Non, et non, rien à voir avec la notion de piqure en temps que"peur de l'aiguille".Soshi Noami a écrit :Madame pourra peut-être faire l'infirmière coquine pour aider à vaincre ce blocage psychologique ?
Si justement, ça l'est, et c'est là ou le doc ce matin m'a blasé, parce qu'elle retire cette notion de choix dans son discours, or c'en est un. Soit je devient dépendant d'une piqure, à vie, dont les doses ne vont qu'augmenter, pour retarder la dégradation, soit je ne devient pas dépendant, pour un même résultat final, juste le temps.Soshi Noami a écrit :Bon courage à toi car, malheureusement, ce n'est plus une question de choix.