La Voix De Rokugan

la peur engendre l'inattention
l'inattention engendre l'erreur
l'erreur engendre le turnover
le turnover engendre la peur

moralité : microsoft n'est pas prèt de nous vendre un truc qui marche

Si.
leur société, ça marche du feu de dieu (surtout le département réparation)

Pénombre a écrit :moralité : microsoft n'est pas prèt de nous vendre un truc qui marche

Comme on dit, le jour où Microsoft vendra un truc qui plante pas, ce sera un clou

Otaku Mikoshi a écrit :

Pénombre a écrit :moralité : microsoft n'est pas prèt de nous vendre un truc qui marche

Comme on dit, le jour où Microsoft vendra un truc qui plante pas, ce sera un clou

bon résumé, j'approuve.

[url=ttp://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/europe/20070618.OBS2368/traite_simplifie__les_europeenssouhaitent_un_referendum.html]Lien, article Nouvel Obs.[/url]

Traité simplifié : les Européens souhaitent un référendum

NOUVELOBS.COM | 18.06.2007 | 10:21

Selon un sondage, une forte majorité de Britanniques, Français, Allemands, Italiens et Espagnols souhaitent un référendum sur le traité simplifié de l'Union européenne.

Une forte majorité d'habitants en Espagne, Allemagne, Grande-Bretagne, Italie et France souhaite un référendum sur le traité simplifié de l'Union européenne, selon un sondage publié lundi 18 juin par le Financial Times. 75% des Espagnols, 71% des Allemands, 69% des Britanniques, 68% des Italiens et 64% des Français estiment que le nouveau traité examiné lors du prochain sommet européen doit être soumis au vote populaire, indique le sondage, réalisé par l'institut Harris Interactive pour le quotidien économique britannique. En revanche, les personnes interrogées sont hostiles à l'idée d'avoir un président de l'Union européenne "à plein temps" à la place d'une présidence tournante de six mois, comme c'est le cas actuellement. Seuls 46% des Européens en moyenne y sont favorables, dont 14% en Grande-Bretagne et 54% en Espagne.
La proposition d'un ministre des Affaires étrangères de l'UE est mieux accueillie, avec 77% d'avis favorables.

Contre l'entrée de la Turquie

Un élargissement de l'Union européenne n'est pas encouragé par les personnes sondées. Ainsi l'adhésion de la Turquie à l'Union est rejetée par 71% des Français et 66% des Allemands.
Pour réaliser son sondage, Harris Interactive a interrogé 1.025 Britanniques, 1.014 Allemands, 1.012 Français, 1.090 Italiens et 1.010 Espagnols via Internet entre le 31 mai et le 12 juin.

Lien, article Nouvel Obs.

Expertisé par Bercy en 2004, la hausse de la TVA était contestée

NOUVELOBS.COM | 17.06.2007 | 18:10

Des économistes avaient jugé que l'augmentation de la TVA entraînerait une forte inflation, dans une étude commandée par Bercy à l'époque de Nicolas Sarkozy.

Selon le Journal du Dimanche du 17 juin, le ministère de l'Economie et des Finances avait simulé l'impact de l'instauration d'une TVA sociale trois ans auparavant, quand Nicolas Sarkozy était à sa tête. Une des constatations était l'"accélération de l'inflation".

L'expertise, commandée par la Commission des finances du Sénat, montrait qu'avec une hausse de la TVA de quatre points, même alliée à "une diminution équivalente des charges, provoquerait une nette accélération des prix pendant au moins deux ans", écrit le journal.

Alors que les prix augmentent en moyenne de 1,1% par an, le taux d'inflation pourrait "plus que doublé", pour atteindre 2,4%, avec une augmentation de la TVA. La hausse de l'inflation pèserait "sur le pouvoir d'achat et freinerait la croissance économique", et même si elle permettrait par ailleurs de créer des emplois.

Sarkozy était contre

Cette simulation datant de 2004 ferait encore hésiter le gouvernement actuel sur l'opportunité de la mesure. Doute renforcé par l'avis de la Chambre de commerce de Paris, à qui une évaluation avait aussi été demandée : les économistes étaient encore plus négatifs. Ils prévoyaient une baisse du pouvoir d'achat deux fois plus importante que celle annoncée dans le premier rapport.

L'hebdomadaire dominical ajoute que Nicolas Sarkozy avait clairement rejeté l'idée d'appliquer une TVA sociale, lors d'une audition à la Commission des finances du Sénat, le 4 mai 2004. Il aurait affirmé que ce dispositif "irait à l'encontre de la construction européenne", qui tente d'harmoniser les taux, et serait "problématique pour la compétitivité française", compte tenu de l'inflation engendrée.

Traité simplifié : les Européens souhaitent un référendum

Alors là, ils peuvent se le...

De quoi? le traité ou le référendum? ça prend pas la meme place dans les fesses.

Kõjiro a écrit :Lien, article Nouvel Obs.

Expertisé par Bercy en 2004, la hausse de la TVA était contestée

NOUVELOBS.COM | 17.06.2007 | 18:10

Des économistes avaient jugé que l'augmentation de la TVA entraînerait une forte inflation, dans une étude commandée par Bercy à l'époque de Nicolas Sarkozy.

Selon le Journal du Dimanche du 17 juin, le ministère de l'Economie et des Finances avait simulé l'impact de l'instauration d'une TVA sociale trois ans auparavant, quand Nicolas Sarkozy était à sa tête. Une des constatations était l'"accélération de l'inflation".

L'expertise, commandée par la Commission des finances du Sénat, montrait qu'avec une hausse de la TVA de quatre points, même alliée à "une diminution équivalente des charges, provoquerait une nette accélération des prix pendant au moins deux ans", écrit le journal.

Alors que les prix augmentent en moyenne de 1,1% par an, le taux d'inflation pourrait "plus que doublé", pour atteindre 2,4%, avec une augmentation de la TVA. La hausse de l'inflation pèserait "sur le pouvoir d'achat et freinerait la croissance économique", et même si elle permettrait par ailleurs de créer des emplois.

Sarkozy était contre

Cette simulation datant de 2004 ferait encore hésiter le gouvernement actuel sur l'opportunité de la mesure. Doute renforcé par l'avis de la Chambre de commerce de Paris, à qui une évaluation avait aussi été demandée : les économistes étaient encore plus négatifs. Ils prévoyaient une baisse du pouvoir d'achat deux fois plus importante que celle annoncée dans le premier rapport.

L'hebdomadaire dominical ajoute que Nicolas Sarkozy avait clairement rejeté l'idée d'appliquer une TVA sociale, lors d'une audition à la Commission des finances du Sénat, le 4 mai 2004. Il aurait affirmé que ce dispositif "irait à l'encontre de la construction européenne", qui tente d'harmoniser les taux, et serait "problématique pour la compétitivité française", compte tenu de l'inflation engendrée.

c'est je suppose le même genre de géométrie variable que celle de M. Sarkozy président de la république qui dit "il faut travailler plus pour gagner plus" alors que M. Sarkozy deux fois ministre de l'intérieur n'a jamais dit un mot public sur tous ses fidèles policiers gradés qui ont des montagnes d'heures supplémentaires non rétribuées en retard... depuis 1998

ça promet, les cinq ans à venir...

Je crois que la formule exacte était "Travailler plus pour ne pas se faire virer au profit d'un type plus désespéré et plus servile". Ou alors je me trompe...

Quand on pense que l'objectif du traité simplifié c'est d'éviter un référendum (Sarko est un k... !) ... mais bon si les politiques suivaieznt l'opinion ...

Par ailleurs Carignon, Juppé et Klarsfeld ont été battus.
(Dommage pour Juppé qui ne l'avait pas mérité ... enfin moins que les deux autres)

Inigin, pas si mécontent.

A propos du Traité simplifié :
1/ sa simplification a pour finalité de mettre en place ce sur quoi il existe un consensus au niveau des dirigeants (les répartitions de votes, etc. où tous sont d'accord sur la nécessité de remise à plat)
2/ le vote par l'Assemblée nationale d'un traité devait normalement s'opérer dans deux cas de figures :
* c'est un traité ou une convention internationale trop technique et nécessite une expertise pour être compris(e) [c'était le cas en réalité du précédent traité sur lequel même des doctorants en droit européen n'était pas d'accord]
* c'est un traité ou une convention internationale de faible importance.
Autrement, c'est le référendum qui devrait être employé (en France). Si le traité est simple, il est intelligible et on peut en discuter. Pas de peur à avoir du peuple.
Si ce n'est qu'une formalité, alors pourquoi en faire tout un plat?
Le problème, ce qui me gène le plus fortement dans mon esprit de juriste démocrate, c'est le parallélisme des formes (la procédure de validation doit être au moins identique, si ce n'est supérieure). S'il a été rejeté par référendum, il faut un référendum pour le valider par la suite.
J'ai beau être pro-europe, il n'y a rien qui me débecte autant que ceux qui sont prêt à accepter n'importe quoi pour se donner bonne conscience sur ce sujet.

A propos des élections :
* Pour les 3 départements que j'ai surveillé, je n'ai eu que deux surprises, c'était les réussites aussi franches du PS dans des coins contestés (mais pour la 1° circonscription de Seine-Maritime, j'étais surpris du score du premier tour...) En gros, on s'était bien fait bourré le mou par les journaux car une simple analyse arithmétique de report de voix me donnait exactement les résultats obtenus, dès le premier tour... Y'a des baffes qui se perdent!
* pour Juppé, c'est tout un symbole. Ancien premier ministre, numéro 2 du gouvernement, à la tête d'une super-ministère écologique, lui qui affirmait avoir acquis cette fibre. Qui pour le remplacer? C'est mission impossible pour obtenir un équivalent. Le symbole est extrement important. J'aurais préféré voir Fillon chuter, mais c'était impossible... Delaunay aura l'étiquette de celle qui a fait tomber Juppé collée à vie. Ca la met en bonne posture pour avoir (enfin?!) la mairie de Bordeaux. Bon, par contre, j'avoue que pour la personne de Juppé, ça doit faire mal, très mal. Il envisagerait de partir en retraire à Venise, ai-je entendu.
* Y'a des gens qui n'ont pas été élus, d'autre de justesse... Au PS, l'entourage "stratégique" de Ségolène est écrasé. Montebourg de justesse (50,5), mais il est déjà isolé. Chevènement éliminé. Peillon aussi (pourtant pressenti avant pour prendre la direction du PS en tant que bras armé de Ségolène). De l'autre coté, quelques proches de Sarko se sont fait éliminer comme Klarsfeld. Le résultat des urnes demeure important.

JBeuh, qui trouve la manipulation actuelle assez préoccupante...

Même point de vue sur le traité "simplifié".

Toutefois il semble que même sur des points techniques assez "simples" il y a un problème d'entente entre les pays membres... Faudrait que je retrouve les articles que j'ai lu à ce sujet.

Sarkozy fait le forcing pour convaincre les différents chefs d'états mais des fois je me dis qu'il serait prêt à n'importe quoi pour pouvoir dire "c'est moi qui l'ai fait !"

personnellement, M. Juppé, ci-devant premier ministre et partisan fervent des 42 ans de cotisations pour la retraite (en 95 et en 2003) auquel il s'est bien gardé personnellement de participer (retraite à 57 ans avec à peine 30 annuités théoriques comme inspecteur des finances, profession qu'il n'a officiellement exercé à plein temps que de 1972 à 1976...) ne me manquera pas du tout, mais alors vraiment pas

indépendamment de tout ce qu'on peut lui trouver comme qualités ou défauts en tant qu'homme public et président de l'UMP, en voilà bien un qui est représentatif de la droite attachée à ses privilèges et qui a été bien content de bouffer à la soupe publique (inspecteur des finances...) tout en organisant la casse du fonctionnariat

attention, il n'est pas forcément ni meilleur ni pire que d'autres, mais en tant qu'individu il est très symptomatique d'une certaine conception de la politique et de l'état qui me donne assez envie de vomir

Kõjiro a écrit :Sarkozy fait le forcing pour convaincre les différents chefs d'états mais des fois je me dis qu'il serait prêt à n'importe quoi pour pouvoir dire "c'est moi qui l'ai fait !"

Ouaip. Ce qui est assez énervant, c'est que les media Français occultent le rôle joué par Merkel dans le processus de relance du traité, histoire de mettre Sarko en avant.