


L’une des principales écoles de l’aristocratie gaijin étudie la psychologie de l’homme dans le but de l’aider ou de le manipuler. Les techniques qu’elle enseigne sont basées sur le Moi et le Sur-Moi dont est constitué chaque humain. On appelle "psychologues" les personnes qui ont étudié cette science.
Bonus : Intuition +1
Pré-requis : Manipulation 1
Techniques :
Rang 1 : A ce stade, la personne qui a étudié les secrets de la psychologie sait interpréter les rêves. Une fois par Rang de Maîtrise et par journée, il peut attribuer l’Avantage Chanceux ou le Désavantage Malchanceux à un de ses "patients" (ou à lui-même). Le rang de l’effet attribué est égal au Rang de Maîtrise du Psychologue – 2 (minimum 1). Aucun patient ne peut "bénéficier" plus d’une fois par jour des conseils du psychologue.
Rang 2 : "Nul vérité n’est absolue", le personnage a le don pour trouver les mots que désire entendre son interlocuteur sans pour cela verser dans le mensonge. Il ne dit tout simplement pas tout ce que l’autre devrait savoir. Techniquement, le psychologue peut ajouter un nombre de dés égal à son Rang de Maîtrise lorsqu’il effectue un jet de Manipulation ou de Sincérité après avoir parlé à quelqu’un.
Rang 3 : Un psychologue a appris à s’adapter à n’importe quelle culture. La richesse de son éducation lui a permis de toucher à bon nombre de connaissances. Techniquement, on considère que le psychologue apprend plus facilement les compétences valorisantes. Il lui faut (Rang de Maîtrise) points d’expérience en moins pour les augmenter (minimum 1 point).
Rang 4 : Il arrive parfois qu’un lien étrange unisse une victime à son assaillant. Lorsque le psychologue se trouve confronté à un danger humain ou inhumain, il peut, s’il réussit un jet de Manipulation / Intuition (ND 20 pour les humains, 35 pour les non-humains), forcer son assaillant à l’épargner, du moins pour l’instant…
Rang 5 : A chaque jour de contact avec une personne, le psychologue peut déterminer ses forces et faiblesses. En réussissant un jet d’Intuition, ND 25 (15 si la personne se confie librement à lui), le psychologue prend connaissance d’un Avantage ou Désavantage de son "patient". Il ne peut effectuer qu’un jet par jour et ne peut apprendre plus de (Rang de Maîtrise x2) Avantages ou Désavantages.
Équipement de départ (tous sont de qualité moyenne) : une montre à gousset, une arme (au choix) et un nécessaire de voyage.


L’école de la Sombre Illusion (école de spadassin)

Il existe plusieurs écoles d’escrime provenant des terres gaijin mais les techniques de l’école de la Sombre Illusion sont réputées pour être les plus vicieuses et imprévisibles. Elles consistent essentiellement à effectuer une série de feintes, en combattant conjointement avec une épée et une dague (ou tout autre arme du même type), destinée à induire en erreur l'adversaire pour ensuite lui porter un coup fatal. Les artistes martiaux utilisant ces techniques sont connus chez les gaijin comme étant surnommés "les guerriers Banshee".
Bonus : Réflexes +1
Techniques :
Rang 1 : Le guerrier Banshee peut, lorsqu’il se bat avec deux armes, effectuer conjointement une attaque et un manœuvre défensive, mais il ne peut lancer (en total, pour ses deux actions) plus de dés que son Rang de Maîtrise x 2. Cette techniques est incompatible avec toute autre technique.
Exemple : Don Diego est de Rang 2, il maîtrise les techniques de l’école de la Sombre illusion. Sa compétence martiale en Escrime s’élève au Rang 4, tout comme sa compétence de Défense. Quant à ses scores en Agilité et en Intuition, ils sont égaux à 3. S’il veut utiliser, dans le tour, sa technique lui permettant d’effectuer, en combiné, une attaque et une manœuvre défensive, il ne pourra lancer qu’un maximum de 4 dés sur le total de ses deux jets. Il décide d’effectuer une attaque à 3G3 (la valeur de dé à garder ne change pas mais ne peut jamais être supérieure à la valeur de dé lancer). Il ne lui restera plus qu’un seul dé à attribuer à sa manœuvre de défense. Si Don Diego avait été de rang 5, il aurait eu 10 dés à répartir sur ses deux actions.
Rang 2 : Si un guerrier Banshee arrive à surprendre un adversaire (en l’attaquant par exemple dans le dos ou après une embuscade réussie), il peut effectuer une attaque supplémentaire.
Rang 3 : Le guerrier Banshee est assez adroit pour effectuer 2 attaques par tour (3 au cas où il surprend son adversaire).
Rang 4 : Lorsque le guerrier Banshee inflige une blessure grave (perte de 2 niveaux de blessure ou plus) à son adversaire, il peut choisir de subir une blessure grave, lui aussi, afin de lui en infliger une seconde (au même nombre de points de dégâts).
Rang 5 : Si un adversaire ne parvient pas à toucher le guerrier Banshee du fait d’une manœuvre de défense, ce dernier effectuera son prochain jet d’attaque contre un ND auquel on soustraira son Rang de Maîtrise x 5 (avec un minimum de 5).
Équipement de départ (tous sont de qualité moyenne) : Rapière, dague / main gauche ou brise-lame (au choix), armure légère et un nécessaire de voyage


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Shosuro Ikana
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Message par Shosuro Ikana » 10 avr. 2004, 10:20

Je suis un peu sceptique quand à l'école du Moi et du Surmoi
N'est ce pas un peu trop moderne si on considère que les conquistadors sont à peu près à la Renaissance? On est encore loin du Freudisme à l'époque.

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