La Voix De Rokugan

Bayushi Ryumi a écrit :Avec la troisième édition exit les tables d'héritage qui ne ressemblent à rien par clan (mais non je n'ai pas dit Dragon ).

Une seule table d'héritage pour tous dans laquelle clan mineur, ronin et autres trus non pensées à le droit de piocher.

Enfin, une vraie bonne idée

Pas idiot ça. Ils donnent des conseils dans l'utilisation de la table ? (moi par exemple je pense que du semi aléatoire + inspiration est plus intéressant que de simple tirages).

ouais pareil. donc, il semble que cette troisième édition ne soit pas si mal alors, si j'ai tout suivi? hormis des techniques d'écoles mutantes

Tetsuo a écrit :

Seppun Kurohito a écrit :Vos remarques m'ont effectivement rappelé un truc d'un table d'héritage Scorpion ou ton ancêtre a pris sur le champs de bataille le sabre du général adverse (un thème que j'avais repris pour le personnage de Shosuro Akae).

Quel est cet héritage ? Positif ou négatif ?

J'ai vérifié et je m'étais trompé : l'événement auquel je faisais allusion dans la table d'héritage (dans Mort étrange) est que ton ancêtre à kidnapper le général adverse avant d'être tué (ennemi juré dans le clan du général).

Sinon, dans la table des mauvaises fortunes du Scorpion : "vous détenez un élément d'un objet ancestral volé (katana sans saya par ex), et un de vos ennemi détient la partie manquante.

Je n'ai pas de souvenirs d'entrées similaires dans les tables des autres clans. A croire que le vol n'est envisageable que pour les Scorpions.

Tetsuo a écrit :Imaginons qu'un seigneur conquit un fief voisin d'un autre clan.
Outre les terres et heimin y vivant il récupère les maisons et maisonnées des samouraïs ennemis y résident, et donc leurs affaires s'ils n'ont put les évacuer. Alors ? Vol ou pas ?

prise de guerre : à la guerre rien n'est déshonorant

Tetsuo a écrit :De même s'il est de bon usage de rendre un daïsho, est ce véritablement obligatoire ou une civilité ?

je dirai que le rendre fait gagner de l'honneur, le garder peut faire perdre de l'honneur mais ce n'est pas obligatoire (garder un daisho d'un membre de son propre clan ou d'une famille impériale fera perdre de l'honenur, tandis que garder un daisho d'un samurai ennemi ne fera pas perdre d'honneur si le samurai qui le garde a un honneur pas trop élevé)

Tetsuo a écrit :Bah j'ai un personnage qui a récupéré un daïsho, abandonné par son propriétaire.
Ne sachant pas vraiment à qui le remettre, il le garde pour l'instant. Bien sur il pourrait le remettre à un membre du Clan de l'ex samouraï, mais cela ne semble pas approprié.

là encore ça dépend pour quelles raisons tu le gardes et surtout si tu t'en sers ou si tu le conserves uniquement comme trophée

il faut aussi considérer la façon dont il est restitué pour apprécier l'impact sur la Gloire (je préfére "On") et l'Honneur

L'on peut aussi imaginer que le seigneur recevant le daisho d'un de ses hommes peut le refuser.

Pour diverse raison : il reconnait que l'adversaire mérite ce daïsho plus que son prédéceseur.
il ne veut plus entendre parler de l'ancien porteur.
...

Ceci me conforte dans l'idée qu'il peut y avoir une sorte de marché du daïsho :)

Je pense à une situation qui pourrait valoir le coup :
Circonstance : la guerre entre 2 clans.
Un général butte un général adverse et fait parvenir un message au camp ennemi :
Je garderais le daïsho de "Untel"...
- jusqu'à ce que quelqu'un ait le courage de venir me le demander
- jusqu'à ce que l'un de vous soit en mesure de le porter dignement
- jusqu'à ce que vous vous rendiez.
- parce que vous ne le méritez pas.

rayez les mentions inutiles.

si le message est bien phrase par un courtisan ou un poete ca serait vraiment pas mal

Si on considère que l'âme de "pépé" est dans la lame cela me semble très ... spécieux non ?

c'est un peu le but de cette discussion que de le determiner...

De la collection d’art comme investissement.
L’économie de Rokugan n’est pas basée sur l’accumulation de koku, mais sur les biens et la production de la terre. Or il est fort mal aisé d’exposer ses terres à un invité, de même que la richesse ostentatoire n’est pas des plus raffinée et du meilleur goûts.

Il existe donc plusieurs recours pour afficher sa fortune. La geisha, couverte de cadeaux, bijoux et kimono. L’artiste qui vous dédis maintes œuvres. Moines venant rendre hommages à un généreux donateur. Et les collections d’objets précieux.

Que se soit une collection précise, qui en plus d’exposer votre fortune vous permet de passer pour un érudit en ce domaine. Ou une collection hétéroclite d’objets fins, rares ou anciens, qui vous feront passer pour un esthète.

Le samouraï se doit d’avoir une collection, aussi modeste que ce soit, et le comble du comble c’est qu’elle n’a pas à être onéreuse, mais être mise en valeur.