[Kakita Mikado]
Ayant guidé Kitsuki Titisa et son yojimbo vers l'hotesse de ces lieux, Mikado se dirigea vers les jardins. Elle se demanda si le Kitsuki avait remarqué l'emblème de sa charge, son médaillon de jade.
Pensive, elle laisse aller ses pas dans la merveilleux jardins de Kyuden Doji, profitant des rayons d'amaterasu et de la blancheur de la neige.
Ayant pris une désicion elle se retire vers ses appartements.
"Kohe, viens"
"Hai sama?"
"Apporte moi mon necessaire d'écriture, j'ai une lettre à rédiger."
"Hai sama, de suite"
Rapidement la jeune servante mis en place le necessaire d'écriture de la samurai Ko.
Ayant fini sa lettre, quelques lignes, elle la fait porter par Kohe à son destinataire...
Goju Kaze - Posté le 28-10-2002 à 16:37:13
[Matin] Dans le silence de l’hiver, écrin de couleur
Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
[Agasha Toruki]
Toruki délaissa l'inconfortable charette pour les quelques pas qui le séparaient maintenant des portes de Kyuden, et il se traina donc sur sa canne aux côtés du moine Krilin.
Le spectacle était assez inhabituel ; les deux hommes se ressemblaient sur certains points, ayant tous deux le crâne rasé, un masque qui leur cachait la moitié du visage, mais ils différaient radicalement par la taille.
Toruki était très grand, alors que son compagnon aurait pu passer pour un enfant.
Tout en discutant de théologie, ils arrivèrent devant Kyuden Doji. Krilin se tourna vers Toruki :
"Nous voilà arrivés au terme de notre voyage."
Toruki soupira ;
"Iie, Krilin-san. Je crains que ce ne soit que le début. Mais qu'importe ! J'en ai fini avec cette charette, et j'en suis bien content."
Toruki s'avança vers les serviteurs et leur demanda de lui indiquer sa chambre, et d'y porter précautioneusement son matériel. Il salua ensuite Krilin et le jeune yojimbo, et se retira pour prendre un bain bien mérité ; il irait présenter ses respects à la maîtresse de maison un peu plus tard.
Seagull - Posté le 28-10-2002 à 19:18:03
Toruki délaissa l'inconfortable charette pour les quelques pas qui le séparaient maintenant des portes de Kyuden, et il se traina donc sur sa canne aux côtés du moine Krilin.
Le spectacle était assez inhabituel ; les deux hommes se ressemblaient sur certains points, ayant tous deux le crâne rasé, un masque qui leur cachait la moitié du visage, mais ils différaient radicalement par la taille.
Toruki était très grand, alors que son compagnon aurait pu passer pour un enfant.
Tout en discutant de théologie, ils arrivèrent devant Kyuden Doji. Krilin se tourna vers Toruki :
"Nous voilà arrivés au terme de notre voyage."
Toruki soupira ;
"Iie, Krilin-san. Je crains que ce ne soit que le début. Mais qu'importe ! J'en ai fini avec cette charette, et j'en suis bien content."
Toruki s'avança vers les serviteurs et leur demanda de lui indiquer sa chambre, et d'y porter précautioneusement son matériel. Il salua ensuite Krilin et le jeune yojimbo, et se retira pour prendre un bain bien mérité ; il irait présenter ses respects à la maîtresse de maison un peu plus tard.
Seagull - Posté le 28-10-2002 à 19:18:03
[Arashi Fuyimiki]
Krilin était maintenant seul,la servante avait était un peu etoné par la demande d'un bol pour le bain,mais en revenant avec le bol elle vit le petit oiseau qui semblait ravi de la situation,il était au chaud,et picorait le biscuit que le moine avait demandé,visiblement les interet des autres passait bien avant les sien semblait-il,il avait enfilé son kimono que son maitre lui avait donné avant de partir,il savait qu'il ne pouvait garder ses habit de voyage,et le luxe de la place lui semblait completement ridicule,mais certain etre d'exeption erré en de telle endroit,il lui faudrait trouver Doji Nanko,comme le lui avait demander son maitre,mais il avait le temps,de plus la maitresse des lieus l'appelerait dans peu de temps, qu'allait-il bien pouvoir lui dire?
Il posa delicatement les deux paquets qu'il avait emporter et se tournant vers l'oiseau il lui dit:
"surveille ces deux objets en mon absence,je te relacherais apres ca"
l'oiseau lui repondit par des piafements joyeux et enthousiastes,visiblement il était tres bien ici et ne partirait pas d'abord,krilin suivit donc la servante qui l'attendait elle était elle aussi de petite taille,il pensa amuser que ce devait etre pour ne pas paraitre ridicule en presence de Doji Shizue...
Le palais était vraiment immense,pourvu que la servante l'attende,sinon il allait avoir du mal a retrouver son chemin...
Hida Benkei - Posté le 28-10-2002 à 20:42:11
Krilin était maintenant seul,la servante avait était un peu etoné par la demande d'un bol pour le bain,mais en revenant avec le bol elle vit le petit oiseau qui semblait ravi de la situation,il était au chaud,et picorait le biscuit que le moine avait demandé,visiblement les interet des autres passait bien avant les sien semblait-il,il avait enfilé son kimono que son maitre lui avait donné avant de partir,il savait qu'il ne pouvait garder ses habit de voyage,et le luxe de la place lui semblait completement ridicule,mais certain etre d'exeption erré en de telle endroit,il lui faudrait trouver Doji Nanko,comme le lui avait demander son maitre,mais il avait le temps,de plus la maitresse des lieus l'appelerait dans peu de temps, qu'allait-il bien pouvoir lui dire?
Il posa delicatement les deux paquets qu'il avait emporter et se tournant vers l'oiseau il lui dit:
"surveille ces deux objets en mon absence,je te relacherais apres ca"
l'oiseau lui repondit par des piafements joyeux et enthousiastes,visiblement il était tres bien ici et ne partirait pas d'abord,krilin suivit donc la servante qui l'attendait elle était elle aussi de petite taille,il pensa amuser que ce devait etre pour ne pas paraitre ridicule en presence de Doji Shizue...
Le palais était vraiment immense,pourvu que la servante l'attende,sinon il allait avoir du mal a retrouver son chemin...
Hida Benkei - Posté le 28-10-2002 à 20:42:11
[Kitsune Kimiko et Wapi]
Après s’être lavée et délassée dans un bain bien chaud, Kimiko s’occupa de faire la toilette à Wapi. Une fois tous les deux bien propre, Kimiko alla se préparer pour rencontrer Doji Shizue. Elle sortit de ses bagages plusieurs Kimono et choisit le plus beau : un kimono d’excellente facture que sa mère avait fait. Il était en soie très fine, les couleurs vertes s’entremêlaient parfaitement et donnaient l’impression que le tissu était vivant. On pouvait voir sur le vêtement une forêt avec de fins détails. Elle eut une pensée triste pour sa mère qu’elle n’avait jamais vue. Wapi jappa et la sortit de sa mélancolie. Elle défit la broche en bois de son kimono de voyage pour la mettre sur celui qu’elle portait. Puis elle s’attacha les cheveux d’une manière simple et pratique. Elle caressa Wapi qui l’avait regardé faire.
Enfin prête, elle s’en alla en compagnie de son renard pour aller saluer son hôte. Wapi semblait la guider parmi les longs couloirs du palais. Ils croisèrent beaucoup de personne puis ils arrivèrent devant une pièce d'où s'élevait trois voix : deux provenant d'homme et une douce voix de femme.
kimiko et wapi - Posté le 28-10-2002 à 21:34:42
Après s’être lavée et délassée dans un bain bien chaud, Kimiko s’occupa de faire la toilette à Wapi. Une fois tous les deux bien propre, Kimiko alla se préparer pour rencontrer Doji Shizue. Elle sortit de ses bagages plusieurs Kimono et choisit le plus beau : un kimono d’excellente facture que sa mère avait fait. Il était en soie très fine, les couleurs vertes s’entremêlaient parfaitement et donnaient l’impression que le tissu était vivant. On pouvait voir sur le vêtement une forêt avec de fins détails. Elle eut une pensée triste pour sa mère qu’elle n’avait jamais vue. Wapi jappa et la sortit de sa mélancolie. Elle défit la broche en bois de son kimono de voyage pour la mettre sur celui qu’elle portait. Puis elle s’attacha les cheveux d’une manière simple et pratique. Elle caressa Wapi qui l’avait regardé faire.
Enfin prête, elle s’en alla en compagnie de son renard pour aller saluer son hôte. Wapi semblait la guider parmi les longs couloirs du palais. Ils croisèrent beaucoup de personne puis ils arrivèrent devant une pièce d'où s'élevait trois voix : deux provenant d'homme et une douce voix de femme.
kimiko et wapi - Posté le 28-10-2002 à 21:34:42
[Kakita no Akodo Ikari]
La neige commençait à tomber plus drue, le vent faisant virevolter les flocons. Le monde commençait à se presser aux portes du Kyuden. Sur le haut de la colline qui surplombait le palais, un homme seul, encapuchonné regardait la splendeur des lieux : serpent de route qui se couvrirait bientôt d'un manteau blanc, rivière aux petits tumultes, banières givrées flottant au vent, les êtres semblaient minuscules de son promontoire.
Il ne sentait pas le froid, il regardait tout cela comme si c'était irréel à ses yeux.
Kyuden Doji ! Son esprit s'élèva parmi les flocons et doucement il flotta, cherchant un sens à tout cela, pourquoi devait-il se trouver là ?
- "Mais maître que ferais-je là-bas, je ne suis pas un courtisan"
- "Parfois l'esprit de la chose que l'on étudie nous apparaît alors que l'on y songe le moins. Lorsque l'on est sur la Voie, la lumière se fait à un instant sans que l'on sache pourquoi et l'on prend conscience de sa place.
- "Voulez-vous dire que ma Voie me conduit à Kyuden Doji sensei sama ?"
- "Dois-je vraiment répondre à ta question Ikari san" ? Ecoute ton coeur, écoute le Lion qui est en toi, écoute la voix de tes ancêtres"
- "Mais sensei, je ne l'entend plus cette voix. Vous le savez"
Ikari baissa les yeux, Son sensei se leva
- "Elle est différente mais elle te parle toujours. Même moi je peux entendre son souffle t'entourer quand tu combats. Tu dois avoir confiance en toi Ikari san, tes ancêtres ne t'ont pas renié et les miens t'apprécient. Tu es un homme de grande valeur".
- "Vous m'avez déjà dit cela maître mais vous avez une trop haute opinion de moi.
Ikari n'aurait plus osé réitérer sa question, silencieux, il la retourna dans sa tête : Pourquoi dois-je aller à cette Cour d'hiver ? Je ne pourrais pas
m'entraîner là-bas, tout l'hiver enfermé !"
Un doux rire franchit les lèvres de son maître, il le regarda comme s'il avait parlé tout haut.
- On dirait un enfant ! Vas, tu ne le regretteras pas et médites ! Nous nous reverrons au printemps et peut-être seras-tu moins sourd.
Son rire flotta dans l'espace, ses mots s'estompèrent et Ikari entama sa descente vers le palais Doji, ses jambes accrochèrent instinctivement à la pente alors que son âme comme détachée de son corps flottait parmi les flocons A part le bruit de ses pas, le silence, il sourit à sa naïveté et poursuivit son chemin.
Iuchi Mushu - Posté le 28-10-2002 à 22:27:17
La neige commençait à tomber plus drue, le vent faisant virevolter les flocons. Le monde commençait à se presser aux portes du Kyuden. Sur le haut de la colline qui surplombait le palais, un homme seul, encapuchonné regardait la splendeur des lieux : serpent de route qui se couvrirait bientôt d'un manteau blanc, rivière aux petits tumultes, banières givrées flottant au vent, les êtres semblaient minuscules de son promontoire.
Il ne sentait pas le froid, il regardait tout cela comme si c'était irréel à ses yeux.
Kyuden Doji ! Son esprit s'élèva parmi les flocons et doucement il flotta, cherchant un sens à tout cela, pourquoi devait-il se trouver là ?
- "Mais maître que ferais-je là-bas, je ne suis pas un courtisan"
- "Parfois l'esprit de la chose que l'on étudie nous apparaît alors que l'on y songe le moins. Lorsque l'on est sur la Voie, la lumière se fait à un instant sans que l'on sache pourquoi et l'on prend conscience de sa place.
- "Voulez-vous dire que ma Voie me conduit à Kyuden Doji sensei sama ?"
- "Dois-je vraiment répondre à ta question Ikari san" ? Ecoute ton coeur, écoute le Lion qui est en toi, écoute la voix de tes ancêtres"
- "Mais sensei, je ne l'entend plus cette voix. Vous le savez"
Ikari baissa les yeux, Son sensei se leva
- "Elle est différente mais elle te parle toujours. Même moi je peux entendre son souffle t'entourer quand tu combats. Tu dois avoir confiance en toi Ikari san, tes ancêtres ne t'ont pas renié et les miens t'apprécient. Tu es un homme de grande valeur".
- "Vous m'avez déjà dit cela maître mais vous avez une trop haute opinion de moi.
Ikari n'aurait plus osé réitérer sa question, silencieux, il la retourna dans sa tête : Pourquoi dois-je aller à cette Cour d'hiver ? Je ne pourrais pas
m'entraîner là-bas, tout l'hiver enfermé !"
Un doux rire franchit les lèvres de son maître, il le regarda comme s'il avait parlé tout haut.
- On dirait un enfant ! Vas, tu ne le regretteras pas et médites ! Nous nous reverrons au printemps et peut-être seras-tu moins sourd.
Son rire flotta dans l'espace, ses mots s'estompèrent et Ikari entama sa descente vers le palais Doji, ses jambes accrochèrent instinctivement à la pente alors que son âme comme détachée de son corps flottait parmi les flocons A part le bruit de ses pas, le silence, il sourit à sa naïveté et poursuivit son chemin.
Iuchi Mushu - Posté le 28-10-2002 à 22:27:17
[Kitsuki Titisa]
Les deux samouraïs marchaient dans les couloirs essayant de retrouver leurs chambres par leurs propres moyens.
Hojatsu : « Je suis rassuré, ça ne s’est pas trop mal passé. »
Titisa semblait soucieux : « Oui… »
Hojatsu s’arrêta de marcher : « Qui a-t-il ? Y aurait il eu une faute d’étiquette qui m’ai échappée ? »
Titisa qui avait fait quelques pas avant de s’arrêter à son tour se retourna.
Titisa : « Non, l’entretient avec Doji Shizue sama fut parfait mais c’est l’évènement juste avant qui m’inquiète. »
Hojatsu : « Vous voulez parler de notre rencontre avec Kakita Mikado san ? Pourquoi ? Vous pensez qu’elle a entendu notre conversation ?»
Titisa : « J’en suis sur. L’expression de son visage lorsqu’elle est entrée dons notre salle d’attente a trahi sa pensée. Elle nous a entendu. »
Hojatsu : « Ba ! une courtisane Kakita devrait se montrer discret sur ce genre de chose… Elle serait mal vue par la cour si l’on apprenait qu’elle écoute aux portes. »
Titisa : « Mais quel sot tu fais ! N’as tu pas vu son médaillon ? C’est l'emblème des magistrats d’émeraude ! Elle a sûrement été envoyé par Doji Satsume sama pour veiller sur le bon déroulement de la cour d’hivers.
Hojatsu : « Quel mal à ça ? »
Titisa : « hé bien juste le fait que nous ayons gaffer dès le premier jour. »
Hojatsu : « Oups ! »
Titisa restait un instant pensif.
Devant le silence persistant du Kitsuki, Hojatsu poursuivit : « Et si nous partions à la recherche de membres de notre clan ? »
Titisa chuchota pour lui même : « S’il y a quelques péripéties que ce soit je me doit de la laisser s’en occuper. Je ne doit pas m’en mêler cette fois ou le champion d’émeraude me blâmera pour interférer avec les agissements de ses magistrats… »
Hojatsu : « Que dites vous ? »
Titisa : « Heu.. non rien, tu as raison, partons à la recherche de nos compatriotes. »
Kitsuki Titi - Posté le 29-10-2002 à 08:50:00
Les deux samouraïs marchaient dans les couloirs essayant de retrouver leurs chambres par leurs propres moyens.
Hojatsu : « Je suis rassuré, ça ne s’est pas trop mal passé. »
Titisa semblait soucieux : « Oui… »
Hojatsu s’arrêta de marcher : « Qui a-t-il ? Y aurait il eu une faute d’étiquette qui m’ai échappée ? »
Titisa qui avait fait quelques pas avant de s’arrêter à son tour se retourna.
Titisa : « Non, l’entretient avec Doji Shizue sama fut parfait mais c’est l’évènement juste avant qui m’inquiète. »
Hojatsu : « Vous voulez parler de notre rencontre avec Kakita Mikado san ? Pourquoi ? Vous pensez qu’elle a entendu notre conversation ?»
Titisa : « J’en suis sur. L’expression de son visage lorsqu’elle est entrée dons notre salle d’attente a trahi sa pensée. Elle nous a entendu. »
Hojatsu : « Ba ! une courtisane Kakita devrait se montrer discret sur ce genre de chose… Elle serait mal vue par la cour si l’on apprenait qu’elle écoute aux portes. »
Titisa : « Mais quel sot tu fais ! N’as tu pas vu son médaillon ? C’est l'emblème des magistrats d’émeraude ! Elle a sûrement été envoyé par Doji Satsume sama pour veiller sur le bon déroulement de la cour d’hivers.
Hojatsu : « Quel mal à ça ? »
Titisa : « hé bien juste le fait que nous ayons gaffer dès le premier jour. »
Hojatsu : « Oups ! »
Titisa restait un instant pensif.
Devant le silence persistant du Kitsuki, Hojatsu poursuivit : « Et si nous partions à la recherche de membres de notre clan ? »
Titisa chuchota pour lui même : « S’il y a quelques péripéties que ce soit je me doit de la laisser s’en occuper. Je ne doit pas m’en mêler cette fois ou le champion d’émeraude me blâmera pour interférer avec les agissements de ses magistrats… »
Hojatsu : « Que dites vous ? »
Titisa : « Heu.. non rien, tu as raison, partons à la recherche de nos compatriotes. »
Kitsuki Titi - Posté le 29-10-2002 à 08:50:00
[Shosuro Mariko]
Alors que les deux Dragons sortaient du couloir, ils faillirent se heurter à une jeune femme, juste dans l'angle, glissée dans un délicat kimono rouge, indéniablement scorpion, dominé par un masque blanc ciselé, ne laissant apparaitre qu'une féminine bouche, et un petit menton
"Très honorable magistrat du lointain clan du Dragon, je profite de cette rencontre toute fortuite permettez-moi de me présenter: Shosuro Mariko, humble servante de mon clan.
Elle s'interrompit, regarda l'angle...
"Suis-je si pressée ? Allons dans ce magnifique salon bleu, pour continuer. Passez devant, votre rang et votre âge le commandent"
A part un rien de nervosité, cette samourai-ko en kimono, ma foi assez moulant, ne trahissait rien .
Hiruma Kiwi - Posté le 29-10-2002 à 10:11:54
Alors que les deux Dragons sortaient du couloir, ils faillirent se heurter à une jeune femme, juste dans l'angle, glissée dans un délicat kimono rouge, indéniablement scorpion, dominé par un masque blanc ciselé, ne laissant apparaitre qu'une féminine bouche, et un petit menton
"Très honorable magistrat du lointain clan du Dragon, je profite de cette rencontre toute fortuite permettez-moi de me présenter: Shosuro Mariko, humble servante de mon clan.
Elle s'interrompit, regarda l'angle...
"Suis-je si pressée ? Allons dans ce magnifique salon bleu, pour continuer. Passez devant, votre rang et votre âge le commandent"
A part un rien de nervosité, cette samourai-ko en kimono, ma foi assez moulant, ne trahissait rien .
Hiruma Kiwi - Posté le 29-10-2002 à 10:11:54
[Iuchi Akiko]
ALors que les deux hommes se rapprochaient de la salle d'audience ils croisèrent 2 samurais dragon qui semblaient tellement perdus dans leurs lamentations qu'ils ne les saluerent même pas..
Akiko s'appretait à les arrêter quand Ide Noriaki le retint
"Ce n'est rien Akiko, il s'agit surement de leurs premieres cours d'hiver et ils auront été impréssionés par notre hôtesse. Mais ne trainons pas la journéee promet d'être longue"
"Ai Noriaki-sama"
Sur ces quelques mots les deux hommes se rapprochèrent de la salle d'audience et croisèrent une jeune demoiselle accompagnée d'un renard.
Surement la fameuse Kitsune pensa Akiko, il se rapprocha d'elle :
"Bonjour Samurai-san, je me nomme Iuchi Akiko et j'accompagne Ide Noriaki que voici.
C'est un honneur pour moi que de rencontrer quelqu'un dont le talent pour le dessin est aussi unaniment reconnu" dit'il tout en s'inclinant
Hida Neph - Posté le 29-10-2002 à 10:14:29
ALors que les deux hommes se rapprochaient de la salle d'audience ils croisèrent 2 samurais dragon qui semblaient tellement perdus dans leurs lamentations qu'ils ne les saluerent même pas..
Akiko s'appretait à les arrêter quand Ide Noriaki le retint
"Ce n'est rien Akiko, il s'agit surement de leurs premieres cours d'hiver et ils auront été impréssionés par notre hôtesse. Mais ne trainons pas la journéee promet d'être longue"
"Ai Noriaki-sama"
Sur ces quelques mots les deux hommes se rapprochèrent de la salle d'audience et croisèrent une jeune demoiselle accompagnée d'un renard.
Surement la fameuse Kitsune pensa Akiko, il se rapprocha d'elle :
"Bonjour Samurai-san, je me nomme Iuchi Akiko et j'accompagne Ide Noriaki que voici.
C'est un honneur pour moi que de rencontrer quelqu'un dont le talent pour le dessin est aussi unaniment reconnu" dit'il tout en s'inclinant
Hida Neph - Posté le 29-10-2002 à 10:14:29
[Kitsuki Titisa]
Hojatsu et Titisa se regardèrent sans cacher leur étonnement.
Non seulement les magnières et la familiarité de cette courtisane était étrange mais surtout elle était du clan du scorpion. Peut être ne connaissait elle la réputation que jouissait le Kitsuki dans le clan du scorpion.
Le Kitsuki entra dans la salle suivit de la shosuro.
Hojatsu fermait la marche tout en ne quittant pas les mains de Mariko des yeux. Vieux réflexe de Yojimbo. Hojatsu était efficasse et discret. La courtisane n'avait pas remarquée à quel point le Mirumoto la surveillait.
Le magistrat s'arreta au millieu de la pièce se retourna face à Mariko.
Titisa : "Je n'ai pas l'habitude d'accèpter au si facilement de tels d'entretiens privés mais... soit permettez moi de me présenter. Je suis Kitsuki Titisa, magistrat du clan du Dragon et Ambassadeur de la famille Kitsuki."
Titisa s'inclina très légerement comme pour marquer la différence entre son rang et celui de la shosuro.
Kitsuki Titi - Posté le 29-10-2002 à 10:30:27
Hojatsu et Titisa se regardèrent sans cacher leur étonnement.
Non seulement les magnières et la familiarité de cette courtisane était étrange mais surtout elle était du clan du scorpion. Peut être ne connaissait elle la réputation que jouissait le Kitsuki dans le clan du scorpion.
Le Kitsuki entra dans la salle suivit de la shosuro.
Hojatsu fermait la marche tout en ne quittant pas les mains de Mariko des yeux. Vieux réflexe de Yojimbo. Hojatsu était efficasse et discret. La courtisane n'avait pas remarquée à quel point le Mirumoto la surveillait.
Le magistrat s'arreta au millieu de la pièce se retourna face à Mariko.
Titisa : "Je n'ai pas l'habitude d'accèpter au si facilement de tels d'entretiens privés mais... soit permettez moi de me présenter. Je suis Kitsuki Titisa, magistrat du clan du Dragon et Ambassadeur de la famille Kitsuki."
Titisa s'inclina très légerement comme pour marquer la différence entre son rang et celui de la shosuro.
Kitsuki Titi - Posté le 29-10-2002 à 10:30:27
[Shosuro Mariko]
"Privée, n'exagerons rien, chacun est libre de nous rejoindre, neh ?"
(Si elle perçut le regard insistant de Hojatsu sur elle, elle l'attribua à tort sur un interet...masculin, et non professionnel)
"J'ai entendu que vous aviez d'excellentes références de magistrat ...Dites-m'en plus, je sors rarement dans les endroits obscures. Je suis trop franche pour cela."
Hiruma Kiwi - Posté le 29-10-2002 à 10:43:15
"Privée, n'exagerons rien, chacun est libre de nous rejoindre, neh ?"
(Si elle perçut le regard insistant de Hojatsu sur elle, elle l'attribua à tort sur un interet...masculin, et non professionnel)
"J'ai entendu que vous aviez d'excellentes références de magistrat ...Dites-m'en plus, je sors rarement dans les endroits obscures. Je suis trop franche pour cela."
Hiruma Kiwi - Posté le 29-10-2002 à 10:43:15
[Isawa Fujiwara]
Lassé de réciter sans fins des litanies répétitives, Fujiwara se réfugia une fois de plus dans le royaume du Tout. En continuant à psalmodier en compagnie de son sensei, le jeune Ishi entreprit de sonder les alentours de leurs chambres. Le défèrlement d'informations lui vrilla les tempes, les sentiments et les pensées étaient trop nombreuses pour qu'il puisse les agencer en un schéma compréhensible. Soudain, une chaleur s'empara de son être, une personne chère à ses yeux venait d'entrer dans le périmètre qu'il sondait.
"Ide Noriaki", pensa le jeune Isawa, un sourire aux lèvres.
Fujiwara se redressa, regarda son sensei à la dérobée. Ce dernier était plongé dans ses prières et semblait ignorer l'agitation inhabituelle de son élève. Le jeune Ishi en profita pour s'esquiver, sortit sans un bruit dans le couloir, et, apercevant un groupe de trois personnes (deux licornes et une jeune fille dont Fujiwara ne reconnaissait pas l'alignement), il décida de remettre ses hommages au père de ses amis décédés. D'un pas peu assuré, il prit la direction du groupe, en tentant de paraître aussi digne que possible malgré la joie qui l'animait.
Dans la chambre, Isawa Itsuko, le vieux sensei, soupira en se redressant.
" Fujiwara, quand donc cesseras tu de n'en faire qu'à ta tête" songea t'il en se préparant à sortir pour rejoindre son disciple.
Kakita Ryojin - Posté le 29-10-2002 à 10:47:41
Lassé de réciter sans fins des litanies répétitives, Fujiwara se réfugia une fois de plus dans le royaume du Tout. En continuant à psalmodier en compagnie de son sensei, le jeune Ishi entreprit de sonder les alentours de leurs chambres. Le défèrlement d'informations lui vrilla les tempes, les sentiments et les pensées étaient trop nombreuses pour qu'il puisse les agencer en un schéma compréhensible. Soudain, une chaleur s'empara de son être, une personne chère à ses yeux venait d'entrer dans le périmètre qu'il sondait.
"Ide Noriaki", pensa le jeune Isawa, un sourire aux lèvres.
Fujiwara se redressa, regarda son sensei à la dérobée. Ce dernier était plongé dans ses prières et semblait ignorer l'agitation inhabituelle de son élève. Le jeune Ishi en profita pour s'esquiver, sortit sans un bruit dans le couloir, et, apercevant un groupe de trois personnes (deux licornes et une jeune fille dont Fujiwara ne reconnaissait pas l'alignement), il décida de remettre ses hommages au père de ses amis décédés. D'un pas peu assuré, il prit la direction du groupe, en tentant de paraître aussi digne que possible malgré la joie qui l'animait.
Dans la chambre, Isawa Itsuko, le vieux sensei, soupira en se redressant.
" Fujiwara, quand donc cesseras tu de n'en faire qu'à ta tête" songea t'il en se préparant à sortir pour rejoindre son disciple.
Kakita Ryojin - Posté le 29-10-2002 à 10:47:41
[Kitsuki Titisa]
Mariko : "Dites-m'en plus, je sors rarement dans les endroits obscures. Je suis trop franche pour cela."
Titisa : "Mal heureusement la vanité ne fait pas partie de mes qualité"
Titisa souris sincerement à sa boutade.
Titisa poursuivit : "Vous comprendrez qu'il m'est impossible de violer le secret d'une instruction et je souhaite toujours rester discret sur mes enquêtes. Dans ma profession, la gloire n'apporte rien."
Hojatsu et Titisa avait la même pensé au même moment.
Cette courtisane scorpion devait avoir cette attitutude pour deux raisons possibles :
Soit elle pèchait par ignorance et ne connaissait vraiement pas les exploit du magistrat.
Soit elle savait pour ses investigations qui l'ont conduit en de nombreuses reprises à s'opposer au clan du scorpion et donc elle se joueait d'eux en ce moment même.
Kitsuki Titi - Posté le 29-10-2002 à 11:10:09
Mariko : "Dites-m'en plus, je sors rarement dans les endroits obscures. Je suis trop franche pour cela."
Titisa : "Mal heureusement la vanité ne fait pas partie de mes qualité"
Titisa souris sincerement à sa boutade.
Titisa poursuivit : "Vous comprendrez qu'il m'est impossible de violer le secret d'une instruction et je souhaite toujours rester discret sur mes enquêtes. Dans ma profession, la gloire n'apporte rien."
Hojatsu et Titisa avait la même pensé au même moment.
Cette courtisane scorpion devait avoir cette attitutude pour deux raisons possibles :
Soit elle pèchait par ignorance et ne connaissait vraiement pas les exploit du magistrat.
Soit elle savait pour ses investigations qui l'ont conduit en de nombreuses reprises à s'opposer au clan du scorpion et donc elle se joueait d'eux en ce moment même.
Kitsuki Titi - Posté le 29-10-2002 à 11:10:09
[Shosuro Mariko]
Titisa poursuivit : "Vous comprendrez qu'il m'est impossible de violer le secret d'une instruction et je souhaite toujours rester discret sur mes enquêtes. Dans ma profession, la gloire n'apporte rien."
Avec une moue visible sur les lèvres, Mariko lâcha, "moi qui m'était fait une joie de connaître le pourquoi de votre renommée dont je n'ai eu que quelques on-dit... il est vrai que
Dans cette brume,
Les silhouettes s'amplifient
Et souris devient lion.
C'est vrai, votre profession est de découvrir la vérité, non de la diffuser. Mais je crois que ma franchise joue contre moi. Sauriez-vous jouer au go ? A moins que ce samourai qui me scrute au risque de me perturber ait une version de sa carrière qui ne soit pas secretissime ?
Hiruma Kiwi - Posté le 29-10-2002 à 11:28:45
Titisa poursuivit : "Vous comprendrez qu'il m'est impossible de violer le secret d'une instruction et je souhaite toujours rester discret sur mes enquêtes. Dans ma profession, la gloire n'apporte rien."
Avec une moue visible sur les lèvres, Mariko lâcha, "moi qui m'était fait une joie de connaître le pourquoi de votre renommée dont je n'ai eu que quelques on-dit... il est vrai que
Dans cette brume,
Les silhouettes s'amplifient
Et souris devient lion.
C'est vrai, votre profession est de découvrir la vérité, non de la diffuser. Mais je crois que ma franchise joue contre moi. Sauriez-vous jouer au go ? A moins que ce samourai qui me scrute au risque de me perturber ait une version de sa carrière qui ne soit pas secretissime ?
Hiruma Kiwi - Posté le 29-10-2002 à 11:28:45
[Ikoma Kasaru]
Le palais était à présent en vue, et plusieurs délégations semblaient déjà y être arrivées. A l'écart de la route, on pouvait distinguer deux cavaliers dont les silhouettes capées se découpaient sur le gris du ciel et le blanc de la neige qui recouvrait la colline ou ils se trouvaient.
De cet endroit surélevé, ils semblaient observer le palais et la route y menant. Leurs capes étaient couvertes de neige, mais l'ocre de celles-ci flottait dans le vent de ce milieu de matinée.
Le voyage avait été plus rapide que prévu, mais d'autres s'étaient pourtant rendu de plus bon matin à l'invitation de Doji Hoturi.
"L'hiver est la saison des trêves, mais pourtant nous voici sur un champs de bataille d'une nature inconnue."
Akodo Getsuko se tourna vers Ikoma Kasaru, qui venait de prononcer ces mots :
"Ne vous inquiétez pas tant Kasaru-san, nous aurons bien des alliés en ces murs, regardez et rendez-vous en compte vous-même : Il sont en train d'arriver…"
Kasaru dirigea sont regard dans la direction que Getsuko indiquait de son tessen replié : Une petite troupe de cavaliers arrivait au palais, et leurs montures n'étaient pas des poney Rokuganis. Cette vision détendit quelque peu le jeune gunso Ikoma.
"Getsuko-sama, je tiens à vous remercier de l'immense honneur que vous me faites en me prenant à vos côtés en ce lieu. Bien que je n'en comprenne pas entièrement la raison."
Dans une longue traînée brumeuse, Akodo Getsuko laissa échapper un
soupir :
"Cela fait bien longtemps que nous chevauchons ensemble, Kasaru-san, et voici que, pour une fois, je puis vous offrir autre chose que du sang et de la poussière… De plus, cela vous permettra de rencontrer Doji Shizue, je sais votre impatience à pouvoir entendre l'une des meilleures conteuses de l'Empire."
Sur ces mots, et mettant fin à la discussion, le général Lion descendît la colline et s'engagea sur le chemin du palais. Son Gunzo, lui, attarda son regard sur les riches plaines Grues, avant de chevaucher à son tour vers Kyuden Doji…
Eiji-kun - Posté le 29-10-2002 à 11:32:19
Le palais était à présent en vue, et plusieurs délégations semblaient déjà y être arrivées. A l'écart de la route, on pouvait distinguer deux cavaliers dont les silhouettes capées se découpaient sur le gris du ciel et le blanc de la neige qui recouvrait la colline ou ils se trouvaient.
De cet endroit surélevé, ils semblaient observer le palais et la route y menant. Leurs capes étaient couvertes de neige, mais l'ocre de celles-ci flottait dans le vent de ce milieu de matinée.
Le voyage avait été plus rapide que prévu, mais d'autres s'étaient pourtant rendu de plus bon matin à l'invitation de Doji Hoturi.
"L'hiver est la saison des trêves, mais pourtant nous voici sur un champs de bataille d'une nature inconnue."
Akodo Getsuko se tourna vers Ikoma Kasaru, qui venait de prononcer ces mots :
"Ne vous inquiétez pas tant Kasaru-san, nous aurons bien des alliés en ces murs, regardez et rendez-vous en compte vous-même : Il sont en train d'arriver…"
Kasaru dirigea sont regard dans la direction que Getsuko indiquait de son tessen replié : Une petite troupe de cavaliers arrivait au palais, et leurs montures n'étaient pas des poney Rokuganis. Cette vision détendit quelque peu le jeune gunso Ikoma.
"Getsuko-sama, je tiens à vous remercier de l'immense honneur que vous me faites en me prenant à vos côtés en ce lieu. Bien que je n'en comprenne pas entièrement la raison."
Dans une longue traînée brumeuse, Akodo Getsuko laissa échapper un
soupir :
"Cela fait bien longtemps que nous chevauchons ensemble, Kasaru-san, et voici que, pour une fois, je puis vous offrir autre chose que du sang et de la poussière… De plus, cela vous permettra de rencontrer Doji Shizue, je sais votre impatience à pouvoir entendre l'une des meilleures conteuses de l'Empire."
Sur ces mots, et mettant fin à la discussion, le général Lion descendît la colline et s'engagea sur le chemin du palais. Son Gunzo, lui, attarda son regard sur les riches plaines Grues, avant de chevaucher à son tour vers Kyuden Doji…
Eiji-kun - Posté le 29-10-2002 à 11:32:19