[Background] Magistrat d'émeraude

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Telf
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[Background] Magistrat d'émeraude

Message par Telf » 09 août 2003, 18:40

Puis je avoir qq infos sur le fonctionnement des magistrats d'émeuraude, surtout en interne, s'il y a une hierarchie, qui on peut choisir comme magistrats, qui commande (champio d'emeuraude si je crois bien), y en t'il dans chaque grande cité, que se passe t'il qd on est magistrat et qu'est ce que cela implique, est on magistrat "à la vie à la mort" ou peux t'on demissionner ?...bref plein d'infos la dessus que j'ai pas dans mon book D&D rogukan ....

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Kendashi
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Message par Kendashi » 09 août 2003, 19:02

Bon ben je place là, pour l'instant, une petite AdJ qui t'aidera beaucoup je pense ; en attendant qu'elle soit mise en ligne dans les ficgiers de téléchargement de la Voix



La justice impériale
(Textes compilés par Mathieu Bredouillet - mis en forme par Eiji-kun)

Tout état doit posséder un système judiciaire afin de pouvoir rester cohérent, l’Empire d’Emeraude ne faisant pas exception. Le système judiciaire de l’Empire est basé sur la volonté de l’Empereur, garant de la justice divine suprême. Il a tout pouvoir de décision, et peut donc rédiger, changer ou juger comme il veut les lois et les accusés.




La justice impériale :

La justice de Rokugan est assez simple, une série de catégories assez large (voir ci-dessous) a été édictée par les Empereurs et ses conseillers, et sont toutes punies. La justice dans l’Empire d’Emeraude est très stricte et expéditive, et les circonstances atténuantes sont inconnues. Les châtiments infligés pour les crimes sont fonction du choix du magistrat chargé de l’enquête, mais ils doivent se rappeler qu’ils représentent la justice de l’Empereur lorsqu’ils rendent leur jugement.
La justice rokugani est basée sur l’apparence. Un criminel ne peut-être poursuivi que s’il confesse son crime ou si une personne de plus haut rang témoigne contre lui. Plus l’accusateur est de haut rang et plus les poursuites judiciaires se feront rapidement. Néanmoins, la règle de l’apparence fait que les membres du même clan que l’accusé ont une valeur moindre que ceux d’un autre clan car ils auront tendance à témoigner en faveur des leurs.

Les magistrats impériaux et les légionnaires font office l’exception car ils sont censés servir l’Empereur avant leur propre clan.
Les criminels accusés doivent être reconnus coupable par un magistrat qui s’appuiera sur des faits connus. Cette règle n’est pas toujours facile à respecter et permet à des coupables d’échapper à la justice. Si un magistrat n’a pas été témoin du crime ou s’il ne peut rapporter le témoignage d’un noble, l’accusé est déclaré innocent et relâché. Le système Rokugani sur les témoignages oculaires directs, empêche l’admission des preuves trouvées après le crime ; c’est pourquoi si peu de magistrats rouvrent des affaires déjà classées. Les affaires doivent être traitées pour la plupart très rapidement car la nécessité d’obtenir des témoignages oculaires fait que le temps nuit à l’efficacité.
La justice impériale ne reconnaît pas l’appel, un criminel condamné, injustement ou non, n’à aucune chance de connaître le pardon. Seul l’Empereur et le Champion d’Emeraude peuvent accorde rune grâce, mais ils le font rarement car cela jette le discrédit sur le magistrat ayant effectué l’enquête et sur le système en entier.


Les lois impériales :

L’Empereur a le droit d’édicter autant de lois qu’il le veut, et de les interpréter, modifier, ratifier ou rayer comme il l’entend. Cela causait des problèmes durant les premiers temps de l’Empire car la situation était assez précaire. Aujourd’hui, après le travail de Soshi Saibankan, le système judiciaire actuel fut mis en place. Durant le mois du Dragon, peu après le retour de l’Empereur de la cour d’hiver, se réunissent les Hashira Horistu (les piliers de la loi), un groupe de magistrats, de courtisans et de nobles de haut rang dirigé par le Champion d’Emeraude s’entretiennent à Kyuden Otomo avec l’Empereur afin de clarifier certaines lois, d’exposer les problèmes des magistrats sur le terrain et de promulguer de nouvelles lois.
L’Empereur a la décision finale sur tous les sujets, mais est habituellement d’accord avec les magistrats.
En cas d’absence de l’Empereur, c’est le Champion d’Emeraude qui dirige la réunion, s’il est lui-même absent, c’est la personne de plus haut rang.
Une seule fois un problème est survenu : Otomo Daikenin, un régent impérial, voulu profiter de l’absence de l’Empereur et du Champion pour promulguer une loi en faveur des Yasuki. Il fut découvert et exécuté pour son acte.
La réunion dure habituellement trois jours, voir plus. La cour aime s’amuser des débats souvent futiles autour des lois qui seront promulguées.
Certains cas sont un peu spéciaux. La justice privée, en particulier la vengeance, est un acte plutôt noble, signe de sa dévotion envers la victime du crime. Malheureusement un tel acte ne peut être que condamné par la justice Impériale car elle va à l’encontre du système. Les actes de justice privée sont donc condamnés (catégorie Violence ou Tromperie, selon le choix du magistrat) et ceux qui les pratiquent doivent s’attendre à des châtiments importants, mais leur karma n’en sera pas affecté, contrairement à la plupart des crimes. Les familles de ceux qui ont accompli une justice privée honorent souvent ceux-ci après leur seppuku.
Un mouvement dérangeant pour la justice est celui des Toshiyori-koe (les voies anciennes) de la famille Kitsu, soutenu par de nombreux moines et shugenjas.
Leur revendication est que les ancêtres et les fantômes peuvent exprimer leurs voies lors d’un procès au même titre que tout samurai, et que les Sodan-senzo Kitsu sont leurs voix mortelles. Le problème est que seuls les Sodan-senzo peuvent témoigner de la véracité des témoignages qu’ils font eux-mêmes, et donc que cela peut donner naissance à des faux témoignages. Actuellement, les ancêtres ont le droit à la parole lors des procès, mais leurs témoignages n’est pas directement recevable, ils ne servent qu’à confirmer les témoignages et les déductions des vivants.


Crimes et châtiments :

- Crimes violents :

Crimes : brigandage, destruction de biens, incendies volontaires, meurtres, vols et viols.
Châtiments : duel, écartèlement, exécution, exécution de la famille, exécution du seigneur, seppuku.

Cette catégorie regroupe de très nombreuses infractions, et les actes contre l’Empereur rentrent aussi souvent dans cette catégorie, dont les châtiments sont souvent les plus sévères. Il existe aussi souvent des punitions en fonction de l’endroit où le crime à été commis : dans le district Karada de la cité impériale on jette les voleurs dans la fissure nommée l’Oni Warai (Le sourire de l’Oni), dans les districts Hito et Kanji on jette les incendiaires attachés aux restes de ce qu’ils ont brûlés dans la rivière du soleil, le vol est souvent considéré comme moins important que le brigandage car il est assimilé à une insulte. Les meurtres donnent souvent lieux à une volonté de justice privée, et donc la famille de la victime a le droit de demander à ce que le châtiment soit appliqué à toute la famille du criminel.

Les magistrats peuvent aussi juger des duels au premier sang où le vainqueur n’est pas clairement défini. Mais ces cas sont rares et ils doivent être deux pour de telles procédures.


- Crimes de l’esprit :

Crimes : pratique de la maho, souillure de l’Outremonde, vol sur des morts.
Châtiments : bannissement, mort, mort de la famille, mort du seigneur, mutilation, seppuku.

Ces crimes dépendaient à l’origine du Champion de Jade, mais la fonction étant inoccupée actuellement, le Champion d’Emeraude est chargé d’assumer que la justice soit appliquée pour ces crimes qui vont à l’encontre de l’esprit éternel de chacun. Il s’en remet pour cela aux inquisiteurs Asako et aux Tsukai-sagasu Kuni. Ceux qui choisissent volontairement la voie de la corruption doivent s’attendre à des châtiments exemplaires.
Parfois les criminels sont involontairement impliqués dans certaines affaires (infection involontaire par la souillure) relevant de cette catégorie.

Traditionnellement, les magistrats ont un certain remords pour ces victimes et donc les châtiments sont assez légers. On propose à de telles personnes d’être surveillés par des Tsukai-sagasu à condition qu’ils consomment du thé aux pétales de jade ou à se faire seppuku honorablement.


- crimes de trahison :

Crimes : désobéissance à un magistrat impérial, émeute, sédition, trahison, usurpation de l’identité d’un samurai.
Châtiments : bannissement, duel, flagellation publique, mort, seppuku, travaux forcés.

Ces crimes sont sévèrement châtiés et les punitions ont pour but de rappeler à la personne en question sa vraie place dans la société, et donc les titres et noms des criminels leurs sont donc retirés. La plupart des châtiments se font en public afin que tout le monde sache ce qu’ils ont fait. Usurper l’identité d’une personne de basse extraction (hinin et heimin) n’est pas un crime.

- crimes de tromperie :

Crimes : contrefaçon, corruption, escroquerie et extorsion.
Châtiments : assignation à résidence, bannissement, flagellation publique, pilori, mort, seppuku.

On peut mentir pour préserver sa réputation, mais pas pour acquérir des services et des biens. Lors de telles affaires, la plupart des accusés se défendent eux-mêmes, ainsi que les victimes, car ils doivent préserver leur réputation. Mais de tels crimes sont très durs à prouver, et seuls des magistrats spécialisés dans ce genre d’affaires s’impliquent véritablement dans de telles affaires (c’est le cas des magistrats Shinjos et des enquêteurs Kitsuki) car prouver l’infraction est difficile : il faut obtenir une confession plus ou moins directe.

La plupart des infractions de cette catégorie sont de toutes façons punies légèrement. (Sauf dans les cas extrêmement graves)


- infractions à l’ordre public social (ou infractions vénielles) :

Crimes : agression, désobéissance civile, violation d’un serment, vagabondage, voie de fait.
Châtiments : amende, assignation à résidence, bannissement, duel, flagellation publique, entraves, travaux d’intérêts généraux, travaux forcés.

Les manquements qui dépendent de cette catégorie sont rarement vraiment punis, un avertissement étant souvent donné, et les jugements habituellement donnés en privé car ils sont de peu d’importance. Les magistrats de haut rang ne sont pas considérés par de tels problèmes.


Les cours de justice :

Les juges sont le plus souvent des magistrats de haut rang qui tiennent audience dans des endroits publics ou dans des bosquets ombragés, qui sont habituellement connus de tous. Le public est peu intéressé par les procès et ce sont souvent des endroits très calmes.

Toutes ont comme point commun un siège élevé pour que le magistrat qui préside puisse s’installer et un endroit où l’accusé doit s’agenouiller pendant qu’on lui lit les accusations. On utilise habituellement du sable blanc, que l’on fait parfois chauffer au soleil durant des heures pour brûler les genoux de l’accusé à travers son kimono. Les juges doivent déterminer la culpabilité de l’accusé et le châtiment approprié à son crime (s’il y a lieu) lorsque les magistrats enquêtant n’ont pas réussi – ou n’ont pas été autorisés – à rendre un verdict. Leurs sentences sont définitives et immédiates. L’accusé n’aura le droit de s’exprimer que si le magistrat lui adresse la parole, sinon il ne pourra pas se défendre.

Les bâtiments des cours de justice, qui ne sont parfois que des maisons aménagées, possèdent des bureaux avec des scribes enregistrant toutes les décisions et affaires avant de les ranger.




La hiérarchie des magistrats d’Emeraude :

Les magistrats d’Emeraude sont hiérarchisés en fonction de leur gloire. C’est un grand honneur d’être nommé à un tel poste, et tout samurai accepterait volontiers. Les magistrats d’Emeraude sont habituellement membres d’un des sept clans majeurs (même ils doivent servir l’Empereur avant leur clan), mais parfois quelques membres des clans mineurs, voir des rônins méritant ont obtenu ce poste. Mais le statut de ces derniers est explicite : un clan qui reçoit la visite d’un magistrat rônin porteur de la parole de Hantei, c’est que ce dernier ne l’estime plus digne de remplir ses fonctions de clan majeur.
La nomination au poste de magistrat d’Emeraude est un honneur, mais parfois l’Empereur s’en sert pour éloigner et exiler discrètement un fauteur de trouble. Qui refuserait l’honneur d’un tel poste, même si c’est pour finir à la frontière de la forêt Shinomen dans les terres du clan mineur du Faucon ?

Le chef suprême de l’Ordre d’Emeraude au nom de l’Empereur est le champion d’Emeraude. Ce dernier gagne sa place lors d’un prestigieux tournoi organisé à la mort ou à la retraite de son prédécesseur en présence de l’Empereur. Il s’agit d’une série d’épreuves oratoires et écrites ayant pour but d’écarter de la compétition tous ceux dont les connaissances en matière criminelle sont insuffisantes pour prétendre à un tel poste. Les candidats restants après les épreuves préliminaires se battent ensuite dans une série de duels iaijutsu.
Ce mode de fonctionnement est très favorable au clan de la Grue, et seuls trois Champions d’Emeraude ne furent pas issus de leur clan durant les 1000 ans de paix. Les membres de la famille Doji profitèrent beaucoup de cette position et des avantages qui étaient liés. (les riches plaines du Champion d’Emeraude et la grande influence de la cour du Palais du Champion d’Emeraude sur l’Empereur, la cour et les légions d’Emeraude)

Les magistrats d’Emeraude se reconnaissent à deux choses : une écharpe vert émeraude bordée d’or et un orbe (mon en relief) vert avec les lauriers impériaux, qui sert de sceau. Nombre d’entre eux portent aussi un jitte en tant que symbole et d’arme non mortelle. Les plus jeunes d’entre eux parcourent l’Empire sans cesse pour aider les clans et leur collègue à faire régner la justice, puis sont ensuite affecter à une zone géographique précise. Avec le temps et l’expérience, s’ils restent dans la magistrature ils pourront devenir juge et obtenir des postes de plus grande importance, voir d’apprendre les techniques de l’école de magistrat d’Emeraude, tenues secrètes par les senseis du Palais du Champion d’Emeraude.


Hiérarchie de la magistrature :

- Champion d’Emeraude : 9,0 en gloire.
- Champion de Jade (inoccupé) : 9,0
- Hashira Horistu (les piliers de la loi) : 6,5 à 8,0 pour ceux de famille impériale.
- Chefs de l’inquisition de jade (inoccupé) : 6,0
- Magistrat d’Emeraude : 4,5
- Magistrat de Jade (inoccupé) : 4,5
- Inquisiteur Asako : 4,0 +
- Yoriki : 2+
- Doshin : 1
- Chasseurs de sorciers : 0,5 +
- Chasseurs de primes : 0,1 +


Les yorikis sont les assistants nobles des magistrats, des employés au service personnel d’un magistrat remplissant les fonctions d’enquêteurs pour leur supérieur. Ils sont rémunérés selon leur propre salaire de leur employeur et ils ne bénéficient pas de la protection de l’orbe d’Emeraude pour leurs actes.

Les doshins sont les assistants non nobles des magistrats, des heimins remplissant des fonctions est de maintenir l’ordre en patrouillant dans les rues et en servant de milice.


Les Mondai-ketsu :

Quand des magistrats sont confrontés à des problèmes qu’ils ne peuvent résoudre et qu’il n’y à pas d’autres alternatives, ils peuvent faire appel au Mondai-ketsu. Il s’agit d’une unité de soldats, de magistrats, de courtisans, de marchands et de diplomates menés par Kitsune Sojin (la Fureur de Hantei) issus des clans majeurs et mineurs.
Les Mondai-kestu ne répondent de leurs actes que devant l’Empereur lui-même, et sont connus pour opter pour la solution de facilité. Ils jugent sommairement et appliquent des sanctions sévères, leur parole étant force de loi tant que le Champion d’Emeraude ou un daimyo de clan ne les contredit pas.
Crée il y aune quarantaine d’années leur histoire est remplie de nombreux massacres qui renforcent leur réputation d’efficacité faite de violence, et les magistrats se servent de leur nom pour effrayer leurs témoins. Les représentants des basses classes qui ont entendu parler des Mondai-ketus disent que se sont des démons ayant pris forme humaine pour faire payer leurs crimes aux ennemis de l’Empereur.
Ils frappent avec rapidité et précision, annihilant la réputation et la vie des alliés des criminels, et n’accordant pratiquement jamais une mort honorable à leurs adversaires. Ils aiment que les criminels entendent parler des exemples qu’ils ont fait, afin qu’ils les craignent. Ils guettent actuellement un soulèvement à réprimer à Otosan Uchi, au grand dam des diplomates des clans pacifistes de la Grue et du Phénix qui ont émis des doutes de l’utilité de cette unité. Néanmoins l’Empereur recourt à eux de moins en moins, mais ils restent toujours près à intervenir …


Salaires des magistrats :

- Gloire : 8. Hashira Horistu de la famille impériale 5000 koku de revenu annuel
- Gloire : 7. Hashira Horistu, magistrats en chef d’un clan 1000 koku de revenu/ an.
- Gloire : 6. Magistrat en chef de famille. 400 koku/an.
- Gloire : 5. Magistrat en chef d’une province 120 koku/an
- Gloire : 4. Magistrat itinérant, magistrat de clan mineur 40 koku/an
- Gloire : 3 et 2. Yoriki De 15 à 40 koku/an.
- Gloire : 1 et 0. Doshin 7 koku/an.

L’émolument des suivants et employés du magistrat se font sur les revenus de celui-ci, auquel certaines compensations du daimyo peuvent être rajoutées.


Les magistrats de l’ordre de Jade :

L’ordre continue d’exister officiellement, mais plus personne n’en est membre depuis de nombreuses années.
Le conseil des 5 du clan du Phénix s’étant assuré que le poste deviendrait inutile au cours des siècles, allant jusqu’à faire hanter les appartements du champion de Jade.
La fonction originelle du Champion de Jade, dont le symbole est une flamme dorée sur un orbe vert, était de gérer les affaires de magie dans l’Empire d’Emeraude, en particulier la maho. Mais le conseil élémentaire prit peur que quelqu’un puisse un jour disposer du pouvoir de juger ses actes et réduisit le poste à une coquille vide.
Actuellement, ce sont les inquisiteurs Asako (symbole de l’œil ouvert) et les tuskai sagasu Kuni (symbole des pinces croisées) qui se chargent des affaires de souillure de l’Outremonde au titre de magistrat d’Emeraude spécialisés.
Le championnat de jade est une épreuve similaire à celle du Championnat d’Emeraude, comprenant des épreuves de connaissances légales, d’art de la magie et finissant sur une série de duel de shugenjas ( des Taryu-jai).


Charte des magistrats d’Emeraude :

Ce document définit les fonctions, limites, capacités et prérogatives des magistrats d’Emeraude.

1e partie : compétences judiciaires :

Définit les crimes qui relèvent de la compétence exclusive des magistrats d’Emeraude.

Section 1 : crimes contre l’Empereur.
Toute tentative et fait de blesser, insulter, mettre en danger ou tout acte visant à nuire au Fils du Ciel, à un membre de la famille Impériale ou un serviteur direct de ceux-ci dépend de la juridiction des magistrats d’Emeraude.

Section 2 : crimes à l’échelle du pays.
Tout crime, notamment le vol, le meurtre, la trahison, le cambriolage, la contrefaçon, l’insurrection armée, la fraude au paiement des taxes et toute autre violation des lois régionales qui dans leur préparation ou son exécution a des répercussions dans tout Rokugan relève de la compétence des magistrats d’Emeraude.

Section 3 : incursions à partir de l’Outremonde.
Toute incursion de créatures de l’Outremonde, de porteur de la souillure et l’alliance avec elles est interdite par la loi. De tels crimes dépendent de la compétence du magistrat d’Emeraude, en l’absence de magistrats de Jade. Toute suspicion de souillure sans témoignage dépend des compétences des Inquisiteurs Asako et des chasseurs de sorciers Kuni.

Section 4 : fugitifs.

Relève de la compétence du magistrat la capture de tout criminel qui aura quitté les limites d’une ville ou des terres d’un clan sans considération de l’envergure du crime ou de l’endroit où il a été commis. Le recours à des chasseurs de primes du clan de la Guêpe est possible.

Section 5 : manifestations organisées d’hérésie.
Toute réunion de plus de 2 personnes visant expressément à participer à des rituels hérétiques ou obscènes est interdite et relève de la compétence du magistrat d’Emeraude. Les rites et techniques gaijins rentrent dans cette catégorie.

Section 6 : troubles à l’ordre public.
Toute action provoquant un trouble à l’ordre public ou la désobéissance à la loi ou à ceux qui la représentent rentre dans les compétences des magistrats d’Emeraude.



2e partie : autres missions :

Définition des autres missions d’un magistrat d’Emeraude autre que faire respecter et appliquer les lois.

Section 1 : collecte des taxes et des impôts.
L’une des missions des magistrats d’Emeraude est la supervision de la collecte annuelle de la taxe impériale et l’application des tarifs fixés aux biens qui transitent des terres d’un clan à celles d’un autre. Des préposés nommés par le Champion d’Emeraude peuvent remplir cette fonction dans les grandes villes. Les magistrats doivent vérifier les montants et protéger les personnes et les sommes.

Section 2 : délivrance de sauf-conduits.
Un jour par semaine doit être consacré par le magistrat pour signer des sauf-conduits impériaux. Ces documents servent pour les voyageurs voulant traverser les frontières d’au moins deux clans, pour ceux voulant se mouvoir dans tout l’Empire. Les sauf-conduits sont valables un an en moyenne, mais pas plus de 5 ans.

Section 3 : protection des personnalités de passage.
Les personnalités traversant les limites d’un clan peuvent demander la protection impériale. Le champion d’Emeraude doit fournir une protection appropriée à la menace envisagée et au statut de la personnalité.

Section 4 : rapport au champion d’Emeraude.
Un magistrat doit rendre compte au champion une fois par mois de ses activités et de ses enquêtes actuelles et à venir. Il doit également l’informer de tout fait pouvant avoir des conséquences pour tout l’Empire.

Section 5 : dénonciation des crimes ne relevant pas de sa compétence.
Les magistrats doivent rapporter à l’autorité compétente les crimes ne relevant pas de leurs compétences.

Section 6 : rapport au gouverneur.
Le gouverneur de la ville ou de la région dans laquelle officie le magistrat peut demander à ce dernier de l’informer de l’état de ses enquêtes en cour et à venir. Le magistrat devra remettre un rapport détaillé dans les trois jours. Le gouverneur ne peut effectuer cette demande plus d’une fois par mois.

Section 7 : notification des actes d’accusation.
Lors d’accusation de personnes de la caste des samurais, vivantes ou mortes, le magistrat doit informer la famille ou le daimyo du clan de la personne concernée des charges qui pèsent contre elle.


3e partie : matières ne relevant pas de sa compétence.

Tâches, enquêtes et missions ne rentrant pas dans les fonctions d’un magistrat d’Emeraude.

Section 1 : mission judiciaire annexe.
Les patrouilles et les rondes ne sont pas du ressort des magistrats.

Section 2 : infractions de portée locale.
Les crimes de portée locale relève de l’autorité des magistrats de clan.

Section 3 : autorisation des vengeances légitimes.
Les vengeances légitimes relèvent des cours de justice et de l’autorité des daimyos. Les magistrats ne peuvent les autoriser ou les invalider.

Section 4 : mobilisation des troupes.
La mobilisation des troupes ne dépend des magistrats d’Emeraude que lors des cas 5 et 6 de la 4e partie.

Section 5 : présents.
Aucun magistrat d’Emeraude ne doit accepter de présent, faveur, émolument ou autre avantage d’aucune sorte en échange de services relevant de ses missions.

4e partie : prérogatives.

Privilèges, prérogatives et droits des magistrats d’Emeraude pour s’acquitter de ses missions.

Section 1 : interroger.
Tout magistrat d’Emeraude peut arrêter, incarcérer et interroger à propos de tout crime les personnes des castes inférieures. Ce pouvoir s’applique pour les personnes des castes supérieures lorsqu’ils sont interpellés en flagrant délit par un magistrat. Les personnes des castes les plus hautes doivent faire l’objet d’un mandat d’amener en bonne et due forme d’une cour de justice ou du Champion d’Emeraude. Le mode d’interrogatoire est laissé au choix du magistrat, mais la torture sur d’importantes personnalités sans raison est assez mal vu (une demande doit être faite auprès du seigneur de la personne interrogée ainsi qu’une à l’autorité dont dépend le magistrat afin de montrer qu’il n’est pas atteint de pollution spirituelle par un tel acte).

Section 2 : rendre la justice.
Tout magistrat d’Emeraude peut décider de la condamnation du criminel dont il a contresigné les aveux écrits, ou la déléguer à un autre magistrat. Un magistrat ne peut rédiger les aveux d’un criminel que si celui-ci ne sait ni lire ni écrire. La sentence doit être proportionné aux crimes et aux circonstances : pour les criminels des basses castes c’est la mort par pendaison, pour les autres voir les châtiments cités plus haut.

Section 3 : mandat d’amener.
Un tel document est nécessaire pour accuser les criminels des plus hautes castes, et doit décrire précisément le crime dont est accusé le samurai. Il ne doit pas être plus vieux d’un mois, et être contresigné par le gouverneur de la ville ou de la province, ou par le champion d’Emeraude ou la cour de justice de la province.


Section 4 : primauté de l’information.
Les gouverneurs et les daimyos locaux sont tenus d’informer les magistrats d’Emeraude de toute opération militaire ou de police de grande envergure dans leur juridiction au moins un jour à l’avance.

Section 5 : commander des troupes.
Les magistrats d’Emeraude ont le droit de rassembler des troupes si nécessaire, à condition d’informer le daimyo ou le gouverneur de leur juridiction de leurs intentions. Ils peuvent commander des troupes des commandants locaux s’ils peuvent démontrer le besoin qu’ils en ont et pourvu qu’ils les dédommagent financièrement pour ce service.

Section 6 : réquisition impériale.
Les magistrats d’Emeraude peuvent demander au champion d’Emeraude à prendre le commandement des Légions d’Emeraude en cas de nécessité.

Section 7 : enquêter.
S’il s’élève un conflit de compétence entre un magistrat d’Emeraude et un magistrat local, c’est le magistrat d’Emeraude qui à la prééminence. Si le magistrat d’Emeraude présente à ce magistrat local un mandat d’investigation daté et signé, ce dernier doit cesser sur le champ ses investigations concernant l’objet du conflit de compétence. Un mandat d’investigation n’est valide que s’il remplit les conditions suivantes : porter la date du jour où il a été rempli ; être signé par le magistrat d’Emeraude ; contenir une description détaillée du crime qu’il vise ; et expliquer, raisonnablement et exhaustivement, pourquoi les deux enquêtes ne peuvent être menées en parallèle sur les mêmes faits.

Section 8 : droit à autoriser les voyages.
En plus de leur pouvoir de signer les sauf-conduits impériaux, les magistrats d’Emeraude peuvent également signer des saufs conduits de portée plus réduite. Ces documents ne peuvent être confisqués ou contestés par les magistrats locaux pendant plus de deux jours.


Les différentes visions des clans sur la justice :

- Le clan du Dragon :

La famille Kitsuki en premier, le clan du Dragon aime la vérité avant l’apparence dans sa justice. Ses goûts pour l’observation et la contemplation font que les tribunaux du Dragon essayent de faire comprendre leur erreur aux accusés, ou s’ils ne comprennent pas, les bannissent.

- Le clan de la Grue :

Clan politique avant tout, le clan de la Grue préfère l’apparence. Il aime les décisions prises rapidement, sur les faits et les témoignages visibles. Les courtisans de la Grue ne sont pas intéressés par les procès, et plus l’accusé aura été châtié sévèrement, et mieux c’est.

- Le clan du Crabe :

Le clan du Crabe aime la vérité, mais il est très expéditif. Ses décisions sont parfois impétueuses, et les punitions très sévères. Cela implique de nombreux travaux forcés pour le clan, car il n’aime pas que l’on perde de la force vive.

- Le clan de la Licorne :

Les traditions du clan de la Licorne font qu’ils préfèrent comme le Dragon la vérité, mais il sait assurer les apparences. Ces tribunaux sont les plus équitables de tous, sachant pesé la part de tradition de la justice impériale avec les critères de vérité de leurs origines gaijins.

- Le clan du Phénix :

Le Phénix aime l’apparence comme la Grue, mais ses tribunaux sont souvent plus cléments, appliquant des peines plus légères et essayant de trouver des circonstances atténuantes, sauf dans les affaires de Maho où les inquisiteurs Asako sont directs et expéditifs.

- Le clan du Scorpion :

Le Scorpion est le seul clan à aimer les tribunaux car il aime à y envoyer ses ennemis. Ils sont les maîtres de la manipulation et de l’apparence, et savent éviter de s’y retrouver. Leurs peines sont exemplaires et ils possèdent toujours les témoignages qu’ils faut.

- Les clans mineurs :

Dans leur ensemble, ils partagent la vision du Crabe et savent qu’ils sont désavantagés lorsqu’ils se trouvent sur le banc des accusés d’un tribunal d’un autre clan.


Les magistrats en terme technique :

Les écoles les plus adaptés pour les magistrats d’Emeraude sont celles de Magistrat Shinjo, de Magistrat Doji, de Magistrat Impérial et d’Enquêteur Kitsuki. Pour les magistrats de Jade, ce sont les écoles de Tsukai-sagasu Kuni et d’Inquisiteur Asako, même si de nombreux Tensai du Feu rejoignent l’ordre de l’Inquisition. Leurs compétences privilégiées sont : enquête,
sincérité, étiquette, ichi miru (Kitsuki), Nazodo (clan du Dragon), diplomatie et droit. Ajouter art de la magie et connaissance : Maho pour les magistrats de Jade


:ken:
Dernière modification par Kendashi le 10 août 2003, 08:48, modifié 1 fois.
Un lion ne meurt pas, il dort...

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Message par Pénombre » 09 août 2003, 19:30

pas mal du tout comme aide de jeu

Telf
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Message par Telf » 09 août 2003, 19:36

Merci bcp, je crois que je vais être calé là... :x

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Ide Akio
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Message par Ide Akio » 09 août 2003, 20:32

A priori, on peut trouver des AdJ officielles dans la Voie de Licorne (fonctionnement de la justice et rangs de magistrats...) et dans la Cité des Mensonges (charte des magistrats d'Emeraude).
Mais cette AdJ reprend tout bien. Merci Kendashi-sama ! :x
"Soyez doux avec le faible, le vieux et l'ignorant. Au cours de votre vie, vous serez les trois."

Shinsei

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Message par Kendashi » 09 août 2003, 21:53

Mais vous avez fini de m'embrasser 8) :lol:

En plus j'y suis pour rien l'AdJ (une compilation de toutes les données officielles) est de Okuma-sama, le daimyo du Clan de l'Ours, et la mise en page est du trop absent Eji-kun, un petit heimin à qui on veut du bien.


:ken:
Dernière modification par Kendashi le 09 août 2003, 23:58, modifié 1 fois.
Un lion ne meurt pas, il dort...

Hantei Romain

Message par Hantei Romain » 09 août 2003, 23:02

Telf, tu es sûr que tu n'as pas 30 € à mettre dans Rokugan D20 ? Tu y trouverai tt ce dont tu as besoin comme background.

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Message par brand » 10 août 2003, 04:29

Ne le fait pas telf, sinon je serais oblige de le faire qussi, il y aurait plus personne pour poser des questions :)

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KitsuTadaka
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Message par KitsuTadaka » 10 août 2003, 10:10

N oubliez pas le dojo des Magistrats d Emeraude mentionné il me semble dans un Palais d Hiver (Kyuden Miya si je ne m abuse..)
Ces techniques sont aussi directement accessibles avec l école Seppun (celle mentionnée dans Voie du SamouraÏ)

Et bravo pour l aide de jeu de Kendashi !

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Message par Pénombre » 10 août 2003, 11:27

Le Dojo des Magistrats d'Emeraude
De toutes les écoles de Rokugan, nulle ne fait de sélection aussi stricte que celle des magistrats d'Emeraude. Il n'y a pas de bonus, ni de compétences de base. Il n'y a pas de techniques de rang 1 ou 2. Les sensei de l'école n'enseignent pas leurs méthodes aux nouveaux samurai qui n'ont pas encore été mis à l'épreuve. Au lieu de cela, ils choisissent les meilleurs magistrats et leur font subir un entraînement supplémentaire. Quand un magistrat d'Emeraude qui a accompli son devoir avec éclat et talent est prêt à apprendre une nouvelle technique de sa famille d'origine, il peut choisir d'étudier à la place dans le dojo du Champion d'Emeraude. Ici, il apprend l'une des techniques suivantes au lieu de celle de son école.

Mécanismes de Jeu
Pour pouvoir apprendre l'une de ces techniques, le personnage doit remplir deux conditions. Le Champion d'Emeraude (ou un autre magistrat d'un rang extraordinairement élevé) doit lui offrir la chance de le faire. Le MJ ne doit offrir cette opportunité que s'il pense que le joueur en question a interprété son personnage à la perfection. En second lieu, le joueur doit utiliser un certain nombre de points d'expérience (cela représente le caractère incroyablement rare de cet honneur ainsi que la puissance des techniques).
Mais le simple fait qu'un personnage ait été invité à apprendre l'une des techniques ne signifie en aucun cas qu'il soit assuré d'en apprendre d'autres. Chacune doit être offerte séparément, comme récompense pour service extraordinaire rendu à l'Empereur et à l'Empire.

Compétences Recommandées
Il y a certaines compétences qu'un magistrat doit maîtriser pour pouvoir suivre l'entraînement du dojo d'Emeraude. Les élèves doivent être doués dans les compétences Courtisan, Droit, Enquête, Héraldique et Sincérité. Comme le résultat de ses études à l'école des magistrats d'Emeraude, le personnage peut apprendre la compétence Obiesaseru. Chaque fois que le magistrat utilise ces compétences pour faire appliquer les lois de l'Empereur ou pour découvrir le coupable ou les circonstances d'un acte criminel, il est considéré comme étant "en mission" pour l'utilisation des techniques décrites ci-dessous.

Rang 3 : La Méthode de Saibankan
Le magistrat a saisi la méthode simple mais efficace inventée par Soshi Saibankan. Une fois par partie, le magistrat peut utiliser un point de Vide pour réussir automatiquement un jet de dé impliquant l'une des compétences recommandées pour les magistrats (cf. plus haut).
L'apprentissage de cette technique coûte 10 points d'expérience.
Rang 4 : Pour l'Empire
La bénédiction du fils des Cieux rayonne véritablement sur ses défenseurs. Une fois qu'il a appris cette technique, le magistrat peut utiliser un point de Vide pour annuler les capacités de ses adversaires qui permettent de réduire les dommages, infligeant ainsi des dommages normaux (non modifiés) pour (rang d'Honneur) tours. Les pouvoirs des Oni, les pouvoirs de l'Ombre, les effets protecteurs des sortilèges et les techniques de maho-bujin peuvent tous être contrés grâce à cette technique.
L'apprentissage de cette technique coûte 15 points d'expérience.
Rang 5 : En Son Nom
A ce niveau, la passion brûlante qu'il éprouve à servir l'Empereur fait écho à chacun des battements de cœur du magistrat. Quand il entreprend n'importe quelle tâche dans le cadre de sa mission ("en mission", voir ci-dessus), le magistrat dispose de (rang d'Honneur) augmentations gratuites par jour.
L'apprentissage de cette technique coûte 20 points d'expérience.

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Message par Pénombre » 10 août 2003, 11:29

j'ai trouvé ça dans un fichier publié sur www.scenariotheque.org qui récapitule presque toutes les écoles 1ère et 2ème éditions, c'est pas mal du tout

et ça m'évite d'avoir à le recopier à la main depuis Kyuden Kakita
:)

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Message par Telf » 10 août 2003, 17:04

Hantei Romain a écrit :Telf, tu es sûr que tu n'as pas 30 € à mettre dans Rokugan D20 ? Tu y trouverai tt ce dont tu as besoin comme background.
Oui je sais que je suis un peu lourd avec mes question de néophytes sur Rogukan, mais je cherche sur Montpellier le Rogukan d20 d'occas'...

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Re: [Background] Magistrat d'émeraude

Message par Tetsuo » 04 août 2014, 14:46

:biere:
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Re: [Background] Magistrat d'émeraude

Message par Irazetsu » 04 août 2014, 15:05

Je suis pas sûr Montpellier, mais j'ai quelques suppléments en D20 à la vente je crois. Je pourrais regarder éventuellement.
Buy less, play more !

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Re: [Background] Magistrat d'émeraude

Message par Tetsuo » 04 août 2014, 15:11

Message de Telf » 10 Aoû 2003 18:04

:langue:
Eppur si muove

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