Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
J'ai un parade à cela : je maîtrise en première éditionmême si les kakita son devenu commun en duel et se font battre régulièrement)
D'abord, STW, c'est cool.DEUXIEMENT je me rappel dans shogun total war me semble t-il qu il y avais des unités de moine a moitié frénétique très capable qu en est-il dans roukuku?
Surtout pas, malheureux. Enfin, à part si effectivement tes batailles relèvent plus du Age of Empire que du Shogun Total War (puisqu'on en parle), avec des petits bonhommes qui se baladent tous seuls comme des paumés sur le champ de bataille plutôt qu'en rangs serrés comme il se doit en principe, mais aligner des armées de soldats équipés de no-dachi, y a rien de mieux pour que la moitié de tes hommes se retrouve coupée en deux par son voisin. Ou alors les rangs sont espacés de plus d'un mètre vingt, mais c'est comme faire une maison sans mortier.Nosh a écrit :Le No-Dachi est certainement une bonne arme en bataille mais son coût, dans ces périodes troublés est certainement trop important (la longue lame est difficile à fabriquer) pour les finances des Daimyos.
C'est quoi des x-sumi ? Des tatoués mutants ?Shimazu a écrit : Malheureusement, j'ai encore jamais vu de joueurs opter pour des moines en dehors des x-sumi et des Asako (enfin, même les Asako j'en ai jamais croisé).
Des ise-zumi, de kikaze-zumi, et letroisième qu'on va appeler y-zumi. En tout, ça fait des x-zumi.Akaguma a écrit :C'est quoi des x-sumi ? Des tatoués mutants ?Shimazu a écrit : Malheureusement, j'ai encore jamais vu de joueurs opter pour des moines en dehors des x-sumi et des Asako (enfin, même les Asako j'en ai jamais croisé).
Sur ce principe, le Naginata serait également considéré comme une mauvaise arme en bataille...Shimazu a écrit : Surtout pas, malheureux. Enfin, à part si effectivement tes batailles relèvent plus du Age of Empire que du Shogun Total War (puisqu'on en parle), avec des petits bonhommes qui se baladent tous seuls comme des paumés sur le champ de bataille plutôt qu'en rangs serrés comme il se doit en principe, mais aligner des armées de soldats équipés de no-dachi, y a rien de mieux pour que la moitié de tes hommes se retrouve coupée en deux par son voisin. Ou alors les rangs sont espacés de plus d'un mètre vingt, mais c'est comme faire une maison sans mortier.
Le nodachi ou « sabre de champ » fut introduit à l’époque Nanbokucho (1336-1392). Il était uniquement utilisé par les samouraïs à pied, et pour cause, il était plus haut que le samouraï. Ce sabre ne pouvait pas être tirée de son fourreau par une seule personne. Un serviteur devait tirer l’arme de son fourreau pour ensuite la donner à son maître. En combat singulier, cette arme permettait d’infliger des coups fatals à presque chaque coup. Elle était également utilisée pour stopper les charges de cavalerie, pour cela, il suffisait d’effectuer un balayage à la hauteur des pattes des chevaux.
"Le Nodachi est un long sabre (6 shaku) qui se manipule à deux mains signifiant littéralement l' "épée de plaine". Utilisé sur les champs de batailles, il était destiné à contrer la cavalerie, à écraser et à couper les opposants lourdement protégés par leurs armures.
Le Nodachi est née de surenchères progressives sur les tailles des sabres, les forgerons montraient leur art en créant de grande lames et les guerriers impressionnaient leurs adversaires et rivaux avec la longueur de leurs lames. Il a la même apparence générale qu'un katana ou un tachi bien qu'il soit plus long et de part sa longueur, le soldat porteur du Nodachi pouvait disposer d'un serviteur ou d'un partenaire pour dégainer son arme. En plus d'être très lourd, la longueur de sa lame permettait une plus grande portée et de tenir les opposants à meilleure distance. Le sabre servant avant tout à se protéger, la grande longueur de lame devenait un formidable bouclier.
Plus lourd, plus couteux, plus difficile à forger et à utiliser, le Nodachi fut peu à peu abandonné à mesure que les guerres s'intensifièrent, favorisant le Katana, pour finalement apparaître le plus souvent en tant qu'arme d'apparat. "