Publié : 13 mai 2009, 17:38
Ouais, bon, y'a eu un meurtre quand même, l'enquête aurait eu lieu. Se serait-elle orientée vers les coupables ? On n'en saura rien à cause de ce blaireau de flic français. 

C'est ensemble que nous faisons avancer le jeu
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Dans le deuxième cas, c'est immoral.Je relève juste que *techniquement*, les deux cas sont légaux, mais que dans l'un Eolas trouve ça bien "puisque c'est la loi", et que dans l'autre ça le scandalise, alors que c'est aussi la loi
Certes, mais comme le reste du monde l'a compris, ce n'est pas le sujet de ma remarque.Kakita Inigin a écrit :Dans le deuxième cas, c'est immoral.Je relève juste que *techniquement*, les deux cas sont légaux, mais que dans l'un Eolas trouve ça bien "puisque c'est la loi", et que dans l'autre ça le scandalise, alors que c'est aussi la loi
Ami citoyen, ne t'occupe pas de la vie de la cité et de la bonne marche de notre société. Baisse les yeux et ne manifeste aucune forme d'attention à la manière dont la loi sensée te protéger est mise en oeuvre. Ceci même si tu en juge l'application contraire aux principes de notre république.Le Marseillais assistait à un contrôle d'identité qu'il trouvait trop viril. Il est poursuivi pour "tapage injurieux diurne".
Un Marseillais de 47 ans, professeur de philosophie, va comparaître le 19 mai devant le tribunal de police pour avoir crié alors qu'il assistait à un contrôle d'identité: "Sarkozy, je te vois!", a-t-on appris jeudi 14 mai auprès de son avocat.
L'homme a prononcé cette phrase à deux reprises en gare Saint-Charles, à Marseille.
Le 27 février dernier, à 18h50, il assiste en spectateur à un contrôle d'identité qu'il juge musclé, puis décide de se manifester verbalement, suscitant l'hilarité des passagers alentour.
Les policiers, estimant que l'apostrophe a attiré l'attention du public et gêné leur contrôle, l'emmènent alors au poste de police de la gare pour procéder à un contrôle d'identité et dresser un procès-verbal.
Il risque une contravention
"Par la durée et la répartition de ses cris", l'enseignant a porté atteinte à la tranquillité publique, contrevenant ainsi à l'article 13-37 du code de la santé publique, écrivent les policiers.
Le professeur est convoqué devant la justice pour "tapage injurieux diurne troublant la tranquillité d'autrui", délit passible d'amende selon l'article R 632-1 du Code pénal.
Son avocat, Me Philippe Vouland, a déposé des conclusions de nullité. Il va demander le transport du tribunal sur les lieux, ainsi que la désignation d'un expert pour faire des comparatifs de décibels en gare Saint-Charles, mais aussi la désignation d'un neurologue pour "tester l'influence que peut avoir le bruit sur le cerveau humain".
"Je ne doute pas qu'en bon avocat, M. Sarkozy n'aurait jamais été favorable à une telle poursuite qui ne peut conduire qu'à la relaxe", a ironisé Me Vouland. (nouvelobs.com avec AP)
Documents dont la justice américaine exige la publication ... estimant sans doute que leur classement "confidentiel" est abusif.parler de "censure" pour décrire une non-publication de documents confidentiels,
Déjà à l'époque les journal... euh pardon aucun journaliste n'avait capté quoi que ce soit ce soir là, donc déjà à l'époque certains lui avait fait remarquer que ce n'était pas tout à fait exact quand même tout ça et que peut être que c'était même un petit peu un gros mensonge éhonté. Source.le chef de l'Etat avait réfuté l'idée que ce soit lui qui décide seul de la nomination des présidents de l'audiovisuel public: "C'est un mensonge", avait-il dit. Il avait expliqué que "le nom proposé part aux commissions des affaires culturelles de l'Assemblée nationale et du Sénat où il doit être accepté à la majorité des 3/5e, c'est-à-dire que l'opposition doit être d'accord avec la majorité".
Réclamée par le PS, la nomination avec l'accord des 3/5e des commissions n'était pas prévue dans le projet de loi.
Je crois que c'est la fin que je préfère...LCP ? Mais si, vous savez, La Chaîne parlementaire qui suit et analyse en continu les travaux de l'Assemblée nationale sur le câble, le satellite et la TNT. Malgré une audience inférieure à 0,5% de parts de marché, Nicolas Sarkozy a décidé de peser sur la nomination de son président. Objectif atteint ce mercredi avec la désignation de Gérard Leclerc, jusque-là chef du service politique de France 3.
Nulle surprise donc. Quand l'Elysée a décidé, les jeux sont rapidement faits et aussi vite connus de tous. Car, comme l'écrivait Le Monde mardi, Gérard Leclerc bénéficiait « sans ambiguïté des faveurs de Nicolas Sarkozy ». Allégation à laquelle Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée nationale à qui revient la tâche de nommer le président de La Chaîne parlementaire pour trois ans, avait immédiatement réagi dans un communiqué :
« Je ferai mon choix en mon âme et conscience, à l'abri de toute pression et en toute indépendance. »
Un choix effectué ce mercredi. Pour la preuve d'indépendance, il faudra repasser. Le président de la chambre basse avait pourtant mis et respecté les formes, mais ce sont ces mêmes formes qui l'ont trahi. Explications.
Contre le vote du comité de sélection
Trois autres candidats ont été auditionnés : le président sortant Richard Michel, l'ex-directeur de l'information de France 24 Ulysse Gosset, ainsi que le journaliste politique de France 3 Dominique Martinaud. Et un comité de sélection, composé de douze députés représentant les quatre groupes politique de l'Assemblée nationale, avait été mis en place.
Le 3 mai, ledit comité se réunit, procède à des auditions et sélectionne deux noms : Gérard Leclerc et Richard Michel. Tout se déroule alors parfaitement pour que Bernard Accoyer satisfasse les exigences du locataire de l'Elysée. Sauf que le comité (dont un membre était absent) décide d'assortir sa sélection d'un vote : huit voix en faveur du président sortant, trois seulement pour le protégé du Palais.
Heureusement pour le président de l'Assemblée nationale, la décision du comité de sélection n'est que consultative. Il peut s'assoir dessus, sans déplaire -bien au contraire- à l'Elysée. Ce qu'il a fait. Ou une nouvelle démonstration du peu de considération du pouvoir exécutif pour son pendant législatif.
« On sait tous que ce sera notre prochain président »
Bernard Accoyer peut alléguer le contraire, les faits sont là. D'autant que Le Monde soulignait également que le président sortant de La Chaîne parlementaire pouvait se targuer d'un bon bilan :
« En trois ans, selon l'étude annuelle réalisée par Médiamétrie, l'audience moyenne cumulée par semaine de la chaîne est passée de 2,5 millions à 17,5 millions de téléspectateurs. »
Dans la rédaction de Rue89 aussi, les rumeurs de pressions de l'Elysée pour appuyer la candidature du chef du service politique de France 3 avaient circulé. Précisément au moment de la convocation de deux journalistes de Rue89 par la Police judiciaire, le 1er avril, pour la diffusion de « la vidéo off de Nicolas Sarkozy », le 19 juin sur le plateau du « 19/20 » de France 3. Un cadre de LCP nous confiait :
« C'est marrant parce que Gérard Leclerc, le journaliste que Nicolas Sarkozy tutoie, on sait tous que ce sera notre prochain président car il a le soutien de l'Elysée… »
« J'avais protesté quand on l'avait mis au placard »
Effectivement, dans la vidéo publiée par Rue89, non seulement le chef de l'Etat tutoie le journaliste qui allait l'interviewer, mais explique en outre en quoi sa récente mise à l'écart l'avait peiné :
« Ça fait plaisir de voir M. Leclerc à l'antenne. Tu es resté combien de temps au placard ? (…) J'avais protesté quand on l'avait mis au placard. » (Voir la vidéo à 3'31'')
Les mots choisis aujourd'hui par Gérard Leclerc pour se défendre prennent une toute autre tournure, avec le rappel de cet épisode. Dans un droit de réponse adressé au Monde, le journaliste réfute avoir eu les faveurs de l'Elysée :
« Pas le moindre élément ne vient étayer cette allégation. Dans tous les postes de responsabilité que j'ai occupés depuis 1985 à France 2 et France 3, notamment comme rédacteur en chef des services économique et politique, je pense avoir fait preuve de ma totale indépendance à l'égard de tous les pouvoirs. »