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Publié : 14 déc. 2007, 16:41
par Goju Kaze
Donc on me disait que la dénonciation ça faisait bien parti des symptomes d'une dictature hein?

:kaze:
Excusez moi je vais vomir.

Publié : 14 déc. 2007, 16:59
par Kakita Inigin
Vas-y je tiens le seau. :help: :vomir:

Publié : 17 déc. 2007, 09:22
par Shosuro Uso
Vous reprendrez bien un petit verre de Vichy, c'est l'Etat qui offre... :snif:

Publié : 17 déc. 2007, 09:27
par Ding On
Tout va bien !
Sarkozy sort avec Carla Bruni, voilà de quoi occuper les journaux et faire oublier le désastre lybien.
Il est fort qd même !

Publié : 17 déc. 2007, 09:29
par Shoju
Ding On a écrit :Tout va bien !
Sarkozy sort avec Carla Bruni, voilà de quoi occuper les journaux et faire oublier le désastre lybien.
Il est fort qd même !
Me faisais la même remarque ce matin ... Et même Libé joue le jeu ...

Publié : 17 déc. 2007, 09:39
par Kõjiro
Accepter d'être exploitée comme un "coup" médiatique, d'être rabaissé à un "usage" c'est pas mal comme message pour les femmes...

Après les femmes "coups d'un soir", les femmes "coup politique".

Y'a pas à dire on progresse...

Publié : 17 déc. 2007, 09:43
par Kyorou
Kõjiro a écrit :Accepter d'être exploitée comme un "coup" médiatique, d'être rabaissé à un "usage" c'est pas mal comme message pour les femmes...
Faut dire, comme chanteuse c'était pas trop ça. On pourrait à la limite dire qu'elle s'améliore.

Publié : 17 déc. 2007, 09:43
par Shoju
Kõjiro a écrit :Accepter d'être exploitée comme un "coup" médiatique, d'être rabaissé à un "usage" c'est pas mal comme message pour les femmes...

Après les femmes "coups d'un soir", les femmes "coup politique".

Y'a pas à dire on progresse...
Dans le même temps, a-t-on vu les femmes dans d'autres postures plus intéressantes ?
Si j'aime bien la "femme boulangère qui sert le pain", je préfère à un homme !

Publié : 17 déc. 2007, 10:19
par Goju Kaze
Kyorou a écrit :Faut dire, comme chanteuse c'était pas trop ça. On pourrait à la limite dire qu'elle s'améliore.
J'aimais bien moi.

:kaze:

Publié : 17 déc. 2007, 10:26
par Kyorou
Goju Kaze a écrit :J'aimais bien moi.
Je remarque l'usage de l'imparfait...

Publié : 17 déc. 2007, 10:31
par Kakita Inigin
Elle est trop forte. Passer de chanteuse bof à pol star ...

Publié : 17 déc. 2007, 15:38
par Kõjiro
Bon pendant que la presse bruisse sur les histoires de fesses de la principauté élyséenne on rappellera quand même que "Sarkozy le candidat" déclarait qu'il voulait "moins de fonctionnaires mais des fonctionnaires mieux payés" et qu'aujourd'hui c'est "pas d’«augmentation générale» mais une «garantie de pouvoir d'achat»". Ce qui n'est pas tout à fait la même chose pour rester euphémique. En gros il ne s'agit plus de "mieux payer" mais d'éviter si possible que certains soient "moins payés"...

Publié : 17 déc. 2007, 16:26
par Toshi
hum .... il est de 1955 elle de 1968 ...

à part ça moi je me demande juste où il l'a rencontré ??? il sort en boîte ??? il l'a rencontré fortuitement à eurodisney ? ou il est fortuitement tombé sur elle le sexe en avant alors que ça femme rentrait à la maison ?

n'empêche ça confirme dans ma prochaine vie, je me reincarne pas en gentil moine, fidèle avec un brin de conscience qui sert qu'à me faire chier la plupart du temps :) ... mais en gros salopad plein de thunes :lol: (ou de pouvoir hein .. je fais pas le difficile nan plus :) )

et pis arreté de critiquer un peu ... mais lui à le droit à l'amour ....... hum .... ouais .... ça fait pas sérieux une demi seconde cette phrase si ?? :)

Publié : 18 déc. 2007, 09:33
par Kõjiro
Quelques retours "anticipatifs" sur les heures sup' etc...

Les ressources humaines tentent de passer à l’heure du «travailler plus»
Social. A peine la réforme des 35 heures digérée, les DRH affrontent le casse-tête des heures sup.

LUC PEILLON

QUOTIDIEN : mardi 18 décembre 2007

«Travailler plus pour gagner plus : le slogan est très bon, sa mise en œuvre beaucoup moins évidente.» Pierre-Yves Poulain, délégué général de l’ANDRH (l’Association nationale des directeurs des ressources humaines, qui regroupe 4 500 responsables), résume l’état d’esprit de ses adhérents. Alors que doit être adopté aujourd’hui à l’Assemblée nationale le second texte sur le pouvoir d’achat, incluant le paiement de dix jours de RTT, le déblocage de la participation et le versement d’une prime exonérée de cotisations sociales, le scepticisme gagne de nombreux DRH. Au-delà de la complexité de certaines mesures, c’est l’instabilité juridique qui inquiète.

«Les entreprises ont mis du temps pour se caler sur un système. Si tous les deux ou trois ans, il faut changer notre fusil d’épaule, cela devient très compliqué», poursuit Pierre-Yves Poulain, en référence à l’encre à peine sèche des accords 35 heures du début des années 2000. Une enquête réalisée en octobre auprès de 400 membres de l’ANDRH illustre l’état d’esprit du patronat vis-à-vis de la nouvelle loi d’exonération de charges sociales pour les heures supplémentaires. A la question «la loi sur les heures supplémentaires vous paraît-elle claire et facile à mettre en place ?», plus de 70 % des sondés ont répondu non. Avec, en tête des soucis, celui des formalités déclaratives nécessaires pour bénéficier des exonérations de charges. Du coup, les trois quarts d’entre eux (76 %) n’envisagent pas de faire exécuter des heures supplémentaires à leurs salariés. Et 56 % estiment d’ailleurs qu’ils n’auront pas «à faire face à une forte demande de la part des non-cadres» (77 % concernant les cadres). La même méfiance ou prudence s’exprime quand on évoque le nouveau dossier du rachat des RTT. Petite revue de détail.

une charge de travail variable dans le btp

«Ça discute ferme dans la camionnette quand on va sur les chantiers», reconnaît Daniel Parent, responsable d’une petite entreprise de plâtrerie de 18 salariés, située dans l’Hérault. A l’origine du quiproquo : la «confusion» née, selon lui, des annonces gouvernementales sur les heures supplémentaires. Des salariés l’interrogent sur la possibilité d’en faire. Lui tente de leur expliquer que l’accord de modulation signé par son organisation patronale, la Capeb (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment), rend «difficile» la mise en place d’une telle mesure. «Le temps de travail est comptabilisé sur le semestre, ce qui permet de compenser entre les périodes de forte activité [l’été et le printemps, ndlr] et les périodes basses [l’hiver], explique Daniel Parent. Les heures sup éventuelles n’étant constatées qu’au bout de six mois.» Bref, ce chef d’entreprise n’est pas chaud pour remettre en cause le système actuel. A mots couverts, il dénonce les espoirs distillés par le gouvernement auprès des salariés : «Il n’y a rien de pire que les messages lancés d’en haut, sans prise en compte de la réalité du terrain, notamment pour les PME.» Et de rappeler le casse-tête existant pour déterminer le temps de travail, avec l’inclusion ou non du trajet et de la pause déjeuner.

le dimanche travaillé chez Conforama

A Conforama, «c’est les 35 heures linéaires», explique Anne-France Lucas, DRH du groupe d’ameublement. La plupart des salariés sont à l’horaire légal, il n’y a donc pas de jours de RTT à racheter. Quant aux heures supplémentaires, elles n’enchantent pas forcément les employés, dont beaucoup travaillent déjà le dimanche (Libération du 4 décembre). Reste les cadres, bénéficiant de neuf à onze jours de RTT par an, mais dont la plupart, à la mi-décembre, ont déjà posé leurs congés. «Il y a très peu de RTT à solder d’ici la fin de l’année», explique Anne-France Lucas, qui a incité le personnel «à poser ses jours pour ne pas accumuler un surplus de congés à reporter sur l’année prochaine». Une loi qui arrive un peu tard, donc, pour la chaîne d’ameublement, mais dont la DRH reconnaît qu’elle constitue une «souplesse» dans la gestion des effectifs. Si la mesure est étendue au premier semestre 2008 (1), elle regardera au cas par cas, en fonction «de la charge de travail», rappelant que le rachat de RTT n’est rien d’autre qu’«une façon différente de faire faire des heures supplémentaires». Seule mesure intéressante pour Conforama : la légalisation du travail du dimanche, permettant de sécuriser juridiquement une situation déjà existante.

Le rachat de rtt dans une pme de consulting

Les secteurs qui, au final, devraient être les plus intéressés par les nouvelles mesures sont ceux qui connaissent des difficultés de recrutement. Beex, société de conseil en organisation d’entreprises, compte une vingtaine de salariés, tous cadres, calés sur un forfait de 218 jours annuels. La société ne manque pas de commandes, mais peine à embaucher. Résultat : son PDG, Mathieu Cortadellas, souhaite racheter plusieurs jours de RTT à ses employés. «On vend des prestations facturées à la journée. En rachetant dix jours de RTT, on peut augmenter notre marge de 2 000 euros sur chaque salarié.» Les principaux intéressés ne sont pas contre, assure ce jeune dirigeant, qui évalue à 75 % la part de consultants prêts à vendre leurs congés. «Je n’impose rien à personne», promet Mathieu Cortadellas, qui assure même que «2 ou 3 cadres ont refusé pour cause de stress à évacuer». L’exonération de cotisations sociales, à l’inverse, n’a pas pesé dans sa décision. «Dans notre modèle économique, ce ne sont pas les charges, ni la majoration de 10 % qui changent la donne, mais seulement le marché.» Gain estimé pour le salarié : 1 500 euros brut pour dix jours cédés.

(1) Un amendement prévoit d’élargir la période de rachat de RTT jusqu’au 1er juillet 2008.
A ce sujet ce serait bien de voir si certains ont vu des retombés concrètes (déjà, ou a venir dont ils seraient au courant) sur ces questions. De mon coté c'est "absolument rien" pour le moment.

Publié : 18 déc. 2007, 09:42
par Ding On
C'est encore plus beau qu'on l'imaginait :

http://www.politique.net/2007121201-nic ... erieur.htm