[spoiler scenar] Naissance
Publié : 07 mars 2012, 01:26
par Daidoji Akiko
Voilà, en prévision du premier tournoi de JDR de la MJC de DOUAI depuis sa reconstruction, j'aurai voulu proposer à vos augustes esprits critiques la base de mon scénario. La présentation n'est encore très travaillée, mais la base de l'intrigue est acquise. Reste sa mise en forme.
Pour les intéressés, désireux de venir nous accompagner pour cette première conv' made in Gayant (je posterai un lien plus détaillé par la suite pour indiquer le contenu de la conv), je recommande de ne pas poursuivre la lecture de ce post plus avant.
Pour les autres, voici les données du problème :
Pour les intéressés, désireux de venir nous accompagner pour cette première conv' made in Gayant (je posterai un lien plus détaillé par la suite pour indiquer le contenu de la conv), je recommande de ne pas poursuivre la lecture de ce post plus avant.
Pour les autres, voici les données du problème :
Spoiler :
Ce scénario est fondé sur un parti pris assumé par son auteur. Dans les récits que l’on peut trouver dans les divers suppléments des diverses versions du jeu L5A, on nous parle de Iuchiban et de ses actes, de son histoire et de ses facultés. L’intention de ce scénario n’est pas de rendre ce personnage plus attachant qu’un autre. Il vise surtout à dépasser l’image d’Epinal du vilain petit canard impérial qui deviendrait un cygne oni pour assouvir une vengeance puéril.
Imaginons qu’avant que les kamis n’arrivent sur le monde des hommes, ceux-ci savaient déjà soumettre les esprits élémentaires et les Fortunes, à leur volonté, par le biais de rituels complexes.
Imaginons que parmi ces pratiques magiques, les ISAWA, leurs principaux détenteurs, aient exploré la voie du déséquilibre élémentaire qui, sacrifiant une partie de l’harmonie vitale et spirituelle d’un individu, produit des effets magiques d’importance. Cette pratique est le fruit d'un pacte entre les éléments et les premiers hommes, honoré en permanence par un gardien dédié au culte des éléments : l'Oracle.
Le déséquilibre élémentaire est bien généré par le sacrifice d’une partie de soi, à l’origine. Un don de sang plus ou moins conséquent, voire une mutilation importante, en constitue le composant de base. Cela ne constituait alors pas en soi de la maho, car cette pratique magique existait bien avant la venue des Fils et Filles du Ciel.
Or, avec l’arrivée de ceux-ci sur terre, les ISAWA s’isolèrent de leur royaume dans un premier temps, estimant qu’ils n’avaient rien à gagner d’une soumission aux filles et fils du Ciel, car ceux-ci ne pouvaient rien leur apporter qu’ils ne connaissent déjà. Certes, la première guerre contre Fu Leng prouva aux ISAWA qu’ils ne pouvaient prétendre à la puissance d’un Empire humain gouverné par des kamis, mais qu’ils pouvaient s’aider mutuellement.
Imaginons qu’alors, la raison de l’avancée d’une armée d’oni en direction des terres ISAWA ait été motivée non par un débordement des défenses Rokugani par le Nord, mais par l’attrait du Petit Frère pour une source de magie qu’il ne connaissait pas mais voulait conquérir. L’entrée dans l’Empire des ISAWA l’empêcha alors d’accéder momentanément à ce savoir. Shinsei, comprenant rapidement la logique de l'ennemi, recommanda aux ISAWA l'abandon de la magie du sang, pour une pratique plus classique et moins puissante, mais plus sûre, telle qu'elle est encore enseignée aujourd'hui.
Mais plus de 400 ans plus tard, quelqu’un y parvînt. Quelqu’un parvînt à enfreindre la coutume de n’utiliser que la magie élémentaire ritualisée classique. Quelqu’un d’extérieur à la famille ISAWA apprit l’existence de la magie originelle du sang, l’assimila, et la lia définitivement à Fu Leng.
Ceci pourrait expliquer les sombres histoires sur les secrets gardés dans la bibliothèque ISAWA, ainsi que toute la méfiance à l’encontre de leurs pratiques ancestrales.
Le scénario qui suit vous propose une façon de voir les choses, de justifier cette perte de la magie du sang initiale et d’expliquer pourquoi un homme, à la fois gâté et blessé par le sort, décida de lier son nom à jamais à l’usage de composant organique pour la pratique de la magie.
Avant l’arrivée de Iuchiban, l’Empire et les terres du clan du Phénix avait déjà eu à subir les assauts de l’Outremonde. L’un fut à l’origine de l’alliance entre ISAWA et SHIBA, l’autre scella la fin de la famille CHUDA (année 402).
Il est tant de comprendre comment le troisième assaut permis l’avènement de la maho.
Le cadre choisi est celui des hautes vallées séparées des autres terres du clan du Phénix par les plaines jadis administrées par les CHUDA. Une branche de la famille ISAWA y réside depuis toujours, défendant l’Empire des intrusions des Yobanjins (officiellement), et échangeant surtout avec eux. Ils ont contribué à l’effort de guerre contre le Shuten Doji, mais y ont perdu beaucoup (notamment femmes et eta, bref, tous ceux qui n’ont pas participé à la pacification des plaines sous les ordres du conseil des Cinq). Revenus sur leurs terres, ils ont dû les pacifier à leur tours, et force fût de constater qu’il fallait tout reconstruire. Heureusement, leur oracle, ou gardienne de l’ancienne magie, n’avait pas été soumise par le Shuten Doji. D’une manière incompréhensible, au prix de son bras et d’une grande quantité de sang, elle avait sû se protéger magiquement de l’influence corruptrice du Shuten Doji… Du moins, en surface. Car il s’avérera bientôt que la magie du sang ancestrale présentait un inconvénient. Elle ne permettait de soumettre efficacement les esprits qu’au prix d’un déséquilibre spirituel (et physique) provoqué volontairement chez son utilisateur. Or, dans ce déséquilibre entre les éléments constituant un être, une brèche devenait perceptible et exploitable par l’essence même de Jigoku. Ce nouvel élément, la Souillure, adhérait facilement, dans ces conditions, au corps et à l’âme de tout utilisateur. C’est ce qui finit par arriver. Lentement, l’oracle commença à ressentir un lien avec le Petit Frère, et compris alors quelle menace planait sur elle. Elle fit avertir les daymio de la famille ISAWA qui dissimulèrent leurs archives relatives à la magie du sang ancestrale et encadrèrent drastiquement son utilisation.
Petite chronologie du contexte :
339 : fondation du clan du serpent par ISAWA Chuda, qui aurait détruit des shugenja versés dans un usage interdit de la magie qui voulaient s’en servir contre l’Empereur. (des kolats)
391 : création du GOZOKU
402 : les 5 nuits de la honte. Destruction du clan du serpent.
480 : naissance d’Otomo Jama
495 ou 501 (?) : création de l’enclume du désespoir par Agasha Ryuden (destruction du clan du sanglier)
499 : découverte par Jama des manuscrits de Kuni Nakanu
Le scénario (qui se passe au début de l'année 499) se décompose en trois parties :
_ Visite de Kyuden et de ses bibliothèques (en gage d'apaisement envers l'impératrice, suite au Gozoku). Mise en place d'éléments du BG et diversions multiples. Découverte du vols de plusieurs ouvrages rares.
_ Deux pistes différentes mènent aux hautes terres de l'oracle. Les esprits y sont devenus fous et les PJs font connaissance avec quelques rescapés d'un gros bourg, qui ont volé à Kyuden ISAWA des ouvrages sur l'Outremonde, mais afin de le combattre. Ils ont été suivis et, suite à un assaut terrible, l'oracle a été enlevée par un ancien CHUDA.
_ Les PJs retrouve l'Oracle dans la vallée où se dressait le château des CHUDA. Découverte des plans des séides de Fu Leng. Les Pjs sont tenus de vaincre les forces de l'Outremonde présentes sur place. Ils peuvent sauver la magie du sang en renouvelant le serment des premiers hommes envers les esprits élémentaires. Mais l'un d'eux pourra la détourner à son profit, car il est plus sensible à l' "appel de jigoku".
Ce PJ devient Iuchiban.
J'aurai besoin d'idées pour détailler le contenu de la 3ème partie, si possible.
Comment se passerait la confrontation finale ? Exfiltration de l'oracle, qui est finalement tellement contaminée par le Souillure que les PJs l'affrontent par l'intermédiaire de rêves à énigme, et s'ils parviennent à résoudre leurs énigmes, ils contactent la dernière partie de l'essence non corrompue de l'oracle qui leur transmet le texte du Pacte afin qu'ils le renouvellent ? Si assaut frontal, ils assistent au sacrifice de l'oracle en l'honneur de Fu Leng qui se matérialise en personne sur place. Aux PJs par leurs prières et combats de repousser ses serviteurs le temps de refermer le passage vers le trône du Petit Frère ? Je sèche un peu sur la faisabilité de ceci...
Détail technique : ce n'est pas tant le sang qui facilite la maho. Les akutsukai peuvent employer la magie de Fu Leng sans y recourir, après tout. Le lien entre la magie du sang originelle et la puissance de Fu Leng passe par la souffrance. Après tout, Jigoku est le monde de la souffrance, dans la mythologie chinoise, et en ceci il est intimement lié au Ningen-do. Dès lors, quand quelqu'un s'inflige de la douleur en invoquant le nom de Fu Leng, le voile entre la partie de Jigoku où domine le Petit Frère et le Ningen-do s'amincit, et Il peut entendre la prière qui lui est dédié et y répondre (par plaisir).
En fait, ce qu'aurait fait Iuchiban, c'est révéler la technique de la magie du sang à Fu Leng et, en échange d'un contrôle direct sur ses pratiquants (en tant que dépositaire du Pacte avec les éléments), faire en sorte que Celui-ci ressente les appels à la magie du sang (par la souffrance) et insinue son essence corruptrice à travers les éléments constitutifs de la personne lançant le sort. De ce fait, hormis en dépensant un point de vide au moment du lancement du sort, la personne faisant usage de la magie du sang est infiltrée par la souillure.
Ce parti pris repose sur le principe, défendu dans le supplément "la tombe de Iuchiban", que les adeptes du sang n'ont souvent pas conscience que leurs pouvoirs proviennent de Fu Leng, qu'ils ne pensent pas prier d'ailleurs.
Imaginons qu’avant que les kamis n’arrivent sur le monde des hommes, ceux-ci savaient déjà soumettre les esprits élémentaires et les Fortunes, à leur volonté, par le biais de rituels complexes.
Imaginons que parmi ces pratiques magiques, les ISAWA, leurs principaux détenteurs, aient exploré la voie du déséquilibre élémentaire qui, sacrifiant une partie de l’harmonie vitale et spirituelle d’un individu, produit des effets magiques d’importance. Cette pratique est le fruit d'un pacte entre les éléments et les premiers hommes, honoré en permanence par un gardien dédié au culte des éléments : l'Oracle.
Le déséquilibre élémentaire est bien généré par le sacrifice d’une partie de soi, à l’origine. Un don de sang plus ou moins conséquent, voire une mutilation importante, en constitue le composant de base. Cela ne constituait alors pas en soi de la maho, car cette pratique magique existait bien avant la venue des Fils et Filles du Ciel.
Or, avec l’arrivée de ceux-ci sur terre, les ISAWA s’isolèrent de leur royaume dans un premier temps, estimant qu’ils n’avaient rien à gagner d’une soumission aux filles et fils du Ciel, car ceux-ci ne pouvaient rien leur apporter qu’ils ne connaissent déjà. Certes, la première guerre contre Fu Leng prouva aux ISAWA qu’ils ne pouvaient prétendre à la puissance d’un Empire humain gouverné par des kamis, mais qu’ils pouvaient s’aider mutuellement.
Imaginons qu’alors, la raison de l’avancée d’une armée d’oni en direction des terres ISAWA ait été motivée non par un débordement des défenses Rokugani par le Nord, mais par l’attrait du Petit Frère pour une source de magie qu’il ne connaissait pas mais voulait conquérir. L’entrée dans l’Empire des ISAWA l’empêcha alors d’accéder momentanément à ce savoir. Shinsei, comprenant rapidement la logique de l'ennemi, recommanda aux ISAWA l'abandon de la magie du sang, pour une pratique plus classique et moins puissante, mais plus sûre, telle qu'elle est encore enseignée aujourd'hui.
Mais plus de 400 ans plus tard, quelqu’un y parvînt. Quelqu’un parvînt à enfreindre la coutume de n’utiliser que la magie élémentaire ritualisée classique. Quelqu’un d’extérieur à la famille ISAWA apprit l’existence de la magie originelle du sang, l’assimila, et la lia définitivement à Fu Leng.
Ceci pourrait expliquer les sombres histoires sur les secrets gardés dans la bibliothèque ISAWA, ainsi que toute la méfiance à l’encontre de leurs pratiques ancestrales.
Le scénario qui suit vous propose une façon de voir les choses, de justifier cette perte de la magie du sang initiale et d’expliquer pourquoi un homme, à la fois gâté et blessé par le sort, décida de lier son nom à jamais à l’usage de composant organique pour la pratique de la magie.
Avant l’arrivée de Iuchiban, l’Empire et les terres du clan du Phénix avait déjà eu à subir les assauts de l’Outremonde. L’un fut à l’origine de l’alliance entre ISAWA et SHIBA, l’autre scella la fin de la famille CHUDA (année 402).
Il est tant de comprendre comment le troisième assaut permis l’avènement de la maho.
Le cadre choisi est celui des hautes vallées séparées des autres terres du clan du Phénix par les plaines jadis administrées par les CHUDA. Une branche de la famille ISAWA y réside depuis toujours, défendant l’Empire des intrusions des Yobanjins (officiellement), et échangeant surtout avec eux. Ils ont contribué à l’effort de guerre contre le Shuten Doji, mais y ont perdu beaucoup (notamment femmes et eta, bref, tous ceux qui n’ont pas participé à la pacification des plaines sous les ordres du conseil des Cinq). Revenus sur leurs terres, ils ont dû les pacifier à leur tours, et force fût de constater qu’il fallait tout reconstruire. Heureusement, leur oracle, ou gardienne de l’ancienne magie, n’avait pas été soumise par le Shuten Doji. D’une manière incompréhensible, au prix de son bras et d’une grande quantité de sang, elle avait sû se protéger magiquement de l’influence corruptrice du Shuten Doji… Du moins, en surface. Car il s’avérera bientôt que la magie du sang ancestrale présentait un inconvénient. Elle ne permettait de soumettre efficacement les esprits qu’au prix d’un déséquilibre spirituel (et physique) provoqué volontairement chez son utilisateur. Or, dans ce déséquilibre entre les éléments constituant un être, une brèche devenait perceptible et exploitable par l’essence même de Jigoku. Ce nouvel élément, la Souillure, adhérait facilement, dans ces conditions, au corps et à l’âme de tout utilisateur. C’est ce qui finit par arriver. Lentement, l’oracle commença à ressentir un lien avec le Petit Frère, et compris alors quelle menace planait sur elle. Elle fit avertir les daymio de la famille ISAWA qui dissimulèrent leurs archives relatives à la magie du sang ancestrale et encadrèrent drastiquement son utilisation.
Petite chronologie du contexte :
339 : fondation du clan du serpent par ISAWA Chuda, qui aurait détruit des shugenja versés dans un usage interdit de la magie qui voulaient s’en servir contre l’Empereur. (des kolats)
391 : création du GOZOKU
402 : les 5 nuits de la honte. Destruction du clan du serpent.
480 : naissance d’Otomo Jama
495 ou 501 (?) : création de l’enclume du désespoir par Agasha Ryuden (destruction du clan du sanglier)
499 : découverte par Jama des manuscrits de Kuni Nakanu
Le scénario (qui se passe au début de l'année 499) se décompose en trois parties :
_ Visite de Kyuden et de ses bibliothèques (en gage d'apaisement envers l'impératrice, suite au Gozoku). Mise en place d'éléments du BG et diversions multiples. Découverte du vols de plusieurs ouvrages rares.
_ Deux pistes différentes mènent aux hautes terres de l'oracle. Les esprits y sont devenus fous et les PJs font connaissance avec quelques rescapés d'un gros bourg, qui ont volé à Kyuden ISAWA des ouvrages sur l'Outremonde, mais afin de le combattre. Ils ont été suivis et, suite à un assaut terrible, l'oracle a été enlevée par un ancien CHUDA.
_ Les PJs retrouve l'Oracle dans la vallée où se dressait le château des CHUDA. Découverte des plans des séides de Fu Leng. Les Pjs sont tenus de vaincre les forces de l'Outremonde présentes sur place. Ils peuvent sauver la magie du sang en renouvelant le serment des premiers hommes envers les esprits élémentaires. Mais l'un d'eux pourra la détourner à son profit, car il est plus sensible à l' "appel de jigoku".
Ce PJ devient Iuchiban.
J'aurai besoin d'idées pour détailler le contenu de la 3ème partie, si possible.
Comment se passerait la confrontation finale ? Exfiltration de l'oracle, qui est finalement tellement contaminée par le Souillure que les PJs l'affrontent par l'intermédiaire de rêves à énigme, et s'ils parviennent à résoudre leurs énigmes, ils contactent la dernière partie de l'essence non corrompue de l'oracle qui leur transmet le texte du Pacte afin qu'ils le renouvellent ? Si assaut frontal, ils assistent au sacrifice de l'oracle en l'honneur de Fu Leng qui se matérialise en personne sur place. Aux PJs par leurs prières et combats de repousser ses serviteurs le temps de refermer le passage vers le trône du Petit Frère ? Je sèche un peu sur la faisabilité de ceci...
Détail technique : ce n'est pas tant le sang qui facilite la maho. Les akutsukai peuvent employer la magie de Fu Leng sans y recourir, après tout. Le lien entre la magie du sang originelle et la puissance de Fu Leng passe par la souffrance. Après tout, Jigoku est le monde de la souffrance, dans la mythologie chinoise, et en ceci il est intimement lié au Ningen-do. Dès lors, quand quelqu'un s'inflige de la douleur en invoquant le nom de Fu Leng, le voile entre la partie de Jigoku où domine le Petit Frère et le Ningen-do s'amincit, et Il peut entendre la prière qui lui est dédié et y répondre (par plaisir).
En fait, ce qu'aurait fait Iuchiban, c'est révéler la technique de la magie du sang à Fu Leng et, en échange d'un contrôle direct sur ses pratiquants (en tant que dépositaire du Pacte avec les éléments), faire en sorte que Celui-ci ressente les appels à la magie du sang (par la souffrance) et insinue son essence corruptrice à travers les éléments constitutifs de la personne lançant le sort. De ce fait, hormis en dépensant un point de vide au moment du lancement du sort, la personne faisant usage de la magie du sang est infiltrée par la souillure.
Ce parti pris repose sur le principe, défendu dans le supplément "la tombe de Iuchiban", que les adeptes du sang n'ont souvent pas conscience que leurs pouvoirs proviennent de Fu Leng, qu'ils ne pensent pas prier d'ailleurs.