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Publié : 10 juil. 2008, 08:21
par Mirumoto Ohmi
Ben a écrit :Pour donner un exemple inverse à Inigin les syndiqués chez Schneider n'ont pas tant de souci que ça et sont même vu par la directoin (tout du moins là où je bossais) comme des forces vives. Ils avaient tous des trés bons postes et n'ont jamais eu à se plaindre. Je ne sais pas par contre de quels syndicats ils faisaient partis.

Aprés ce qui est sur c'est qu'en cas de grosse crise (du genre séquestrer un directeur ou détruire son bureau) ça stoppera ta progressoin mais il ne faut pas s'attendre à autre chose en cas de vandalisme.

Par contre perso aprés j'ai un autre débat sur le syndicat, doit il être ou non apolitique ?

Perso chez nous il y a la CGT et le SNUI et je penche largement poru le 2éme qui lui est "apolitique" tout du moins bien plus que le premier.


BEn
Oui, je me disais bien aussi que tu étais aux impôts! ;) )...

Mais c'est une question historique puisqu'à l'origine le PC avait noyauté la CGT (dans les années 30 à 50-60 il me semble, mais je ne suis pas sûr...). Là où c'est difficile, c'est qu'avec la prise en charge de la politique de l'emploi, du travail et des conditions de travail par l'Etat, on se retrouve avec des syndicats qui vont devoir discuter avec les organes de l'Etat et donc, fatalement avec le(s) parti(s) au pouvoir. De là, on arrive à un mélange de l'action syndicale avec l'action politique ce qui conduit (sans nécessairement aller jusqu'au noyautage des uns par les autres) à des ententes/connivences et autres regroupement en vue d'une action plus forte et plus efficace...

Du moins c'est ce dont j'ai l'impression. Je serais curieux d'avoir des précisions sur le sujet de la part de Pénombre...

Alors Pénombre, si tu avais des précisions ou des informations à apporter.... :)

Publié : 10 juil. 2008, 08:27
par Ding On
Hé oué, les cadres se sont jamais bougés le cul qd les "privilèges" des employés et ouvriers sautaient, ben maintenant c'est leur tour et personne se bougera pour eux. La droitisation des esprits sert le vieil adage du "diviser pour mieux régner".

Publié : 10 juil. 2008, 08:40
par Kyorou
Mirumoto Ohmi a écrit :Mais c'est une question historique puisqu'à l'origine le PC avait noyauté la CGT (dans les années 30 à 50-60 il me semble, mais je ne suis pas sûr...). Là où c'est difficile, c'est qu'avec la prise en charge de la politique de l'emploi, du travail et des conditions de travail par l'Etat, on se retrouve avec des syndicats qui vont devoir discuter avec les organes de l'Etat et donc, fatalement avec le(s) parti(s) au pouvoir. De là, on arrive à un mélange de l'action syndicale avec l'action politique ce qui conduit (sans nécessairement aller jusqu'au noyautage des uns par les autres) à des ententes/connivences et autres regroupement en vue d'une action plus forte et plus efficace...
Euh... plus historiquement encore, il y avait pas un truc, genre vers le milieu-fin du 19ème Siècle, qui se serait appelé le "mouvement ouvrier" ou un truc dans le genre et qui aurait, un peu, été à l'origine des partis politiques de gauche comme des syndicats ?

Publié : 10 juil. 2008, 08:43
par Kakita Inigin
Ben a écrit :Pour donner un exemple inverse à Inigin les syndiqués chez Schneider n'ont pas tant de souci que ça et sont même vu par la directoin (tout du moins là où je bossais) comme des forces vives. Ils avaient tous des trés bons postes et n'ont jamais eu à se plaindre. Je ne sais pas par contre de quels syndicats ils faisaient partis.

Aprés ce qui est sur c'est qu'en cas de grosse crise (du genre séquestrer un directeur ou détruire son bureau) ça stoppera ta progressoin mais il ne faut pas s'attendre à autre chose en cas de vandalisme.

Par contre perso aprés j'ai un autre débat sur le syndicat, doit il être ou non apolitique ?

Perso chez nous il y a la CGT et le SNUI et je penche largement poru le 2éme qui lui est "apolitique" tout du moins bien plus que le premier.


BEn
Ca dépend aussi de ce que les syndicalistes acceptent ... bien plu que leur orga nationale.
ar eempel, dans l'imprimerie (mais c'est une exception), la CGT ets un syndicat "de discussion" avec lequel le délégué général de la FICG me diait travailler fort bien.

Par "apolitique" tu veux dire "apartisan" non ?
Pour moi un syndicat doit être politique au sens "agir pour une amélioration des conditions de travail et de vie des travailleurs". un syndicat apolitiuqepour moi c'est au mieux une coopérative et une mutuelle (ce qui est très bien en soi, c'est d'ailleurs un pb que le mutualisme et le coopérativisme se soient coupés du syndicalisme ... ou inversement), au pire une marionette.
PArtisan, ça veut dire "rattaché à un parti", organiquement ou pas.
la CGT n'est plus rattachée au PCF par exemple, ni organiquement (il fut un temps où il y avait stayutairement un repréentant du PC auy bureau national de la CGT et inversement, ce n'est plus le cas depuis des années ... il n'y a même plus de communiste au bureau de la CGT depuis quatre ou cinq ans). Que ce soit bie ou pas, ça se discute. Mais quand 90% des adhérents CGT étaient au PCF, la question ne se posait pas vraiment.

L'une des questions qui se pose de nos jours, c'est la capacité des syndicats étudiants à exister sans parti politique à côté.
la FSE est PCF.
Sud etudiants est aux mains des anars, des totos (anarchoïdes décomposés), et de la Ligue.
l'Unef est aux mains de TAG*, donc les jeunes emmanuellistes/hamonistes. Ce qui pose un pb quand ils ont aussi la Mutuelle des etudiants, l'UNL, et le MJS. Enfin le MJS c'est leur affaire (structure jeune du PS en mode autonome), mais ils importent les méthodes de contrôle par l'appareil du MJS à l'Unef ... et ça c'est pas cool. :help:

la question est encore plus embêtante pour les syndicats lycéens.
UNL (Emmanuellistes), FIDL (Drayistes), Sud Lycée (Ligue) ...

* sauf la tendance pour une unef unitaire et démocratique bien sûr, où ça n'a pas d'importance le parti ou le non-parti des gens. (En vite fait ... disons que c'est l'objectif).

Publié : 10 juil. 2008, 08:49
par Ben
Tu pourras peut être me répondre sur une interrogation, mise à part les usines de pneux, pourquoi les manifestants (pécheurs and co) brulent ils des pneux pour montrer qu'ils ne sont pas content.

Le pneu a t'il une connotation ?

C'est une question que je me suis toujours posé.


BEn

Publié : 10 juil. 2008, 08:54
par Mirumoto Ohmi
Ben a écrit :Tu pourras peut être me répondre sur une interrogation, mise à part les usines de pneux, pourquoi les manifestants (pécheurs and co) brulent ils des pneux pour montrer qu'ils ne sont pas content.

Le pneu a t'il une connotation ?

C'est une question que je me suis toujours posé.


BEn
J'ai une hypothèse qui vaut ce qu'elle vaut: au moyen-âge, quand tout le monde se chauffait au bois, on avait compris que les pneus étaient un bon moyen d'allumer le feu pour brûler les branches qui ne pouvaient être mises en bout d'un mètre dans les stères.

J'ai bon?

ar eempel
Quoi? ;)

Publié : 10 juil. 2008, 08:54
par Ben
Vite vite mater I Télé, Mr Dassault dit pas mal de conneries.
Les chinois sont plsu compétitifs que nous car ils dorment sur leur lieu de travail.

Prendre des vacances selon lui détruit la compétitivité de la France (je ne parle pas de RTT je parle de vacances !!!)

Il y a des chomeurs en France car il y a rigidité de l'emploi !!!

BEn

Publié : 10 juil. 2008, 08:55
par Shosuro Uso
Disons qu'un feu de pneus, à moins d'être aveugle et dépourvu de nez, tu ne peux pas l'ignorer.
Du coup, les grévistes y gagnent en visibilité (et en odeur).

Publié : 10 juil. 2008, 08:58
par Kakita Inigin
Ben a écrit :Tu pourras peut être me répondre sur une interrogation, mise à part les usines de pneux, pourquoi les manifestants (pécheurs and co) brulent ils des pneux pour montrer qu'ils ne sont pas content.

Le pneu a t'il une connotation ?

C'est une question que je me suis toujours posé.


BEn
Parce que des dchrges de pneu, on en trouve partout le long des côtes bretonnes ?
Aucune idée.

Publié : 10 juil. 2008, 09:11
par Kõjiro
Ding On a écrit :Hé oué, les cadres se sont jamais bougés le cul qd les "privilèges" des employés et ouvriers sautaient, ben maintenant c'est leur tour et personne se bougera pour eux. La droitisation des esprits sert le vieil adage du "diviser pour mieux régner".
Je trouve effectivement assez troublant ce qui se passe depuis qu'on attaque les "cadres". Un exemple parfait pour moi c'est ça :

Réforme du temps de travail : une "régression sociale", selon Bayrou
"C'est le premier texte qui est aussi ouvertement un texte de régression sociale. Il porte atteinte à tout, au travail y compris des cadres, aux relations de confiance qu'il pouvait y avoir entre l'Etat et les organisations syndicales"
Le premier ? Vraiment ?
Alors certes il y a une "special attack" cette fois, à savoir le fait de mépriser un accord entre les syndicat salariés et patronaux. M'enfin, ça n'a pas grand chose d'exceptionnel non plus. C'est juste que comme d'hab' la droite suit le Medef. Lequel, et c'est assez drôle, après avoir dénoncé la remise en cause d'un accord est en train d'applaudir en disant que ça ne va même pas encore assez loin dans la dérèglementation :
Laurence Parisot, la présidente du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), a estimé pour sa part qu'"il n'y a pas de quoi s'effrayer". Les 235 jours maximum, "je trouve ça très bien", a-t-elle réagi sur RTL, ajoutant qu'elle aurait "préféré" que la majorité "laisse le plafond se définir par accords de branche".
Le président de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME) a également exprimé sa satisfaction, jugeant que l'augmentation de 17 jours n'était "quand même pas redoutable pour les salariés". "On aurait pu souhaiter plus, mais je crois que ce n'est pas mauvais", a déclaré Jean-François Roubaud dans un entretien téléphonique à l'Associated Press. "Tout ce qui peut faire sauter des verrous nous paraît positif", a-t-il ajouté, rappelant que la CGPME "souscrit globalement" au projet de loi sur les 35 heures.
Bref, c'est exactement le même schéma qu'à l'habitude. Je ne vois personnellement aucune différence.

Mais Bayrou (que je prend comme exemple, il est loin d'être le seul) ajoute :
"Tous ceux qui, jusqu'à maintenant, ne voulaient pas voir ce qu'était la vraie nature de ce texte, devraient maintenant la voir : les cadres eux-mêmes vont être la cible"
Les cadres eux-mêmes ? Et alors ? On sait enfin que ce gouvernement est un gouvernement de combat, un gouvernement formaté pour éliminer le modèle social français forgé après guerre dans l'alliance entre rouge et gaullistes parce qu'aujourd'hui il s'attaque aux cadres ? Ce n'est que maintenant qu'on s'en aperçoit ? Je trouve cette réflexion assez ahurissante.

Alors il n'est pas dit que Bayrou l'ait dit façon : et oui même vous (ceux qui font ou commentent la politique notamment) vous êtes touchés. Je suis pas dans sa tête. Mais partout je vois écrit "il (le gouvernement) s'en prend même aux cadres".

Et tout d'un coup c'est la vraie régression sociale. Effarant.

Et ça par exemple c'est pas de la régressions sociale ?:

Le gouvernement va réaménager les contraintes des quotas de HLM

Et c'est pourtant pas nouveau ça. En 2005, juste après les "émeutes" la première réponse a été d'attaquer la loi SRU. Ils ont remis le couvert en 2006. L'abbé Pierre a même du aller pousser une gueulante à l'assemblée pour qu'ils renoncent.

Publié : 10 juil. 2008, 09:28
par Kakita Inigin
Montebourg s'est fait retapisser par Ayrault.
Bien, bien ...

Publié : 10 juil. 2008, 14:02
par Kõjiro
Entre l'Elysée et l'armée, la crise s'envenime.
NOUVELOBS.COM | 10.07.2008 | 13:29

INFO OBS A l'approche du 14 juillet, la crise ouverte entre le président Sarkozy et l'armée s'aggrave. Des militaires projettent de manifester bientôt à Paris. D'autres pourraient exprimer leur mécontentement le jour de la Fête nationale.

C'est la plus grave crise depuis la guerre d'Algérie", assure un militaire qui a vécu ces événements, notamment le putsch des généraux contre De Gaulle. La rupture entre l'armée française et son chef constitutionnel, le président Nicolas Sarkozy, paraît consommée. Le malaise persistant entre le chef de l'Etat et les militaires, qui avaient pourtant voté en masse pour lui, est en train de se transformer en crise ouverte. Depuis la publication en juin du nouveau Livre blanc de la Défense, le mécontentement gronde dans les rangs des troupes.

D'autant plus que, non sans raison, le président ne fait pas confiance aux investigations de la Sécurité militaire, la Direction de la Protection et de la sécurité de la Défense (DPSD), où l'on a aussi peu apprécié ce Livre blanc, pour retrouver les militaires rebelles qui avaient protesté contre certaines orientations de ce texte officiel dans une tribune anonyme signée " Surcouf " (Le Figaro du 18/06/2008).
Fait sans précédent, le Chef de l'Etat a alors demandé, selon nos informations - recoupées de sources sûres -, une enquête - non-officielle - aux policiers de l'ex-DST, la Direction de la Sûreté du territoire. La DST a récemment fondu avec les Renseignements généraux (RG) dans la DCRI, la Direction centrale du renseignement intérieur, qui a des hommes à la DPSD.
Le drame de Carcassonne du 29 juin (17 civils blessés, par accident, lors d'une démonstration militaire) a considérablement alourdi une atmosphère déjà pesante. Le Président a alors traité les militaires de l'armée de terre "d'amateurs", en présence du respecté général Bruno Cuche, le chef d'Etat-major de l'armée de terre. Celui-ci a démissionné, ce qui a provoqué de nouveaux remous au sein de l'armée.

A l'approche du 14 juillet, la tension monte encore d'un cran. Selon nos informations, la rupture entre les politiques et les militaires pourrait bientôt se matérialiser par une "fête nationale anticipée" de protestation de militaires de réserve et à la retraite. Ces militaires entendent protester contre la présence au défilé militaire du 14 juillet du président syrien Bachar Al-Assad, auquel ils seront obligés de rendre les honneurs. "Une insulte à nos morts", selon l'expression d'anciens combattants. Car, il y a tout juste 25 ans, 58 parachutistes français du poste Drakkar étaient tués en 1983 à Beyrouth dans un attentat télécommandé par le régime syrien. Alors ces "protestataires en kaki" veulent déposer une gerbe sur la tombe du soldat inconnu, notamment à la mémoire de ces paras. Puis ils voudraient défiler sur les Champs Elysées jusqu'à la Place de la Concorde pour rendre les honneurs à un Président absent.

Pour le "véritable" défilé du 14 juillet, des incidents ne sont pas à exclure. Des anciens soldats des opérations extérieures (OPEX) ont comme projet d'arborer, en signe de protestation, un brassard noir. Pire : des militaires, qui doivent participer au défilé, envisagent de faire un geste de mécontentement. Certains penseraient à tourner la tête, non pas vers la tribune officielle, où se trouveront les Présidents Sarkozy et Al-Assad, mais dans le sens opposé. Notamment, les futurs officiers de la promotion de Saint Cyr, baptisée "Lieutenant Antoine de la Batie". Un brillant officier mort, à 28 ans, lors de l'attentat de Drakkar.

Jean-Baptiste Naudet

Publié : 10 juil. 2008, 14:09
par Moto Shikizu
si meme des deputes UMP s'en offusquent !!
Un rapport parlementaire sur la politique française en Afrique fait des remous à l'Assemblée Nationale

"Réfléchir à d'éventuelles inflexions sur les objectifs" de la politique africaine de la France, tel était l'objectif de la mission d'information sur la politique française en Afrique établie en juillet 2007 par la commission des affaires étrangères de l'Assemblée nationale.


Un an après la création de cette cellule, Renaud Dutreil (UMP), son rapporteur, a présenté, mercredi 9 juillet, ses recommandations. Mais celles-ci, compilées dans un rapport parlementaire, qui devait être publié mercredi, n'ont pas été validées par les membres de la mission. Un certain nombre de députés, et en premier lieu Jean-Louis Christ, président de la mission d'information et député UMP du Rhin, ont en effet reproché à ce texte d'aborder la politique africaine de la France sous un angle exclusivement "mercantile", oublieux des droits de l'homme.



"Dans ses conclusions, ce rapport a complètement occulté l'humanisme. Or, il est important que l'équilibre soit trouvé entre économie et humanisme. Les attentes des Africains par rapport à la France sont énormes en termes de droits de l'homme, de bonne gouvernance", a expliqué Jean-Louis Christ à l'AFP. Ce texte"donne l'impression qu'il y a une sorte d'abandon des ambitions françaises en terme de droits de l'homme, de solidarité internationale, de démocratie, de lutte contre la pauvreté", a-t-il poursuivi. Et d'ajouter, dans un entretien accordé mercredi au JDD.fr : "Pour un parlementaire, ce n'est pas acceptable."


En ces circonstances, le rapport qui devait être présenté la semaine prochaine devant la commission des affaires étrangères de l'Assemblée le sera dans six mois, en décembre ou janvier. D'ici là, les travaux de la mission se poursuivront, afin de "faire de meilleures préconisations", selon les termes de Jean-Louis Christ. "Il en va de la crédibilité de notre mission", a-t-il ainsi expliqué au JDD.fr.

Le député PS François Loncle a qualifié de "très courageuse et très pertinente" l'attitude de M. Christ. "C'est quand même peu commun que le président de la mission et le rapporteur, de la même formation politique, soient en désaccord", a-t-il tenu à souligner.


Ce rapport, qui constate le "retard" pris par la France dans la région en termes de présence économique, rappelle les positions prises dans ce domaine par le secrétaire d'Etat à la coopération, Alain Joyandet. Dans un entretien à Libération, celui-ci avait récemment déclaré :"Il faut renforcer l'influence de la France, ses parts de marché, ses entreprises. Ne pas avoir peur de dire aux Africains qu'on veut les aider, mais qu'on veut aussi que cela nous rapporte."

Publié : 10 juil. 2008, 18:29
par Pénombre
Moto Shikizu a écrit :
Ce texte"donne l'impression qu'il y a une sorte d'abandon des ambitions françaises en terme de droits de l'homme, de solidarité internationale, de démocratie, de lutte contre la pauvreté", a-t-il poursuivi. Et d'ajouter, dans un entretien accordé mercredi au JDD.fr : "Pour un parlementaire, ce n'est pas acceptable."
c'est marrant, quand je vois :
- le ministère de l'immigration, sa chasse à l'immigré et sa stigmatisation du français qui viole la loi en aidant les vilains clandestins
- le "on aime pas votre manière de gérer votre pays en vous en mettant plein les poches au détriment de populations vissées mais on est toujours prèt à vous vendre des Rafale ou des centrales nucléaires"
- le "bon, vous êtes de vilains chinois mais c'est pas gràve, on fera d'autres calins à Khadafi qui ne vaut pas mieux"
- et enfin la tentative française d'harmoniser l'immigration européenne dans le sens de "plus restrictif, plus mercantile, plus n'importe quoi de toute manière comme toutes les politiques du même genre déjà menées l'ont prouvée."

moi, ça faisait déjà un moment que j'avais comme qui dirait l'impression que les droits de l'homme, la solidarité internationale, la démocratie et la solidarité, en matière de relations avec le reste du monde, on était mal placés pour en parler

Publié : 10 juil. 2008, 18:56
par Moto Shikizu
juste pour dire que je ne suis pas parlementaire et que les propos cites sous mon nom par Penombre sont de Jean-Louis Christ... :lire: