Publié : 03 mai 2008, 23:17
chouette, Sunin est de retour; il est sympathique ce petit gars.
Je le plains d'entendre Hyobu, le pauvre.
Je le plains d'entendre Hyobu, le pauvre.
C'est ensemble que nous faisons avancer le jeu
https://www.voixrokugan.org/Forum/
Le Juda ! Il serait capable de vendre Shinsei pour 30 bu ! XD- Les Fortunes peuvent attendre un peu. » A ces mots le petit moine a un haut le corps. « Et je ferai dès demain une offrande généreuse au Temple de Daikoku, pour qu’elles daignent me pardonner cette incartade par rapport à la tradition ». Le moine se rassérène visiblement. « Ne craignez rien, ma mère, vous aurez vos petits enfants. » achève Jocho d’un ton désinvolte.
Force m'est de constater que le mode opératoire est le même que pour Tsukiko. Et le pire c'est que ça marche, non seulement pour les filles mais pour les lecteurs aussi puisque je suis assez bête pour me prendre dans le fil(et) de l'histoire... ^^"Malgré tout, je ne peux m’empêcher de me rappeler des avertissements du journal de Shiba Shonagon – peut-être n’est-ce qu’une tactique destinée à endormir ma méfiance, et peut-être va-t-il s’introduire subrepticement ce soir dans ma chambre.
Donc même si les lieux ne s’y prêtent pas vraiment, avec l’aide d’Epine je les fortifie autant que possible, en mettant des meubles devant les shoji. Epine quant à elle dormira dans ma chambre, devant l’entrée. Et je garde mes sabres à portée de main.
C'est la première fois que je lis une telle formulation : le latent est bien tenté, mais ça ne rend pas bien.Malgré mes doutes latents la nuit se passe sans encombre, et comme à mon habitude je me réveille à l’aube.
Ca me fait le même effet quand je regagne mes points de vide...L’air froid, tonique, me réveille. Je sens le jeu de mes muscles sous la hakama noire, souples et alertes. Ce matin je me sens sabre, acier vivant ; toutes les choses m’apparaissent avec une acuité incroyable, comme si c’était le premier matin du monde.
mdr, et là mon Ise Zumi passe et dit : "Amères Fiançailles, ça vous fait au moins un point en commun". :pJ’achève le mouvement lentement, et ouvre enfin les yeux. Mes cheveux flottent librement, mon souffle est régulier, et levant mon sabre, très droite, je salue l’apparition d’Amaterasu.
Si le MJ de Kakita Ashidaka Kenji passe par là, je lui suggère humblement de faire le même coup à ce vile blasphémateur. niark niark niark... :p- Vous ! » dit-il avec stupeur, la lâchant et reculant d’un pas.
Le mal est fait, il connaît son identité ; quel mépris doit être le sien en voyant à quelle extrémité elle a été réduite de par cette passion qu’elle n’a jamais, jamais pu lui avouer.
Et là, c'est Koan qui arrive et qui hurle : "MEGUMIIIIIII !" ^^« Aiko-sama, un enfant m’a remis ce mot pour vous » me souffle-t-elle, l’air mystérieux, en me tendant un carré de papier, du type de ceux utilisés pour les origami.
Tu veux dire... de Rokugan. ^^Dessous, les troncs noirs et rugueux des cerisiers, traits noirs jetés à l’encre de chine, qui délimitent l’espace vertical entre la terre et le ciel.
Inutile de préciser que la Bénédiction d'Hoshizora peut être aussi dangereuse que la Malédiction de Yogo, puisqu'à après tout cette dernière n'engage "qu'une seule" dramatique trahison, tandis que là elle peuvent être aisément multiples et aller jusqu'à prendre l'aspectd'une Sombre Destinée si le MJ se montre astucieux (qu'est-ce qui emmerderais plus un Bushi Lion fanatique qui méprise les ronin et qui rêve à de grandes choses pour l'Empire que de se retrouvé chez le clan de l'Arraigné et hatamoto de Daigotsu ? Et encore, là c'est juste une idée en l'air...Terrible Bénédiction d'Hoshizora, 3PP :
La Fortune des Arts Martiaux a nimbé de sa Gloire le personnage dès sa plus tendre enfance, lui confèrent une aptitude innée pour les Arts Martiaux. Le personnage peut lancer 1g1 de plus a tous ses jets de compétences liés aux Bujutsu. Cependant, le personnage subit du même coup une terrible malédiction le condamnant à ne jamais être véritablement heureux. En outre, si le personnage a un rang d'honneur élevé (4 ou 5) il peut apprendre plus facilement les Bujutsu et les techniques de son école de Bushi et peut même jusqu'à aller les apprendre seul, par l'intermédiaire d'étranges rêves envoyés par la Fortune elle même.
A propos d'Hoshizora, son modus operandi n'est pas très différeend de Megumi, avec lequel il entretient d'excellentes relations, à ceci près qu'il est plus directe. Hyobu aurait tout aussi bien put être frappé de Terreur (ou pire, il pourrait lui couper les mains et la jeter d'un coup de pied dans la mer pour qu'elle s'y noie) par Hoshizora après avoir sous-entendu que les Arts Martiaux ne sont pas des activités convenables... après tout elle reste une samouraï.Les jours suivants, pour satisfaire ma redoutable belle-mère et éviter qu’elle m’impose l’ikebana, la calligraphie ou autre discipline fascinante, je lui annonce que je souhaite me perfectionner en cérémonie du thé. Au moins cet art a-t-il pour mérite de favoriser la concentration, ce qui ne peut m’être que bénéfique.
Hyobu-sama semble satisfaite de ce choix, et arrête dorénavant de me harceler de propositions d’activités « convenables ».
Mort de rire. Même si contrairement à Aiko-san, il ne m'a fallut que cinq secondes pour retrouver mon calme.Comme je lui explique patiemment la philosophie qui sous-tend cette double frappe, il est pris d’un fou rire inextinguible.
Un peu surprise de cette réaction, j’attends patiemment la fin de ce soudain accès de gaieté.
Essuyant les larmes de rire qui perlent au coin de ses paupières, il reprend finalement son souffle et finit par lâcher :
- Même si tu es à présent censée avoir les mêmes ancêtres que moi…à mon avis tes ancêtres Matsu doivent garder un œil sur leur descendante, et t’aider dans les combats.
En ce qui concerne les miens…lors d’une bataille, ils partiraient plutôt en sens inverse…ou contourneraient l’assaut pour aller assassiner le général adverse. Tous…tous des pourris… » Il a un nouvel accès de fou rire, d’un tel naturel que je me mets à rire également.
Quelques minutes plus tard, enfin je réussis à retrouver mon sérieux.
Je suis sûr que tendon d'Hida rendrait encore mieux...S’il est moins souple à gauche, on feinte à droite et frappe à gauche. S’il est grand, on vise la jointure de l’armure sous l’épaule, ou le tendon d’Achille
Petite précision. Comme le dit la chanson populaire, les Gaulois avaient peut être vraiment des capotes en bois. Fait historique avéré mais rarement décrié, le préservatif est une invention égyptienne, très ancienne, créer justement pour les soldats, car ceux-ci avaient tendance à ramener suite à des pillages, des IST (infections sexuellement transmissibles, si ma mémoire est bonne). Par la suite elles ont littéralement voyagé par la route de la soie et sont arrivés en Chine et au Japon. De fait, les Rokugani de cette époque ont très probablement la connaissance technologique pour utiliser des capotes de même nature que dans l'Ancien Japon, en soie avec un cordon. Selon un commentaire (féminin) d'époque, paraît-il, c'est très "mignon"...- Tu attends un enfant ? Tu en es sûre ? » L’exclamation m’échappe.
- Hai, Aiko-sama. » Ma petite servante semble plutôt penaude.
Je réfléchis. Cette grossesse inattendue peut se révéler providentielle ; mais il faut que Jocho reconnaisse Epine très rapidement comme concubine. Sans quoi, ce ne sera qu’un enfant illégitime, et si la réputation de mon époux n’est pas usurpée, ce ne doit pas être le premier à Ryoko Owari.
Et après tu dis que ton style manque de fluidité... ^^Le coup est faible, mal dirigé, mais fait néanmoins mouche.
Le Bayushi n’a cependant pas le temps de se réjouir, car il voit la lame de son adversaire qui remonte telle un serpent en direction de son visage, tranchant latéralement son masque, l’arête de son nez, ses paupières, et l’aveuglant du même coup.
Au moment précis où un flot chaud couvre ses joues et où son univers bascule dans les ténèbres, un nuage de pétales de cerisiers arrive, porté par la brise nocturne.
Saigo a la vision fantasmagorique de cette pluie de pétales blancs, éclairés par la lune, et de la pluie rouge des gouttelettes de son sang, tombant avec la même lenteur onirique en un somptueux motif noir, blanc, et pourpre, contre le velours tiède de la nuit.
Puis, avec cette même impression de ralenti, il sent la lame glacée s’enfoncer profondément dans sa poitrine, avec juste un petit choc initial au niveau de l’aisselle. Il n’a pas peur, ni mal, tout juste un peu d’étonnement : où Shosuro Jocho a-t-il appris pareille précision ?
Puis la lame se retire brutalement, et tout devient noir.
Tu vois que ça le fait pas, Inigin aussi le pense."doute latent" : euh, j'ai un doute là ...
Je constate que tu as lut le clan des Otori. ^^C’était ce cuisinier – comment s’appelle-t-il ? Takeo ? Takeshi ? Takuro ? Takuro, je crois.
Normalement, les Yogo ne peuvent pas se marrier avec des membres de familles autres que Yogo dans le clan du Scorpion, c'est soit un cousin soit un samouraï d'un autre clan, et ce, afin de ne pas répandre la malédiction. :p« Pour l’instant, les accords avec le clan du Lion ont leur utilité…mais nous savons l’un et l’autre qu’à un moment pas si lointain ils deviendront caducs. Je veux qu’à ce moment-là, tu répudies ton épouse – parce qu’elle ne t’aura pas donné d’enfants, par exemple » dit-elle avec un sourire mauvais « - et que tu m’épouses, moi. »
Jocho a un rire bref et tranchant.
Tss, c'est de ça qu'elle avait peur... elle s'imagine quoi ? Que la famille Matsu survit en adoptant ? XD« La force de ta fille est la force des Matsu…L’enlever à sa destinée, c’est faire d’elle un être faible…Dès qu’elle se livrera à un homme elle perdra sa force… »
La malédiction qui venait selon toute probabilité de prendre effet.
Premier jour des Tonnerres, pas second.Il faisait allusion au deuxième jour des Tonnerres - l’expédition commune des sept Tonnerres contre Fu-Leng, dont Shosuro avait été la seule à revenir, portant le fardeau des parchemins noirs qui avaient scellé le destin du Sombre Kami.
Si je me souviens bien il est derrière Shiro Matsu, car c'est le second fils du daimyo qui prend le rôle de gardien du Hall (et qui de fait devient capable de communiquer plus activement avec les ancêtres). En outre, tout les Rokuganis peuvent communiquer avec leurs ancêtres, ils doivent juste prier devant un autel jusqu'à entrer en transe ou bien demander à un Shugenja Kitsu de l'école Sodan Senzo.Le sanctuaire lui-même était modeste ; au regard de la grandeur impressionnante du Hall des Ancêtres du clan du Lion, situé dans les terres Kitsu, j’aurais même dit insuffisant. Shosuro n’y était même pas représentée.
Le qualificatif approprié est "sans vergogne"... Perso, je suis pas fan des relations lesbiennes. Mais dis moi, Kenji a déjà lut ce passage ? Je suis sûr que son personnage en mourrait (de rire) s'il l'apprenait... Ce serait un bon moyen de s'en débarrasser...« Moi j’aime les histoires simples, et Kohime-san, là, elle a un boulot à faire. Alors c-comme il semble y avoir un intérêt c-convergent » - là il fut pris d’un soudain et incompréhensible accès de rire - « j’ai décidé de vous faciliter les choses. »
Interloquée, je me retournais vers Kohime. De quoi voulait-il parler ?
Jocho me prit par l’épaule, ainsi que Kohime.
- Alors voilà, comme je disais. Aiko, voici Kohime. Kohime, voici ma femme. Et maintenant, je vous laisse, j’ai une p-partie à terminer. »
Me laissant parfaitement éberluée, il tourna les talons et sortit en tanguant de la pièce.
Tu veux dire salace, non... ?A nouveau je ressentis ce trouble, cette sensation brûlante qui me ravageait de la tête aux pieds. Dans l’ombre des feuillages son regard mordoré, concentré, sagace, avait quelque chose d’hypnotique.
bien notéTogashi Dôgen a écrit : Tu vois que ça le fait pas
même pasJe constate que tu as lut le clan des Otori. ^^
aigüe et fouraille. En éxagérant un peu on pourrait qualifier ces fautes de frappes comme un accent typiquement Licorne...« Il n’y a pas de remède à la douleur. Il n’y a rien à faire. Il faut l’accepter, et, si on peut, en parler. Au bout d’un moment, la douleur devient moindre. Elle est toujours là, mais ce n’est plus cette lame aigue qui vous fouaille le ventre. Il faut du temps.
Seul le temps nous rend enfin à la vie.
Comme toujours avec les malédictions "subtiles". ^^En fait, il y a un prologue aux Noces, qui relate l'enfance d'Aiko, et explique l'histoire de la fameuse malédiction (dont on ne sait, au final, si elle est réelle ou si c'est de l'auto-suggestion). Mais il est posté séparément, sous le titre 'coming of age'. Cela dit, il n'est pas indispensable pour comprendre l'histoire.
Je vois lol. Tu devrais, c'est une série superbe. J'ai pensé que tu l'avais lut cas le premier nom qui vient à l'esprit d'Aiko est "Takeo", qui est le prénom du perso principal. C'est une série en 5 tome, 1 pour l'histoire du père de Takeo, 3 pour son ascension et un dernier pour la fin de son règne. La fille et l'épouse de Takeo sont des perso très intéressantes.même pas![]()
Shosuro Hyobu est juste Gouverneur de Cité, pas daimyo de la famille Shosuro (tu as tendance à parler du clan quand il est plus juste de dire famille, théoriquement ça revient au même mais c'est le vocabulaire officiel- J’ai répudié mon époux il y a deux jours, Ieyasu-sama. » Ses sourcils se levèrent dans une expression d‘incrédulité. « Le divorce a été prononcé en présence du daimyo Shosuro. Vu la dissolution du clan du Scorpion, l’approbation du clan du Lion en la personne de ma tante Matsu Tsuko-sama n’est qu’une simple formalité. »
Effectivement. Mais Daio, père de Toturi et Arasou, était d'un statut plus élevé que celui de sa femme. ^^Oui, il y a eu un cas, Akodo Daio, daimyo de la famille Akodo, est devenu Matsu Daio, en épousant la daimyo de la famille Matsu.
Mais comme dans tous les clans, si le statut de l'époux est supérieur, alors l'épouse rejoint le clan de son époux.
Oui, à ta santé.Sinon, as-tu aimé l'histoire ?
Autant pour moi, chef. ^^Sinon 'fouaille' existe bien, dixit le petit Robert. Fouailler = frapper (un animal) avec un fouet de façon répétée.
Bayushi rang 5, avec un niveau impressionnant en Kenjutsu. Honneur 1, Gloire 5.
Je me souviens aussi qu'il a clairvoyant,comme vertu.
Non, Matsu est parti avec un no-dachi (son arme favorite) et sans autres armes. C'est curieux que son daisho ne soit pas parmi les Nemuranaïs du Lion... Surtout au vu de la description de Matsu. Honorable, avec un haut rang de gloire... une des meilleures combattantes humaines de son temps (de tous les temps en fait). Ca suffit largement à éveillé plusieurs Nemuranaïs.Akodo la regarde partir. Elle s’en va sans dire un mot, n’emmenant que son katana.
Marque de l'Ombre. Hahaha ! Ca t'apprendra à investir tes XP convenablement, vile PJ.Tout l’épisode de ma dernière visite à la Cité des Mensonges s’était estompé comme un mauvais rêve.
S’il n’y avait pas eu cette tache sur mon dos, et la sensation de brûlure qu’elle me donnait quand elle était exposée aux rayons d’Amaterasu, j’aurais pu croire que tout cela n’était qu’un pur produit de mon imagination.
Ce n'est pas par ce que ce n'est pas explicitement dis que ce n'est pas le cas, Uso-san.edit: d'ailleurs, je ne crois pas qu'aucun des fondateurs des familles du Lion ait transmis son katana à ses descendants... marrant pour LE Clan de bushi.
Toh ! Aiko-san part de chez tatie pour allez voir tonton Yokuni... je prie pour qu'elle croise Toturi en chemin : comme ça on l'appellera la Louve Rouge !- Je ne sais pas. Mais ça vaut la peine de le tenter, non ? »
« Avec un peu de chance, s’ils réussissent à t’en débarrasser, ça te permettrait de pouvoir à nouveau massacrer des innocents en toute connaissance de cause. » plaisante-t-il.
« Oh bon, je retire ce que j’ai dit hier sur un possible sens de l’humour des Matsu. Ca reste très limité. »
Malgré moi je souris. Puis je lui demande :
- Sais-tu comment aller chez les ise-zumi ? »
Normalement, Satsume est mort à ce moment de l'histoire. On n'est pas exactement sûr, mais soit il meurt pendant le Coup d'Etat de Shoju soit il se fait Sepukku après (avec les Akodo... XD) par ce qu'il n'a pas sût protéger l'Empereur.Doji Satsume soupçonnait en effet que cette démarche ne soit autre qu’une nouvelle manœuvre des Lions pour mettre la main sur la deuxième ville de l’Empire - ce qui notamment n’aurait pas fait l’affaire du clan de la Grue.