Publié : 20 juil. 2005, 07:08

euh, non, plutôt :comme d'hab:...
C'est ensemble que nous faisons avancer le jeu
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Plus je les regarde s'agiter plus je les trouve pitoyables. En fait c'est ça ils me font pitié. Avec leurs mesures risibles (prison ferme pour écouter un disque que tu as acheté sur ton lecteur mp3 au format wxz...) ils montrent leur extrème faiblesse. Ils sont impuissants et c'est tout ce qu'on voit finalement. Une bande viellards gavé de pognon mais incapable de bander. Une bande de trous du cul qui font des lois pour protéger une culture qu'ils ne comprennent même pas. Ces lois c'est leur viagra et leur dhea à eux... Elle ne fait que marquer le fait qu'ils vont bientôt crever dans leur aigreur. La culture, la vraie, elle ne s'arrêtera pas à ces lois elle trouvera d'autres chemins et plus ils essaieront de la controller plus leur echappera... A la fin ils auront tout perdu.La directive IPRED II (Intellecutal Property Rights Enforcement Directive) s'inspire de la première version d'une directive rédigée en 2003 par Janely Fourtou, député PPE et femme du P.D.G. de Vivendi Universal.
Alex Nikolavitch, dans sa Warzone a écrit :Lundi 22 Août 2005
Le premier procès pour diffusion de bandes dessinées piratées sur le net s'est terminé aujourd'hui par la condamnation de l'accusé (qui avait mis en ligne 2288 albums, semble-t-il). Mais le syndicat national de l'édition, refusant la surenchère à laquelle se livrent par exemple les maisons de disques, n'a réclammé que 1 euro de dommages et intérêts, qu'il a donc obtenu, une sanction symbolique, qui s'ajoute juste aux frais de procédure engagés par le pirate. Le fait est, les éditeurs de BD savent que le net est avant tout un excellent outil de promotion. Et leurs exigences quand aux auteurs sont loin de celles de l'industrie du disques : alors que certaines majors du disque cassent les contrats d'artistes qui vendent à moins de 80000 exemplaires, même un gros éditeur de BD peut tolérer un auteur qui vend quatre à cinq fois moins.
Dès lors, il convient peut-être d'orienter la réflexion quand au rôle de l'internet dans la diffusion de demain vers le poids que représentent les structures boursoufflées de certains marchands de culture.
Amusant ça ... je ne sais pas pour la BD, mais dans l'édition, les auteurs "à succès" ie qui vendent bien servent, non pas seulement à faire vivre la boîte, mais aussi et principalement à éditer des auteurs qui se vendront moins bien ... donc en réalité un auteur qui se vend peu c'est normal et il y a des cadors qui sont là pour le financement ...même un gros éditeur de BD peut tolérer un auteur qui vend quatre à cinq fois moins
genre Manu Katché qui dit tout et son contraire par exemple ?certains auteurs (enfin surtout en musique) en rajoutent aussi à cette confusion en faisant des amalgames douteux