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[Culture] - Repas tradition et beauté

Publié : 01 avr. 2008, 10:27
par doji Sayuri
Konnichiwa a tous
voicy des précisions pour des parties autour d'un repas tradionnel plus réelles . J'espère que ça vous plaira bien que le texte soit un peu long. Mais, quand on apprécie la bonne cuisine et qu'on cherche a être proche de la tradition ont ne lésine pas . Alors bonne lecture !!!!
Si vous avez d'autres précisions pour compléter ce document ,je suis preneuse .


Le Repas : tradition et beauté

Les repas font partie des grands plaisirs de l’empire! Non seulement la cuisine y est délicieuse et saine, mais ces repas offrent au moins autant de plaisirs pour les yeux que pour le palais. Le contenu et son contenant, l'aspect irréprochable des aliments ainsi que l'Art et la manière dont ils sont présentés font qu'un repas se déguste d'abord avec les yeux! Céramiques, bois laqués, arrangements décoratifs font ainsi partie des Arts de la table au même titre que la cuisine...

L'Art de la présentation de la nourriture

La présentation des mets est tout aussi importante que leur saveur, qui, en quelque sorte, en est ainsi renforcée: un repas est une fête pour tous les sens que l'on commence par savourer avec les yeux!
La découpe des légumes ou des poissons fait tout d'abord l'objet d'un soin méticuleux et de techniques particulières, l'aliment devant pouvoir en outre être saisi et dégusté facilement avec des baguettes. De même, il existe des règles et même différents styles pour la disposition des aliments sur chacun des plats composants le repas, un art que l'on pourrait comparer à la disposition des fleurs en Ikebana.

Adaptés à chacun des mets servis, ces différents plats, qu'il s'agissent de coupelles, de bols, de ramequins, de petites assiettes, de plateaux ou de petits paniers, sont choisis avec soin, en fonction de leurs formes, de leurs couleurs et de leurs matières. L'idée est qu'il y ait contraste avec le contenu, afin de mettre celui-ci en valeur. Ainsi, un plat carré sera choisi pour un met de forme arrondie; de même que la couleur fade d'un tofu sera contrastée par une plat à motifs et aux couleurs vives...

L'utilisation de matériaux différents suit aussi quelques principes. Ainsi, si les sushis sont généralement présentés sur du bois, un poisson cuit sera disposé dans un plat en porcelaine adapté à sa forme. De même, les soupes accompagnant un repas, comme les soupes de misos, sont offertes dans un bol en bois laqué. Les "tempura" (légumes et poissons frits) sont présentés dans de fins paniers en bambou, et le riz dans un bol en porcelaine.

Une mention particulière doit être faite de la céramique et de la porcelaine, caractériser par son extraordinaire richesse et sa grande variété. Celle utilisée pour la table offre une multitude de formes, de couleurs, de textures et de motifs. Et certaines pièces semblent même avoir été créés exprès pour les mets qu'ils contiennent!

Le choix de la vaisselle est d'ailleurs un des plaisirs de la préparation du repas : ce choix s'effectue donc en fonction des mets à servir, mais également en fonction des invités (la qualité de la vaisselle étant adapté à la "qualités" de ceux-ci), de la saison (porcelaine fine pour l'été, céramique plus épaisse en hiver)... Contrairement aux repas occidentaux, tous les plats du repas sont souvent servis simultanément, et, dans ce cas, généralement disposés sur un plateau qui sert ainsi en quelque sorte de set de table. Après avoir admiré l'oeuvre ainsi élaborée par la composition colorée formée par les différentes composantes du repas, le convive a ensuite toute liberté dans le choix et l'ordre de la dégustation...

La cuisine

"Lorsque vous préparez des légumes ou une soupe,
contentez-vous de les préparer avec sincérité"
Dogen

Non, il n'y a pas que les sushis ou les yakitoris! La cuisine se caractérise au contraire par sa variété et une grande originalité. Saine et relativement simple à préparer, elle vise à mettre en valeur la saveur propre des mets, en utilisant des produits très frais en relation avec les saisons. Le poisson y a une place très importante: on le trouve bien sur sous forme crue avec les sushis ou les sashimis, mais également grillé ou séché. Il n'y a en fait guère de repas sans poisson. Ses saveurs sont essentiellement basées sur le soja, qui apparait sous forme de sauce, "shoyu", ou de pâte, "miso". Autres ingrédients de base: le bouillon de bonite (qui est notament à la base des soupes) et l'alcool de riz. Un repas simple, tel que ceux servis en set "teishoku" pour le déjeuner comprend typiquement un plat principal (souvent du poisson) accompagné d'un bol de riz, d'une soupe (à base de "miso") et de légumes vinaigrés (typiquement du radis). A cet ensemble de base peuvent se rajouter un ou deux petits plats de légumes, de poissons séchés ou de tofu (fromage de soja). Le plus souvent, il n'y a pas de dessert. Les cuisinier heimin ont souvent une spécialité: tempura (fritures légères et croustillantes de légumes et de fruits de mer), shabu-shabu et sukiyaki (fondues de viandes et légumes), yakitoris (mini brochettes), nouilles ("soba") et bien sur sushis et sashimis... Dans les Auberges haut de gamme et chez les Daymios de clan , jusqu'à une douzaine de plats tous plus fins et sophistiqués les uns que les autres peuvent être servis pour le diner davantage à la table de l’empereur et sa cour . Ceux-ci s'accordent généralement avec la saison et sont alors apportés un par un ou deux par deux, le riz n'étant proposé que vers la fin du repas. Les mets sont servis dans des plats tous plus jolis les uns que les autres, et dont on dirait qu'ils ont été créés pour ce met, tellement l'ensemble est généralement harmonieux! A l'autre bout de l'échelle, on peut engloutir un bol de soupe de nouilles où flottent quelques légumes et quelques bouts de viande à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, et à peu près n'importe où!!! Du thé ou de l'eau glacée sont systématiquement proposés pour accompagner ces repas. Sinon, le "sake", l'alcool japonais par excellente, qui est fabriqué à partir du riz et traditionnellement bu chaud est excellent et se marie très bien avec la plupart des plats. Enfin, une mention particulière doit être faite du petit déjeuner, dont la tradition dit que c'est un véritable repas, qui ressemble beaucoup au déjeuner, puisqu'il est typiquement servis de poissons, d’ algues séchées, de légumes vinaigrés et riz (avec un oeuf cru!), le tout accompagné d'un soupe au miso et de thé vert

La vaisselle

La laque japonaise – Urushi
"On sert le bouillon dans ce genre de bol . Le bol de laque, lorsque vous le découvrez, vous donne, jusqu'à ce que vous le portiez à la bouche, le plaisir de contempler dans ses profondeurs obscures, un liquide dont la couleur se distingue à peine de celle du contenant, et qui stagne, silencieux, dans le fond. Impossible de discerner la nature de ce qui se trouve dans les ténèbres du bol, mais votre main perçoit une lente oscillation fluide, une légère exsudation qui recouvre les bords du bol, vous apprend qu'une vapeur s'en dégage, et le parfum que véhicule cette vapeur vous offre un subtil avant-goût de la saveur du liquide, avant même que vous en emplissiez votre bouche. Quelle jouissance dans cet instant, il est à peine exagéré d'affirmer qu'elle est de nature mystique, avec même un petit goût taoiste."

Tanizaki
On a du mal à ne pas sourire du lyrisme de Tanizaki vantant les charmes du bol en laque pour déguster un bouillon! Et pourtant... il n'a pas tort! une soupe de miso servie dans un bol en porcelaine n'a pas tout à fait le même goût!!! Dans l’empire, la laque est une tradition datant de ces fondements ou presque , puisque les premiers peignes en laques auraient été créés à l’ époque du Kami Hantei et qu’Hantei Genji serait à l’origine de la mode de l’ « urushi ». Ce qu'on appelle "urushi" est au départ la résine d'un arbre (Rhus Verniciflua... plus communément appelé arbre Urushi ou arbre à laque!). Un fois retirée de l'arbre, cette résine est d'abord mise au repos pendant trois à cinq ans, avant d'être traitée pour fabriquer la laque proprement dite. Différents types de traitements résultent en différents types de laque, et celle-ci est ensuite généralement appliquée en plusieurs couches très fines sur un corps en bois, avant d'être durcie dans un environnement très chaud et très humide. Le résultat ainsi obtenu est plus résistant que le bois naturel, notamment face à l'humidité. La laque est utilisée dans la fabrication d'une grande variété d'objets et d'ornements, y inclus: des bols et des assiettes, des boites de repas, des baguettes, des plateaux, des socles, des peignes et accessoires pour les cheveux, des écritoires, mais aussi des intérieurs de temples, des meubles, des portes...Encore aujourd'hui, la fabrication de la laque est longue et fastidieuse, et requiert un savoir faire et une patience telles, que les objets ainsi fabriqués sont généralement le résultat du travail de plusieurs artisans. Elle n'est donc pas bon marchée et très prisée des riches marchands et courtisans.

Yakimono - la céramique japonaise

Symbole par excellence de la précarité des choses, la céramique tire certe de sa fragilité l'un de ses plus grands charmes. Elle convient à merveille à cette civilisation dont tout l'esprit est imprégné de nostalgie , tempéré de tendresse, au coeur fou parfois, mais toujours chaud, bien qu'abrité derrière le rempart protecteur des conventions sociales. c'est pourquoi ce qui s'épanouit à l'écart de cette inspiration, ce qui brille trop, ce qui tient encore à un faste renié par l'esthète cultivant le détachement des biens , n'appartient pas directement a l’empire."

Asashina Kitokii

L’empire a une grande et longue tradition dans la fabrication d'objets céramique ("yakimono" en Japonais)....On recense plus d'une quarantaine d'"écoles" qui font également de la céramique japonaise un des plus variées et des plus riches au monde. Chacun est typiquement associée à une région ou encore à un potier et sa descendance (comme par exemple la famille Kakiemon). Ce qui distingue chacune d’elle est souvent lié à l’histoire de la région. La composition de l'argile varie non seulement selon les régions, mais également au sein d'une même région (selon par exemple qu'il s'agit d'une argile de rizière ou de montagne). Sa composition et sa consistense influencent la surface de la céramique. De même, les minéraux qu'elle contient en déterminent la couleur. Les techniques de cuisson employées (type de four, températures et temps de cuisson...): on distingue notamment 2 types de fours: le four à chambre unique ("anagama"), et le four à plusieurs chambres ascendante ("noborigama")qui, grâce à un meilleur control de la température, permet une plus grande variété d'emaux. La poterie type Raku se cuit à température relativement basse, alors que la porcelaine requiert une haute température (1 400 degrés). Le type du bois de la région qui est bruler pour chauffer le four a également une influence sur le résultat final. Le style artistique: il s'agit là d'une évidence, un bol de thé de style Raku n'ayant pas grand chose à voir, ni dans sa forme (plus "rustique", plus spontanée), ni dans ses couleurs (plus "naturelles") avec un vase en porcelaine I Aketsu à la forme parfaite, aux couleurs vives et aux dessins sophistiqués. La variété des styles s'explique également par les différentes vagues d'influences des Clans Majeurs.

La céramique du clan du Dragon est en particulier à l'origine du "raku" très prisé pour la cérémonie du thé, et qui exemplifie l'idée de "simplicité naturelle". Parmi les principales "écoles", on peut notamment citer les six régions ayant la plus longue tradition de céramique a Rokugan , et que l'on appelle "rokkôyo" en japonais.

Ces six régions, Maemikake, Yamasura, Aketsu, Jukami Mura , Turo Kojiri et Shimomura, produisent encore aujourd'hui des céramiques de très grande qualité, notamment des bols et accessoires pour le thé, des plus rustiques aux plus sophistiqués. L'idée est que des objets simples et usuels, si ils sont beaux, apportent au quotidien richesse et plaisir, voire une certaine spiritualité... On trouve peut-être là une des leçons les plus importantes et les plus facilement applicables de l'art de vivre japonais!

Jiki - la porcelaine japonaise

Aketsu, qui est sans doute le nom qui vient le plus vite à l'esprit quand on parle de la porcelaine japonaise, est en fait le nom du port à partir duquel les porcelaines ont été exportées vers les autres clans. C'est en effet là bas où avaient été découverts des gisements de Kaolin.
Un autre grand nom de la porcelaine est Kakiemon, un style qui prit le nom d'un potier, qui introduisit, la peinture sous couverte (employant de l'oxyde de cobalt), et la peinture sur couverte (tricolore). Ses descendants continuent encore aujourd'hui à perpétuer dans la région d' Yamasura ses techniques et son style de dessins s'inspirant de la peinture ou de motifs textiles.
Cette porcelaine d'exportation a néanmoins été adapté au goût et à une utilisation différente par clans, et ne correspond pas forcément à la sensibilité et à l'utilisation générale. La production des porcelaines reste surtout destinée à l'exportation, les habitants lui préférant les porcelaines Nabeshima (un style qui s'est également développé dans la région d'Aketsu), Maemikake(porcelaine émaillée très colorée qui s'est développée dans la région de Maemikake) et la porcelaine Jukami, une technique où le motif de décoration est appliqué sur une couche de glaçure déjà cuite au four (et qui ainsi se fondent lors de la 2e cuisson).La porcelaine est, toujours aujourd'hui, un art décoratif bien vivant.

Note : voici les compétences concernés par cette aide sur l’art de la table :


- Connaissances avec spécialisation intendance
- Connaissance spécialisation cuisine
- Artisanat Poterie
- Commerce dans toutes ses spécialisations
- Artisanat extraction minière


L’humble Amatrice de cuisine :biere:

Doji Komi Sayuri
:grue:

Publié : 01 avr. 2008, 10:41
par Pénombre
exposé très intéressant

attention aux transpositions un peu trop à l'arrache cependant.

par exemple : parler dans le même paragraphe de céramique japonaise et de l'empire de L5a fait un peu limite. Ca serait dans le cadre d'une aide de jeu ou d'un scénario, on aurait beau jeu de te reprocher d'avoir fait du copier/coller

d'une façon générale, adapter des éléments culturels nippons à la sauce L5a demande toujours quelques petites vigilances à deux niveaux :
- les particularismes du jeu : par exemple, la viande rouge n'est quasiment jamais consommée à L5a car considérée comme impure. On est mal barré pour assister à l'essor du boeuf sukiyaki... à part sans doute dans les repas licorne et encore, il est peu probable qu'ils fassent ce genre d'impair d'étiquette rokugani quand ils ont à table des invités d'autres clans
- les particularismes du japon lui-même. C'est à dire d'une culture qui a été très influencée par ses voisins quoi qu'en disent les intéressés. Autant au niveau culturel qu'économique. Suffit de considérer l'exemple de la soie, essentiellement importée, ou l'arrivée du bouddhisme venu de Corée. A contrario, l'impact des cultures étrangères autant en termes d'importations de denrées que de culture même est bien plus limité à rokugan. L'empire s'est essentiellement constitué ex nihilo en assimilant les cultures locales antérieures aux kami. Par exemple, si on a une lecture chinoise et une lecture japonaise des kanji nippons, on peut difficilement prétendre un tel parallèle pour L5a. A la limite, on pourrait le transposer en lectures distinctes du haut rokugani antique et du rokugani "courant" par exemple.

je me permets cette petite précision parce que j'ai déjà constaté ce genre de choses de la part de contributeurs bien plus calés que moi en matière de culture nippone mais pas forcément très méticuleux dans leurs transpositions ;) (s'pas Akae ? :) )

Publié : 01 avr. 2008, 12:00
par doji Sayuri
Pénombre a écrit :exposé très intéressant

attention aux transpositions un peu trop à l'arrache cependant.

par exemple : parler dans le même paragraphe de céramique japonaise et de l'empire de L5a fait un peu limite. Ca serait dans le cadre d'une aide de jeu ou d'un scénario, on aurait beau jeu de te reprocher d'avoir fait du copier/coller

d'une façon générale, adapter des éléments culturels nippons à la sauce L5a demande toujours quelques petites vigilances à deux niveaux :
- les particularismes du jeu : par exemple, la viande rouge n'est quasiment jamais consommée à L5a car considérée comme impure. On est mal barré pour assister à l'essor du boeuf sukiyaki... à part sans doute dans les repas licorne et encore, il est peu probable qu'ils fassent ce genre d'impair d'étiquette rokugani quand ils ont à table des invités d'autres clans
- les particularismes du japon lui-même. C'est à dire d'une culture qui a été très influencée par ses voisins quoi qu'en disent les intéressés. Autant au niveau culturel qu'économique. Suffit de considérer l'exemple de la soie, essentiellement importée, ou l'arrivée du bouddhisme venu de Corée. A contrario, l'impact des cultures étrangères autant en termes d'importations de denrées que de culture même est bien plus limité à rokugan. L'empire s'est essentiellement constitué ex nihilo en assimilant les cultures locales antérieures aux kami. Par exemple, si on a une lecture chinoise et une lecture japonaise des kanji nippons, on peut difficilement prétendre un tel parallèle pour L5a. A la limite, on pourrait le transposer en lectures distinctes du haut rokugani antique et du rokugani "courant" par exemple.

je me permets cette petite précision parce que j'ai déjà constaté ce genre de choses de la part de contributeurs bien plus calés que moi en matière de culture nippone mais pas forcément très méticuleux dans leurs transpositions ;) (s'pas Akae ? :) )

merçi a toi pour ces précisions je vais voir pour corriger les impairs que j'ai commis !!! Mais dans l'ensemble, le principe est d'en faire une aide de jeu qui pourrait permettre d'utiliser ces éléments dans le jeu !!!

A part cela qu'en pense tu ? (C'est le fruit de plusieurs mois de recherche )

Doji Komi Sayuri :grue:

Publié : 01 avr. 2008, 15:17
par Pénombre
ben j'aime bien, comme je crois l'avoir dit :)

je pense par contre qu'il faudrait le retravailler et broder un peu. Par exemple, quand tu donnes plusieurs dénominations pour la porcelaine en expliquant leurs correspondances japonaises, la difficulté sera de leur trouver une raison d'être dans un contexte rokugani

enfin, "difficulté" est un terme tout relatif, hein :)

disons pour simplifier que quand on transpose un élément culturel réel et assez pointu vers un contexte fictif (ça marche pour L5a mais aussi bien si on parlait d'adapter des références médiévales à des univers de jdr med-fan), il fautr le resituer dans ce nouveau contexte :
- soit tu lui trouves une raison d'y être, quitte à broder dans ce sens
- soit ça te semble trop "limite" ou pas justifié et mieux vaut à mon sens carrément l'abandonner.

je parle bien évidemment des éléments qui ne peuvent pas être repris tels quels juste en changeant certains noms comme "japon" remplacé par "empire d'émeraude" bien sûr

Publié : 01 avr. 2008, 17:09
par hida hota
je me suis fais un plaisir de le copier coller et me l'enregistrer dans mes documents de l5a nombreux que je dois imprimer
hihihi
:crabe:

Publié : 01 avr. 2008, 18:00
par doji Sayuri
hida hota a écrit :je me suis fais un plaisir de le copier coller et me l'enregistrer dans mes documents de l5a nombreux que je dois imprimer
hihihi
:crabe:
Je te remercie pour ton enthousiasme . Quand je l'aurais retravailler ,tu pourras en bbénéficier !!!

Doji Komi Sayuri :grue:

Publié : 01 avr. 2008, 21:03
par Shinjo_Kanzen
Très intéressante contribution !
Elle me rappelle d'ailleurs un détail qui me turlupine : où certains clans trouvent leur poisson ? Celui-ci étant censé être une base de l'alimentation rogukani.
Que ce soit la licorne, le scorpion ou le dragon; ils ne disposent pas d'accès à la mer. Et vu les délais de voyage, le commerce de denrées périssables doit être limité dans l'empire.

PS: J'ai relut le chapitre sur la nourriture du Guide du maitre avant de poster, mais peut-être la réponse a mon interrogation se trouve dans emerald empire.

Publié : 01 avr. 2008, 21:07
par Goju Kaze
Les poissons, ça existe aussi dans les rivières et les lacs, pas que dans les océans.

:kaze:

Publié : 01 avr. 2008, 21:35
par Shinjo_Kanzen
Goju Kaze a écrit :Les poissons, ça existe aussi dans les rivières et les lacs, pas que dans les océans.

:kaze:
Tout à fait, mais mon interrogation vient du fait que si tu prends les espèces de poisson cités comme communes, ce sont tous des poissons de mer (GM p26, je l'ai sous les yeux :p ).
Remarque, une réponse tout à fait plausible est que chez AEG ils sont aussi adeptes du copier/coller japon => rokugan :sueur: et que du coup des fois ça colle pas tout à fait, mais on va faire comme si.

Publié : 01 avr. 2008, 21:36
par Kakita Inigin
En même temps ... vu la quantité de cadavres empoisonnés qui flottent dans la rivière de l'or blanc ... vaut peut-être mieux pas pêcher dedans ...

Publié : 01 avr. 2008, 21:43
par Goju Kaze
De plus remonter uen rivière en bateau, c'est aussi possible.

:kaze:

Publié : 01 avr. 2008, 23:51
par Shosuro Akae
Pénombre a écrit : je me permets cette petite précision parce que j'ai déjà constaté ce genre de choses de la part de contributeurs bien plus calés que moi en matière de culture nippone mais pas forcément très méticuleux dans leurs transpositions ;) (s'pas Akae ? :) )
Désolé :p: J'avoue plus facilement adapter mon L5A avec des morceaux de japoniaiseries et du coup ça donne droit à quelques décalages pas toujours en accord avec le backgronud!!! mais heureusement que Pénombre est là, franchement je lui fait toute confiance! (Et puis honnêtement en culture japonaise ça va hein fait pas non plus le timide :langue: )!

Sinon pour en revenir au texte de Dame Doji Komi Sayuri, c'est en effet très intéressant, merci pour cet exposé (bon faudra l'embaucher comme cuisto, la charmante Doji, pour la prochaine rencontre de la Voix, elle à l'air de savoir de quoi elle parle :france: )!
Par contre tu aurais de la bibliographie à ce sujet, les sources que tu as utilisée pour ton exposé? ça serait cool :biere:

Publié : 02 avr. 2008, 07:02
par Kakita Inigin
Shosuro Akae a écrit : (bon faudra l'embaucher comme cuisto, la charmante Doji, pour la prochaine rencontre de la Voix, elle à l'air de savoir de quoi elle parle :france: )!
Tout pareil ... pas tombé dans l'oreille d'un sourd :france: (mais jai cru comprendre qu'elle étai occupée chez elle)

Publié : 02 avr. 2008, 08:49
par Yogo ayame
:clap:
excellente contribution qui donne l'eau à la bouche...mangerais bien des sushis et brochettes ce midi moi... :love:

sinon pour répondre à le question des poissons de mer, je pense que comme les Romains en leur temps très friands de poisson, ils les transportaient vivants dans des sortes d'amphores adaptées. Peut être qu'ils n'arrivaient pas tous en vie, mais la plupart.

Publié : 02 avr. 2008, 09:52
par Shosuro Akae
Yogo ayame a écrit ::clap:
excellente contribution qui donne l'eau à la bouche...mangerais bien des sushis et brochettes ce midi moi... :love:

sinon pour répondre à le question des poissons de mer, je pense que comme les Romains en leur temps très friands de poisson, ils les transportaient vivants dans des sortes d'amphores adaptées. Peut être qu'ils n'arrivaient pas tous en vie, mais la plupart.
Tiens j'ai vu un reportage sur le Panga (le nouveau poisson pas cher à la mode qui vient du vietnam) En fait ils transportent le poisson ^vivant dans des bateaux dont ils immergent la calle. Très certainement le même genre de chose pour les romains ou les jap, etc... (surtout que le bateau employé est traditionnele et n'a rien de bien moderne)