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Publié : 24 nov. 2006, 08:46
par Mirumoto Ohmi
Elle, en revanche, ne m’a pas compris. Si elle avait eu autant de respect pour moi que j’en avais pour elle, elle ne se serait pas rebellée, elle m’aurait aidé.
Après tout, sa tâche était facile.
Il lui suffisait de suivre la voie montrée par ses pères, ce code qu’ils ont été jusqu’à graver – par crainte de l’oublier ? – sur le fourreau des sabres que j’ai lancés dans les flammes. Trois caractères presque effacés qui ont terminé dans le brasier leur brève existence: Devoir, Honneur, Commandement.
Excuse-moi chère Aïko, mais j'ai un peu de mal avec ce passage: s'agit-il au final de quelqu'un qui connais le bushido mais n'a pas fait sienne ces commandements, ou de quelqu'un qui cherche à comprendre ce que c'est car n'ayant pas "baigné dedans"?
En d'autre terme: il souhaite découvrir ce que c'est ou alors le connait-il déjà et veut-il être convaincu que c'est une bonne chose pour lui?
Un autre point gênant (à mon sens, note bien), c'est la façon dont il parle des samouraï ennemis... Cf "le" crabe ou "le" grue... Je vais sans doute me faire taper dessus en disant cela, mais ce genre de terme fait "rôliste" et je crois qu'ils n'ont pas leur place dans la narration d'une histoire.
En revanche le sujet est très intéressant.
Ohmi, bushi casse-pieds qui-sait-tout-mieux-que-tout-le-monde-et qui-ferait-mieux-que-tout-le-monde-si-il-faisait-mais-qui-ne-fera-pas-quand-même.
Désolé Aïko, tu rédiges de toute façon de très bons récits (et tu n'as peut-être pas un caractère de lionne, mais vu l'état dans lequel était ton mari la dernière fois que je l'ai vu, je me pose de légitimes questions sur ce qui lui est arrivé

)
Publié : 24 nov. 2006, 09:47
par matsu aiko
Mirumoto Ohmi a écrit :[
Elle, en revanche, ne m’a pas compris. Si elle avait eu autant de respect pour moi que j’en avais pour elle, elle ne se serait pas rebellée, elle m’aurait aidé.
Après tout, sa tâche était facile.
Il lui suffisait de suivre la voie montrée par ses pères, ce code qu’ils ont été jusqu’à graver – par crainte de l’oublier ? – sur le fourreau des sabres que j’ai lancés dans les flammes. Trois caractères presque effacés qui ont terminé dans le brasier leur brève existence: Devoir, Honneur, Commandement.
Excuse-moi chère Aïko, mais j'ai un peu de mal avec ce passage: s'agit-il au final de quelqu'un qui connais le bushido mais n'a pas fait sienne ces commandements, ou de quelqu'un qui cherche à comprendre ce que c'est car n'ayant pas "baigné dedans"?
En d'autre terme: il souhaite découvrir ce que c'est ou alors le connait-il déjà et veut-il être convaincu que c'est une bonne chose pour lui?
ah, je suppose que mon texte manque de clarté sur la personne concernée. Ce que je voulais dire, c'est que l'akutenshi trouve que la rônin a eu la tâche facile en ce qui concerne la conduite à tenir, parce que elle, on lui a injecté de naissance ce qu'est le bushido, et qu'elle a eu les exemples de ses ancêtres pour la guider. C'est pourquoi il est un chouia sarcastique. Lui, il n'a pas de guide.
Un autre point gênant (à mon sens, note bien), c'est la façon dont il parle des samouraï ennemis... Cf "le" crabe ou "le" grue... Je vais sans doute me faire taper dessus en disant cela, mais ce genre de terme fait "rôliste" et je crois qu'ils n'ont pas leur place dans la narration d'une histoire.
bonne remarque. Je rectifie. Mauvaise habitude.
En revanche le sujet est très intéressant.
Ohmi, bushi casse-pieds qui-sait-tout-mieux-que-tout-le-monde-et qui-ferait-mieux-que-tout-le-monde-si-il-faisait-mais-qui-ne-fera-pas-quand-même.
Désolé Aïko, tu rédiges de toute façon de très bons récits (et tu n'as peut-être pas un caractère de lionne, mais vu l'état dans lequel était ton mari la dernière fois que je l'ai vu, je me pose de légitimes questions sur ce qui lui est arrivé

)
Pas de quoi être désolé
Comme dit plus haut, c'est grâce à vos critiques que je progresse.

Publié : 24 nov. 2006, 10:48
par Mirumoto Ohmi
ah, je suppose que mon texte manque de clarté sur la personne concernée. Ce que je voulais dire, c'est que l'akutenshi trouve que la rônin a eu la tâche facile en ce qui concerne la conduite à tenir, parce que elle, on lui a injecté de naissance ce qu'est le bushido, et qu'elle a eu les exemples de ses ancêtres pour la guider. C'est pourquoi il est un chouia sarcastique. Lui, il n'a pas de guide.
Oui, je vois ce que tu veux dire mais... Ah, c'est vrai que c'est pas facile à présenter clairement! Si tu ignores totalement l'existence ou le fonctionnement de quelque chose, tu n'as guère de raisons de vouloir, ou en tout cas d'être jaloux de ce qu'ont ou que sont les autres... Et si c'est le cas, tu peux toujours essayer de changer. Dans son cas on a l'impression qu'il est jaloux de quelque chose qu'il pourrait avoir en tendant la main (là je sais: je force le trait!!!) mais en même temps il refuse de tendre la main.
Un peu comme si je te disais: "toi, tu es gentille mais tes parents l'était alors c'est facile! Moi mes parents étaient méchants et c'est pour ça que je le suis!"... Mais de tentatives pour changer, nulle trace...
Je suis un peu lourd, mais ça se veut constructif! En outre j'ai forcé sur le nombre de "que"!:lol:

, et j'insiste c'est très bien (c'est pas parce que je suis à côté de mes pompes que c'est pas bien voyons!)!
Publié : 24 nov. 2006, 10:54
par Tetsuo
Il ne cherche pas à changer, il cherche d'autres comme lui : des serviteurs du mal et non pas des être esclaves de leurs désirs et de leur peurs.
Publié : 24 nov. 2006, 11:03
par Kyorou
Mmmmh, je dirais pas ça. Je dirais plutôt que, de manière bien nietzschéenne, il se cherche un système de valeurs auxquelles il pourrait croire et qui lui donnerait une place, un rôle, et qui ferait que son existence ait un sens, histoire de n'être pas simplement un être cynique et désabusé de plus.
Alors il essaie de prendre ce qu'il peut du Bushido, lequel n'est, malheureusement pour lui, pas entièrement applicable à sa situation.
Publié : 24 nov. 2006, 12:57
par matsu aiko
@ Ohmi et Kyorou : mon avis est plus proche de celui de Kyorou.
Les samouraï de l'empire ont l'avantage d'avoir des voies toutes prêtes (le bushido, le tao, la façon dont chaque clan définit sa voie). Mais comme le dit Pénombre, l'akutenshi est le serviteur du dieu du mal, et son objectif est de devenir plus parfaitement ce qu'il est. Ce qui implique un système de valeurs, un code, nécessairement différent de celui des samouraï de l'Empire. Le respect peut en faire partie mais pas nécessairement la compassion, par exemple.
La quête est commune (c'est une aspiration spirituelle), et en tant que telle les cheminements peuvent être parallèles, mais la cible à atteindre est nécessairement différente.
Ce que je pense aussi c'est que même quelqu'un qui n'a pas une expérience directe de quelque chose peut avoir des aspirations, un besoin d'autre chose, pas nécessairement défini. Une bonne partie de l'expérience de la vie consiste d'ailleurs à trouver ce que l'on veut. C'est comme ça que des hommes d'affaires se transforment en gourous, ou des cols bleus en magnats de la finance

Publié : 24 nov. 2006, 13:45
par Mirumoto Ohmi
Ca y est, j'ai enfin capté: il ne cherche pas à changer de voie mais à se perfectionner dans la sienne en utilisans des éléments d'autres domaines (exemple du bushido...) pour y arriver!
Bon, ben j'avais tout faux, désolé!

Publié : 24 nov. 2006, 13:48
par Pénombre
je vais faire une petite comparaison en miroir si vous voulez bien :
- d'un côté, on a un pauvre gosse qui a été élevé du mauvais côté du mur, qu'on a gavé jusqu'aux oreilles de souillure et qui a vécu parmi les gobelins et les oni. Lorsqu'il s'est retrouvé un beau matin avec un pouvoir colossal, il a comme on peut le supposer méchamment déliré avec... jusqu'à ce que finalement il se rende compte que cela ne suffisait pas. Qu'il était possible qu'il soit plus non pas par sa puissance mais par sa manière de l'utiliser. Et il a vu des humains qui étaient bien plus fragiles que lui mais qui ne reculaient pas face à la mort, alors qu'on ne peut pas dire que tous les oni par exemple soient forcément d'un courage appréciable... ou que les gobelins soient assez subtils pour réaliser les risques qu'ils prennent parfois. Il a vu une force d'âme que les êtres venus du jigoku n'avaient pas. Et il s'est servi des armes de l'adversaire contre lui. Il a très bien compris, parce qu'il était passé par là aussi, que malgré leur vulnérabilité, ces humains étaient dignes de respect. Surtout par rapport au reste de la population de l'outremonde. Vous remarquerez au passage qu'il ne les méprise pas tant qu'il méprise les humains assez veules, crédules, faibles ou égoistes pour se laisser corrompre. Il sait que oni, gobelins et morts-vivants ne font que suivre leur nature, tout comme il suit sa destinée qui a voulu qu'il naisse ici et soit embrasé par le sang de son maitre. Alors que les ambitieux, les jaloux et les faibles venus de l'Empire...
- de l'autre côté, on a un empire qui en 12 siècles d'histoire n'a même pas été foutu de remettre en cause ses traditions les plus iniques. Oui, Shinsei a promis la possibilité d'illumination à tous et le système féodal rokugani repose sur la protection que les samurai accordent au reste de la population. Combien de gens s'en souviennent quand ils jettent leurs ordures aux eta ? combien de pjs s'en souviennent quand ils voient un paysan trembler de peur devant eux ? cet empire de lumière lorsqu'il n'est pas confronté à son ennemi ultime, que devient-il ? il passe son temps à s'entredéchirer pour des rivalités futiles, des querelles de bac à sable, alors que les gens adhèrent à la forme de leurs valeurs morales mais que leur adhésion n'est dans le fond qu'apparence, vide de sens chez nombre d'entres eux. Combien de scorpions sont à la hauteur des sacrifices de Bayushi ? Que seraient les crabes sans l'outremonde ? combien de Grues font passer leurs caprices de prima donna avant les nécessités de leur devoir ? combien de lions se jettent droit sur la mort par fierté égoiste alors qu'akodo lui-même leur disait "combat pour survivre car en vivant tu peux servir, mais tiens toi prèt à mourir ?" combien de Phénix se réfugient derrière leur vertu de pacotille et leur pacifisme hypocrite alors que leur orgueil les pousse à renier le fait que les autres puissent avoir leur sagesse ? combien de Dragons s'enorgueillissent de traditions militaires millénaires qu'ils n'utilisent jamais ? combien de licornes se jouent des autres avec leur exotisme volontairement entretenu et leur contrebande onéreuse alors qu'ils auraient tant de choses plus intéressantes et moins choquantes à proposer à une nation d'idiots isolationnistes ?
si vraiment l'illumination commence par changer de point de vue, qui en est le plus éloigné ?
- un empire sans ennemi extérieur à part l'outremonde, dont la caste dirigeante en mille ans n'a rien pu offrir de mieux matériellement et spirituellement à ses habitants que ce que lui offraient ses fondateurs ?
- ou un homme qui vit parmi les bêtes et les monstres et sait reconnaitre les mérites de gens qui eux-mêmes seraient pour la plupart incapables d'en faire autant avec leurs pareils, tant ils préfèrent se nourrir de haine, de fierté et d'orgueil ?
alors, qui est le plus l'esclave des circonstances de sa naissance ? qui est le plus responsable de mots comme orgueil, luxure, jalousie, mensonge, obscurantisme, égoisme ? ceux qui sont nés avec parce que c'est le rôle qui leur a été attribué ou ceux qui prétendent valoir mieux que cela ?
en vérité, qui est responsable ? celui qui a choisi de faire au mieux avec ce qu'il a eu en naissant dans la fange, sans éprouver de regret, ou ceux qui sont fiers de noms prestigieux dont ils n'ont fait qu'hériter et qui préfèrent entretenir des haines de gosses gatés quand l'ennemi frappe à leur porte et qu'on leur demande d'agir en sujets responsables de leur nation ?
Publié : 24 nov. 2006, 14:31
par Kyorou
Je suis tout à fait d'accord avec toi, Pénombre, si ce n'est que les qualités que tu mets en avant chez l'Akutenshi sont aussi, comment dire, normatives que le comportement des Rokugani ?
Respecter son ennemi, c'est un comportement généralement considéré comme valorisant. Mais ça implique de décider arbitrairement si l'ennemi est digne de respect en fonction de normes et de valeurs, le plus souvent transmises à son propre insu.
Ce qui est considéré comme étant le Bien et le Mal repose essentiellement sur les normes sociales. La morale Rokugani dit que mépriser les Eta, c'est normal. En conséquence, le samouraï qui s'abaissera pour leur laver les pieds (pour prendre un exemple tout à fait au hasard) passera pour, au mieux, un débile léger. Et il le sera effectivement, à moins qu'il n'existe des valeurs universelles préexistant aux normes sociales. Ce qui est ce à quoi croient encore pas mal de gens dans notre monde. Pas à Rokugan. Le Bien et le Mal sont ce que l'Ordre Céleste dit qu'ils sont. Point barre.
Dès lors (on arrive quelque part, rassurez-vous), le mépris que l'Akutenshi a pour les samouraïs corrompus qui l'entoure me semble assez peu justifié dans la mesure où, en retournant le miroir Pénombrien, on a :
-un Akutenshi à la recherche d'un système de valeur dans lequel croire. Il cherche sa place dans le monde, et tant qu'à faire, il essaie de chopper des éléments de réponse dans la culture rokugani.
-des samouraïs corrompus. Pourquoi corrompus ? Parce que, pour réaliser certains objectifs, inspirés directement de la morale rokugani (par exemple : le pouvoir, l'amour, la gloire...), ils ont voulu prendre un raccourci, qui les a menés à la damnation.
Dans les deux cas, c'est la situation de départ qui va déterminer leur démarche. Sur le plan de la recherche de soi, l'Akutenshi part avantagé dans la mesure où sa situation ne lui fournit pas de réponses satisfaisante à ses questions existentielles. Par contre, à moins d'accéder à l'Illumination, sa quête sera vaine (il a plutôt toutes les chances de finir défoncé par un Crabe plus bourrin que la moyenne ou liquidé par un Iznogoud quelconque).
Les samouraïs déchus ont au moins l'avantage de connaître leur place. L'Akutenshi a donc plus de raison de les envier que de les mépriser. Même chose pour le Rokugani moyen : sa culture lui fournit les réponses à ses questions.
Donc, mon conseil à l'Akutenshi : franchir le Mur et faire l'escalade de la Montagne Togashi histoire de voir s'il y a là quelque chose pour lui. A mon avis, il part avantagé.
Et, oui, je suis un nihiliste impénitent.
Publié : 24 nov. 2006, 15:01
par Pénombre
je pense que tu devrais relire mon texte Kyorou
en particulier ce passage là :
Les autres humains de notre troupe eux sont des faibles, qui ont succombé à des mensonges et des promesses dont il était pourtant évident qu'elles étaient creuses. Je les aurai volontiers échangés tous contre un seul guerrier du Crabe déchu, un seul samurai intègre mais dont la volonté ne pouvait suffire face au Seigneur du Mal.
Il faut que je recrute de vrais guerriers, des gens qui souffrent non pas de leur égoiste faiblesse mais de la terrifiante douleur du conflit entre ce qu'ils voudraient être et ce que le Jigoku a fait d'eux.
ce ne sont pas les samurai en général qu'il respecte, ce sont les samurai
qui se comportent comme tels
pourquoi ? parce que comme lui, il tentent de faire ce qu'on attend d'eux malgré le prix que cela suppose.
lorsque tu es un samurai du Crabe, victime de la souillure à cause de l'environnement, ou d'une blessure, même si les idiots loin du Mur pensent que tu mérites ton sort, ton clan lui fait très bien la différence entre toi et un maho-tsukai. C'est pour ça que tu restes samurai, ou que tu deviens un Damné alors que le tsukai, lui, il ne devient qu'un cadavre...
notre Akutenshi apprécie bien plus les gens qui tentent d'accomplir leur devoir malgré les circonstances, que ceux qui se jettent dans les bras de l'outremonde pour satisfaire leurs illusions.
en termes plus crus : plus tu lui résistes, plus il t'estime. Car il apprécie que tu ne transiges pas avec la facilité. Même et surtout si tu sais que tu as perdu d'avance. C'est ça être samurai : faire ce qu'il faut parce qu'il le faut, et tant pis pour le reste.
oui, c'est un sens des valeurs un peu tordu. Et alors ? c'est un type qui a du passer deux ou trois existences humaines plongé dans le Puit Suppurant, livré aux attentions de son maitre et qui en est ressorti forgé, et non brisé. Forgé, déformé, transformé mais bien au delà de ce que l'on attendait de lui.
n'est-il pas intéressant d'avoir affaire au serviteur du mal par excellence, pour changer ? quelqu'un qui n'a rien à y gagner, aucun vieux compte à solder, aucune jalousie, rien à regretter. Il n'en veut même pas à ses parents en plus. Il considère que c'est sa destinée et qu'il doit faire de son mieux pour servir son maitre. Un maitre dont il dit lui-même qu'il ne l'estime pas.
n'est ce pas cela être un samurai ? laisser son devoir l'emporter sur les passions, les désirs et les illusions de l'existence ?
et n'est-il pas normal alors que quelqu'un qui tente de vivre ainsi respecte ceux parmi ses adversaires qui ne se contentent pas de faire semblant mais tentent d'agir de même ?
Publié : 24 nov. 2006, 15:09
par Kyorou
Je suis d'accord avec toi, Pénombre, mais, là, je parlais plutôt de l'Akutenshi du texte d'Aiko, Akutenshi qui semble davantage en quête de réponses.
Publié : 24 nov. 2006, 15:14
par Pénombre
c'est clair
comme le dit Aiko, elle aime les personnages torturés (et donc, elle aime torturer les personnages dont elle est l'auteur

)
au fait, Aiko, puisqu'on est dans ton topic, à part Plusieurs, tu as prévu d'autres trucs concernant ton homonyme ?
Publié : 24 nov. 2006, 17:05
par matsu aiko
Non...ah, il y a aussi la fin du texte avec Marumoto, si j'arrive à le finir...mais les aventures de Plusieurs sont le seul gros morceau.
Tu as des idées ?

Publié : 26 nov. 2006, 22:51
par matsu aiko
bon, petites modifs de style effectuées pour la suite de Bushido

Publié : 27 nov. 2006, 08:12
par Pénombre
Tu as des idées ?
pas particulièrement, je demandais par curiosité
