Je joue en 2ed, où l'échelle s'arrête à 10 pour les compétences et les traits.

Sachant que 5 et 6 c'est pour un maître (le prof de math de la classe), 7 et 8 pour un maître renommé (Itto Ittosai, Sherlock Holmes), 9 c'est pour un maître légendaire (Miyamoto Musashi, Hida Kisada) et 10 pour maître ayant atteint un niveau divin (Iwamoto Kogan, dans Shigurui, Sun-tzu/Zhuge Liang, pour l'Art de la Guerre).
Sinon, c'est simple en ce qui concerne Ryûjin : c'est un peu un Mari-sue et donc je l'ai beaucoup joué, il a alors beaucoup XP et a pris de la graisse... Enfin, des rang de maîtrise, quoi. Du coup, 10 en spé Katana et 10 en Art de la Guerre, ça rox.
Pour Togashi Dôgen, c'est à peu près la même chose, sauf qu'il est beaucoup plus vieux (environ 300 ans, au moment de l'ère du Vide, grâce à son tatouage Grue) donc il avait d'entrée de jeu un meilleur profil. Après ça, j'ai fait comme Kenji, j'ai économisé, et puis j'ai eut de la chance. En outre, il finit par atteindre l'Eveil, il est donc supérieur à une Fortune, vis à vis du cosmos, en sa qualité de Bouddha.

Sinon, il y a un autre PNJ que j'ai créer en m'inspirant de Seitei Souther, Otomo Nankyo, qui utilise les règles de Yamabushi spécialisé en Arashido, de la "Maison de Geisha". Je lui ais accordé une technique secrète, pour coller au perso de HnK, qui ressemble trait pour trait à la technique finale du Yamabushi du Vide, afin de représenter Tensho Jujioh. Sinon, il est un peu limité par le défaut "Cruel", pareil pour Ryûjin qui prend pas mal de désavantages dans sa gueule, et qui est donc très loin d'égaler une Fortune.
Et enfin, il y a l'atroce PJ principal en chef, le maître suprême du grosbillisme. Soshi no Inuyasha-sama-sama (SISS).
SISS a commis un tas d'exaction dans mes campagnes : rien que celles en rapport avec Outremonde, il a donné accidentellement son nom a un Oni, puis a pactisé avec les Seigneurs Oni pour empêcher l'ascenssion d'un nouvel Overlord ; il a tué Doji no Nashiko ; il a créer une ouverture dans la garde d'Atarashi en se prennant un coup de tetsubo dans la gueule (après l'avoir blessé à deux reprises !) ce qui a permis à Hida de latter son fils et ainsi de revenir au pays (après avoir fait une sieste de plus d'une semaine, ce qui m'a permis d'affamer ce salaud d'Inuyasha et le faire attaquer par des souilleux dans son sommeil, pour essayer de le tuer) assurant ainsi le soutien définitif du clan du Crabe au Scorpion, pour son Coup d'Etat.
Comme l'explique le film de kenpo "A touch of zen", il y a trois niveaux de progression qui peuvent être définis dans le zen, vis à vis des arts militaires :
-Le Lettré : bien qu'intelligent et studieux, son coeur est hésitant et inexpérimenté. Il aborde le zen comme un savoir, et non comme une pratique continue.
-Le Guerrier : sa compréhension de la Voie est plus avancée que celle du Lettré, et il peut aller au combat avec un coeur léger, qui renforce encore son habileté.
-Le Bouddha : dès son apparition dans le film, le maître zen, le moine bouddhiste est mis en valeur par rapport aux autres : il ne souffre aucun égal. Sa façon de combattre est calme, sereine, sans aucun geste superflu. Ses adversaires ont l'air d'être complètement pris au dépourvu lorsqu'ils se prennent un coup de poing en plein visage et titubent en arrière. Il ne faillit qu'à un seul instant, lorsqu'il éprouve de la compassion pour le grand méchant et lui tend la main. Et pourtant, loin de mourir, il atteint enfin l'Eveil et devient un Bouddha, c'est alors que se termine le film sur un plan d'une majesté et d'une splendeur que je n'arriverai jamais à oublier.
Il n'y a pas beaucoup de "bons films", surtout sur le Bouddhisme. Mais celui-là mérite vraiment d'être vu, même s'il est assez hermétique, quand on ne connaît pas un peu le zen. En plus, c'est un vieux film, ça rappellera leurs jeunesses à Kenji et Pénombre de le voir...
Après tout, vieux rime avec mieux ! Etre vieux, c'est mieux !
Edit :
A propos de Fortune, il faut pas exagéré. Ryûjin ne fait pas un pli contre Fu-Leng pendant KYOD. C'est Souther qui arrive à l'achever à la fin.